Poutine

Ce mardi 21 février, le président russe Vladimir Poutine a accusé l'Occident d'utiliser le conflit en Ukraine pour « en finir » avec la Russie, ...

La diplomatie russe a également convoqué ce mardi l'ambassadrice américaine à Moscou pour lui remettre une note exigeant des États-Unis le retrait des « soldats et équipements » de l'Otan en Ukraine, référence à l'aide militaire que Kiev reçoit des Occidentaux. « Nous avons assuré la stabilité de la situation économique, protégé les citoyens », a-t-il noté, estimant que l'Occident avait échoué à « déstabiliser notre société ». « Nous avons fait tout ce qui était possible pour résoudre ce problème pacifiquement, négocié de manière pacifique une solution pour sortir de ce conflit difficile, mais dans notre dos, un scénario bien différent était en train de se préparer », a dit le président russe qui s'exprimait devant le Parlement. « La responsabilité de l'attisement du conflit ukrainien et ses victimes (...) repose totalement sur les élites occidentales », a encore dit le président russe, répétant sa thèse selon laquelle l'Occident appuie des forces néo-nazies en Ukraine pour y consolider un État anti-russe. Face à l'élite politique du pays et des militaires ayant combattu en Ukraine, il a aussi remercié « tout le peuple russe pour son courage et sa détermination ». Vladimir Poutine a accusé mardi l'Otan et l'Occident d'attiser le conflit en Ukraine en pensant à tort pouvoir vaincre la Russie dont ils cherchent à détruire l'existence.

OPINION. Dans le conflit qui oppose l'Ukraine à la Russie, il y a un seul agr...

(*) Arthur de Liedekerke est directeur des affaires européennes au sein du cabinet de conseil en géopolitique Rasmussen Global et chercheur associé à l'Université de Kiel. N'avons-nous rien appris de la chute de Kaboul, où une communication du calendrier et des intentions américaines, a donné à l'adversaire les éléments pour les défaire ? Car comme le disait le dissident russe Alexandre Sobkov dans un récent article pour Desk Russie, « il n'y a aucun moyen de contraindre le régime de Poutine à se retirer volontairement de ces territoires. Il parie sur le poids des hausses du prix de l'énergie dans le moral des ménages. Schmitt le proclame avec justesse dans son papier pour le Grand Continent : une livraison d'avions de combat ou de chars lourds ne constitue pas, en soi, une escalade sur le théâtre ukrainien, mais plutôt un rééquilibrage des rapports de force. L'équilibre entre un soutien diplomatique, matériel et financier des États européens et leur basculement dans la guerre est certes fragile mais nous avons parfois péché par excès de prudence.

Près d'un an après l'invasion de l'Ukraine, Vladimir Poutine a accusé l'Occident d'utiliser le conflit pour "en finir" avec la Russie, dans un discours ...

Et les prêtres sont obligés de bénir les mariages entre homosexuels", a-t-il lancé dans son allocution. "Pour assurer la sécurité de notre pays, pour éliminer les menaces venues d'un régime néonazi existant en Ukraine depuis le coup d'État de 2014, il a été décidé de mener une opération militaire spéciale. Depuis le début de l'assaut contre l'Ukraine, toute critique de l'armée est passible de 15 ans de prison, et les rares figures de l'opposition à ne pas s'être exilées ont été incarcérées, à l'instar d'Ilia Iachine et de Vladimir Kara-Mourza. Mais de nombreux anonymes ont également été arrêtés pour avoir pris position contre le Kremlin. Selon lui, la baisse du PIB en 2022 de seulement 2,1 % est un succès. [Vladimir Poutine](https://www.france24.com/fr/tag/vladimir-poutine/) a accusé mardi 21 février l'Occident d'utiliser le conflit en Ukraine pour "en finir" avec la Russie, [dans un discours annuel sur l'état de la nation](https://www.france24.com/fr/vidéo/20230221-replay-discours-de-vladimir-poutine-devant-la-nation), estimant que les Occidentaux portaient "la responsabilité" de l'escalade.

Dans un discours au vitriol, prononcé trois jours avant l'anniversaire de la guerre en Ukraine, le chef du Kremlin a annoncé la fin de la participation ...

