Retransmis en direct sur une chaîne de télévision des Etats-Unis, les débats sur la collision de l'actrice américaine avec un opticien dans une station de ...
L’échange a fait de Me Van Orman la starlette du jour sur YouTube. L’opticien a témoigné que l’actrice l’avait envoyé « valser » – impossible, a rétorqué un expert, il aurait fallu qu’elle dévale la pente à 50 km/h. Interrogée à la barre sur le préjudice subi, elle a répondu qu’elle avait « perdu une demi-journée de ski ». Gwyneth Paltrow a affirmé que l’opticien l’avait percutée par-derrière ; elle a tout de suite cru à une agression sexuelle. Le 26 février 2016, Gwyneth Paltrow prenait une leçon de ski avec un moniteur (payé 4 900 dollars la journée, comme les deux instructeurs des enfants) à Deer Valley Resort, un endroit où l’on peut boire du champagne dans des yourtes à 2 100 m d’altitude mais pas faire de snowboard. Les humoristes l’avaient qualifié de procès « le plus blanc » qu’aient connu les Etats-Unis.
Le jury d'un tribunal de l'Utah a estimé qu'elle n'était pas responsable de l'accident survenu avec un professionnel de santé à la retraite.
Il l'a blessée (...) et il lui a demandé 3 millions de dollars ensuite, pour le plaisir", a affirmé la défense de l'actrice. Le jury a estimé, à l'unanimité, que l'actrice n'était pas responsable de l'accident survenu avec un professionnel de santé à la retraite, Terry Sanderson. Le jury a estimé, après trois heures de délibération, que c'est au contraire Terry Sanderson qui avait causé l'accident.
Accusée d'être à l'origine d'un accident de ski en 2016, l'actrice Gwyneth Paltrow a finalement remporté son procès et n'a pas payé des dommages-intérêts.
Blanchie dans cette affaire, l’actrice américaine a évité de payer des dommages-intérêts de 3,3 millions de dollars. «J'ai le sentiment que laisser passer des allégations mensongères mettait en cause mon intégrité», a précisé l’interprète de «Shakespeare in love» après l’annonce du verdict. L’optométriste affirmait que la collision avec l’actrice lui avait brisé quatre côtes et provoqué des dommages psychologiques durables.
Le Web se régale des quelques mots soufflés par l'actrice à l'homme qui la poursuivait en justice après une collision à ski, quelques secondes après avoir ...
[sa marque de bien-être, Goop](/people/series/gwyneth-paltrow-va-dispenser-ses-conseils-bien-etre-dans-une-serie-netflix_AN-201902050101.html), qui promeut des méthodes pseudo-scientifiques. Une formule de politesse traduisible par "bonne continuation", à laquelle il a répondu "Merci, ma chère". Quittant la salle en premier, elle s'est brièvement penchée sur l'épaule de Terry Sanderson pour lui souffler un mot à l'oreille, qui n'a pas été perçu par les micros.
Il a également condamné le plaignant à verser 1 dollar symbolique à la star pour le tort qu'il lui a causé.
"J'ai le sentiment que laisser passer des allégations mensongères mettait en cause mon intégrité", a-t-elle ajouté. Et que c’était au contraire Terry Sanderson qui en était à l’origine à 100%. C’est avec un verdict favorable que Gwyneth Paltrow a quitté jeudi soir le tribunal de Park City, dans l’Utah, au terme d’une semaine d’un procès rocambolesque, diffusé en direct à la télévision et sur Internet comme l’autorise la législation locale.
Tout ce qu'il faut savoir sur L'actrice américaine Gwyneth Paltrow, accusée d'être à l'origine d'un accident de ski en 2016 dans l'Utah, est sortie blanchie ...
Il l’a blessée», a affirmé jeudi l’avocat de l’actrice, Stephen Owens, «et il lui a demandé 3 millions de dollars ensuite, pour le plaisir. «Il l’a percutée. L’actrice affirmait au contraire que c’est Terry Sanderson qui l’a heurtée dans le dos. Au début de l’affaire, Stephen Owens avait affirmé que l’optométriste était «obsédé» par la plainte et que le dossier était basé sur «des allégations mensongères». Sanderson est apparu derrière elle. Le jury d’un tribunal de cet Etat de l’ouest des Etats-Unis a estimé à l’unanimité que Mme Paltrow, oscarisée pour «Shakespeare in Love», n’était pas responsable de l’accident survenu avec un professionnel de santé à la retraite, Terry Sanderson.