Credit Suisse

Crédit Suisse plonge à la Bourse de Zurich, après qu'un de ses principaux actionnaires a déclaré qu'il ne comptait pas apporter de l'argent frais en cas de ...

Les banques européennes continuent de plonger mercredi en Bourse plombées par les peurs autour de Credit Suisse après le refus de son premier actionnaire saoudien de monter davantage au capital. [BNP Paribas](https://www.tradingsat.com/bnp-paribas-acta-FR0000131104/) plonge de près de 10% tandis que [Société Générale](https://www.tradingsat.com/societe-generale-FR0000130809/) chute de 9,9%. Selon les règles suisses, le Credit Suisse verrait ses obligations converties en actions dans le cadre d'un processus de "bail-in", juge-t-il. Le WTI évoluant à ses plus bas prix depuis décembre 2021, en raison d'inquiétudes "Il est clair que la BCE a de bonnes raisons d'attendre et de voir comment les choses évoluent. La Banque nationale de Suisse ne commente pas la chute de Credit Suisse Les marchés sont fébriles à l'égard de Credit Suisse après les secousses déclenchées par la faillite de la banque américaine SVB, la banque helvétique étant considérée comme le maillon faible du secteur en Suisse. Les Bourses européennes chutent de nouveau ce mercredi avec le retour des vives inquiétudes sur les banques, notamment sur Credit Suisse après que le premier actionnaire saoudien a exclu un sauvetage de la banque en difficulté. La chute de l'action Credit Suisse s'accèlère à -30% L'économiste américain Nouriel Roubini, célèbre pour avoir prédit la crise des subprimes, estime qu'une faillite de la banque suisse constituerait "un moment Lehman", en référence à la faillite de la banque Lehman Brothers, rapporte MarketWatch qui cite des propos prononcés sur Bloomberg TV. La chute du cours de Bourse de Credit Suisse "pourrait avoir des conséquences sur la décision politique de la BCE [Banque centrale européenne] prévue pour demain", estiment les économistes de Capital Economics. EN DIRECT - La chute de l'action Credit Suisse s'accèlère à -30%

De vives inquiétudes sont de retour alors que de nombreuses banques européennes ont vu leurs actions chuté ce mercredi matin. Les autorités américaines et ...

Les entreprises pétrolières étaient affectées par la chute des prix, plus de 10 % pour le WTI depuis le début de la semaine. L’euro reculait de 0,53 % à 1,0676 dollar et la livre de 0,36 % à 1,2115 dollar. Shanghai (+0,55 %) et Hong Kong (+1,52 %) sont repartis, après l’annonce d’une reprise des ventes au détail en Chine, principal indicateur de la consommation des ménages. Signe d’une fuite des investisseurs vers des placements perçus comme plus sûrs, les taux d’emprunt des Etats reculaient, alors qu’ils étaient en forte hausse en début de séance. La Banque nationale saoudienne détient actuellement autour de 9,8 % de Crédit Suisse, juste en dessous de l’important seuil de 10 % au-delà duquel une autre réglementation s’applique. Les craintes sont plus forte encore pour le Crédit Suisse, dont l’action dévissait de plus de 20 %, touchant un nouveau point bas historique.

Les difficultés de Credit Suisse alimentent les craintes d'une crise bancaire à grande échelle. Le principal actionnaire de la banque helvète a exclu de lui ...

Son cours a perdu plus de 80 % de sa valeur depuis la faillite de la société financière britannique Greensill, qui avait marqué Les investisseurs sont toujours aussi fébriles depuis la faillite de trois banques américaines au cours de la semaine passée, dont la Silicon Valley Bank (SVB). Les difficultés de Credit Suisse alimentent les craintes d'une crise bancaire à grande échelle.

DÉCRYPTAGE - La banque helvétique, en proie à de grandes difficultés, chute de 22% en Bourse. Son premier actionnaire, la banque centrale saoudienne exclut ...

Son premier actionnaire, la banque centrale saoudienne exclut de soutenir davantage la banque. Son premier actionnaire, la Saudi National Bank, venu à sa rescousse à l'automne dernier, a mis le feu aux poudres. «Nous détenons actuellement 9,8% de la banque.

Le premier actionnaire de Credit Suisse, la Saudi National Bank, ne va « absolument pas » soutenir la banque en montant davantage au...

Si nous dépassons 10%, une série de nouvelles règles entrent en vigueur » et « nous ne sommes pas enclins à entrer dans un nouveau régime réglementaire », a expliqué M. La réputation de Credit Suisse a été ternie par une série de scandales ces dernières années. al-Khudairy a répondu : « absolument pas, pour plusieurs raisons en plus des plus simples, qui sont réglementaires et statutaires ».

Le Credit Suisse inquiète particulièrement les investisseurs. Son premier actionnaire ne va "absolument pas" soutenir la banque helvétique.

Mercredi, les investisseurs garderont par ailleurs un oeil sur le Royaume-Uni où le ministre des Finances doit présenter son budget. De l'autre côté de l'Atlantique et depuis les données mardi sur l'inflation aux États-Unis, les investisseurs s'attendent désormais à ce que la Réserve fédérale américaine (Fed), qui se réunira la semaine prochaine, remonte ses taux. "La BCE avait promis de monter ses taux de 50 points de base demain, mais cela ne suffira pas à soutenir l'euro si les inquiétudes sur la santé du système financier dominent", commente Jane Foley, analyste chez Rabobank. Le risque qui pèse sur le secteur bancaire, à la veille d'une réunion de la Banque centrale européenne (BCE), faisait perdre à l'euro 1,24% à 1,0599 dollar vers 11H25 GMT (12H25 à Paris), tandis que le franc suisse cédait 1,22% à 0,9255 franc suisse pour un dollar. Les autres banques européennes piquaient du nez ce mercredi 15 mars. Le Credit Suisse inquiète particulièrement les investisseurs.

A midi, BNP Paribas perdait 10%, Société Générale de 11% et Deutsche Bank de...