[son discours du 30 septembre](https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/ukraine-vladimir-poutine-fait-durer-le-suspense-avant-une-declaration-tres-attendue-1794697) sur l'annexion de quatre régions ukrainiennes. Au lendemain de [la visite du président américain Joe Biden dans la capitale ukrainienne](https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/guerre-en-ukraine-le-president-americain-joe-biden-en-visite-surprise-a-kiev-1908222) , une humiliation non mentionnée dans son discours, Vladimir Poutine s'est contenté de dénoncer les fondements « néonazis » du « pouvoir de Kiev ». Mais surtout, il n'a pas exposé un début de stratégie pour remporter cette « guerre ». Si, à plusieurs reprises, il a remercié « tout le peuple russe pour son courage et sa détermination », Vladimir Poutine n'a pas précisé quels étaient ses partenaires étrangers. Autant de succès économiques qui ont formé l'autre fil conducteur de ce discours au vitriol conclu par un tonitruant « pour la victoire, pour la nation ! Sa suspension n'implique pas que le Kremlin va déployer des ogives supplémentaires, mais qu'il se réserve le droit de mener des essais nucléaires, « si Washington en réalise », a précisé Vladimir Poutine, et qu'il n'autorisera plus les inspections américaines sur ses sites. « Les élites de l'Ouest ne cachent pas leur objectif : infliger une défaite stratégique à la Russie, en finir une bonne fois pour toutes avec nous », a lancé Vladimir Poutine sous les applaudissements. Le traité plafonne à 1.550 le nombre d'ogives nucléaires stratégiques (de très forte puissance) déployées par chaque pays, soit quatre fois moins que le niveau observé à la fin de la Guerre froide. Il a aussi garanti que chaque famille de soldats en deuil bénéficierait d'une aide personnalisée de la part des services sociaux. L'an passé, contrairement à ce que la Constitution exige du président, il n'avait pas prononcé de discours à la nation. » Pendant près de deux heures ce mardi, Vladimir Poutine a axé son adresse à la nation sur la « guerre » en Ukraine. Nous avons tout fait pour l'éviter », a déclaré le président, reprenant son habituel narratif anti-occidental devant des parlementaires, des ministres, des PDG de groupes publics, des représentants religieux et…

Dans un discours à la nation au vitriol, le maître du Kremlin s'est dépeint en rempart contre un Occident décadent, déterminé selon lui à «en finir» avec la ...

«L’Otan cherche à infliger une défaite stratégique à la Russie», a-t-il déclaré, affirmant avoir mis ses armes stratégiques en état d’alerte, prêtes au combat… Entre deux tirades destinées à décrire l’ordre mondial de ses rêves, dans lequel les Etats-Unis seraient affaiblis, Vladimir Poutine a décrit des régions de Donetsk et Louhansk en cours de russification. «Pas la peine de les poursuivre devant leurs tribunaux, investissez en Russie, vous êtes des gens forts, aidez nos écoles et nos universités, les vrais Russes investissent en Russie.» Les écoliers «qui envoient des lettres aux combattants» ont ainsi été remerciés, tout comme les Russes «qui fabriquent des camouflages pour nos soldats» et les secouristes engagés dans le Donbass. En bon chef de guerre, il a décrit une menace existentielle à laquelle la Russie doit faire face – «les élites de l’Occident ne cachent pas leur objectif : infliger une défaite stratégique à la Russie, c’est-à-dire en finir avec nous une bonne fois pour toutes» – et une Russie dans son bon droit «face aux nationalistes ukrainiens». Le président russe a ainsi décrit une Ukraine illégitime, qu’il estime dirigée, «prise en otage» par les Etats-Unis qui utiliserait le peuple «comme du consommable».

Au lendemain de la visite surprise de Joe Biden à Kiev, Vladimir Poutine prononce ce mardi un discours très attendu sur l'état de la Fédération de Russie.

