Steven Spielberg a sorti son dernier film ce mercredi 22 février 2023. Dans "The Fabelmans", le réalisateur se plonge dans ses souvenirs d'enfance, ...
Réalisé par Steven Spielberg, le film s'inspire de la jeunesse du cinéaste. Avec sa caméra, le jeune homme commence à créer ses propres films chez lui et rêve de devenir réalisateur. Sur l'agrégateur de critiques Allociné, la note moyenne de la presse est de 4,9/5 pour 27 sites de presse recensés, une note rarement atteinte par les films. Du côté du public, c'est également un succès : le long-métrage a reçu 83% de critiques positives des spectateurs sur plus de 1000 avis vérifiés. Cependant, The Fabelmans, qui a d'ailleurs reçu le Golden Globe du meilleur film dramatique et celui de la meilleure réalisation, a été un échec au box-office américain : du 25 novembre 2022 au 2 janvier 2023, le film a cumulé seulement 12,1 millions de dollars de recettes. La presse française est dithyrambique au sujet de The Fabelmans. L'épidémie mondiale de coronavirus a également été un catalyseur créatif pour le réalisateur : "Tandis que la situation sanitaire empirait, je me demandais ce que je souhaiterais laisser derrière moi et à quelle problématique centrale je voulais absolument m'attaquer", peut-on lire sur Allociné. Cinéaste de la métaphore visuelle, servi par la superbe bande-originale de John Williams, Spielberg use ici de son talent inégalé de conteur pour nous confronter à notre propre rapport au cinéma. Pour la première fois, il se raconte : The Fabelmans est LA [sortie cinéma](https://www.linternaute.com/cinema/sortie-semaine/) de ce mercredi 22 février 2023. Le nom de cette famille, qui évoque directement l'univers de la fable, est ainsi évocateur du propos du film. Paul Dano (The Batman, Little Miss Sunshine) et Michelle Williams (Dawson, Blue Valentine), incarnent ici les parents Fabelmans et se révèlent touchants de sincérité. [Steven Spielberg](https://www.linternaute.fr/cinema/biographie/1773056-steven-spielberg-biographie-courte-dates-citations/) a façonné l'imaginaire de nombreux cinéphiles.
Steven Spielberg s'essaye à l'autobiographie. Le résultat est à la fois un portrait familial bouleversant et une ode à la lumière.
On en revient à Platon et à la beauté de ses illusions, qui ont tout autant de valeur que la vérité. Il est magnifique de voir Spielberg dépeindre frontalement le divorce de ses parents (qui résonne dans une bonne partie de sa filmographie), mais The Fabelmans est avant tout une chronique, qui s’attarde sur les saynètes d’une jeunesse cabossée, ponctuée de vexations, de regards tendres et d’actes d’amour maladroits. Il y a une évidence dans le cinéma de Spielberg, une virtuosité du cadrage et du découpage typique d’un artiste qui pense par l’image, comme s’il s’agissait de sa langue maternelle.
La sortie d'un film de Steven Spielberg c'est toujours un événement. Un peu plus d'un an après son "Westside story", il revient cette fois avec un film très ...
"The Fabelmans", c’est avant tout une formidable déclaration d’amour au cinéma et à ses parents, à sa mère en particulier, jouée par Michele Williams, qu’il ne juge jamais et qui à la fin lui demande pardon. Mais il y a aussi beaucoup d’humour dans son film, notamment dans le personnage de sa première fiancée catholique, archi croyante et qui veut le faire prier à tout bout de champ ! , à des films historiques et bien sûr à ses grands films d’aventures familiaux que sont les "Jurassic Park" ou "Les Aventuriers de l’Arche perdue".
Après « West Side Story » en 2021, le réalisateur à succès Steven Spielberg revient au cinéma, ce mercredi 22 février, avec « The Fabelmans ».
Le spectateur se sent ainsi presque gêné de pénétrer dans l’intimité de ce foyer américain des années 1950. Une histoire intime, qui raconte la jeunesse de ce jeune garçon juif qui s’épanouit en filmant sa vie et celle des autres. Il passe alors son temps à filmer sa famille, encouragé par sa mère Mitzi (Michelle Williams) mais incompris par son père Burt (Paul Dano), scientifique accompli.