Mardi, le titre a déjà été secoué en Bourse alors que la banque a averti de « faiblesses substantielles » dans ses mécanismes de contrôles internes. Mais « les craintes quant à la solidité du secteur » persistent et« l'ombre de l'effondrement de la SVB plane toujours », souligne Susannah Streeter, analyste d'Hargreaves Lansdown. Les mesures des autorités américaines et les assurances des gouvernements européens sur la solidité du système bancaire à la suite de la faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) ont pu stabiliser un peu les marchés mardi. A midi, heure de Paris, le titre de la deuxième banque de Suisse tombait ainsi à son plus bas historique de 1,71 franc suisse. Mais Ammar al-Khudairy, de la Saudi National Bank, a dit qu'il y avait d'autres raisons que celles « réglementaires et statutaires ». L'inquiétude vient aujourd'hui d'un tout autre établissement, Crédit Suisse, qui n'a pas de lien apparent avec la banque californienne SVB.

A la mi-journée, l'action de la banque Credit Suisse dévissait de plus de 30 %, à un plus bas historique, ravivant les craintes pour l'ensemble du secteur.

Mais « les craintes quant à la solidité du secteur » persistent et « l’ombre de l’effondrement de la SVB plane toujours », souligne Susannah Streeter, analyste d’Hargreaves Lansdown. La cheffe du gouvernement français a toutefois réaffirmé que « les banques françaises ne sont exposées à aucun risque à la suite de la faillite de la SVB ». L’indice du secteur européen des banques (Stoxx 600 Banks) plongeait de plus de 7 %. Pétrole au plus bas depuis décembre 2021, taux en forte baisse, dollar en hausse, vague de volatilité : les signes de grande fébrilité des investisseurs se lisaient sur tous les marchés. Depuis le début de la semaine, presque toutes ces banques ont perdu plus de 10 % de leur valeur en Bourse, et certaines plus de 15 %. A 14 h 12, heure de Paris, l’action dévissait de 30,13 % pour tomber à 1,565 francs suisses, enfonçant un nouveau point bas historique, après les déclarations de son premier actionnaire excluant de participer à une éventuelle augmentation de capital.

Après un mercredi noir pour le secteur bancaire à cause des difficultés de Credit Suisse, Bruno Le Maire va avoir «un contact avec son homologue suisse dans ...

À une heure de la clôture, le titre de la banque Suisse a perdu un peu plus de 16% à 1,8750 franc suisse. La descente aux enfers de l'ancien fleuron de la finance helvétique a débuté en 2019. Au centre de préoccupations, la banque Crédit Suisse. Le président de son premier actionnaire, la Saudi National Bank, a déclaré dans une interview à l'agence Bloomberg qu'il n'allait «absolument pas» soutenir la banque en difficulté en montant davantage au capital. L'action de Credit Suisse a chuté de 30,13% à 13H12 GMT, à un point bas historique. Le titre a perdu au cours de la journée jusqu'à plus de 30% de sa valeur. La banque helvétique aurait demandé à la banque nationale suisse un soutien public, selon des informations du Financial Times. Le patron du géant américain de la gestion d'actifs estime qu'« il est encore trop tôt pour connaître l'étendue des dégâts ». La chute du Credit Suisse n'a pas épargné les bourses européennes, qui ont dévissé de 3% à la fermeture. La faillite de la banque SVB (Silicon Valley Bank) et les difficultés de Credit Suisse ont des répercussions sur le cours du brut. Une sortie qui prend encore plus de sens face aux [difficultés rencontrées mercredi par Crédit Suisse](https://www.lefigaro.fr/societes/la-descente-aux-enfers-de-credit-suisse-fait-chuter-les-banques-en-bourse-20230315), le deuxième établissement bancaire helvète. La banque Suisse a enregistré une baisse de 24,24% à 1,697 franc suisse au moment de la fermeture de la Bourse.

L'action de la banque Credit Suisse est en chute libre mercredi après des déclarations de son actionnaire saoudien qui a expliqué qu'il ne compte « absolument ...

Vers 14 h 35, il valait 68,17 dollars (-4,40 %), en baisse de plus de 14 % depuis lundi. Le baril de Brent de mer du Nord valait 74,70 dollars (-3,55 %) en baisse de près de 13 % depuis lundi. Depuis le début de la semaine, presque toutes ces banques ont perdu plus de 10 % de leur valeur en Bourse, et certaines plus de 15 %. Mais « les craintes quant à la solidité du secteur » persistent et « l’ombre de l’effondrement de la SVB plane toujours », souligne Susannah Streeter, analyste d’Hargreaves Lansdown. Le titre abandonnait un peu plus de 16 % à 1,8750 franc suisse. L’indice du secteur européen des banques (Stoxx 600 Banks) plongeait de plus de 7 %.

Le plongeon de la banque helvétique en Bourse, qui a entraîné la chute des valeurs bancaires françaises Société Générale et BNP Paribas, préoccupe le ...

« C'est au superviseur suisse de faire le boulot, prévient un conseiller, qui rappelle que les problèmes de Credit Suisse « ne datent pas d'hier ». « Les banques françaises sont solides, le système bancaire français est solide », avait-il martelé, invitant même « au calme ». En coulisses, les messages diffusés ces derniers jours sur la solidité des banques françaises, après l'effondrement de trois banques américaines, dont SVB, sont réitérés. Mais elle a aussi précisé que le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire « [aurait] un contact avec son homologue suisse dans les prochaines heures ». En réalité, Bercy regarde la situation de près. Bruno Le Maire devait s'entretenir avec le ministre des Finances suisse dans l'après-midi.

Des déclarations du principal actionnaire de Crédit Suisse ont entraîné un plongeon en Bourse du groupe bancaire helvétique.

