Stéphane Ravier

2024 - 4 - 17

Scandale à Marseille: Stéphane Ravier jugé pour prise illégale d'intérêts

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Découvrez le scandale impliquant Stéphane Ravier et son fils dans une affaire d'embauche controversée à Marseille. Les détails vous surprendront!

Scandale à Marseille! Le sénateur Stéphane Ravier se retrouve au cœur d'une affaire de prise illégale d'intérêts. Accusé d'avoir embauché son fils, Thomas Ravier, comme jardinier à la Ville en 2015, le politicien fait face à des demandes d'inéligibilité et d'amende. Le procureur a réclamé cinq ans d'inéligibilité et une amende de 20 000 euros pour Stéphane Ravier, tandis que son fils risque huit mois de prison avec sursis.

Lors du procès, Stéphane Ravier a contesté les accusations, déclarant : "J'étais maire, pas DRH". Le sénateur a plaidé la non-responsabilité, affirmant que la gestion des embauches incombait à la mairie centrale. Malgré ses arguments, une peine d'un an de prison avec sursis, assortie de cinq ans d'inéligibilité et d'une amende de 20 000 euros, a été requise à son encontre.

Ce scandale politico-familial secoue Marseille et soulève des questions sur l'éthique des élus. Le parti Reconquête!, auquel Stéphane Ravier est affilié, se retrouve sous les feux des projecteurs. L'affaire met en lumière les pratiques d'embauche controversées au sein de l'appareil politique local, suscitant l'indignation du public et alimentant les débats sur la transparence et la moralité en politique.

En conclusion, le procès de Stéphane Ravier met en lumière les tensions entre la sphère politique et la sphère personnelle. Les accusations de prise illégale d'intérêts soulignent l'importance de l'intégrité et de la responsabilité des élus. Cette affaire illustre les enjeux de la gouvernance locale et met en évidence la nécessité d'une surveillance accrue pour prévenir les abus de pouvoir.

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Prise illégale d'intérêts : cinq ans d'inéligibilité requis contre le ... (France 3)

Stéphane Ravier a comparu devant le tribunal correctionnel de Marseille pour avoir embauché son fils Thomas Ravier comme jardinier à la Ville en 2015.

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Marseille: cinq ans d'inéligibilité requis contre le sénateur Stéphane ... (BFMTV)

Le procureur a réclamé également 20.000 euros d'amende pour Stéphane Ravier. Pour son fils, Thomas Ravier, il a requis huit mois de prison avec sursis, 10.000 ...

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Marseille: «J'étais maire, pas DRH», Stéphane Ravier conteste avoir ... (Le Figaro)

COMPTE-RENDU D'AUDIENCE - Une peine d'un an de prison avec sursis, assorti de cinq ans d'inéligibilité et d'une amende de 20.000 euros a été requise à ...

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Marseille : sursis et inéligibilité requis contre le sénateur ... (Le Parisien)

Le sénateur, maire d'arrondissement à Marseille en 2015, a plaidé la non-responsabilité, assurant que c'était la mairie centrale qui gérait ces embauches.

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Le sénateur Reconquête ! Stéphane Ravier jugé pour un emploi ... (Sud Ouest)

des Bouches-du-Rhône Stéphane Ravier est jugé mercredi 17 avril pour prise illégale d'intérêts par le tribunal correctionnel de Marseille, pour l'embauche de ...

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Procès du sénateur Stéphane Ravier pour un emploi octroyé à son ... (Le Monde)

Thomas Ravier avait été embauché comme vacataire aux espaces verts de la Ville de Marseille, puis titularisé. Son père, élu Reconquête ! des ...

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Reconquête : cinq ans d'inégibilité requis contre le sénateur ... (CNEWS)

Un an de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité ont été requis contre le sénateur du parti Reconquête! Stéphane Ravier, pour l'embauche de son fils.

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my new title (Les Surligneurs)

un terrain pour construire une “belle et grande mosquée”. @MarseilledAbord s'y opposera, au tribunal s'il le faut.” Tout est dans le “(gratuitement ?)“, sinon ...

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A Marseille, du sursis et l'inéligibilité requis contre Stéphane Ravier ... (Libération)

L'ex-maire d'arrondissement, par ailleurs sénateur zemmouriste, est accusé d'avoir favorisé les nombreux contrats municipaux de son fils lorsqu'il était en ...

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Jugé pour prise illégale d'intérêts, le sénateur Reconquête ... (Mediapart)

Devant le tribunal judiciaire de Marseille, l'élu d'extrême droite a dû répondre de l'entrée de son fils, en 2015, dans les effectifs de sa mairie de ...

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