Ce phénomène a été décelé, en octobre 2021, dans le parc nucléaire d'EDF, à proximité de soudures sur des portions de tuyauterie en acier inoxydable. Cela ...
« EDF va donc devoir (…) contrôler un peu plus largement ses tuyauteries susceptibles d’être concernées », a précisé la n°2 de l’IRSN. Cela ne veut pas dire que ce défaut ne peut pas apparaître ailleurs », a mis en garde le patron de l’ASN. « On était donc assez proche d’une fuite », a assuré à France info Karine Herviou, directrice générale adjointe de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
Une fissure importante a été découverte sur une tuyauterie du réacteur n°1 de la centrale de Penly, près de Dieppe, affectant le système de sécurité.
Le réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Penly va donc rester à l’arrêt. A cause de cette fissure, la résistance de la tuyauterie se fragilise. Cette fissure pourrait être due à la construction du réacteur.
Une fissure d'ampleur a été découverte par EDF sur l'un de ses réacteurs nucléaires de la centrale de Penly (Seine-Maritime). Un "sujet sérieux" qui "pose ...
"Il y a eu une approche qui n'est pas acceptable, qui a consisté un peu à forcer les tuyauteries pour les aligner pour les souder, et il y a eu sur cette soudure des défauts qui ont conduit à une deuxième réparation". Ce ne sont pas des micro-fissures. "Il y a eu un élément nouveau ces dernières semaines qui est la découverte d'une fissuration de corrosion sous contrainte sur un des circuits du réacteur de Penly 1, qui a une taille très importante puisqu'elle fait 23 mm pour une épaisseur totale de 27", a dit Bernard Doroszczuk à propos de cette anomalie rapportée mardi.
Une fissure profonde avec "un risque de fuite" a été découverte sur un circuit de secours d'un réacteur à l'arrêt. L'Autorité de sécurité nucléaire deman...
"Ce qui est nouveau, c’est la profondeur de la fissure, soit 85 % de l’épaisseur du tuyau, et le facteur explicatif lié à cette notion de double réparation lors d’une opération de réalignement de circuits", indique à l’Agence France Presse Yves Marignac, expert en énergie et membre des groupes permanents d’experts de l’ASN. Les premières fissures issues de la corrosion sous contrainte ont ainsi été découvertes pour la première fois à Civaux, dans la Vienne, à l’automne 2021. [du réacteur", ](https://www.lexpress.fr/environnement/centrales-nucleaires-prolonger-leur-duree-de-vie-jusqua-80-ans-est-ce-bien-raisonnable-ZOAQNXDFWNF6NOM72T23ADURC4/)souligne l’ASN dans sa note d’information. [Contexte,](https://www.contexte.com/) une note d’EDF publiée le 24 février indique avoir décelé sur le site de Penly 1, en Seine-Maritime, un "défaut significatif de corrosion sous contrainte", sur une conduite de secours servant à refroidir le réacteur en cas d’urgence. Il est dû à ce que l’on appelle un mécanisme de "corrosion sous contrainte", qui apparaît sous l’effet de plusieurs facteurs concomitants dont l’utilisation d’un matériau sensible et la présence d’un milieu chimique favorable. Un problème visiblement persistant dans le parc EDF, qui a contraint [l’autorité de sûreté nucléaire (ASN)](https://www.lexpress.fr/environnement/centrales-nucleaires-prolonger-leur-duree-de-vie-jusqua-80-ans-est-ce-bien-raisonnable-ZOAQNXDFWNF6NOM72T23ADURC4/) à demander à EDF de "réviser sa stratégie" pour résoudre ces problèmes récurrents.
Alors qu'EDF estimait, fin 2022, être « sorti de la situation de crise concernant la corrosion sous contrainte » et être entré « dans une phase d' ...
Alors qu’EDF estimait, fin 2022, être « sorti de la situation de crise concernant la corrosion sous contrainte » et être entré « dans une phase d’industrialisation et de standardisation » des réparations, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a demandé à l’électricien, mardi 7 mars, de « réviser sa stratégie ». L’exploitant, comme l’ASN, estime que la présence de corrosion pourrait s’expliquer par la double réparation dont la tuyauterie a fait l’objet lors la construction du réacteur. Le « gendarme » du nucléaire ajoute que sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm.
Une fissure d'une taille importante a été découverte sur un circuit RIS du réacteur 1 de Penly dans le cadre de la surveillance du phénomène de corrosion ...