Les marchés guettent aussi la banque centrale suisse (BNS), dont dépend Crédit Suisse. Son action a perdu plus de 80% de sa valeur et la société d'investissement américaine Harris Associates, longtemps son plus gros actionnaire, a même fini par jeter l'éponge en vendant entièrement sa participation dans la banque. Concrètement: si Crédit Suisse a besoin d'argent en cas de problème, son principal actionnaire ne compte pas lui en donner. Car il s'agit du plus gros actionnaire de Crédit Suisse depuis une augmentation de capital en novembre dernier. La faillite de la banque américaine SVB a ajouté un peu plus d'incertitude. Mais les difficultés de Crédit Suisse, qui accumule les revers depuis plusieurs mois, ne sont pas nouvelles.

Le premier actionnaire de Credit Suisse, la Saudi National Bank, ne va « absolument pas » soutenir la banque en montant davantage au capital, a...

Si nous dépassons 10%, une série de nouvelles règles entrent en vigueur » et « nous ne sommes pas enclins à entrer dans un nouveau régime réglementaire », a expliqué M. La réputation de Credit Suisse a été ternie par une série de scandales ces dernières années. al-Khudairy a répondu : « absolument pas, pour plusieurs raisons en plus des plus simples, qui sont réglementaires et statutaires ».

Actualisé clôture des marchés européens, précisions, graphe) par Noele Illien, Francesco Canepa et Lucy Raitano ZURICH, 15 mars (Reuters) - Credit Suisse ...

NYSE Les investisseurs commencent à douter de l'engagement pris par la Banque centrale européenne à relever comme annoncé ses taux d'un demi-point jeudi. Au quatrième trimestre, les sorties de fonds des clients ont atteint plus de 110 milliards de francs suisses. "Nous ne pouvons pas parce que nous dépasserions les 10% (au capital).

La Bourse de Paris a chuté de 3,58%, mercredi, sa pire séance depuis le mois de mars 2022.

Les actions avaient particulièrement bien résisté ces quatre derniers mois à la remontée des taux opérée par les banques centrales pour contenir une inflation forte et tenace mais l'incertitude s'est installée la semaine dernière après L'indice VIX, qui mesure la volatilité du marché, a bondi jusqu'à plus de 20% mercredi, témoignant de la nervosité des investisseurs. Les marchés américains évoluaient dans le rouge : le Dow Jones reculait de 1,77%, l'indice Nasdaq de 0,95% et l'indice élargi S&P 500 de 1,56% peu après la clôture européenne.

La deuxième banque suisse attend un soutien public de la Banque nationale suisse et du superviseur bancaire, la Finma. Son titre a chuté jusqu'à 30 % en ...

« Contrairement à UBS, qui avait été sauvé par le gouvernement pendant la crise financière, Credit Suisse n'a pas de problème de capital ou d'actifs toxiques, mais un problème de confiance, selon un expert du secteur. Les déclarations du président de la Saudi National Bank interviennent après la décision du fonds Harris Associates, qui était encore le principal actionnaire de Credit Suisse avec 10 % du capital en 2022, de céder début mars l'intégralité de ses titres. « La décollecte résonne pour le marché avec les difficultés de SVB, les grands clients de banque privée nécessairement s'interrogent sur la pertinence de laisser leurs fonds, selon un banquier d'affaires. « En cas de besoin, la Banque nationale suisse mettra des liquidités à la disposition de Crédit Suisse », ont fait savoir, ce mercredi soir dans un communiqué commun la banque centrale et le superviseur helvétique, la Finma. Des faiblesses qui l'avaient incité, quelques jours plus tôt, à décaler la publication de son rapport annuel suite à une demande in extremis du gendarme boursier américain, la SEC. [tout le secteur bancaire](https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/svb-la-bourse-de-paris-plonge-dans-le-rouge-emportee-par-la-chute-des-valeurs-bancaires-1915808) , déjà éprouvé depuis plusieurs jours par la faillite de SVB. Credit Suisse tente de se relever depuis deux ans d'une série de scandales - dont la débâcle du hedge fund Archegos ou la faillite de la fintech Greensill - qui lui ont coûté des milliards et ont terni sa réputation. Cela signifie que nous opérons selon les normes les plus élevées en ce qui concerne le capital, le financement, la liquidité. Le dirigeant saoudien a néanmoins précisé, dans une autre interview accordée à Reuters, qu'il « ne pensait pas que la banque avait besoin d'argent frais ». Affichant des actifs de 755 milliards de francs suisses, Credit Suisse représente un risque « pour tout le système financier », souligne une source proche du dossier. Le ministre des Finances français, Bruno Le Maire, s'était entretenu dans l'après-midi avec son homologue suisse, Karin Keller-Sutter, après avoir fait un point avec le gouverneur de la Banque de France. Il a fini en baisse de 24 % à la clôture, à son plus bas historique.

Après une brève accalmie mardi, les marchés européens sont de nouveau dans la tourmente ce mercredi, cinq jours après la faillite de la banque américaine ...

On est à hauteur de 60 milliards d'euros. [la faillite de la Silicon Valley Bank](https://www.europe1.fr/economie/faillite-svb-faut-il-craindre-une-crise-financiere-mondiale-4171976) et de plusieurs petits établissements américains, certaines banques françaises ont connu un dévissage historique ce mercredi. "Quand on regarde la capitalisation boursière de Credit Suisse, je crois qu'on est à peu près à 7 milliards d'euros. En l'espace d'un an, la valeur de son action a été divisée par quatre. Cet établissement saoudien a en effet indiqué qu'il n'augmenterait pas son soutien au Credit Suisse en cas de difficultés. [le risque de propagation](https://www.europe1.fr/international/faillite-svb-pas-de-risque-de-contagion-des-banques-en-france-assure-bruno-le-maire-4171881) est assez faible.

La banque centrale et le gendarme des marchés financiers suisses ont affirmé que le Credit Suisse satisfaisait aux exigences en matière de capital et de ...

"Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance systémique. "La Finma est en contact très étroit avec la banque et dispose de toutes les informations pertinentes du point de vue du droit de la surveillance", souligne encore le communiqué commun. En cas de besoin, la BNS mettra des liquidités à la disposition du Credit Suisse", affirment la BNS et la Finma dans un communiqué commun.