A 76 ans, le réalisateur américain a mis sa propre histoire en images. Un chef-d'œuvre ! Steven Spielberg n'a jamais jamais caché que tous ses films portaient ...
Il préfère suggérer ce qu’il charrie toujours de son chaos originel, ce qu’il doit au déséquilibre entre la science et l’art, la raison et l’imagination, l’émerveillement et la mélancolie. C’est du reste par le biais de celles-ci que, tout à sa passion, Sam va découvrir la réalité truquée de la relation entre ses parents adorés. Pour le plus heureux, on suit l’épanouissement du talent de Sam qui ne lâche jamais sa caméra, filme d’abord ses proches dans des brouillons rigolos puis tournant de véritables courts-métrages. À partir de là, The Fabelmans adopte le ton modeste et le rythme enjoué d’une chronique familiale lumineuse, du moins en apparence… Obsédé par la scène du déraillement, il n’a d’abord de cesse d’en reproduire le spectacle avec son train électrique, avant que de le graver sur pellicule grâce à la caméra super-8 qu’on lui offre. C’est la scène merveilleuse qui ouvre le film : Steven, pardon Sam Fabelman ("l’homme-fable", seul Spielberg pouvait se permettre !) a 6 ans, et ses parents l’amènent voir Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B.
Biopic réalisé par Steven Spielberg (2 h 31) avec Gabriel LaBelle, Michelle Williams, Paul Dano. À partir du récit initiatique d'un jeune homme solitaire ...
Elina est fascinée par sa nouvelle sœur par alliance de 18 ans, Sofia, une ballerine charismatique qui mène une double vie faite de soirées, de garçons et de drogues. Après la mort de leur mère, Iman cherche à sortir de l’impasse d’une vie étouffante et profite de ses relations privilégiées avec la jeunesse dorée de Téhéran pour se lancer dans un petit trafic juteux. Quand sa mère disparaît lors de ses vacances en Colombie avec son nouveau compagnon, June cherche des réponses mais ses investigations sont entravées par la bureaucratie internationale. Proposant son hospitalité à cet inconnu, il accepte de lui venir en aide pour que ce dernier retrouve le calme et la sérénité dont il a besoin. Il a tenu à ce que ce soit une fable universelle autour de la poursuite du rêve américain : « Je ne voulais pas raconter une histoire qui ne concerne que moi. Il réalise même de petits films amateurs de plus en plus sophistiqués, interprétés par ses amis et ses sœurs.
Alors que son nouveau film "The Fabelmans" sort ce mercredi 22 février au cinéma, nos confrères de CNEWS viennent de révéler quelques anecdotes sur Steven ...
, "Quelle débile !" ; Jimmy Mohamed, docteur star de "TPMP", pousse un coup de... "C'est incroyable ça !" Pire encore, lorsqu’il arrive au lycée, il se fait traiter de "sale youpin". D’ailleurs, son talent, il va une nouvelle fois le prouver à partir de ce mercredi 22 février. Steven Spielberg leur a permis de découvrir des chefs-d’œuvre, et se faire transporter à travers les nombreuses histoires féeriques et passionnantes qu’il a pu raconter à travers ses projets.
CRITIQUE / AVIS FILM - Notre avis sur "The Fabelmans", le nouveau film de Steven Spielberg grandement inspiré de sa jeunesse.
