Le journaliste est accusé d'avoir diffusé, à plusieurs reprises durant l'année écoulée, des sujets qui n'avaient pas été validés par la rédaction en chef de ...
[De YouTube à BFM-TV, une campagne de désinformation complexe sur les yachts d’oligarques russes à Monaco](https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/02/15/de-youtube-a-bfm-tv-vague-d-infox-sur-les-yachts-des-oligarques-russes-a-monaco_6161961_4408996.html) [fourni des « éléments de langage »](https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/02/21/desinformation-la-surprenante-plaidoirie-d-un-depute-francais-pour-une-cryptomonnaie-suspecte_6162715_4408996.html) à un député français, Hubert Julien-Laferrière, notamment pour qu’il fasse la promotion à l’Assemblée d’une cryptomonnaie douteuse. [ouvert en janvier une enquête interne](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/02/02/un-presentateur-de-bfm-tv-vise-par-une-enquete-interne-pour-des-soupcons-d-ingerence_6160271_3234.html) en raison de ses doutes. (…) Je n’écarte rien, peut-être que je me suis fait avoir, je n’avais pas l’impression que c’était le cas ou que je participais à une opération de je ne sais quoi, sinon je ne l’aurais pas fait », déclarait-il dans les colonnes de [Derrière les fausses infos de Rachid M’Barki sur BFM-TV, l’officine israélienne Team Jorge et un intermédiaire français](https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/02/15/derriere-les-fausses-infos-de-rachid-m-barki-sur-bfm-tv-l-officine-israelienne-team-jorge-et-un-intermediaire-francais_6161862_4408996.html) Il rappelle dans son message que « ce cas isolé ne reflète en rien le travail exceptionnel et rigoureux exercé avec professionnalisme et déontologie par les 250 journalistes de BFM-TV, auxquels la direction réaffirme son soutien et sa confiance ».
Le directeur général Marc-Olivier Fogiel a annoncé le licenciement pour faute grave du journaliste de 54 ans en raison de séquences « diffusées sans respect ...
« Ce cas isolé ne reflète en rien le travail exceptionnel et rigoureux exercé […] par les 250 journalistes de BFMTV », a toutefois défendu Marc-Olivier Fogiel. Dans la matinée ce jeudi 23 février, le directeur général de la chaîne d’information en continu, Marc-Olivier Fogiel, a annoncé à ses équipes le licenciement pour faute grave de Rachid M’Barki. Cette dernière a également déposé plainte contre X pour corruption massive et abus de confiance.
Le présentateur historique de la chaîne d'information, accusé d'avoir diffusé en catimini dans son JT quotidien de la nuit des séquences non validées par sa ...
«Ces manquements sont de la seule responsabilité d’un journaliste qui n’a pas respecté les règles en vigueur au sein de la rédaction. Notamment un sujet diffusé le 22 juin faisant la promotion d’un forum d’affaires entre l’Espagne et le Maroc, qui s’est tenu dans la ville de Dakhla, située au Sahara occidental, un territoire disputé et non autonome selon l’ONU, mais que le Maroc revendique. jeudi 23 février au matin, Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFMTV, a annoncé aux salariés le licenciement pour faute grave du journaliste à la voix suave.
BFMTV a décidé de licencier Rachid M'Barki, après une enquête interne ouverte en janvier pour des soupçons d'ingérence. Le journaliste s'est défendu de ne ...
Pour contourner la hiérarchie et l'approbation de la rédaction en chef, Rachid M'Barki "s'arrangeait pour demander (des) images en dernière minute [...] une fois que le rédacteur en chef était pris sur une autre tranche et avait validé l'ensemble de son journal", selon les explications de Marc-Olivier Fogiel, invité sur France Inter le mercredi 15 février. Au regard des révélations sur la campagne de désinformation, le présentateur a concédé une "erreur de jugement journalistique" devant sa direction. De son côté, la chaîne a déposé "une plainte contre X relative aux faits dont BFMTV a été victime a été déposée le 22 février 2023", pour corruption passive et abus de confiance. Le journaliste, bien qu'ayant accepté de diffuser des brèves sur demande, assure avoir vérifié la fiabilité des sources. Je ne me pose pas de questions. Je fais ce qu'on me dit de faire. La direction de la chaine d'information s'est immédiatement dédouanée dans cette affaire. Les séquences visées dans l'affaire de Rachid M'Barki ont trait au Maroc et la revendication décriée du Sahara occidental, aux oligarques russes privés de yacht à Monaco ou encore au Qatar et au Cameroun. Il a par ailleurs annoncé que la chaîne allait "renforcer encore" ses dispositifs de vérification. Le journaliste a été mis à l'écart après un audit lancé en janvier quant à des contenus diffusés sans l'accord de sa hiérarchie, notamment issus d'une vaste entreprise de désinformation basée en Israël, selon une enquête du collectif de journalistes Forbidden Stories. En l'état, les sujets visés n'auraient jamais été validés par la direction et ils ne l'ont pas été. [BFMTV a décidé de licencier Rachid M'Barki, après une enquête interne ouverte en janvier pour des soupçons d'ingérence.