Une déclaration d'un actionnaire de Credit Suisse a mis le feu au poudre, dans un contexte bancaire tendu après la faillite de trois banques américaines.

Credit Suisse « n'est pas une banque au bord de la faillite, loin de là », affirme Guillaume Larmaraud. « C'est très frais dans les esprits et ça crée des réflexes » de prudence chez les investisseurs. Credit Suisse « est un sujet d'inquiétude bien plus grand pour l'économie mondiale que les banques régionales américaines », explique dans une note l'analyste de Capital Economics Andrew Kenningham. Quand celle-ci s'érode commencent des mouvements de panique », note de son côté le gérant chez Tikehau Capital Thibault Douard, interrogé par l'AFP. [Credit Suisse](/tags/credit-suisse), a expliqué au micro de Bloomberg TV qu'il ne comptait « absolument pas » augmenter sa participation dans la banque. Une première « déclaration maladroite » a mis le feu aux poudres, explique à l' [AFP](/tags/afp) le directeur des investissements d'Axiom Alternative Investments David Benamou, « dans un contexte déjà très tendu ».

La Première ministre Elisabeth Borne a commenté la situation du Crédit suisse, très fragilisé par la crise bancaire. Elle a assuré que Bruno Le Maire, ...

En cas de crise, la Suisse menace de passer à l’acte unilatéralement. Il doit être réglé par elles », a-t-elle indiqué en précisant aussi que le ministre français de l’Économie, [Bruno Le Maire](https://www.lejdd.fr/Tags/Bruno-Le-Maire), « aurait un contact avec son homologue suisse dans les prochaines heures ». Elle a assuré que Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie, allait avoir « un contact avec son homologue suisse dans les prochaines heures ». Il a notamment déclaré qu’il ne comptait « absolument pas » investir dans la banque suisse davantage que lorsqu’il est entré dans son capital en novembre 2022. Perçu comme le maillon faible du secteur bancaire helvétique, voire européen, le cours de l’action du Crédit suisse a déjà perdu jusqu’à 30 % de sa valeur, pour toucher un nouveau plancher historique à 1,55 franc suisse. Alors que le marché américain s’est aussi montré fébrile ces derniers jours avec la faillite annoncée de la banque californienne

Après la défaillance de la banque américaine SVB, la situation financière de l'établissement suisse a provoqué un nouveau début de panique sur les marchés.

Dans la soirée les autorités bancaires suisses ont fini par sortir du bois : «en cas de besoin» la banque centrale suisse (BNS) «mettra des liquidités à la disposition du Credit suisse», ont affirmé cette dernière et le superviseur helvétique dans un communiqué commun. Dans le cas de la banque Credit suisse, qui s’est écroulée en Bourse mercredi, le silence des autorités suisses n’est pas passé inaperçu. Le département au Trésor américain a fait savoir qu’il surveillait la situation, en lien avec ses homologues des autres pays.

Le groupe bancaire zurichois affichait à la fin de l'année dernière un ratio de fonds propres durs (Tiers 1) de 14,1%, contre 12,6% fin septembre. Le ratio d' ...

Fin octobre 2022, Credit Suisse avait annoncé un vaste plan de relance comprenant une "restructuration radicale" de sa banque d'affaires et une réduction des coûts se soldant par 9000 emplois supprimés. Le groupe bancaire zurichois affichait à la fin de l'année dernière un ratio de fonds propres durs (Tiers 1) de 14,1%, contre 12,6% fin septembre. Le ratio d'endettement (CET1) était lui à 5,4%, en hausse par rapport aux 4,1% de fin septembre.

Credit Suisse s'effondre en Bourse et entraîne dans son plongeon toutes les banques européennes. Comment expliquer un tel vent de panique?

La Bourse de New York a fini mercredi en ordre dispersé alors que les turbulences connues par Credit Suisse ont ravivé les craintes d'une crise du secteur ...

Si le Dow Jones et le S&P-500 ont effacé une partie de leurs pertes, seul le Nasdaq est toutefois revenu dans le vert, à la marge. Les bénéfices sont au rendez-vous, les records aussi. Quels sont les autres catalyseurs pour la hausse du marché ? NEW YORK, 15 mars (Reuters) - La Bourse de New York a fini mercredi en ordre dispersé alors que les turbulences connues par Credit Suisse ont ravivé les craintes d'une crise du secteur bancaire, faisant oublier la perspective que la Réserve fédérale (Fed) procède à une hausse des taux moins forte qu'attendu après des indicateurs moroses. Une étude distincte a indiqué que les prix à la production ont chuté de manière inattendue le mois dernier, offrant un motif d'espoir dans la lutte contre l'inflation, au lendemain de données montrant une décélération des prix à la consommation. La Bourse de New York a fini mercredi en ordre dispersé alors que les turbulences connues par Credit Suisse ont ravivé les craintes d'une crise du secteur bancaire.

Credit Suisse a annoncé jeudi un emprunt à court terme de jusqu'à 50 milliards de francs suisses à la banque centrale du pays, au lendemain d'une journée ...

La deuxième banque suisse a annoncé qu'elle allait emprunter plusieurs milliards de francs suisses pour "renforcer le groupe", qui accumule les revers.

Depuis mars 2021, l'action a perdu plus de 83% de sa valeur. Le groupe, l'une des 30 banques dans le monde considérées comme trop grosses pour faire faillite, ne valait plus qu'un peu moins de 6,7 milliards de francs suisses en Bourse. Crédit Suisse a annoncé jeudi qu'il allait emprunter jusqu'à 50 milliards de francs suisses (50,6 milliards d'euros) à la banque centrale helvétique pour "renforcer" le groupe,

Alors que la Silicon Valley Bank fait faillite aux États-Unis, la menace d'une crise financière se rapproche en Europe. La crise bancaire en cours chez les ...