l'extra-terrestre](https://www.cineserie.com/movies/1574087/) peut donner l'impression que le cinéaste n'a rien perdu de sa supposée âme d'enfant, la tristesse s'est rarement autant fait sentir dans l'une de ses œuvres depuis [La Guerre des mondes](https://www.cineserie.com/movies/170827/) et [Munich](https://www.cineserie.com/movies/176068/). Dans la foulée, ses parents Mitzi ( [Michelle Williams](https://www.cineserie.com/persons/225/)) et Burt ( [Paul Dano](https://www.cineserie.com/persons/144368/)) lui offrent un circuit miniature, ce qui permet au jeune garçon de reproduire la fameuse séquence, et donc de s'essayer à la réalisation. [22 février 2023](https://www.cineserie.com/schedule/week/2023-02-22/). [Retrouvez ici toutes nos bandes-annonces.](https://www.cineserie.com/videos/) C'est ce que laisse penser un dernier mouvement de caméra, avec lequel il s'offre une ultime touche de légèreté et refuse la fatalité comme il l'a toujours fait, avec une maîtrise hallucinante. Ce sont ces questionnements, qui n'ont probablement cessé de le tourmenter au cours de ses cinquante ans de carrière, que Steven Spielberg met en avant dans ce nouveau grand long-métrage. Un personnage qui, associé à son père Burt et à Mitzi, synthétise le rapport à l'art, capable d'écraser mais pouvant également être considéré comme quelque chose de futile ou d'inatteignable. Lorsqu'il réalise un projet pour sa classe de lycée, il comprend le pouvoir de manipulation des images, réussissant à rendre beau, attirant et presque sympathique un adolescent qui aime s'en prendre à lui. La vocation de Sammy est certes source de joie, mais elle est également révélatrice de secrets douloureux et lui réclame de nombreux sacrifices. La comédienne est une nouvelle fois fabuleuse, notamment au cours d'une dispute poignante avec son fils qui résume à merveille la complexité de leur relation. [Steven Spielberg](https://www.cineserie.com/persons/12572/) débute dans le New Jersey, en janvier 1952. Mais face au tragique accident de train de [Sous le plus grand chapiteau du monde](https://www.cineserie.com/movies/1647307/), la fascination l'emporte sur la peur.
Après avoir apprécié le "Babylon" de Damien Chazelle, les Français sauront-ils apprécier cette nouvelle ode au Septième art ?
il a eu le coup de foudre pour Nathalie](/culture/jean-pierre-pernaut-un-an-deja-sur-tmc-le-jour-ou-il-a-eu-le-coup-de-foudre-pour-nathalie-2248972.html)Publié aujourd'hui à 18h37 - 9 - 7 Le point sur la situation en Ukraine](/international/guerre-ukraine-russie-aujourd-hui-discours-a-la-nation-de-poutine-reponse-de-biden-le-point-sur-la-situation-mercredi-22-fevrier-2023-2248906.html)Publié aujourd'hui à 8h36 - 5 - 4 - 3 - 1 À l’heure des vidéos TikTok tournées en 15 secondes, on comprend facilement pourquoi le public des multiplexes américains ne s’est guère enthousiasmé pour le destin d’un petit garçon qui perce la pellicule de ses films pour créer des trucages de fortune. Mais aussi son futur combat contre l’antisémitisme lorsque Sammy est harcelé par ses "camarades" de classe à son arrivée en Californie. Le scénario, écrit par le cinéaste avec Tony Kushner, d’après ses souvenirs, met en effet en scène un triangle amoureux dont le jeune Sammy est un témoin malencontreux dans l’œilleton de sa première caméra. Un succès au long cours qui fait de lui le cinéaste le plus "bankable" de l’histoire du cinéma, avec plus de 10 milliards de dollars cumulés depuis la fin des seventies.
Aux États-Unis, The Fabelmans a migré après un petit mois d'exploitation vers les services de VOD. Les affiches françaises proclament pour leur part que le ...