« Et je soupçonne que vous l’entendrez adresser des messages à M. Il doit rencontrer à Varsovie le président Andrzej Duda et d’autres dirigeants polonais, qui comptent parmi les principaux soutiens européens de l’Ukraine. Le président américain devrait saluer la manière dont les États-Unis ont contribué à rallier le monde au soutien de l’Ukraine aux premières heures de l’offensive russe. Ce jour-là, le président russe avait officialisé [l’annexion des quatre régions ukrainiennes](https://www.leparisien.fr/international/ukraine-poutine-reconnait-lindependance-des-regions-de-zaporijjia-et-de-kherson-30-09-2022-Y2L73V42ANA5BA3B2IEGRZXGDQ.php?ts=1664520826776) - Donetsk, Louhansk, Zaporijjia et Kherson - dans lesquelles des « référendums » dénoncés par toute la communauté internationale avaient été organisés en quelques jours, et dont les résultats signaient « sans équivoque » le rattachement à la Fédération de Russie. Il « fera clairement savoir que les États-Unis continueront à soutenir l’Ukraine (…) aussi longtemps qu’il le faudra », selon le porte-parole du Conseil national de sécurité, John Kirby, qui s’est adressé aux journalistes la semaine dernière. Il doit aussi exposer les objectifs de la deuxième année de guerre, les combats s’enlisant le long d’un front actif de 1 500 km dans l’est de l’Ukraine, malgré quelques points chauds mortellement disputés, comme la ville en ruines de Bakhmout.

Joe Biden a effectué une visite surprise à Kiev lundi, promettant de nouveaux armements et un soutien "indéfectible" à son allié ukrainien.

Cette attaque constitue une violation des lois de la guerre et un crime de guerre apparent", écrit HRW dans cette enquête, réalisée avec l'agence d'investigations visuelles SITU Research. "La cristallisation se fait toujours autour de Bakhmout. "Dans les premières heures du 24 février, j'écrivai encore à une amie ukrainienne, en lui disant que la Russie n'attaquerait jamais l'Ukraine", explique-t-il. Et nous allons régler pas à pas, soigneusement et méthodiquement, les objectifs qui se posent devant nous", a-t-il déclaré, promettant de poursuivre son offensive. Parmi ces réfugiés, Bogdan, originaire de Kherson, explique que "tout a changé, c'est très difficile maintenant". Il en va de l'existence de notre pays." Le chef de l'État a commence son discours devant l’assemblée fédérale, qui rassemble les deux chambres du Parlement russe. Vladimir Poutine a à nouveau accusé les États-Unis et l'Otan d'avoir orchestré le conflit. Au micro de BFMTV, il relate comment sa vie a également basculé le 24 février 2022. - Le président russe Vladimir Poutine prend la parole ce mardi, à partir de 10 heures, heure française. Poutine lors d'un discours fleuve fortement hostile aux Occidentaux, appelant les autorités russes à se tenir "prêtes pour des tests d'armes nucléaires" si Washington en réalise en premier. "Personne n'attaque la Russie.

Et dans ce duel, c'est « Biden qui a en tout cas lancé le premier défi au maître du Kremlin avec sa visite surprise hier [20 février, NDLR] à Kiev pour ...

[Le CIO propose](https://www.rfi.fr/fr/podcasts/invité-international/20230204-participation-des-athlètes-russes-et-biélorusses-aux-jo-2024-le-cio-aura-le-dernier-mot) un retour des sportifs russes sous drapeau neutre à condition « qu'ils n'aient pas activement soutenu la guerre en Ukraine ». Alors que les autorités ukrainiennes exigent toujours « l'exclusion des sportifs russes et biélorusses aux Jeux olympiques, tant que la guerre d'agression de la Russie fait rage », rapporte le Frankfurter Allgemeine Zeitung. La Chine comme l'Otan « sont déterminés à ne pas permettre une escalade mondiale du conflit ukrainien », analyse encore le quotidien britannique. Le quotidien nationaliste chinois fustige « une visite irrationnelle et égoïste ». « Un symbole très fort dans une zone de guerre », salue La Repubblica. [entre Biden et Poutine](https://www.rfi.fr/fr/amériques/20230221-la-visite-de-biden-à-kiev-cristallise-les-critiques-des-républicains-quant-au-soutien-à-l-ukraine) », commente le New York Times, alors que le président russe a fustigé ce mardi matin, « l'Occident qui menace l'existence de la Russie », dans un discours agressif auquel le président Biden devrait répondre dès cet après-midi lors d'une « allocution très attendue » à Varsovie.