C'est la pire chute de son histoire. Ce manque de soutien de l'actionnaire saoudien a tout à coup affolé les marchés financiers. Ainsi, de l'autre côté des Alpes, le Crédit Suisse s'effondre.

La FINMA et la banque centrale suisse ont déclaré qu'il n'y avait aucune indication d'un risque direct de contagion des turbulences du marché bancaire américain ...

Les paris sur une forte hausse des taux d'intérêt de la Banque centrale européenne lors de la réunion de jeudi se sont également rapidement évaporés, la déroute du Crédit suisse ayant ravivé les craintes concernant la santé du secteur bancaire européen. Dans un communiqué commun publié mercredi, l'autorité de régulation financière suisse FINMA et la banque centrale du pays ont tenté d'apaiser les craintes des investisseurs à l'égard du Credit Suisse, en déclarant qu'il "satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance hystérique". L'annonce de la banque, tôt dans la matinée en Europe, a permis d'atténuer certaines de ces pertes, même si les échanges ont été volatils.

Credit Suisse s'est effondré en Bourse mercredi, touché par les inquiétudes du secteur bancaire liées à la faillite de la banque américaine SVB et après que ...

[À la différence de SVB](https://www.france24.com/fr/éco-tech/20230313-faillite-de-la-silicon-valley-bank-une-panique-dopée-aux-réseaux-sociaux), Credit Suisse fait partie des 30 banques mondiales considérées comme trop grosses pour qu'on les laisse faire faillite, ce qui lui impose une réglementation plus stricte pour pouvoir tenir le choc en cas de difficulté. Pour la BNS et la Finma, "les turbulences actuelles sur le marché bancaire américain ne suggèrent pas qu'il existe un risque de contagion directe pour les établissements suisses". Les Saoudiens ont volé au secours de la banque en entrant à son capital en novembre. Credit Suisse s'est effondré en Bourse mercredi, touché par les inquiétudes du secteur bancaire liées à la faillite de la banque américaine SVB et après que son principal actionnaire a exclu de le sauver en cas de difficultés. Mercredi, le titre Credit Suisse a chuté de 24,24 % à la clôture. "Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance systémique.

Le titre de la banque nationale suisse s'est effondré en Bourse.

« La pression sur Credit Suisse a touché un marché déjà nerveux », a réagi Jane Foley, analyste de Rabobank, auprès de l’AFP. « Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d’importance systémique. Mercredi, le titre Credit Suisse a chuté de 24,24 % à la clôture. « Ces mesures constituent une action décisive pour renforcer le Credit Suisse alors que nous poursuivons notre transformation stratégique afin d’apporter de la valeur à nos clients et aux autres parties prenantes », a déclaré le directeur général de la banque, Ulrich Körner, cité dans un communiqué. Le géant bancaire helvétique a annoncé ce jeudi un emprunt à court terme de jusqu’à 50 milliards de francs [suisses](https://www.20minutes.fr/dossier/suisse) à la [banque centrale](https://www.20minutes.fr/dossier/banque_centrale) du pays, . Les yeux - inquiets - sont désormais tournés vers le Crédit Suisse [au lendemain d’une journée cauchemardesque](https://www.20minutes.fr/economie/4028126-20230315-crise-bancaire-regulateurs-secteur-bancaire-rassurants-propos-credit-suisse-apres-journee-noire) pour la deuxième banque du pays qui s’est effondrée en [Bourse](https://www.20minutes.fr/economie/bourse/).

Credit Suisse a annoncé, ce jeudi, un emprunt à court terme de jusqu'à 50 milliards de francs suisses à la banque centrale du pays, au lendemain d'une ...

Mercredi, le titre Credit Suisse a chuté de 24,24 % à la clôture. « Ces mesures constituent une action décisive pour renforcer le Credit Suisse alors que nous poursuivons notre transformation stratégique afin d’apporter de la valeur à nos clients et aux autres parties prenantes », a déclaré le directeur général de la banque, Ulrich Körner, cité dans un communiqué. [ clôturant en baisse de 24,24 % à 1,697 franc suisse](https://www.letelegramme.fr/economie/bourse-des-banques-europeennes-dont-bnp-paribas-et-societe-generale-chutent-de-plus-de-10-15-03-2023-13297355.php), après un mouvement de panique sur le titre suite à des propos de son premier actionnaire.

Après la défaillance de la banque américaine SVB, la situation financière de l'établissement suisse a provoqué un nouveau début de panique sur les marchés.

Le département au Trésor américain a fait savoir qu’il surveillait la situation, en lien avec ses homologues des autres pays. Le groupe, l’une des 30 banques dans le monde considérées comme trop grosses pour faire faillite, ne valait plus qu’un peu moins de 6,7 milliards de francs suisses en Bourse. Les autorités helvètes ont été pointées du doigt toute la journée.

Le refus de son principal actionnaire d'investir plus pour soutenir la banque en difficulté depuis deux ans avait précipité une chute historique de son ...

Mardi, Credit Suisse avait reconnu des "faiblesses substantielles" dans ses contrôles internes. Victimes d'un effet domino, les valeurs bancaires européennes s'étaient effondrées de plus de 10% pour Deutsche Bank, Commerzbank, Société Générale, BNP Paribas, Banco Sabadell et Banca Monte dei Paschi. Credit Suisse compte emprunter jusqu'à 50 milliards d'euros à la banque centrale, après sa dégringolade en Bourse

Dans l'affolement général suite à l'effondrement de la Silicon Valley Bank, Crédit suisse s'est effondré à 24,24% à la clôture. La banque helvétique a ainsi ...

