Pendant le tournage de « Mon crime », François Ozon dirige Fabrice Luchini en juge médiocre et Isabelle Huppert en star du muet. © (Photo Gaumont).
Une jolie troupe d'actrices et d'acteurs dans une étonnante comédie d'enquête, c'est Mon crime de François Ozon ! Nous avons rencontré le tandem Rebecca ...
Alors que Mon crime rend hommage à ces films des années 30, il est aussi un pied de nez, où l'on montre des relations de femmes rivales, d'actrices qui se crêperaient le chignon. "Ce sont deux jeunes femmes visionnaires qui évoluent dans une société patriarcale des années 30, et heureusement aujourd'hui, on a avancé." Et en même temps c'est un film très actuel, parce que ce sont deux filles qui vont s'allier, se compléter et s'aider pour s'en sortir, et vouloir échapper à leur condition et s'émanciper". "Même si c'est dans ce contexte historique des années 30, c'est presque troublant à quel point ça nous parle aujourd'hui. Ce que j'aimais également, c'est l'aspect un peu amoral de cette histoire où il faut passer par le mensonge pour accéder à une vérité. C'est avec la distance des années 30 que l'on peut en faire une comédie, parce que c'est quand même d'un sujet grave dont on parle. Parce que ce sont les années 30, une époque que nous n'avons pas vécu, qui est très loin. Nous avons également rencontré le tandem Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewicz, dans la lumière, avec le César. Pour une actrice, il y a certainement un droit de cuissage ou des choses comme ça. Le parti pris de François Ozon est de prendre pour toile de fond les années 30, tout en leur donnant un souffle actuel, et en y injectant un vrai ton comique. Commence alors une nouvelle vie, faite de gloire et de succès, jusqu’à ce que la vérité éclate au grand jour… Au menu de [Mon Crime](/film/fichefilm_gen_cfilm=304685.html), son nouveau film, au cinéma ce mercredi, une vaste distribution mêlant plusieurs familles d'humour (Fabrice Luchini, Dany Boon, Régis Laspalès, Michel Fau...) et de grands rôles féminins (dont les révélations Rebecca Marder, et Nadia Tereszkiewicz, fraichement Césarisée); une intrigue mettant au premier plan l'amitié féminine et la sororité.
À l'affiche de « Mon crime », la nouvelle comédie de François Ozon, les deux actrices ont plus que jamais le vent en poupe.
Elle espère pouvoir « encore jongler entre le théâtre et le cinéma, continuer à faire ce métier et vieillir en faisant ce métier ». « Quand je vois que les films qu’on fait peuvent être vus par des gens en Finlande ou en Italie, je me dis ’wow’, ça traverse les frontières, ajoute, de son côté, Nadia Tereszkiewicz, bien décidée à ne pas cantonner ses tournages à la France. Quand on se voit offrir une telle confiance, c’est aussi une responsabilité, celle d’être à la hauteur des personnages forts. Nadia Tereszkiewicz a fondu « en larmes » quand elle l’a vue dans le film d’Olivier Dahan. Elle en sort après sept ans pour se consacrer au grand écran. « Surtout, ajoute-t-elle, on vit un tournant dans la libération de la parole, en partie parce qu’il y a de plus en plus de femmes réalisatrices, scénaristes, productrices ou distributrices. C’est n’est qu’un prix, il faut le prendre à la rigolade. C’est une forme d’accueil, une manière de nous dire : on a reconnu votre travail dans ce film. Madeleine Verdier touche du doigt le succès et la gloire. Les choses s’accélèrent quand en 2019, elle est choisie pour tenir le rôle principal dans Sauvages, un film de Dennis Berry. Quand, un beau jour, cette dernière se retrouve accusée (à tort) du meurtre d’un producteur, elle décide de se faire passer pour la meurtrière pour enfin accéder à la lumière. L’une est une avocate, en mal de dossier à défendre.
