La porte de l'Hôtel de ville de Bordeaux a été incendiée ce jeudi 23 mars vers 20h15. Le feu a été éteint par les pompiers.
Le feu a été rapidement maîtrisé et éteint par les pompiers. Le feu a été éteint par les pompiers. Ce jeudi 23 mars, l'entrée de la mairie a été incendiée.
En cette 9e journée de mobilisation contre la réforme des retraites, des manifestants ont mis le feu à la porte de la mairie à Bordeaux.
On peut citer à cet égard Lorient, où un commissariat et la sous-préfecture ont été visés, mais aussi Nantes et Rennes où les rues du centre-ville ont été noyées de gaz lacrymogènes et où les canons à eau de la police ont parfois été utilisés. 🛑 🛑 La Mairie de Bordeaux est en feu… Il est attendu par Pierre Hurmic, alors que doit également se tenir ce jour-là une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Selon la préfecture, un homme a été interpellé. 3,5 millions de manifestants ont été comptabilisés par la CGT - soit un chiffre équivalent à [la mobilisation record du 7 mars](https://www.huffingtonpost.fr/france/article/manifestations-du-7-mars-la-mobilisation-tres-haute-a-paris-et-en-france_214942.html) - et 1,089 million par le ministère de l’Intérieur (1,28 million le 7 mars) ce jeudi 23 mars. Sur les réseaux sociaux, on peut voir des images de l’incendie.
Le feu a rapidement été maîtrisé par les pompiers. Seule l'entrée du bâtiment semble endommagée, selon France Bleu. « Le droit de manifester est un droit ...
Les violences et dégradations auxquelles nous avons assisté aujourd’hui sont inacceptables », a écrit sur Twitter la Première ministre, qui exprime « toute (sa) reconnaissance aux forces de l’ordre et de secours mobilisées ». Psychologiquement, je me sens très heurté, très choqué par cette initiative, je pense comme l’ensemble du personnel municipal et des élus de la ville de Bordeaux qui ne comprennent pas cet acte de vandalisme. Comment voulez-vous que je ne condamne pas avec la plus grande fermeté de tels actes de vandalisme et de saccage ? Le maire (EELV) de Bordeaux, Pierre Hurmic, s’est rendu à l’hôtel de ville. « Le droit de manifester est un droit constitutionnel, de saccager ne l’est pas » a réagi le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic. Seule l’entrée du bâtiment semble endommagée.
En marge de la manifestation qui a rassemblé des milliers de personnes ce jeudi 23 mars et connu de nombreux heurts. Une manifestation sauvage s'est ...
Je ne vois pas l’intérêt à s’en prendre à la porte de la mairie, je ne vois pas le symbole qu’il y a derrière ce genre d’action ». Sept personnes ont été interpellées à l’issue de cette neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Il y a des groupes d’activistes qui tournent dans la ville, ils s’en prennent au mobilier urbain, aux poubelles, en marge de la manifestation. Vers 20h30, des manifestants ont mis le feu à la porte monumentale de l’entrée principale du Palais Rohan, siège de la mairie, place Pey-Berland. « Je suis très choqué que l’on puisse s’en prendre à la mairie, qui est la maison de tous les Bordelais, a déclaré ce dernier. La manifestation contre la réforme des retraites a dégénéré dans la soirée à Bordeaux.
Qui a pu tenter de mettre le feu à la mairie de Bordeaux ? Interrogé au moment où les pompiers éteignaient l'incendie déclenché sur la porte du Palais Rohan, ...
Dans un communiqué envoyé dans la soirée, le maire a préféré retenir les « nombreux témoignages d’indignation et de soutien [qui] affluent à l’Hôtel de Ville ». Qui a pu tenter de mettre le feu à la mairie de Bordeaux ? » et plusieurs personnes répondre : « Elle est à nous ».
L'image de ce jeudi soir, c'est la porte principale de la mairie de Bordeaux qui a été incendiée. En dix minutes, elle a été la proie des flammes.
En début de soirée, la porte d'entrée principale de la mairie de Bordeaux, place Pey Berland, a été la proie des flammes. Au contraire de la mobilisation des Gilets jaunes où l'hôtel de Rohan était systématiquement pris pour cible du mouvement de la capitale régionale. En dix minutes, elle a été la proie des flammes.
[VIDÉO] ▶️ Plusieurs milliers de personnes sont descendues dans la rue ce jeudi pour s'opposer à la réforme des retraites.
Je ne vois pas tellement le sens de tels actes de vandalisme", déplore-t-il, qualifiant les coupables de "malfrats". Plusieurs lieux publics ont également été dégradés, à l'instar de la mairie de Bordeaux. "Je ne vous cache pas que le spectacle suscite, de ma part, la plus grande tristesse, l'indignation", dénonce l'élu EELV.