- Entreprises et marchés Début février, Crédit Suisse avait dévoilé une perte nette de 7,3 milliards de francs suisses (près de 7,4 milliards d'euros) pour l'exercice 2022 et avait prévenu s'attendre encore à une perte avant impôts "substantielle" en 2023. Mais si Credit Suisse venait à se trouver face à des "problèmes existentiels", alors "nous serions face à quelque chose d'une toute autre dimension", a souligné Neil Wilson, analyste à Finalto dans un commentaire de marché. Les investisseurs restaient jeudi matin inquiets, les Bourses asiatiques ouvrant en forte baisse dans le sillage du dévissage la veille des places européennes - Paris perdant mercredi soir 3,58% et Londres 3,83%, signant leur pire séance depuis mars 2022. "Nous remplissons et dépassons pratiquement toutes les exigences réglementaires", a-t-il renchéri, ajoutant: "notre capital, notre base de liquidité est très très solide". Mais au regard du droit suisse, le gendarme des marchés, la Finma, devrait se prononcer si elle franchissait le seuil des 10%. [>> Achetez et vendez vos placements (Bourse, cryptomonnaies…) au bon moment grâce à Momentum, la lettre d’investissement et newsletter premium de Capital basée sur l’analyse technique, économique et financière. Pour la BNS et la Finma, "les turbulences actuelles sur le marché bancaire américain ne suggèrent pas qu'il existe un risque de contagion directe pour les établissements suisses". "Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance systémique. "Ces mesures constituent une action décisive pour renforcer le Crédit Suisse alors que nous poursuivons notre transformation stratégique afin d'apporter de la valeur à nos clients et aux autres parties prenantes", a déclaré le directeur général de la banque, Ulrich Körner, cité dans un communiqué. Mercredi, le titre Crédit Suisse a chuté de 24,24% à la clôture. La banque helvétique a ainsi annoncé un emprunt de 50 milliards de francs suisses ce jeudi 16 mars et tente de rassurer après une journée noire.

La Bourse de Paris devrait reprendre des couleurs après la décision de Credit Suisse d'emprunter 50 milliards de francs auprès de la banque centrale suisse.

Le communiqué de la BCE sera publié à 14h15. Elle ajoute que « la BCE aura la tâche difficile d’être la première grande banque centrale à décider de ce qu’il faut faire face à la crise bancaire. Il est difficile de présumer quel sera le choix de la BCE alors que la révision en hausse de l’inflation en France le mois dernier plaide pour une hausse des taux de 50 points de base. Il a en effet tenu à préciser qu’il n’y avait eu aucune discussion entre Saudi National Bank et Credit Suisse sur une quelconque demande d’assistance de la part de ce dernier. La Banque centrale européenne sera d’ailleurs la première à rendre une décision monétaire depuis la faillite de trois banques régionales américaines. [La décision de Credit Suisse d’emprunter jusqu’à 50 milliards de francs suisses auprès de la banque centrale helvète](https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/credit-suisse-va-emprunter-jusqua-50-mds-de-francs-suisses-aupres-de-la-banque-centrale-suisse-1916233) semble pour l’instant avoir rassuré les marchés financiers.

Credit Suisse rebondit de 20 % à la Bourse de Zurich jeudi. Dans la nuit, la banque a annoncé emprunter 50 milliards de francs suisses à la banque centrale ...

[faillite de la Silicon Valley Bank](https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/comprendre-la-tempete-provoquee-par-la-chute-de-svb-en-7-points-1914802) (SVB) vendredi 10 mars. La banque helvétique rebondit de 20 % à la Bourse de Zurich. De fait, la panique a cédé la place à un calme relatif sur les Bourses européennes. [Un drone américain de type Reaper MQ-9 a été intercepté par la Russie au-dessus de la mer Noire. La BNS et le gendarme des marchés financiers suisses avaient assuré le groupe de leur soutien mercredi soir. « Ces liquidités supplémentaires soutiendront les activités principales du Credit Suisse et ses clients, alors que le Credit Suisse prend les mesures nécessaires pour créer une banque plus simple et plus ciblée, axée sur les besoins des clients », a déclaré la deuxième banque suisse dans un communiqué. [plongé en Bourse mercredi](https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/credit-suisse-plonge-de-plus-de-20-en-bourse-1915949) , après les déclarations de son principal actionnaire, la Banque nationale Saoudienne, qui a écarté toute nouvelle injection de capital. Mais la faillite de plusieurs banques américaines et les déboires boursiers de Credit Suisse ont remis en question ces prédictions. Credit Suisse a annoncé cette nuit emprunter 50 milliards de francs suisses à la banque centrale, de quoi rassurer les investisseurs. Son titre a rebondi d'environ 40 % à la Bourse de Zurich avant de réduire ses gains. Credit Suisse rebondit de 20 % à la Bourse de Zurich jeudi. Les marchés sont maintenant suspendus aux annonces de la Banque centrale européenne, qui pourrait modérer son tour de vis pour apaiser les tensions dans le secteur bancaire.

Credit Suisse a annoncé ce jeudi 16 mars 2023 un emprunt à court terme de jusqu'à 50 milliards de francs suisses à la banque centrale du pays.

Début février, Credit Suisse avait dévoilé une perte nette de 7,3 milliards de francs suisses (près de 7,4 milliards d’euros) pour l’exercice 2022 et avait prévenu s’attendre encore à une perte avant impôts « substantielle » en 2023. Les investisseurs s’inquiètent en effet du risque de contagion après la faillite de la banque américaine SVB. Mercredi, le titre Credit Suisse a chuté de 24,24 % à la clôture. « Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d’importance systémique. Credit Suisse a annoncé ce jeudi 16 mars 2023 un emprunt à court terme de jusqu’à 50 milliards de francs suisses à la banque centrale du pays. « Ces mesures constituent une action décisive pour renforcer le Credit Suisse alors que nous poursuivons notre transformation stratégique afin d’apporter de la valeur à nos clients et aux autres parties prenantes », a déclaré le directeur général de la banque, Ulrich Körner, cité dans un communiqué.

Le titre du Credit Suisse a rebondi de 30 %, ce jeudi matin, en ouverture de séance. Alors que la veille, l'action avait essuyé la pire séance de son ...

