Avant même l'épilogue des retraites, l'entourage d'Edouard Philippe fait un bilan amer de cette réforme. Horizons, pourtant membre de la majorité, ...
Comme le dit un lieutenant d’Edouard Philippe : "On ne peut pas continuer comme ça pendant quatre ans. Au bout de six mois, on voit bien que ça ne marche pas." On l’a vu encore la semaine dernière avec des propositions de loi rejetées chez Horizons comme chez Renaissance : Il a été reporté au mardi 21 mars, à cause, justement, de tensions à l’Assemblée. Mais dans ce contexte, persister sur un rapport de force avec ses partenaires, c’est la meilleure chance de faire grossir des frondeurs. "Faire de la politique", cela veut dire travailler en amont les projets de loi, écouter et prendre en compte les avis de ses partenaires, faire de la tactique.
Même avant la clôture officielle des débats sur la réforme des retraites, le ministre Edouard Philippe et son équipe expriment une profonde insatisfaction ...
Ils reprochent notamment le manque de dialogue et de leadership de Matignon, malgré les réunions régulières entre les membres de la majorité. Les cadres du parti Horizons et du Modem déplorent le fait que les réunions portent essentiellement sur l’actualité et l’agenda, sans aborder véritablement les projets de loi et la tactique politique. Emmanuel Macron réunit ce jeudi les patrons de groupe de sa majorité, mais cela ne changera pas le fond du problème selon certains membres de la majorité.
Gilles Boyer : Après avoir écrit notre premier roman, L'Heure de vérité (éd. Flammarion), nous avons poursuivi l'aventure avec Dans l'ombre, sorte de suite qui ...
Gilles Boyer : Nous avons laissé beaucoup de libertés à Philippe Pelaez et Cédrick Le Bihan car on ne s’improvise pas auteur de BD. Ce monde se prête au roman et à la description de l’âme humaine, dans ce qu’elle a de plus lumineux, et – il faut le reconnaître – de plus sombre. Et la fiction permet de rendre grâce à la complexité des sentiments, probablement mieux que le récit. Édouard Philippe : Nous n’avions qu’une seule exigence : que le ton de notre roman ne soit pas trahi. Après la victoire de son « patron » à la primaire, le premier conseiller d’un homme politique s’engage avec ferveur dans la campagne présidentielle. Mais rien ne pouvait le préparer à ces mois de campagne, aux trahisons dont seuls sont capables ceux qui convoitent à tout prix le pouvoir.