Il aime le côté outré, caricatural des personnages, limite artificiel des décors, des costumes. On se souvient de "Huit femmes", un huis clos coloré et musical, ...
Et c’est encore une fois un film assez édifiant sur une initiative portée par plusieurs ONG dont L’Œuvre d’Orient qui ont permis la création de cette radio multiconfessionnelle, en Irak. Mais parmi leurs points communs il y a un goût d’Ozon pour sonder les ambigüités de l’âme humaine, et pour interroger les frontières du bien et du mal. Ozon présente "Mon crime" comme le troisième opus d’une trilogie sur les femmes. Ce qui est un double clin d’œil et hommage puisque c’est elle aussi qui jouait la grand-mère dans "Huit femmes". Les deux sont sans travail, et elles espèrent trouver la notoriété et la gloire. Puis il y a eu "Potiche", avec Catherine Deneuve en épouse modèle des années 70, prenant le pouvoir dans l’usine de son mari.
Une gourmandise portée par une resplendissante pléiade d'acteurs avec, avant tout, les actrices principales, Nadia Tereszkiewicz (l'actrice) et Rebecca Marder ( ...
Une jeune actrice est accusée du crime d’un célèbre producteur. Pourtant, rapidement, on est pris dans le tourbillon de cette histoire digne des grandes affaires criminelles, telles qu’on les dénommait avant-guerre et dont raffolait la presse. Dans les années 1930, une jeune actrice est accusée d’un crime.
« Mon crime » de François Ozon ; « The Whale » de Darren Aronofsky ; « En toute liberté, une radio pour la paix » de Xavier de Lauzanne ; « Women talking ...
Il prend néanmoins la route avec son fils Simon (Alex Lutz). Avant que le film ne commence, des femmes d’une communauté religieuse isolée sont victimes d’agressions sexuelles. En adaptant la pièce écrite par Samuel D. Depuis des années, Charlie vit reclus dans sa maison de l’Ohio, ingurgitant le pire de la junk food (« malbouffe ») qui rend son corps difforme et infirme. Avant que le véritable assassin, vienne réclamer la paternité de « son crime ». Et font la part belle à une pléiade d’acteurs qui surjouent leur partition avec un plaisir contagieux.
Burlesque et théâtral, le dernier-né de François Ozon est le film à ne manquer sous aucun prétexte. « Mon Crime », sublimement porté par Rebecca Marder et ...
Il y a de plus en plus de rôles pour les femmes et j'espère qu'on pourra vieillir en faisant ce métier. Dans le film, il y a une prise de conscience, une parole qui se libère, une émancipation et une volonté d'échapper à la condition féminine, qui sont des thématiques qui résonnent avec notre présent car, évidemment, le chemin est long. On a de la chance de pouvoir travailler, de vivre notre passion. Avec notre nomination aux César, il y a une reconnaissance de la part du métier, ça encourage, ça porte. Le film se passe dans les années 30, mais ce sont des femmes qui sont en prise avec leur destin et qui sont prêtes à tout pour leurs idéaux : elles aspirent à la libération de la parole, à travailler à une époque où le sort des femmes est quand même réduit. Il y a de plus en plus de scénaristes, de réalisatrices, de productrices, de distributrices, qui, je l'espère, vont nous permettre d'avoir des rôles jusqu'à tard, et pas seulement des rôles de mère, de grand-mère ou de « femme de ». Avec le personnage joué par Isabelle Huppert, il est aussi question de rivalité entre les jeunes actrices et leurs aînées souvent invisibilisées avec l’âge. Il y a toutes ces résonances avec aujourd'hui et pourtant, on est bien dans le contexte historique des années 30, où les femmes n'avaient pas de carnet de chèques, pas le droit de vote, besoin d’une dot pour se marier… Parler de ces sujets-là par le prisme de la comédie et en plaçant l'action dans le contexte des années 30, ça permet un effet miroir un peu ridicule parce que l’on en est encore là aujourd’hui. Ça permet le rire, et le rire permet de faire passer des messages. À travers le prisme de l’humour, François Ozon aborde les thèmes nécessaires de la condition féminine, de la sexualisation des femmes et de leur place dans une société patriarcale – l’intrigue se passe durant les années 1930. Quelque chose qui donnait envie de jouer ce duo avec une belle sororité et de le défendre.