Tandis que Joe Biden, en visite à Kiev, électrise le camp occidental, les forces autocratiques se rassemblent. Le temps presse.

Déterminé à poursuivre sa guerre absurde, Vladimir Poutine, adoptant une posture de victime, a dénoncé une tentative de l’Occident d'"en finir" avec la Russie et de transformer "un conflit local en conflit mondial". Sans aide massive - et rapide -, l’armée ukrainienne ne pourra pas lancer de contre-offensive après la "raspoutitsa" (fonte des neiges) et le conflit s’enkystera dans une guerre de tranchées. Proche d’une guerre qui opposerait les Etats-Unis et leurs alliés à une coalition lourdement dotée en armes nucléaires. Le message est clair : les Etats-Unis n’accepteront pas une défaite de l’Ukraine. Les mots du président américain à Kiev ne se graveront sans doute pas dans les mémoires comme le "Ich bin ein Berliner" de John F. "Il avait tout faux", a asséné Joe Biden, en réaffirmant le "soutien indéfectible" des Etats-Unis à "l’intégrité territoriale" de l’Ukraine.

De Donetsk à Kiev, l'itinéraire d'un soldat perdu entre les lignes de front. Dans le monde en noir et blanc des conflits, Vladyslav L. est en zone grise.

[Lire tous nos articles, analyses et reportages sur la guerre en Ukraine](https://www.lemonde.fr/crise-ukrainienne/) [Volodymyr Zelensky, les années russes](https://www.lemonde.fr/international/article/2023/02/20/volodymyr-zelensky-les-annees-russes_6162511_3210.html) - D’après le bureau du procureur général ukrainien, 461 enfants ont été tués en Ukraine depuis le début de la guerre, il y a près d’un an, et 924 ont été blessés. Le plus grand nombre de victimes a été enregistré dans l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays, où 445 enfants ont été tués ou blessés. Selon les médias italiens, Mme Meloni doit se rendre d’abord à Boutcha et à Irpine avant de rencontrer M. Poutine a également appelé le ministère de la défense et l’agence fédérale de l’énergie atomique Rosatom à se tenir « prêts pour des tests d’armes nucléaires » si les Etats-Unis en réalisaient en premier. - La première ministre italienne, Giorgia Meloni, est arrivée à Kiev en train, depuis la Pologne. [sur ce lien](https://www.lemonde.fr/international/live/2023/02/19/guerre-en-ukraine-en-direct-emmanuel-macron-assure-a-volodymyr-zelensky-qu-il-soutiendra-son-plan-de-paix_6162435_3210.html). Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’Alliance atlantique, a appelé la Russie « à revoir sa position ». « Une annonce décevante et irresponsable », selon Antony Blinken, le chef de la diplomatie américaine. » » M.

Vladimir Poutine a prononcé ce mardi 21 février son discours annuel à la Nation, au cours duquel il promet de continuer "soigneusement et méthodiquement" ...

Plus de deux heures de discours et une phrase qui résume à elle seule la stratégie de Vladimir Poutine après presque un an de guerre en Ukraine : il promet de continuer "soigneusement et méthodiquement" cette offensive. Mais plus concrètement, on sait que sur le terrain, des rumeurs annoncent que la Russie se préparerait à une nouvelle offensive. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Vladimir Poutine l'a rappelé dans son discours : toute l'économie russe est tendue vers ça. D'ailleurs, pas une fois il ne parle de possibles négociations, d'une possible fin de conflit... En revanche, le président russe n'a pas dit un mot sur les pertes colossales subies par son armée.

Au 362e jour de guerre, le président russe, Vladimir Poutine, doit tenir un discours, mardi 21 février. Une prise de parole devant les députés russes qui ...

