Les chercheurs des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) signalent que ce champignon, appelé “candida auris”, peut provoquer une ...
Le CDC a mis en garde lundi dans un communiqué, contre la dangerosité du champignon «Candida auris», qui se propage très vite aux Etats-Unis.
auris», est-il mentionné dans le texte. Le communiqué explique cette augmentation des cas par, en parallèle, une hausse des tests de dépistage durant la période de Covid-19, éclairant de manière plus évidente l’ampleur de l’infection. Concernant les cas de dépistage où le champignon est détecté mais ne provoque pas d’infection, ils ont triplé entre 2020 et 2021, pour un total de 4.041. Candida auris (C. Il a été qualifié de «menace urgente». Le champignon «Candida auris», potentiellement mortel inquiète particulièrement le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui a alerté lundi la population dans
Candida auris. Derrière ce nom qui ne vous dit sûrement rien se cache un champignon potentiellement mortel dont la recrudescence des cas inquiète aux ...
Une autre hypothèse serait que le nombre de cas a aussi augmenté en raison de la hausse du nombre de dépistages préventifs. Le CDC envisage par ailleurs comme possible cause de l'augmentation du nombre de cas recensés le fait que le système de soins ait été mis à rude épreuve par la pandémie de Covid-19, facilitant la transmission du C. Se répandant majoritairement au sein des établissements de soins, c'est donc sur entre ces patients que le champignon se transmet majoritairement.
Depuis son apparition au Japon en 2009, Candida auris sème la panique dans les établissements hospitaliers de la planète. Surnommé « le tueur des hôpitaux » ...
« Les souches de Candida auris sont résistants aux trois grandes classes de médicaments antifongiques, soulignait il y a deux ans le ministère de la Santé brésilien. Au niveau national, les cas cliniques sont passés de 476 en 2019 à 1 471 en 2021. Cette infection à Candida auris a été identifiée pour la première fois au Japon en 2009 et, depuis, elle a été détectée sur les cinq continents. » De nombreux fongicides, médicaments ou désinfectants de surface ne fonctionnent d’ailleurs pas contre ce champignon, signalent les spécialistes de ce germe. Une inquiétude qui n’est pas nouvelle aux États-Unis, où le premier cas a détecté en 2016, et ailleurs aussi sur la planète. Le CDC classe même Candida auris comme « grave menace mondiale pour la santé publique ».
Après les États-Unis, le Canada risque de faire face à une hausse de la propagation d'un champignon mortel et de plus en plus résistant aux médicaments, ...
Selon le Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses du Canada, il y a des raisons de croire que la hausse des températures attribuable aux changements climatiques contribue à la propagation du champignon. « Depuis 2017, on a des protocoles au Québec autant pour guider les hôpitaux si on a un patient colonisé ou infecté que des guides de pratique pour les laboratoires », explique-t-il. L’infection à ce champignon est souvent résistante à plusieurs médicaments couramment utilisés pour la traiter. Dans ces cas, la levure pénètre dans le sang et se propage dans tout le corps, indique M. Or, ce n’est qu’une « question de temps » avant que l’on observe une augmentation de sa présence au Canada, estime Adnane Sellam, chercheur à l’Institut de cardiologie de Montréal et spécialiste de Candida auris. Parmi ces cas, 19 proviennent du Québec et de l’Ontario, dont deux patients qui ont été infectés par le champignon à l’hôpital Pierre-Boucher, à Longueuil, en septembre dernier.
Les Centers for disease control and prevention (CDC) ont publié un communiqué lundi 20 mars dans lequel ils tirent la sonnette d'alarme : le Candida auris ...
[un communiqué](https://www.cdc.gov/media/releases/2023/p0320-cauris.html) lundi 20 mars dans lequel ils tirent la sonnette d’alarme : le Candida auris se développe à un “rythme alarmant” depuis trois ans et peut être considéré comme une “menace urgente”. En France, au dernier bilan de juillet 2019, six cas seulement ont été identifiés”. “Les infections invasives sont associées à un taux de létalité élevé, essentiellement attribuable aux nombreuses comorbidités observées chez les patients infectés ou colonisés”,