Ainsi, The Fabelmans n’oppose pas la mère et le père, l’art et la science, la vocation et le devoir, la raison et la foi. La nostalgie et le fétichisme sont conjurés par les joies et les vertiges de l’expérimentation. Un fondu enchaîne son visage et le déroulement de la pellicule sur la table de montage : le travail sera son refuge. La mélancolie de The Fabelmans tient à ce retard, qui est peut-être aussi la condition de son infinie tendresse. Mais peut-être surtout parce que le film envisage le cinéma non comme un divertissement, mais comme un art, et la réalisation non comme un métier, mais comme une vocation. The Fabelmans est un modèle de mise en scène classique, chaque plan construisant un agencement dynamique entre les lieux, les acteurs, la lumière et l’appareillage technique. Or, The Fabelmans s’attache à un monde sur le point de s’éclipser. À Sammy, il proclame sans détour l’incompatibilité de la famille et de l’art. Il ne bondit pas non plus de son siège, comme ceux qui, dans le salon indien du Grand Café, le 28 décembre 1895, virent un train entrer en gare de La Ciotat. Sammy vient de découvrir, avec Sous le plus grand chapiteau du monde, la puissance sidérante du cinéma hollywoodien. Et voilà que dans un geste insensé, le méchant remonte la voie ferrée en voiture afin de prévenir une collision et ainsi sauver celle qu’il aime, Angel. D’un coup de revolver, un homme masqué brise la vitre de la locomotive.
Dominique Poncet est chroniqueuse pour Culture-Tops. Culture-Tops est un site de chroniques couvrant l'ensemble de l'activité culturelle (théâtre, ...
Au total, ses films ont rapporté plus de dix milliards de recettes dans le monde entier, ce qui le hisse au rang du réalisateur le plus rentable de l’histoire du Septième Art. Cela donne ce récit d’apprentissage vif, drôle, brillant et malicieux, en même temps, émouvant et nostalgique, sur l’enfance d’un petit garçon juif, timide et dyslexique qui se jura un jour de sa septième année où ses parents l’avaient littéralement « traîné au cinéma », de devenir cinéaste ! de son film, le cinéaste a fait appel pour la quatrième fois au compositeur John Williams, le musicien aux 5 Oscars. Le cinéaste Spielberg ressent l’urgence de le tourner. Le jeune Gabriel LaBelle compose un Sammy sensationnel d’enthousiasme et de nostalgie mêlés. Heureusement, il y a les courts-métrages, de plus en plus élaborés, qu’il bricole dès qu’il le peut, avec ses copains et ses sœurs. Le scénario d’un film s’ébauche, s’écrit, se reprend et se finalise sous le titre de The Fabelmans. Et le père de E.T. Entre sa dyslexie, les moqueries de ses camarades d’école à cause de sa judéité, les déprimes incompréhensibles de sa mère, les idées hurluberlues de son oncle Boris et la carrière de son père, qui va obliger toute la famille à déménager dans l’Ouest, à Los Angeles, l’existence de Sammy n’est pas rose tous les jours. Soutenu par sa fantasque et fragile pianiste de mère, (Michelle Williams) et son génial, mais rigoureux, ingénieur de père (Paul Dano), Sammy va grandir habité par son obsession de devenir réalisateur. DeMille, vient de décider de sa vie future : du haut de ses six ans, Sammy se jure qu’il consacrera le reste de son existence au 7ème art. Sitôt rentré chez lui, il essaie de reproduire le déraillement de train qui l’a tant chamboulé dans le film de DeMille et il immortalise son accident miniature grâce à la caméra Super 8 familiale…
Pourquoi Steven Spielberg a-t-il baptisé son nouveau film "The Fabelmans" et pas "The Spielbergs" ? La réponse est logique et tient notamment au caractère ...
Et voilà comment The Fabelmans a été choisi, et la raison pour laquelle Steven Spielberg n'utilise pas son vrai nom dans un film largement inspiré de sa jeunesse. Et parce qu'il s'agit d'un film autobiographique pour Steven, mais que ce n'est pas une autobiographie ou un documentaire, il y a aussi un élément fictionnel. Et pour faire passer ce message aux spectateurs, Spielberg et son co-auteur ont choisi un nom fictionnel qui n'est pas
À travers son histoire familiale, le réalisateur américain ausculte les ressorts de son art et de sa psyché.