Pierre Hurmic fait part sur franceinfo de son indignation devant "ceux qui ont voulu bêtement marquer de leur empreinte de violence" l'hôtel de ville de ...
Pierre Hurmic a été marqué par un "spectacle de désolation" en observant le porche dévasté par les flammes : "Une porte historique du 18ᵉ siècle qui marque l'accueil des Bordelais et des Bordelaises dans leur mairie. Selon lui, "ce sont des avertissements qui doivent inciter les pouvoirs publics au plus haut niveau, à prendre des décisions pour éviter que le pays ne s'embrase à l'occasion de cette réforme". La porte de l'Hôtel de Ville, d'une hauteur de plusieurs mètres, a pris feu vers 20h15, l'incendie a été rapidement maîtrisé et éteint par les pompiers.
L'incendie du portail du Palais Rohan, en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Bordeaux, a choqué bon nombre de Bordelais, ...
Peu après 20 heures ce jeudi 23 mars, en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Bordeaux, le portail historique de la mairie de Bordeaux a été incendié. Durant les huit autres manifestations précédentes à Bordeaux, la Place Pey Berland n'avait pas été particulièrement investie par le mouvement social. L'homme interpellé jeudi soir a été placé en garde à vue.
INVITÉ RTL - Pierre Hurmic, le maire de Bordeaux, a vivement dénoncé l'attaque de la mairie de Bordeaux jeudi 23 mars, en marge de la contestation contre la ...
Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. [une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites](https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/manifestations-du-23-mars-a-paris-des-tensions-entre-les-policiers-et-des-casseurs-7900247995). Le maire de Bordeaux condamne les "exactions" commises par des casseurs dans la soirée du jeudi 23 mars.
Misant sur la prévention plutôt que sur la répression, la mairie de Bordeaux souhaite réguler la pratique du skate sans avoir recours à des arrêtés ...
Un lieu réhabilité après neuf mois de travaux et labellisé «centre de préparation aux Jeux», en vue «Ces limitations totales se sont avérées inefficaces et génératrices de conflits, notamment entre skateurs et riverains.» Les différents arrêtés d'interdiction pris lors de la précédente mandature «n'avaient pas d'effets et étaient même contre-productifs», précise Amine Smihi, car ils entraînaient «un sentiment de défiance». En revanche, sur les spots orange, où des nuisances ont été relevées, des horaires conseillés ainsi que des moments «à éviter absolument» sont mentionnés. «Bordeaux a, pendant des années, tenté de réguler la pratique via des interdictions sur certaines places du centre-ville appréciées par les skateurs», explique la municipalité dans son guide du skateboard bordelais. D'où le travail de médiation qui a été mené afin d'aboutir à ces nouvelles règles entourant la pratique du skateboard à Bordeaux. [La ville de Bordeaux](https://www.lefigaro.fr/bordeaux/participation-citoyenne-a-bordeaux-l-opposition-denonce-un-recul-democratique-spectaculaire-20230320) ne souhaite plus interdire [la pratique du skate](https://www.lefigaro.fr/sports/autres-sports/skateboard-aurelien-giraud-sacre-champion-du-monde-20230205) dans certaines places de la ville mais encourage désormais «des règles préventives de bonne conduite», afin de résoudre les conflits d'usage.
Le porche de l'hôtel de ville a été ravagé par le feu en début de soirée, jeudi 23 mars, en marge d'une manifestation agitée contre la réforme des ...
« Des travaux d’envergure vont devoir être réalisés » pour restaurer la porte du XVIIe siècle, a-t-il précisé ce vendredi matin « Nous communiquerons dans la journée » sur cette affaire, a indiqué ce vendredi matin le parquet de Bordeaux au HuffPost. Au total, sept personnes ont été interpellées à l’issue de la manifestation bordelaise pour jets de projectiles, incendies volontaires et outrages, a annoncé la préfecture. Sur les images filmées pendant l’incendie, on entend en effet distinctement un homme présent devant la mairie crier « Elle est à qui la France ? (...) Il y a toute une vague de soutien et de solidarité, notamment de la part de beaucoup de Bordelaises et Bordelais », a-t-il fait part. Grâce à une « intervention rapide » des pompiers, il a été éteint sans que les dégâts ne se propagent, a indiqué le préfet Étienne Guyot. [Pierre Hurmic](https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/pas-de-sapin-a-bordeaux-pierre-hurmic-s-explique-sur-la-polemique_170003.html), interviewé par BFMTV devant la porte noircie. [À Bordeaux](https://www.huffingtonpost.fr/france/article/manifestations-du-23-mars-a-bordeaux-l-entree-de-la-mairie-incendiee_215661.html), la porte de la mairie a été incendiée, et elle apparaissait complètement calcinée, ce vendredi 24 mars au matin. « Ce ne sont clairement pas des manifestants qui ont fait ça. Une visite [finalement annulée ce vendredi midi](https://www.huffingtonpost.fr/international/article/la-visite-d-etat-de-charles-iii-en-france-reportee_215683.html). C’est triste », a déclaré à l’AFP Laurence Jaffré, cadre de 56 ans. La suite après cette publicité
La police judiciaire a été chargée de l'enquête sur l'incendie volontaire du portail de la mairie de Bordeaux, ce jeudi 23 mars à la fin d'une journée de ...