Au cinéma le 8 mars 2023, un nouveau film aidé d'Ozon en forme de comédie policière. Avec Isabelle Huppert, Fabrice Luchini, André Dussolier, Dany Boon...
Commence alors pour Madeleine une nouvelle vie faite de gloire et de succès, jusqu’à ce que la vérité éclate… Quant à la seconde, elle interprète Pauline, son avocate et amie qui va réussir à l'acquitter pour légitime défense. À voir à partir du 8 mars 2023, un nouveau film aidé d'Ozon en forme de comédie policière.
Nadia Tereszkiewicz et Rebecca Marder… Le sort a voulu que les deux actrices concourent toutes deux dans la catégorie Révélation Féminine de l'année, à l' ...
L’intelligence d’écriture, les dialogues qui fusent, l’humour, le drame et le suspense offrent à Mon Crime une vitalité que l’on n’avait pas vu depuis un longtemps dans la filmographie d’Ozon. À la manière des paires les plus emblématiques du cinéma, le réalisateur s’amuse avec les clichés du corps et de l’esprit, du sentiment et de la raison, de la blonde et de la brune. Son jeu étonne autant qu’il amuse, François Ozon offrant à Isabelle Huppert une liberté dans laquelle elle laisse exploser la virtuosité de son humour et une légèreté communicative. Un plaisir de cinéma – pas si coupable que ça – à découvrir dans les salles obscures depuis ce mercredi 8 mars. Que ce soit dans les échanges entre les personnages, la mise en scène, ou les décors, le long-métrage témoigne d’un rythme réjouissant, dans lequel on plonge avec délice. Avec Mon Crime, François Ozon embarque le spectateur dans une aventure noire où l’on découvre des personnages féminins imparfaits et égoïstes, éloignés de l’image classique de l’ingénue. [Les Demoiselles de Rochefort](https://www.fnac.com/a9647498/Les-Demoiselles-de-Rochefort-DVD-Catherine-Deneuve-DVD-Zone-2?Origin=leclaireur) (1967) de Jacques Demy avec Catherine Deneuve et Françoise Dorléac, dont l’identité théâtrale évoque celle fièrement assumée par la distribution de François Ozon. L’interprétation de l’actrice, actuellement à l’affiche de Dans Mon Crime, nouvelle comédie noire du réalisateur, Nadia Tereszkiewicz se glisse dans la peau de Madeleine Verdier, une comédienne sans talent qui ne rêve que d’une chose : accéder à la célébrité. Les ne se laissent pas faire, bien qu’elles se heurtent aux clichés sexistes de la gent masculine. [des César 2023](https://leclaireur.fnac.com/article/250538-la-nuit-du-12-grand-gagnant-des-cesar-2023/). Madeleine parie alors sur cette médiatisation improbable pour connaître ses premiers succès et rompre avec une vie misérable faite de désillusion jusqu’au jour où une tierce personne décide de faire éclater la vérité au grand jour.
Malgré une belle brochette d'acteurs, le cinéaste ne parvient pas à convaincre avec son adaptation marquée par le cynisme d'une pièce à succès de 1934.