«Je voudrais simplement remercier tout le monde, le peuple russe pour son courage et remercier nos héros des forces armées, des forces frontalières et de tous les services de sécurité, en particulier leurs escadrons de Donetsk et de Louhansk», a déclaré Vladimir Poutine dans son discours devant l’Assemblée fédérale à Moscou. «Le 24 février, nous avons entamé une journée qui ne s’est toujours pas terminée.» Un an après le début de la guerre, le maire de Kyiv Vitali Klitschko est une figure centrale de la résistance ukrainienne. Vladimir Poutine annonce la suspension de la participation de la Russie à l’accord New Start sur le désarmement nucléaire. Le président russe a ajouté que le Kremlin allait créer un fonds spécial pour offrir «une aide ciblée aux familles des soldats morts et aux vétérans de l’opération militaire spéciale». Dans une conférence de presse organisée au siège de l’Otan en compagnie de Josep Borell, le chef de la diplomatie européenne, et de Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, le chef de l’Otan Jens Stoltenberg a dit regretter la décision de Moscou de suspendre sa participation à New Start, un accord sur le désarmement nucléaire. Le chef de l’Otan regrette la décision de la Russie de suspendre sa participation à New Start. Pour Blinken, la guerre de la Russie en Ukraine est un échec stratégique à tous égards. «Je regrette la décision annoncée par la Russie aujourd’hui de suspendre sa participation au traité New Start», a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse à Bruxelles, évoquant ce texte qui est le dernier accord bilatéral du genre liant Washington et Moscou. Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken fustige la décision de la Russie de suspendre sa participation à l’accord New Start sur le désarmement nucléaire. «Votre visite est un signe important de sécurité, un signal de la responsabilité des États-Unis pour la sécurité du monde et de l’Europe. Pour Blinken, le revirement de la Russie sur New Start est «très décevant et irresponsable». Le président Duda a salué le «geste extraordinaire» de Joe Biden.

PODCAST - Un an après le début du conflit, Bénédicte Tassart s'arrête sur les ambitions politiques et militaires du Kremlin avec les journalistes Sophie ...

Pour lui, il est clair que les autres républiques, comme l'Ukraine, appartiennent toujours à la sphère russe. Il avait fait allusion à une chanson d’un groupe punk russe en conférence de presse, et s’adressant aux Ukrainiens : "Que ça te plaise ou non, fais avec ma jolie". Le chef du Kremlin vient de signer, au cours d’une cérémonie, l’annexion des quatre régions : Zaporijjia, Kherson, Lougansk et Donetsk.

Vladimir Poutine a pris la parole à Moscou, ce mardi 21 février, près d'un an après le début de la guerre en Ukraine. Joe Biden, le président américain, ...

Le conflit ukrainien et les victimes, c’est l’Occident et le régime de Kiev qui en est responsable. "Le peuple ukrainien est devenu l’otage du régime de Kiev et des Occidentaux. Nous avons créé ces prototypes et maintenant il faut impliquer les entreprises pour les produire en série." L'Alliance atlantique est "plus forte que jamais" en cet anniversaire du déclenchement par la Russie de la guerre en Ukraine, a souligné mardi à Varsovie le président américain Joe Biden. La Russie compte sur vous." "Le monde n'a pas ignoré la situation, nous avons été forts et unis", a poursuivi le président des Etats-Unis, "l'Otan est plus unie que jamais auparavant". "L’Occident s’attendait à un effondrement de notre économie. "Nous ne devons pas détruire nos propre économie. La Russie le sait", assure Joe Biden. Si la Russie décidait de quitter l'Ukraine, cette guerre prendrait fin." "Je me vois contraint d’annoncer aujourd’hui que la Russie suspend sa participation au traité sur les armes stratégiques offensives (New Start). - Le président américain Joe Biden, en déplacement à Varsovie, a affirmé que les "5 prochaines années" seraient "déterminantes".

Après le discours accusateur de Poutine, Washington a dénoncé « l'absurdité » des propos du président russe par la voix de Jake Sullivan.

De son côté, Andriï Iermak, le chef de cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, a affirmé mardi, après le discours à la nation du président russe Vladimir Poutine à Moscou, que l'Ukraine va « chasser et punir » la Russie. Il se concentrera plutôt sur la leçon plus large à tirer de la guerre en Ukraine dans ce qu'il considère comme un « point d'inflexion » dans une lutte mondiale entre démocraties et régimes autocratiques. Un haut responsable américain a dénoncé « l'absurdité » des accusations du président russe, qui a affirmé que la menace occidentale contre la