A l'issue d'un audit, la chaîne d'information en continu a porté plainte contre X en raison de soupçons quant à une ingérence dans son travail.
En réaction, la chaîne a décidé de « renforcer encore » ses dispositifs de validation rédactionnels, précise Marc-Olivier Fogiel. La direction a décidé de mettre fin à son contrat de travail le 21 février 2023 », écrit, dans ce courriel, le directeur général de la chaîne d’info, Marc-Olivier Fogiel. La première chaîne d’information de France avait ouvert en janvier une enquête interne en raison de ces soupçons.
BFMTV a licencié Rachid M'Barki, un des visages bien connus de la chaîne, à l'issue de l'audit lancé en raison de soupçons quant à une ingérence da...
Et de se pencher davantage sur le cas de Rachid M’Barki : “C’est un professionnel qui s’occupe de la police depuis très longtemps, il donne très souvent des informations exclusives en premier, et je vous le répète cette nuit, il nous a avertis dès 2 h du matin de ce qui se passait à Toulouse, ce qui nous a permis de prendre de l’avance. [Télé-Loisirs](https://www.programme-tv.net/news/tv/22212-bourde-bfm-tv-regrette-son-erreur-mais-pardonne-son-journaliste/), Hervé Béroud, ancien directeur de la rédaction de BFMTV, avait alors reconnu “une erreur de courte durée, mais pour autant très regrettable”. Et d’assurer : “Le reproche est resté.” [BFMTV a tranché](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/rachid-mbarki-bfmtv-lourdement-sanctionne-marc-olivier-fogiel-a-tranche_514070). En direct de BFMTV, Rachid M’Barki avait alors annoncé un scoop : l’arrestation du terroriste, comme l’a rappelé [Télérama](https://www.telerama.fr/ecrans/soupcon-d-ingerence-bfmtv-limoge-le-journaliste-rachid-m-barki-pour-faute-grave-et-porte-plainte-7014425.php). La chaîne d’informations en continu a licencié son journaliste Rachid M’Barki, à l’issue de l’audit lancé en raison de [soupçons d’ingérence](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/je-suis-tellement-en-colere-contre-lui-rachid-mbarki-ecarte-de-bfm-tv-ses-ex-collegues-temoignent_513460), et a porté plainte contre X, selon un courriel interne envoyé jeudi 23 février.
Après les révélations de Radio France concernant le journaliste Rachid M'Barki, le groupe Altice a mis fin à son contrat de travail le 21 février dernier.
Ces investigations ont permis d’identifier plusieurs séquences, entre 2021 et 2022 , qui ont été diffusées sans respect des process de validation et de la ligne éditoriale. Ces manquements sont de la seule responsabilité d’un journaliste qui n’a pas respecté les règles en vigueur au sein de la rédaction. Le Groupe a par ailleurs a décidé de renforcer encore ses dispositifs et contrôles actuels pour permettre une meilleure sécurisation des processus d’intégration de contenus et de suivi du contrôle de l’antenne.
INFO TÉLÉRAMA — BFMTV annonce le licenciement du présentateur et porte plainte contre X pour “corruption passive et abus de confiance”.
Le 2 février, à nos confrères de Politico, il a précisé avoir « utilisé des infos qui [lui] venaient d’informateurs » et qui n’ont « pas forcément suivi le cursus habituel de la rédaction », mais qui étaient « toutes réelles et vérifiées, je fais mon métier… Je n’écarte rien, peut-être que je me suis fait avoir, je n’avais pas l’impression que c’était le cas, ou que je participais à une opération de je ne sais quoi, sinon je ne l’aurais pas fait », s’était-il défendu. Le retour à l’antenne du présentateur paraissait impossible, tant sa direction s’estimait « trahie » et « victime » à la suite de la diffusion d’informations jugées « problématiques » avec, pour certaines d’entre elles, des images d’illustration venues de l’extérieur. « Ces séquences ont été diffusées sans respect des process de validation et de la ligne éditoriale », écrit Marc-Olivier Fogiel aux salariés. Au total, une douzaine de brèves ont posé problème à la direction de BFMTV, ce qui l’avait conduite, le 11 janvier, à suspendre le journaliste. Selon nos informations, Marc-Olivier Fogiel, le directeur de la chaîne, l’a annoncé jeudi en début de matinée aux salariés.