Thales a annoncé samedi son souhait de recruter 12.000 salariés dans le monde, dont 4.000 créations de poste en 2023. Oubliée la pandémie, le secteur ...
Plus de 40% des embauches prévues concernent les activités de recherche-développement (intelligence artificielle, cyber, algorithmie, ingénieurs systèmes...), soit 5.500 personnes dont 2.200 en France. La France, principal pays d'implantation du groupe tricolore, concentre près de la moitié des recrutements prévus (5.500) et répartis sur tout le territoire. "C'est une année record", a souligné le directeur des ressources humaines du groupe Clément de Villepin. [15.000 embauches en France en 2023](/economie/penurie-de-main-d-oeuvre-le-secteur-aeronautique-francais-veut-recruter-16-000-personnes-en-2023_VN-202301060150.html), selon le Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas). Portées par la reprise du trafic aérien, la préparation des futurs programmes et l'augmentation des budgets de défense dans le monde, les 400 entreprises de la filière employant plus de 190.000 personnes, prévoient plus de Thales prévoit de recruter plus de 12.000 salariés dans le monde en 2023, dont 4.000 créations de postes, porté par le dynamisme des secteurs aérospatial, de défense et de sécurité et d'identité numérique, a annoncé le groupe.
Le groupe français va augmenter de 4.000 personnes ses effectifs dans toutes ses branches en 2023 : défense, aéronautique, spatial, cybersécurité…
[industries françaises aéronautiques](https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/lindustrie-aerospatiale-francaise-manque-de-visibilite-1894371) et spatiales, estime que les 400 entreprises de la filière prévoient plus de 15.000 embauches dans l'Hexagone cette année. Les fonctions support représentent également 40 % des recrutements, les 20 % restant concernent les activités de production industrielle et de logistique. La France, principal pays d'implantation du groupe tricolore, concentre près de la moitié des recrutements prévus (5.500) et qui seront répartis sur tout le territoire. Le groupe n'avait pas licencié pendant la pandémie, en ayant notamment basculé sur d'autres activités des salariés travaillant dans le secteur aéronautique. « C'est une année record », selon les mots du directeur des ressources humaines du groupe, Clément de Villepin. L'Hexagone concentre près de la moitié des recrutements prévus.
Le groupe d'électronique français Thales prévoit de recruter plus de 12.000 salariés dans le monde en 2023, dont 4.000 créations de postes, a-t-il annoncé.
La France, principal pays d'implantation du groupe tricolore, concentre environ près de la moitié des recrutements prévus en 2023 (5.500 sur 12.000) et répartis sur tout le territoire. Il en faudrait déjà le double", assure Patrice Caine, qui dit aussi regretter une baisse du niveau en mathématiques. [Commenter](#comments) [Commenter](#comments) Le groupe n'avait pas licencié pendant la pandémie, en ayant notamment basculé sur d'autres activités des salariés travaillant dans le secteur aéronautique. "Nous formons traditionnellement beaucoup d’ingénieurs en Europe. Le groupe prévoit ainsi de recruter plus de 12.000 salariés dans le monde 2023, dont 4.000 créations de postes, dans tous ces secteurs d'activité.
Les embauches concernent tous les secteurs d'activités du groupe, y compris celui de l'aéronautique, sinistré pendant la pandémie.
Thales prévoit de recruter plus de 12 000 salariés dans le monde en 2023, dont 4 000 via des créations de postes. Le groupe n'avait pas licencié pendant la pandémie, en ayant notamment basculé des salariés travaillant dans le secteur aéronautique sur d'autres activités. La France, principal pays d'implantation de Thales, concentre près de la moitié (5 500) des recrutements.
Thalès, le groupe français d'électronique, prévoit de recruter plus de 12 000 salariés dans le monde, en 2023, dont 4 000 créations de postes.
Le président français avait demandé aux industriels français de l'armement et de la défense comme [Naval Group](https://www.rfi.fr/fr/économie/20220611-sous-marins-français-l-australie-paiera-555-millions-d-euros-de-compensation-à-naval-group), Safran ou encore Thales de produire davantage et plus vite. [entrée dans une « économie de guerre »](https://www.rfi.fr/fr/podcasts/aujourd-hui-l-économie/20220614-la-france-en-économie-de-guerre), avait déclaré Emmanuel Macron en juin 2022 lors d'une visite au salon d'armement Eurosatory. Thalès, le groupe français d'électronique, prévoit de recruter plus de 12 000 salariés dans le monde, en 2023, dont 4 000 créations de postes.