« Cela ne supprime pas la stratégie initiale (de contrôle des CSC) mais cela ajoute un point de contrôle quand des réparations spécifiques ont été effectuées ». C’est-à-dire comme un incident, là où l’ensemble des cas de CSC sur le reste du parc était limité au niveau 1, c’est-à-dire des anomalies. Une fissure d’une taille importante a été découverte sur un circuit RIS du réacteur 1 de Penly dans le cadre de la surveillance du phénomène de corrosion sous contrainte. L’électricien indiquait alors que la fissure avait été détectée au niveau d’une « soudure doublement réparée lors du premier montage du circuit à la construction ». « La fissure s’étend sur 155 mm, soit environ le quart de la circonférence de la tuyauterie, et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm », indique l’ASN. L’événement touche une soudure qui a connu une double réparation lors de la construction du réacteur.
EDF a décelé une importante fissure à la centrale nucléaire de Penly, à côté de Dieppe, en Seine-Maritime. L'autorité de contrôle parle d'un problème ...
Cette fois-ci, la fissure est beaucoup plus importante. Une fissure profonde sur une soudure a été découverte sur le circuit de secours de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime). "Dans la mesure où on l'a découvert, maintenant on peut agir", relativise l'un d'eux.
La fissure a été détectée sur une canalisation qui doit pouvoir refroidir le réacteur en cas d'accident nucléaire. Les réacteurs de la centrale de Penly ...
En raison de ses conséquences potentielles et de l’augmentation de probabilité d’une rupture, l’ASN le classe au niveau 2 de l’échelle INES en ce qui concerne le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly et au niveau 1 pour les autres réacteurs concernés." Ce défaut sur un circuit de sécurité, aussi flagrant, remet en question la confiance. Le nom de Penly a acquis une renommée imprévue. "Heureusement, le réacteur est vide. Les problèmes de micro-fissures sur des tuyaux à cause de la corrosion étaient connus. Les réacteurs de la centrale de Penly sont actuellement à l'arrêt.
Une fissure d'ampleur a été découverte par EDF sur l'un de ses réacteurs nucléaires de la centrale de Penly (Seine-Maritime) mercredi.
Lorsqu’un réacteur est à l’arrêt, le coût est son manque de production. Il est très difficile de chiffrer le montant de cette opération. Le tuyau en question avait été retiré du circuit pour des tests mais maintenant, il va falloir le remplacer.
Nouveau coup dur pour EDF. Ce dernier a découvert une nouvelle fissure, inédite par sa profondeur et sa localisation, sur le réacteur no 1 de 1 300 mégawatts ( ...
« Mais comme le risque est également lié à des opérations de réalignement et de réparation, des réacteurs de 900 MW, qu’on considérait jusqu’à présent comme peu à risque, peuvent également être concernés », redoute l’expert. En 2022, la production nucléaire s’était établie à 279 térawattheures (TWh), le niveau de production le plus bas depuis plus de trente ans. « Nous confirmons pour 2023 la fourchette de production nucléaire de 300 à 330 TWh correspondant à une sortie progressive de ce phénomène de corrosion sous contrainte », avait-il néanmoins déclaré, plein d’optimisme. Le responsable serait cette fois-ci une double réparation visant à réaligner certains tuyaux, lors de la construction du réacteur, « ce qui est de nature à modifier ses propriétés mécaniques et les contraintes internes du métal au niveau de cette zone », juge l’ASN. Avec une vigilance particulière à l’égard des réacteurs de 1 300 MW, et notamment aux onze autres installations du palier P’4 — construits exactement sur le même modèle et à la même époque que Penly 1. Ça entraîne une contamination de l’ensemble de l’enceinte de confinement et ça met des années à être réparé. « Après la découverte du problème de corrosion sous contrainte, EDF a refait des calculs et démontré que le cœur pourrait être refroidi même si deux boucles étaient rompues. Qui alerte sur le risque de rupture du tuyau et de fuite au niveau du système de refroidissement principal du réacteur. Ce dernier a découvert une nouvelle fissure, inédite par sa profondeur et sa localisation, sur le réacteur no 1 de 1 300 mégawatts (MW) de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime). Deuxième fait inattendu, la fissure découverte à Penly 1 est située dans une zone qui était jusqu’à présent considérée comme « non sensible » par EDF. « Les défauts découverts jusqu’à présent étaient plutôt de l’ordre de 2 à 6 mm », rappelle à Reporterre Karine Herviou, directrice générale adjointe de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), chargée du pôle sûreté des installations et systèmes nucléaires. EDF l’a découverte en janvier, à l’occasion d’une expertise sur une soudure réalisée dans le cadre du programme de contrôle de corrosion sous contrainte.