La banque centrale s’était alors dite prête à laisser Credit Suisse accéder à des liquidités « en cas de besoin ». L’action a perdu jusqu’à 30 % de sa valeur durant la séance, touchant un nouveau point bas historique à 1,55 franc suisse, pour finalement clôturer en baisse de 24 %. Un franchissement de seuil au-delà de 10 % impliquerait d’obtenir l’aval de la Finma, l’autorité de surveillance des marchés en Suisse. Elles sont plus élevées pour des banques comme Credit Suisse dans la mesure où il s’agit d’une banque dite d’importance « systémique ». Tout a commencé mercredi matin avec une déclaration du président de la banque saoudienne. Jeudi, à l’ouverture de la séance, le titre Credit Suisse bondissait de plus de 30 % dans un fort volume d’échanges.

Le groupe suisse, l'une des plus grandes banques européennes, traverse une mauvaise passe depuis plusieurs années. Les déclarations du principal actionnaire ...

Crédit Suisse, actif dans une cinquantaine de pays dans le monde, cumule des activités de banque d'investissement, de banque privée (plus concrètement, une banque réservée aux grandes fortunes) et de gestion d'actifs, c'est-à-dire la gestion des investissements des personnes fortunées. On retrouve également le géant américain de la gestion d'actifs Blackrock (4,07%). La banque, l'une des plus grandes à l'échelle européenne, emploie 45.000 personnes dans le monde à l'heure actuelle et comptait 1294 milliards de francs suisses (1331,4 milliards d'euros) d'actifs sous gestion fin 2022.

La Banque nationale suisse va prêter 50 milliards de francs au Credit suisse, après avoir dévissé mercredi. Une fusion avec UBS est aussi dans les tuyaux.

Pas seulement par la [Suisse](/tags/suisse), car la faillite du Credit suisse pourrait entraîner une crise financière internationale. La Banque nationale suisse vient pourtant d'accepter de prêter 50 milliards de francs suisses (51 milliards d'euros) au Credit suisse. Mais contrairement à la Silicon Valley Bank (SVB), petite banque spécialisée américaine, l'ancien géant zurichois, fondé en 1856, est jugé « too big to fall » (« trop grande pour faire faillite »).

L'euro s'est installé de nouveau sous la parité et s'établit à 0,98 franc suisse jeudi. La Banque nationale suisse met 50 milliards de francs suisses à la ...

Le Credit Suisse s'est tourné en urgence vers la Banque nationale suisse. La Banque nationale suisse met 50 milliards de francs suisses à la disposition du Credit Suisse. L'euro s'est installé de nouveau sous la parité et s'établit à 0,98 franc suisse jeudi.

Le Crédit Suisse a vu le cours de son action brutalement dévisser mercredi, après les déclarations inquiétantes de son principal actionnaire, la Banque ...

Jeudi, à l'ouverture de la séance, le titre Crédit Suisse bondissait de plus de 30% dans un fort volume d'échanges. Beaucoup de clients de la deuxième banque du pays sont du même avis, "ce n'est pas la peine de s'inquiéter". Même si ce n'est pas notre banque, on est sous le choc et pour tout dire, un peu tendu..." "Moi, je reste confiante parce que c'est une banque suisse, c'est quand même aussi une grande banque. Le Crédit Suisse est une véritable institution au sein de la Confédération Helvétique, la deuxième banque du pays. Le [Crédit Suisse](https://www.europe1.fr/economie/faillite-de-la-svb-les-difficultes-de-credit-suisse-font-paniquer-les-bourses-europeennes-4172399) a vu le cours de son action brutalement dévisser mercredi, après les déclarations inquiétantes de son principal actionnaire, la Banque nationale d'Arabie Saoudite.

L'action Credit Suisse a rebondi jeudi en Bourse après une chute historique mercredi. Le cours de la banque est particulièrement scruté alors qu'une ...

Les déboires de Credit Suisse en Bourse inquiètent alors que l’établissement détient plus de 1 300 milliards d’euros d’actifs. La banque nationale suisse a annoncé un prêt pour soutenir cette banque d’importance systémique ou « too big to fail ». La banque centrale s’était alors dite prête à laisser Crédit Suisse accéder à des liquidités « en cas de besoin ». L'ANTISÈCHE – Le Crédit suisse a connu un effondrement en bourse historique -24,24 %, mercredi 15 mars. De son côté, la BCE a tranché jeudi en faveur d'une nouvelle hausse de ses principaux taux directeurs de 0,50 point de pourcentage, alors que les secousses boursières qui affectent le secteur bancaire depuis plusieurs jours auraient pu l'inciter à modérer son tour de vis. Une source proche du dossier souffle après les événements de la veille, et notamment une interview du président de la Saudi National Bank, Ammar al-Khudairy, qui a mis le feu aux poudres.

Les autorités bancaires suisses ont dû voler au secours du géant bancaire Credit Suisse, dont l'effondrement en Bourse risquait de faire boule de neige.

La banque centrale suisse (la BNS) et le gendarme des marchés financiers (la Finma) sortent de leur silence et assurent Credit Suisse de leur soutien. En cas de besoin, la BNS mettra des liquidités à la disposition du Credit Suisse », indiquent-ils dans un communiqué commun. Credit Suisse annonce un emprunt à court terme pouvant atteindre jusqu’à 50 milliards de francs suisses, auprès de la banque centrale du pays. [Pourquoi la faillite de la banque SVB est une sérieuse alerte… La Banque nationale saoudienne avait volé au secours de Crédit Suisse en entrant à son capital, en novembre, devenant son premier actionnaire, avec 9,8 % du capital. Credit Suisse est également mise en cause pour des prêts à [des oligarques russes, malgré les sanctions internationales](https://www.liberation.fr/economie/prets-aux-oligarques-le-credit-suisse-demande-a-des-investisseurs-de-detruire-certains-documents-compromettants-20220302_LWY4ASUM3JDPXM65RTTPDNFBAI/). Notamment les pertes importantes enregistrées lors de la faillite de la société financière britannique Greensill, en mars 2021. [le soutien apporté par la Banque centrale suisse (BNS)](https://www.ouest-france.fr/economie/banques-finance/la-banque-credit-suisse-tente-de-rassurer-apres-une-journee-noire-1b3a175c-c3cf-11ed-9add-012db42d5c37) éloigne le risque d’une crise « systémique » faisant basculer une à une les banques européennes. [une amende pour blanchiment aggravé de fraude fiscale en France](https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/10/24/blanchiment-de-fraude-fiscale-credit-suisse-paie-238-millions-d-euros-pour-eviter-un-proces-en-france_6147103_3224.html). Basé à Zürich, Credit Suisse est dans la tourmente depuis des années. Credit Suisse est devenu le « maillon faible » du système bancaire suisse, naviguant de scandale en scandale. Le scénario noir de la contagion bancaire, comme lors de la crise de 2008, est-il pour autant écarté ?