Madeleine et Pauline entrent dans la danse : le narratif féministe leur aura permis d’intégrer l’ordre bourgeois, reconsolidé autour d’elles. [Rebecca Marder](https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/10/07/rebecca-marder-jeune-actrice-en-fleur-du-cote-de-guermantes_6055162_4500055.html)), novice du barreau, mangent leur pain noir et désespèrent de voir leur carrière décoller. Du meurtre qui occupe le centre du récit, tout le monde finit par s’accommoder. Et la société de se recomposer sur son cadavre encore chaud. Or, la sororité entre héroïnes, unies pour tirer avantage du patriarcat IIIe République, est moins décrite comme geste politique qu’en des termes d’arrivisme et d’ascenseur social. [Peter von Kant (2022)](https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/07/06/peter-von-kant-l-hommage-compasse-de-francois-ozon-a-fassbinder_6133606_3246.html), une veine théâtrale et artificieuse bien connue, qui était déjà celle de [Potiche (2010)](https://www.lemonde.fr/cinema/article/2010/09/07/potiche-un-cocktail-retro-signe-ozon-a-la-mostra_1407846_3476.html), de [8 femmes (2002)](https://www.lemonde.fr/archives/article/2002/02/05/8-femmes-au-bonheur-des-dames-et-des-ombres_261419_1819218.html) ou de [Gouttes d’eau sur pierres brûlantes (2000)](https://www.lemonde.fr/archives/article/2000/03/13/gouttes-d-eau-sur-pierres-brulantes-le-manifeste-cruel-de-francois-ozon_46312_1819218.html), d’après Fassbinder.
Après "Peter Von Kant", une réalisation très intimiste, vous proposez un film très ouvert, avec de nombreux personnages, en écho à "Huit femmes " ou ...
Conséquence, "Mon crime" est une petite pépite, intelligente et profonde, à la fois moderne dans ses thématiques et rétro par son esthétique qui immerge pleinement le public dans l’époque de l’entre-deux-guerres. Dans cette libre adaptation d’une pièce de 1934, le cinéaste trouve le parfait équilibre entre ses deux amours – le théâtre et le cinéma – pour un résultat enlevé, où les répliques fusent à la vitesse de l’éclair. Sa nouvelle comédie, inscrite dans l’esprit de "Huit femmes"et "Potiche", est un excellent cru tant elle fourmille de petites trouvailles. Le cinéma et le théâtre sont des lieux de pouvoir et de hiérarchie, souvent marqués par une domination masculine, patriarcale… Il y avait ici l’envie, après des films sombres, de revenir à la comédie, de m’amuser et d’amuser le spectateur en parlant de la condition féminine, de filmer les années 1930… Les premiers films étaient d’ailleurs des captations de pièces de théâtre et il y a une forme de continuité.
Le très attendu nouveau long-métrage réalisé par François Ozon, atteint les 2380 entrées. Il est suivi au coude-à-coude par "The Whale" de Darren Aronofsky et " ...
Le réalisateur de « Huit Femmes » revient avec une comédie féministe jouissive adaptée d'une pièce de théâtre des années 30 et servi par un casting ...
« J’adore mélanger les familles de cinéma. « Mon Crime » est en effet une comédie féministe adaptée d’une pièce de théâtre des années 30 portée par le duo de jeunes actrices A peine quelques mois après « Peter Van Kant », le réalisateur revient à ses premières amours avec un film à la gloire des femmes.
Pour son 22e film, le réalisateur français disposait d'un budget de près de 8 millions d'euros, soit deux tiers de plus que les films français sortis ...
- Economie et politique Si le CNC a apporté une aide pour les créations visuelles et sonores, Playtime et Gaumont ont produit le long métrage. Le réalisateur français va surtout toucher une coquette somme pour la préparation du film, la postproduction et les 35 jours de tournage : 400.000 € selon Siritz. [7e art](https://www.capital.fr/entreprises-marches/la-cite-du-cinema-requisitionnee-pour-les-j0-2024-europacorp-reclame-une-indemnite-1462390) comme Isabelle Huppert, Nadia Tereszkiewicz, Dany Boon, Fabrice Luchini ou encore André Dussollier. Un film où se côtoient de nombreuses têtes d'affiche du Le réalisateur de Huit Femmes, Potiche, Grâce à Dieu ou encore Sous le sable sortait ce mercredi 8 mars une nouvelle comédie dramatique, Mon crime.
