Après l'audition du présentateur du journal de la nuit licencié par la chaîne d'infos, le directeur Marc-Olivier Fogiel est venu apporter son témoignage ...
« M. Une plainte contre X pour corruption passive et abus de confiance a été déposée. Les journalistes ont prévenu M. [le licenciement en février pour faute grave de M. Fogiel a dit n’avoir aucune information sur une supposée influence étrangère, renvoyant pour ce volet de l’affaire à l’enquête judiciaire. M’Barki, avait pu contacter d’autres journalistes de la chaîne.
Interrogé ce mercredi 22 mars par une commission d'enquête parlementaire, Rachid M'Barki a dit sa vérité, après avoir été licencié par BFMTV en fév...
Puis de poursuivre : "Il m’est reproché d’avoir failli à ma déontologie professionnelle en passant des informations non vérifiées à l’antenne et en laissant supposer que j’aurais été rémunéré pour cela. Tout cela est faux et relève de la calomnie pure". [Remplacé dans Faites entrer l'accusé](https://www.voici.fr/news-people/faites-entrer-laccuse-apres-le-licenciement-pour-faute-grave-de-rachid-mbarki-son-remplacant-devoile-752665), qu'il présentait depuis 2020 sur RMC Story, Rachid M'Barki est finalement sorti du silence ce mercredi 22 mars. [le journaliste avait été mis en retrait de BFM TV](https://www.voici.fr/news-people/rachid-mbarki-le-journaliste-de-bfmtv-mis-en-retrait-par-la-chaine-748844), le temps d'une enquête en interne, soupçonné d'avoir diffusé à l'antenne du contenu non validé par la rédaction. "Ces investigations ont permis d’identifier plusieurs séquences, entre 2021 et 2022, qui ont été diffusées sans respect des process de validation et de la ligne éditoriale. Dans la foulée, [les collaborateurs de Rachid M'Barki n'avaient pas mâché leurs mots](https://www.voici.fr/news-people/affaire-rachid-mbarki-apres-sa-mise-a-lecart-de-bfm-tv-ses-collegues-sortent-du-silence-749993), se disant très en colère face à ses méthodes.
Rachid M'Barki, licencié fin février" par la chaîne, est soupçonné d'avoir diffusé à l'antenne des informations, parfois orientées notamment sur le Qatar ou ...
Marc-Olivier Fogiel raconte que le présentateur profitait que sa hiérarchie soit occupée à autre chose, qu'il arrivait à la dernière minute pour procéder à des changements, qu'il demandait à de jeunes journalistes pas toujours titulaires de rentrer des images provenant d'un lobbyiste. Il est accusé de ne pas avoir respecté le dispositif mis en place afin de faire passer des informations que lui seul jugeait intéressantes. Et c'est pour cette raison et uniquement celle-là, qu'il a été écarté de l'antenne, pour faute grave donc, car il avait "gravement manqué au processus de validation" de l'information au sein de la chaîne.
Une enquête interne avait été ouverte à BFMTV pour des soupçons d'ingérence étrangère dans le travail de Rachid M'Barki comme présentateur des journaux de ...
Cette plainte faisait suite Ils visaient une douzaine de brèves illustrées en image, ayant notamment trait aux oligarques russes, au Qatar ou au Sahara occidental. La suite après cette publicité
Auditionné par les parlementaires, l'ex-journaliste de BFM TV s'est défendu pour la première fois. Mais sa version, contredite par celle livrée par le ...
Plusieurs journalistes du collectif international ont infiltré cette structure se targuant de pouvoir saboter des processus électoraux. Pour les parlementaires à l’origine de la commission d’enquête relative aux ingérences politiques, le but des auditions de l’ex-journaliste de BFM TV Rachid M’Barki et du directeur de la chaîne, Marc-Olivier Fogiel, les 22 et 23 mars, était simple. Mais dans cette affaire tentaculaire, à travers laquelle il est reproché au désormais ex-présentateur du Journal de la nuit d’avoir diffusé à l’antenne douze séquences en dehors des circuits de validation habituels, les faits sont complexes et les implications de chacun pas clairement définies.
Une enquête ouverte par la justice, un journaliste de la première chaîne info de France qui nie avoir été le jouet d'ingérences étrangères, un lobbyiste ...
"A l'un (des journalistes) a été proposée une rétribution à ce moment-là", a-t-il ajouté. Duthion a essayé de contacter d'autres journalistes de BFMTV après le départ de Rachid M'Barki (...) pour leur proposer d'autres types d'informations, entre guillemets, qui n'ont pas retenu leur intérêt", a révélé M. Le journaliste d'origine marocaine a assuré n'avoir eu "à aucun moment l'impression" que M. "C'était des images neutres", a fait valoir M. Une plainte contre X pour corruption passive et abus de confiance a été déposée. "Il m'est reproché d'avoir failli à ma déontologie professionnelle en passant des informations non vérifiées à l'antenne et en laissant supposer que j'aurais été rémunéré pour cela.