OBSERVATOIRE DU SPORT BUSINESS - Takam, Oubaali, deux gabarits, deux générations mais une même mission : la boxe, la noble, en héritage à un moment où ...
A la question du combat de trop ou du boxeur qui ne sait pas s'arrêter, il nous répond être pleinement conscient de ses capacités et savoir qu'il n'a pas arrêté parce qu'il était en fin de carrière mais plutôt parce que les conditions dans lesquelles il a du performer à chaque fois l'ont épuisé et démotivé. Une date à retenir, neuf ans après que Nordine Oubaali ait fait son premier combat chez les professionnels et écrit une belle page de la Boxe tricolore mondiale. Lui qui a connu les rings du monde entier, des Etats-Unis, au Japon en passant par le Kazakhstan a pris le temps de la retraite mais aussi celui de la famille. Son ambition est plus noble, son souhait, c'est de continuer à performer et surtout de retourner en Afrique pour mener des actions dans le sport et l'éducation : « Je me dois redonner à l'Afrique ce que j'ai reçu, les valeurs, l'histoire et l'amour du continent alors je m'investis dans l'éducation avec la construction d'école et le sport comme fil conducteur auprès des enfants. On évoque avec lui les primes de l'UFC, l'organisation qui ambitionne de séduire et fidéliser toujours plus le public des sports de combat et notamment les passionnés du noble art, celle qui affiche des primes colossales pour ses athlètes. [Français Ciryil Gane et la star de l'organisation Jon Jones](https://www.lefigaro.fr/sports/mma/mma-les-images-de-la-defaite-de-gane-face-a-jones-apres-deux-minutes-et-4-secondes-de-combat-20230305) pour un UFC 285 a engrangé près de 12,15 millions de dollars de billetterie dans une salle de 20.000 places à Las Vegas.