Dominique Poncet est chroniqueuse pour Culture-Tops. Culture-Tops est un site de chroniques couvrant l'ensemble de l'activité culturelle (théâtre, ...
De Sitcom (1998) à Tout s’est bien passé ( sorti en septembre 2012), en passant notamment par Huit femmes (2001), Potiche (2010) et Grâce à Dieu (2018), tous ses films, très différents les uns des autres, surprennent. En tous cas, François Ozon, né le 15 novembre 1967 dans une famille catholique pratiquante, est l’un des cinéastes français les plus turbulents qui n’aime rien tant que subvertir les normes sociales et familiales.Très éclectique, nommé six fois au César du meilleur film et du meilleur réalisateur (incroyablement, sans jamais rien remporter), cet ancien de la FEMIS n’est pas du genre à repasser dans le même sillon. Est-ce parce que le cinéaste a réuni une de ses plus belles et intéressantes distributions (On pourrait s’extasier sur chaque comédien-ne) ? Est-ce parce que Mon crime mettant en scène des femmes, ce féministe assumé s’est amusé, comme jamais, à moderniser leur propos à un point tel que malgré l’époque où l’action se déroule, on le croirait écrit aujourd’hui (exceptions faites des tournures de phrases dont le réalisateur a conservé, pour notre plus grand bonheur, le caractère ciselé et désuet?). Est-ce parce qu’en deux films (Huit Femmes et Potiche) le cinéaste est devenu le maître français de l’adaptation, pour le grand écran, des comédies policières ? Côté fantaisie, il s’en est donné à coeur joie : dialogues à la mitraillette et situations cocasses emmènent son film dans une franche gaieté.
Porcs de producteurs, actrices qui dénoncent (et flinguent), révolte féministe, sororité... Avec Mon crime, en salles depuis le 8 mars, François Ozon ...
Alors que la première traumatise les libidineux (craignant pour leur sort au moindre geste), la seconde devient le porte-voix de celles qui en ont marre - parmi elles, une actrice d'une âge avancé, occasion d'épingler l'âgisme l'espace de répliques bien senties. Jeunes et pauvres, marginalisées, elles finissent par entrer dans la légende comme leur "role model", Danielle Darrieux. Pleines de jugeotte, Madeleine et Pauline (savoureuses Nadia Tereszkiewicz et Rebecca Marder) composent un duo ravageur venu bousculer les lignes du vieux monde. Et surtout : bande de femmes. Elle cohabite dans une piaule de misère avec sa meilleure amie et avocate, Pauline. Plaidant la légitime défense, l'actrice va cependant ressortir de ce procès en icône féministe, recueillant honneur et gloire.
Bercé dès son plus jeune âge par le cinéma du Nouvel Hollywood, Vincent découvre très tôt les œuvres de Martin Scorsese, Coppola, De Palma ou Steven Spielberg.
[Potiche](/film/fichefilm_gen_cfilm=172873.html) (110 000 entrées). Son record reste le 1er jour de [8 Femmes](/film/fichefilm_gen_cfilm=32701.html) en 2002 (170 000 tickets déchirés). Ce nouvel opus des tueries de Ghostface démarre deux fois mieux que le précédent volet sorti en janvier 2022 (34 201 entrées). Le 6ème opus de la saga horrifique prend la seconde place du 1er jour France, battu par le nouveau film de [François Ozon](/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=17705.html). [Mon Crime](/film/fichefilm_gen_cfilm=304685.html) à mon [Scream](/film/fichefilm_gen_cfilm=300624.html), il n'y a qu'un pas ! [Music](/film/fichefilm_gen_cfilm=276069.html) : 297 entrées (dont 165 en AVP)
Ce sont les deux films événements de cette semaine et ils sont bien au rendez-vous en attirant 80.000 spectateurs chacun.