Quatre manifestants ont aussi été « légèrement blessés », dont un présentant « une fracture au tibia après avoir chuté tout seul suite à une tentative d’escalade ». D’après le récit du parquet, les policiers ont été prévenus à 20 h 20. Cinq personnes sont actuellement en garde à vue dans les locaux de la direction zonale de la police judiciaire pour le Sud-Ouest, chargée de l’enquête sur cet incendie volontaire.
Téléphone à la main, ils prennent en photo la porte noircie de la mairie de Bordeaux, incendiée jeudi soir : la plupart des passants sont choqués...
"Cette porte est un symbole pour les gilets jaunes qui essayent de mettre le feu à l'hôtel de ville depuis cinq ans, donc tout le monde était content que ça ait réussi. Mais pour Marie-José Lemoine, retraitée de 68 ans, qui assure avoir été présente jeudi soir, "ce n'est pas l'extrême droite qui a mis le feu, ce sont les étudiants". ou un échange entre une personne qui crie "Elle est à qui la France ?"
Des individus vêtus de noir mettaient des poubelles contre la porte pour alimenter le foyer incendiaire : un individu en particulier était vu en train de jeter ...
“De multiples investigations restent à mener avant toute décision d’orientation”, avance le Parquet. [Rue89 Bordeaux ]évoquent quant à eux, ce matin, la piste de l’extrême-droite. Elles sont âgées de 17 à 23 ans.
Quatre jeunes âgés d'une vingtaine d'années et un mineur ont été interpellés jeudi soir. Ils sont suspectés d'avoir contribué au départ de feu volontaire ...
Deux d'entre eux, nés en 2000 et 2006, sont connus des services de la direction zonale de police judiciaire Sud Ouest (DZPJ) en charge de l'enquête pour incendie volontaire. Les visages «dissimulés derrière des foulards» correspondent «en tout point au signalement des individus qui s'affairaient activement à l'alimentation du feu». Selon nos informations, cinq personnes, placées en garde à vue à l'hôtel de police de Bordeaux, sont suspectées d'avoir contribué au départ de cet incendie allumé par [des opposants à la réforme des retraites](https://www.lefigaro.fr/actualite-france/retraites-retour-en-images-sur-les-violences-et-saccages-en-marge-des-manifestations-20230323). Le feu avait rapidement grossi sous les applaudissements et les cris des badauds. «Ce ne sont pas des combattants», précise notre source policière qui n'exclut pas pour autant qu'il puisse y avoir des organisateurs qui seraient identifiés ultérieurement. Sur place dès le début des exactions, Le Figaro avait pu constater que les personnes présentes amassaient poubelles, trottinettes et déchets devant l'hôtel de ville sans nécessairement se consulter.
Après le rassemblement contre la réforme des retraites, ce jeudi 23 mars, le porche de la mairie de Bordeaux a été incendié. Les soutiens et les co...
Sans se prononcer sur l’identité des responsables, Florence Lassarade considère également que ces violences dépassent le mouvement de contestation de la réforme des retraites : « Je pense qu’il y a un climat d’insurrection qui remonte dans le pays, pas à cause de la réforme des retraites mais à cause de la désinvolture du chef de l’Etat ». « Je n’admets pas qu’on méprise les Français ou qu’on puisse se défouler comme ça avec des actes de violence », déclare la sénatrice LR qui a soutenu et voté la réforme des retraites mais déplore le comportement d’Emmanuel Macron. « Il y a un regain d’agressivité et d’activité des groupuscules d’extrême droite sur Bordeaux qui profitent de la situation pour mener des actions sans rapport avec la réforme des retraites », considère Monique de Marco. Pour la sénatrice Lassarade, la réforme des retraites est devenue un « prétexte » pour le recours à la violence. « Je n’ai pas souvenir d’une manifestation aussi importante à Bordeaux », lance Monique de Marco, sénatrice écologiste de Gironde. Les flammes se propagent rapidement sur la devanture du portail qui donne sur la cour intérieure de la mairie, le bâtiment municipal a proprement parlé se trouvant après cette cour.