Il faudra le temps du film pour que n’advienne, sous les images, la vérité intime de ce moment, une vérité déchirante pour celui qui filme, celui qui montre, celui qui regarde. On a vraiment cette impression que The Fabelmans boucle un système avec un film qui à la fois additionne et creuse le cinéma de Spielberg. C’est un peu ce que le film fait au cinéma de Spielberg, il le déchire et regarde ce qu’il y a en dessous. DeMille qui convoque avec elle les tout débuts du cinéma et un autre train arrivant en gare de La Ciotat -, mais aussi à la filmographie de Spielberg lui-même. Le film, co-écrit avec le scénariste et dramaturge Tony Kushner, ouvre sur la première sortie de Sammy au cinéma en 1952. Il partage ceci dit avec le film de Chazelle une ambition de référencement - certes plus subtile - à l’histoire du cinéma en général - avec cette citation première de Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B.
REVUE DE PRESSE - Le dernier long-métrage de Steven Spielberg, dans lequel il se raconte, fait l'unanimité auprès de la plupart des critiques.
[dans les colonnes de Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/the-fabelmans-la-confection-intime-de-steven-spielberg-20230221_JA3O3UNMX5HNXGQL7OVF7AK75I/) . [le réalisateur John Ford](https://www.lefigaro.fr/cinema/2016/04/10/03002-20160410ARTFIG00101-john-ford-les-raisons-d-un-chef-d-oeuvre.php) que «quelque chose passe et se transmet», affirme Mathieu Macheret. [Spielberg se raconte](https://www.lefigaro.fr/culture/steven-spielberg-cette-fois-je-ne-me-cache-pas-derriere-des-extraterrestres-ni-des-dinosaures-20230221). «Impossible de ne pas avoir le cœur serré devant une telle mise à nu», avoue [La Voix du Nord](https://www.lavoixdunord.fr/1294222/article/2023-02-21/fabelmans-ou-l-apprend-que-la-vie-de-steven-spielberg-est-un-magnifique-scenario) . Le film retrace le parcours du jeune Sammy (Gabriel LaBelle), de ses 6 à ses 16 ans. «Quel film!», «inoubliable», «magistral et bouleversant»... «C'est en filmant qu'il se met dans la poche une des petites frappes antisémites qui le harcèlent au lycée. «Mais je n'ai jamais eu le courage d'affronter cette histoire complètement», a-t-il confié à la cérémonie des Golden Globes, alors qu'on lui remettait [le prix du meilleur film](https://www.lefigaro.fr/cinema/en-quete-de-redemption-les-golden-globes-honorent-steven-spielberg-20230111) pour The Fabelmans, mi-janvier. Son histoire, il l'a déjà évoquée, «par partie et par parcelles tout au long de sa carrière», avec [E.T., l'extraterrestre](http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/ce-soir-tele/e-t-steven-spielberg-et-son-double-sur-le-divan-de-france-5-20230217) , A.I. Avec The Fabelmans, le réalisateur confirme «son statut de gardien du temple du cinéma américain», écrit Olivier Lamm Cela créera des larmes et de l'incompréhension, conduira à un divorce d'une tristesse muette. Ses parents insistent et l'emmènent voir Sous le plus grand chapiteau du monde, de Cecil B.
On y suit Sammy, incarné par l'acteur Gabriel LaBelle, qui, avec ses parents, découvre le film Sous le plus grand chapiteau du monde, réalisé par Cecil B.
Steven Spielberg a lui-même confié au Time Magazine que le scénario a été, en effet, un très long processus. Tony Kushner a alors conseillé à Steven Spielberg de faire de cette expérience un film. Pour le petit garçon, c'est un choc émotionnel et c'est donc dès l'âge de 6 ans qu'il rêve de faire du cinéma et de réaliser, lui aussi, ses propres films.
Depuis près de 50 ans, leurs deux noms sont indissociables et forment un tandem magique, une complicité mimétique, une alchimie rare, mondialement reconnue.
