Cette crise bancaire est une crise de liquidités. tant que c'est le cas, et tant que les banques centrales réagissent rapidement, on s'en tiendra là. Le.
Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et ne sont pas une incitation à l'achat ni à la vente. On passe de la peur de l’inflation à la peur de la récession. Pour moi, cela restera le cas, tant que le marché ne se souciera pas du niveau des profits des entreprises. Les marchés démontrent, que les liquidités ne vont pas toutes se réfugier sur l’obligataire. Cela fait bien longtemps que les bancaires ne pèsent plus grand chose dans les indices même si en Europe, le secteur est très largement représenté encore. Le plus important est de savoir ne pas perdre. Il faut donc de la croissance mais pas trop. Et quand on parle de perdre en bourse, beaucoup pensent aux mauvaises pertes. Car en effet, le maillon faible contrairement à 2008; il n’est pas chez le consommateur ou les entreprises mais sur l’endettement des Etats. C’est à dire au retour de l’importance des résultats des entreprises en avril. il faut de l’inflation, mais pas trop pour résorber els dettes sans trop de réformes à mener. tant que c’est le cas, et tant que les banques centrales réagissent rapidement, on s’en tiendra là.
(AOF) - Selon François Rimeu, stratégiste senior chez La Française AM, le stress actuel du secteur bancaire, visible aussi bien aux États-Unis qu'en Europe ...
Ces turbulences vont probablement accélérer le durcissement des conditions de crédit, car les banques chercheront avant tout à afficher des bilans solides, même si cela se fait au détriment de leur volume de prêts. (AOF) - Selon François Rimeu, stratégiste senior chez La Française AM, le stress actuel du secteur bancaire, visible aussi bien aux États-Unis qu’en Europe fait resurgir le spectre des crises financières passées et en particulier celle de 2008. [Devenez membre gratuitement](/membre/avantages-inscription)
Le président de la Fédération bancaire française (FBF) Philippe Brassac, aussi directeur général du Crédit Agricole, a assuré lundi à l'AFP que la...
Vendredi, c'est la directrice générale de la FBF Maya Atig qui assurait de son côté à la Tribune que le système bancaire français était «très solide». Cette déclaration du patron du Crédit Agricole fait écho à celle du directeur général de la Société Générale Frédéric Oudéa samedi, qui a affirmé sur BFM Business que les banques européennes étaient «extrêmement solides». «Parler de crise bancaire, avec tout ce que ça génère comme craintes de généralisation, est tout simplement irrationnel», a souligné dans un entretien à l'AFP Philippe Brassac aussi directeur général du Crédit Agricole, à l'occasion d'un entretien.
Parmi les mesures à mettre en place, une exigence de dette à long terme (au passif du bilan), du moins pour les 30 plus grosses banques américaines, pour ...
De nombreuses mesures ont été prises mais certaines réformes doivent encore être finalisées, tout particulièrement aux Etats-Unis », reconnaît le vice-président de la Fed, récemment nommé par Joe Biden. Michael Barr est un connaisseur : il a été l'un architectes de la loi Dodd-Frank, votée après la crise financière de 2008-2009 pour mieux encadrer l'activité des grandes banques, et largement détricotée en 2018 par l'ancien président Donald Trump. Voilà un appel qui devrait faire plaisir aux banques européennes, et notamment françaises.
La chute de la banque californienne est «un cas d'école de mauvaise gestion», selon Michael Barr.
«Nous nous concentrons sur la question de savoir si la supervision de la Réserve fédérale était appropriée pour la croissance rapide et les vulnérabilités de la banque», a-t-il prévu de dire. Par ailleurs, «les événements récents ont montré que nous devons faire évoluer notre compréhension du secteur bancaire à la lumière de l'évolution des technologies et des risques émergents», devrait encore indiquer le vice-président de la Fed. Par ailleurs, «l'échec de SVB montre la nécessité d'aller de l'avant dans nos travaux pour améliorer la résilience du système bancaire», doit dire ce responsable de la banque centrale américaine mardi devant le Congrès, selon son discours publié lundi.
Neel Kashkari, président de la Fed de Minneapolis, a déclaré que la banque centrale américaine surveillait la crise bancaire "de très, très près", même si.
Mais un resserrement du crédit peut également être causé par les banques elles-mêmes, lorsqu'elles pratiquent une politique bancaire plus st La confiance a été ébranlée et de nombreux clients ont transféré leurs capitaux vers des banques plus importantes. Pourquoi est-ce important ?Après l'effondrement de la Silicon Valley Bank, les choses se sont précipitées dans le secteur bancaire.
Le mois de mars 2023 a décidément été particulièrement violent pour le système bancaire, au point de rappeler à certains les heures sombres de 2008.
D'ailleurs, ce n'est pas un hasard si ce mode d'épargne a été privilégié durant des siècles, dans toutes les couches de la société. Le premier réside dans leur ticket d'entrée : tout le monde n'a pas les moyens d'acheter un bien immobilier ou de déposer une somme suffisante sur des actions en bourse pour que l'opération ait du sens, sachant que dans ce dernier cas ladite somme peut en outre être perdue. C'est pour cela que, même aujourd'hui en 2023, l'or reste une source de diversification efficace qui peut aider à réduire les risques pour les investisseurs. En effet, on remarque qu'à chaque fois que les marchés financiers traversent des périodes d'incertitude et de volatilité, de nombreux investisseurs se tournent vers l'or comme une valeur refuge sûre. Et cette débancarisation, généralement partielle, se déroule presque toujours de la même façon, en favorisant là encore presque toujours les mêmes choix d'investissement. Certes, l'ampleur actuelle des turbulences n'a encore rien à voir avec celle qui succéda à la crise des subprimes, mais on ne peut toutefois s'empêcher de voir quelques similitudes.