Pour contrer l'inflation, la Banque centrale européenne (BCE) doit annoncer ce jeudi 16 mars la nouvelle hausse des taux d'un demi-point.

Qualifié d'"aspirateur monétaire" par l'économiste Ludovic Subran, expert chez Allianz, cet outil est particulièrement sensible au moment où les banques européennes ne doivent pas manquer de liquidités et où planent les risques d'accidents financiers. Il reviendra à présidente de la BCE, Christine Lagarde, de peser chaque mot de sa communication sur l'évolution future des taux. La situation "ne devrait pas dissuader la BCE d'augmenter les taux d'intérêt de 50 points de base supplémentaires, en raison de l'inflation obstinément élevée", assure cependant, à l'instar de nombreux experts, Agnese Ortolani, analyste à Economist Intelligence Unit (EIU). Ces remous compliquent la décision des gardiens de l'euro qui veulent lutter contre l'inflation persistante sans déstabiliser davantage les marchés financiers. L'inquiétude est remontée d'un cran mercredi avec la chute sans précédent de l'action du Credit Suisse, géant bancaire helvétique, qui a entraîné dans son sillage les valeurs européennes. Pour contrer l'inflation, la Banque centrale européenne (BCE) doit annoncer ce jeudi 16 mars la nouvelle hausse des taux d'un demi-point.

Face à la dérive financière de SVB et du Crédit Suisse, la BCE va-t-elle tout de même rehausser ses taux directeurs comme prévu ce 16 mars ?

[la chute de la SVB (Silicon Valley Banque)](https://www.selexium.com/actualites/faillite-svb-chute-banques/), c’est désormais le Crédit Suisse qui décroche et tombe dans le rouge. À l’heure où la BCE (Banque Centrale Européenne) allait remonter ses taux directeurs, le timing tombe mal. Ainsi, si la prévision d’une complète sortie de route ne semble donc pas à l’ordre du jour, la BCE doit tout de même se montrer vigilante. Un bien pour les banques traditionnelles, un mal pour les emprunteurs et les banques commerciales. Va-t-elle tout de même relever ses taux de 0,5 points tel qu’elle l’avait prévu pour ce 16 mars ? Le Crédit Suisse a entrainé dans sa dégringolade les principales banques européennes et la quasi totalité des places financières du globe. La BCE se retrouve face à un dilemme et un défi de grande ampleur. Le Crédit Suisse est-il en faillite ? C’est dans cette logique que le Crédit Suisse a annoncé ce jeudi qu’il allait emprunter 50,7 milliards d’euros pour se redresser. Ce jeudi 16 mars, la BCE s’apprêtait à relever ses taux d’un demi point, afin de poursuivre sa politique monétaire contre l’inflation. Va-t-elle tout de même rehausser ses taux directeurs ? Mais c’était sans compter la faillite de SVB et la dérive du Crédit Suisse.

La banque Credit Suisse va pouvoir s'accrocher à la bouée de sauvetage lancée par la banque centrale suisse pour mener à bien sa restructuration mais les ...

Je pense que la société va être dépecée et vendue à ses concurrents dans les prochains mois", analyse Stéphane Cléchat, cofondateur d'une banque d'affaires spécialisée dans la technologie. Pourtant, il n'atteste pas que la banque suisse, la deuxième du pays, soit totalement sorti d'affaire : "La banque elle-même n'ira pas en faillite. La Banque centrale suisse est sorti de son silence, mercredi soir, pour affirmer que Credit Suisse répondait bien aux exigences de la réglementation bancaire.

Après la grosse frayeur d'hier, la Bourse (CAC 40) reprend du gallon alors que le Crédit suisse emprunte 50 milliards de francs suisses pour rester à flot.

- Entreprises et marchés "La Banque centrale européenne a la tâche compliquée d'être la première banque centrale à décider quoi faire dans cette crise bancaire", souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank. [>> Découvrez Momentum, la lettre d’investissement et newsletter premium de Capital consacrée à la Bourse et à l’investissement. Depuis l'effondrement de plusieurs banques régionales américaines la semaine dernière, la nervosité s'est propagée sur les marchés financiers. La veille, l'indice [CAC 40](https://www.capital.fr/entreprises-marches/cac-40-1378868) a dévissé de 3,58%, signant sa pire séance depuis mars 2022. De quoi déstabiliser la BCE, qui doit quant à elle trancher sur une nouvelle hausse des taux d'un demi-point pour combattre l'inflation.

Après un plongeon record, le cours de son action s'est néanmoins redressé jeudi, grâce à l'intervention rapide de la Banque centrale suisse (BNS). Mais selon ...

- Entreprises et marchés Cela aurait le même poids vis-à-vis des marchés que cette couverture à hauteur de 50 milliards. Il y avait déjà eu un cas dans le passé, avec UBS. C’est un jeu de confiance et de poker avec les investisseurs. Cela montre que ses dirigeants ont pris la mesure des chantiers à mener. Mais selon Guillaume Larmaraud, associé en charge des services financiers chez Colombus Consulting, le Credit suisse ne risque pas la faillite.