Un John Williams très inspiré encore une fois qui délaisse ses motifs musicaux habituels pour composer une musique pensée comme un symbole de l'espoir et un hommage à la tradition musicale juive. Et parmi ce dernier thème, un sous-genre occupe une place prépondérante en l’occurrence la période des années 40 et de la Seconde Guerre mondiale qui sert de cadre chronologique à des films comme 1941, L’Empire du soleil, Il faut sauver le soldat Ryan ou encore La Liste de Schindler en 1993, couronné par sept Oscars dont celui de meilleur réalisateur pour Steven Spielberg et de la meilleure musique pour John Williams. l’extra-terrestre rencontre un succès immédiat, dépassant Star Wars : Un nouvel espoir pour devenir le film le plus rentable de tous les temps. Cette fois, George Lucas coécrit le scénario et produit ce premier volet des Aventuriers de l’arche perdue qui en comptera cinq en 2023 avec la sortie d’un nouvel opus attendu en principe cet été. A ce jour, John Williams a écrit depuis 1974 la musique de presque tous les films de Steven Spielberg à l'exception de quatre : La Couleur pourpre, Le Pont des espions, Ready Player One et West Side story. Et comme à l’accoutumée, John Williams signe le score du film, un score très enveloppant.
Au lendemain de la sortie du dernier film de Steven Spielberg dans les salles françaises, la moyenne des notes données par la presse française au film a été ...
C’est également un événement au sein de la filmographie du roi de l’entertainment : détrônant E.T., l’extra-terrestre (situé au 114e rang avec une note de 4,8/5), The Fabelmans devient son film le mieux placé dans la liste, sans compter Duel, son film de 1971 à la note parfaite de 5/5, estimée sur la base d’une seule critique… 2005 et la sortie de [Million Dollar Baby](https://www.lesinrocks.com/cinema/million-dollar-baby-32546-01-01-2005/), réalisé par Clint Eastwood. [The Fabelmans](https://www.lesinrocks.com/cinema/pourquoi-le-sublime-the-fabelmans-est-le-film-le-plus-intime-de-steven-spielberg-539585-20-02-2023/).
Comment ne pas s'intéresser à un nouveau Spielberg ? The Fabelmans, c'est la sortie ciné de la semaine ! Le film propose un regard très personnel sur ...
mais The Fabelmans nous donne un petit aperçu du passé qui a façonné l’un des plus grands réalisateurs de la planète et nous livre, dans le même temps, une sublime leçon de cinéma. Son explication de la différence entre oser placer sa tête dans la gueule d’un lion et le fait de savoir l’empêcher de la fermer est digne d’un dialogue d’Audiard… Quoi qu’il arrive, l’héritage de Spielberg perdurera et le mot FIN ne sera pas de mise dans ce genre d’histoire… En dirigeant les acteurs d’un film de guerre amateur, il découvre que la manipulation des émotions peut permettre d’atteindre le cœur de la vérité. Mais, dans le portrait affectueux et implacable de cet écosystème familial, c’est la mère, une Michelle Williams terriblement inspirée, qui l’emporte. Au fil des années, Sammy, à force de pointer sa caméra sur ses parents et ses sœurs, est devenu le documentariste de l’histoire familiale !
Comment le réalisateur parvient-il à une telle maîtrise acrobatique de l'autobiographie ? Probablement en refusant d'en être le personnage principal. Car si la ...
Le tableau prend alors forme, le jeune Sammy est le digne héritier de sa mère, et si son talent a pu éclore, c’est en partie grâce à sa famille, dépeinte avec grande justesse jusqu'à son déchirement. Car si la narration est bel est bien cousue autour des fils de la personnalité en construction de Sammy Fabelman, le film peut être interprété comme un hommage poignant à sa famille, et surtout à sa mère, brillamment interprétée par Michelle Williams. Dans cette autobiographie libre de Steven Spielberg, The Fabelmans suit l’enfance et l’adolescence de Sammy Fabelman, un personnage alter-ego du metteur en scène, plongé dans la fièvre réalisatrice dès son plus jeune âge.
Steven Spielberg est incontestablement le plus grand réalisateur de la décennie. Ce mercredi 22 février 2023, sortait en salles son film le plus in...