[VIDÉO] ▶️ La découverte d'une fissure importante sur un réacteur de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime) va entraîner la prolongation d'arrêts ...
Il y a des systèmes de sûreté pour amener le réacteur dans un état sûr et refroidir le cœur du réacteur", indique Karine Herviou, directrice générale adjointe de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire. "En l'occurrence, une fuite resterait dans le bâtiment du réacteur, un bâtiment en béton. Sur un tuyau, comme le montre le reportage en tête d'article, dans le circuit de secours d'une profondeur de 23 millimètres.
Une large fissure a été détectée sur une canalisation de la centrale de Penly (Seine-Maritime), selon une note d'EDF publiée le 24 février, passée inaperçue ...
Cette nouvelle avarie se trouve "sur une ligne réputée non sensible, mais sur une soudure qui a fait l'objet de réparations importantes au moment de la construction" du réacteur. [>> Nucléaire : fissure découverte à la centrale de Penly, "c'est un problème sérieux" alerte l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire](/societe/nucleaire/nucleaire-fissure-decouverte-a-la-centrale-de-penly-c-est-un-probleme-serieux-alerte-l-institut-de-radioprotection-et-de-surete-nucleaire_5698238.html) Une fissure plus grande que prévu a été décelée par EDF à Penly 1 sur un tuyau de secours servant à inonder d'eau le réacteur en cas d'accident nucléaire.
Empêtré dans le problème de corrosion sous contrainte qui affecte des réacteurs, l'électricien devra contrôler plus vite que prévu environ 200 soudures.
Jusqu’à présent, c’est le « dessin » ou la « géométrie » des lignes de tuyauteries qui étaient mis en cause dans le phénomène de corrosion : des « contraintes » étaient générées dans les lignes longues avec beaucoup de tronçons horizontaux, mais pas dans les courtes. [par le site Contexte](https://www.contexte.com/actualite/energie/edf-decouvre-un-nouveau-defaut-significatif-de-corrosion-sous-contrainte-a-penly_164975.html) – sur un réacteur de Penly (Seine-Maritime) pourrait marquer un tournant dans ce dossier et met, encore un peu plus, l’électricien en difficulté. La fissure repérée un an plus tard sur le circuit d’injection de sécurité du même réacteur diffère toutefois largement de la précédente, et de celles observées dans d’autres centrales. A l’intérieur de cette tuyauterie circule de l’eau faiblement radioactive, qui refroidit le cœur du réacteur. », a insisté le président de l’Autorité de sûreté nucléaire, Bernard Doroszczuk, à l’occasion d’une audition devant la commission des affaires économiques du Sénat, mardi. Tout, sauf une simple fissure de plus.
Après la découverte d'une fissure de 15 centimètres sur une conduite de la centrale nucléaire de Penly près de Dieppe, l'Autorité de Sûreté Nucléaire évoque ...
"On peut vraiment se poser la question de la suite du fonctionnement des autres réacteurs français, s'ils sont vraiment dans un état de délabrement aussi avancé". Il y a une conduite qui est prévue pour éviter un accident plus grave", explique Karine Herviou, la directrice générale adjointe de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire. L'observatoire du nucléaire en France dénonce le "délabrement" des réacteurs français.
Tout ce qu'il faut savoir sur Revivez en images et en intégralité votre journal vidéo du jeudi 9 mars 2023, présenté par Thomas Dubois.
Sous-marin, village, mémorial : le « 7 minutes » #293 du 6 mars 2023](/id393924/article/2023-03-06/replay-video-sous-marin-village-memorial-le-7-minutes-293-du-6-mars-2023) Retraites, football, contestation: le «7 minutes» #294 du 7 mars 2023](/id394211/article/2023-03-07/replay-video-retraites-football-contestation-le-7-minutes-294-du-7-mars-2023) [REPLAY VIDÉO. Blocages, retraites, otage : le « 7 minutes » #295 du 8 mars 2023](/id394513/article/2023-03-08/replay-video-blocages-retraites-otage-le-7-minutes-295-du-8-mars-2023) [REPLAY VIDÉO.