Découvrez comment James McAvoy se transforme en véritable monstre dans « Speak No Evil » et pourquoi ce film est à ne pas manquer !
Le film « Speak No Evil », réalisé par James Watkins, plonge profondément dans les complexités de la vie familiale en confrontant deux familles distinctes : l'une américaine, coincée mais attachante, et l'autre britannique, désinhibée et pleine d'entrain. Au cœur de cette tension, nous rencontrons un James McAvoy qui abandonne son sourire habituel pour incarner un personnage ténébreux, révélateur d'une masculine toxique moderne. Ce remake du film danois « Ne dis rien » (2022), qui avait déjà fait forte impression avec pas moins de 11 nominations aux Danish Film Awards, promet d'être un thriller psychologique qui ne laisse pas indifférent.
Dans ce huis clos haletant, la mise en scène habile de Watkins nous tient en haleine alors que les tensions entre les deux familles s'exacerbent, transformant des vacances apparemment innocentes en un véritable cauchemar. McAvoy, entouré d'autres talents comme Mackenzie Davis et Scoot McNairy, livre une performance intense qui explore les thèmes de la confiance et de la menace, incitant les spectateurs à s'interroger sur les limites de l'acceptable dans les relations humaines. Face à des paysages pittoresques, cette tension s'épanouit comme un champignon vénéneux qui semble délicieux à première vue mais qui se révèle mortel au premier goût.
La dualité entre les styles de vie des deux familles est l'un des aspects les plus captivants de « Speak No Evil ». On y découvre un mélange détonant entre la retenue britannique et le désinhibé américain, créant une atmosphère où les non-dits et les situations inconfortables s'accumulent comme un mauvais plat trop lourd. L'univers de Blumhouse, connu pour ses productions horrifiques, ajoute une couche supplémentaire à cette intrigue psychologique, nous faisant oublier le léger désespoir d’une soirée tranquille devant un bon film.
Et pour les fans de McAvoy, ce film marque un tournant notable dans sa carrière : après avoir interprété des rôles plus légers et souvent comiques, il dévoile ici une facette beaucoup plus sombre et intense, rappelant à tous que même les acteurs les plus charmants peuvent sombrer dans l'horreur. Pour couronner le tout, sachez que le tournage a eu lieu dans des paysages britanniques pittoresques mais parfois inquiétants, mettant en lumière la fusion entre la beauté et l'angoisse. Amateurs de frissons garantis, « Speak No Evil » est un régal à s'offrir au cinéma !
Intéressant à noter, malgré son contenu sombre et son exploration de la masculinité toxique, le film contient des touches d'humour noir qui rappellent que parfois, il vaut mieux en rire que d'en pleurer. Et pour ceux qui se demandent, James McAvoy a lui-même mentionné que sa préparation pour ce rôle sévère a involontairement fourni un atout : en renforçant ses muscles et son esprit pour incarner une menace palpable à l'écran !
Il y a les Américains gentiment coincés (Mackenzie Davis et Scoot McNairy), en pleine crise conjugale, qui vivent à Londres avec leur fillette. Et les ...
Le nouveau thriller du cinéaste confronte deux familles, une britannique et une américaine, l'une tout en retenue et l'autre désinhibée.
James McAvoy fait vraiment peur, dans le cauchemar domestique de James Watkins, Speak No Evil, remake du film danois du même nom sorti en 2022.
Un film de James Watkins. Avec James McAvoy, Mackenzie Davis, Aisling Franciosi, Alix West Lefler, Dan Hough, Scoot McNairy, Kris Hitchen.
Rencontre avec l'acteur écossais adoré, qui montre sa face sombre (et ses muscles) dans la production Blumhouse Speak No Evil.
«Speak No Evil», remake américain du film danois «Ne dis rien» distingué par 11 nominations aux Danish Film Awards en 2022, sort ce mercredi dans les salles ...
Speak No Evil” nous plonge dans un huis clos haletant et pervers porté par le ténébreux et bestial James McAvoy.
James McAvoy fait vraiment peur, dans le cauchemar domestique de James Watkins, Speak No Evil. En salle ce mercredi.