En 2022, il campe un rôle dans huit épisodes de la série American Gigolo. Or, pour ce faire, il devait trouver un acteur capable d'incarner ce jeune génie, à l'aube de sa carrière dans le cinéma. Après avoir passé de multiples casting, il décroche un rôle en 2013, dans une série policière canadienne. [Jurassic Park, dont il n'étendra pas la saga,](https://www.voici.fr/news-people/actu-people/steven-spielberg-ne-realisera-pas-jurassic-park-4-437280) s'était lancé le défi de réaliser un film sur sa jeunesse. Et la performance de Gabriel LaBelle, dans le rôle de Sammy, y est pour quelque chose. Qui est cet extraordinaire jeune acteur de seulement 20 ans ?
Le film très personnel de Steven Spielberg réussit son lancement, devant Les Choses simples aux débuts prometteurs ; À la belle étoile complète le podium.
Dans le registre de “mise au vert thérapeutique”, le film porté par Grégory Gadebois et Lambert Wilson signe un meilleur résultat qu’Hommes au bord de la crise de nerf (16 000 billets), sorti l’an passé sous pavillon Warner. The Fabelmans, qui explore la jeunesse du cinéaste et sa découverte de la caméra, attire plus de 40 000 curieux sur la seule journée du mercredi pour un total, en incluant les avant-premières, d’environ 65 000 spectateurs. Ses 38 000 tickets écoulés, AP incluses, représentent ainsi un meilleur lancement que les deux précédents longs d’Eric Besnard, sortis post-Covid : Délicieux (27 500) accompagné également par SND, et L’Esprit de famille (18 000) distribué par Apollo.
Les salles françaises affichent de nombreux films à destination des familles et du grand public (Alibi.com 2, Astérix et Obélix, Ant-Man et la Guêpe : ...
[Jet Lag](https://www.lesinrocks.com/cinema/jet-lag-le-confinement-reve-de-zheng-lu-xinyuan-535938-20-02-2023/), le second film de la talentueuse réalisatrice chinoise Zheng Lu Xinyuan. En 2021, elle séduisait déjà 1 288 spectateur·rices avec [The Cloud in Her Room](https://www.lefilmfrancais.com/film/57805/the-cloud-in-her-room), dont 121 entrées réalisées dès le premier jour. Le Pont des espions et Pentagon Papers réunissaient respectivement 33 587 et 54 204 spectateur·rices pour leur premier jour en salle, soit une fourchette dans laquelle se situe [The Fabelmans](https://www.lesinrocks.com/cinema/pourquoi-le-sublime-the-fabelmans-est-le-film-le-plus-intime-de-steven-spielberg-539585-20-02-2023/), avec ses 40 880 tickets vendus sur son premier jour d’exploitation. Le film peut tout de même espérer sur un bouche-à-oreille favorable, alimenté par les 825 entrées réalisées en avant-premières, pour franchir la barre des 2000 entrées. [unanimement conquise](https://www.lesinrocks.com/cinema/the-fabelmans-de-steven-spielberg-recoit-un-accueil-dithyrambique-de-la-presse-francaise-540634-23-02-2023/) par le retour de [Steven Spielberg](https://www.lesinrocks.com/cinema/steven-spielberg-itineraire-d-un-cineaste-en-quete-de-famille-538669-22-02-2023/), l’attrait du public pour The Fabelmans était pour le moins incertain. Parmi les sorties de la semaine, “The Fabelmans” s’inscrit clairement en tête des nouveautés avec un démarrage réussi.
Bercé dès son plus jeune âge par le cinéma du Nouvel Hollywood, Vincent découvre très tôt les œuvres de Martin Scorsese, Coppola, De Palma ou Steven Spielberg.
[Les Choses simples](/film/fichefilm_gen_cfilm=309055.html). Il devance d'un cheveu le drame [Arrête avec tes mensonges](/film/fichefilm_gen_cfilm=258503.html) et ses 12 795 entrées. Pari gagné pour le réalisateur. [Last Dance](/film/fichefilm_gen_cfilm=291154.html) : 956 entrées (dont 825 en AVP) [Chevalier noir](/film/fichefilm_gen_cfilm=303337.html) : 1 491 entrées (dont 387 en AVP) [Petites](/film/fichefilm_gen_cfilm=295064.html) : 3 145 entrées (dont 1 633 en AVP)