a fait depuis 30 ans sur la Shoah. Il y a 30 ans, Bandera, collaborateur nazi et génocidaire était considéré comme un assassin par le pouvoir Ukrainien, ...
BHL est tout sauf un philosophe : son inculture politique et historique donne même le vertige. BHL = Sartre. Car en soutenant les USSA de Joe Biden et implicitement leur “théorie de la race” nazie et le rejet de l’universalisme.
L'intellectuel Bernard-Henri Lévy était l'invité de BFMTV ce dimanche soir, trois jours avant la sortie de son documentaire tourné en Ukraine Slava Ukraini.
Bernard-Henri Lévy a d'ailleurs salué l'engagement de l'Elysée - Peut-on négocier avec l'homme responsable de Boutcha", a-t-il repris, avant d'affirmer: "Il y a une vraie stratégie russe du charnier". L'auteur a cherché à justifier sa saillie: "Après son poste à Dresde pour le KGB, Vladimir Poutine s'est formé dans la guerre des gangs à Saint-Pétersbourg, et c'est un homme qui n'a pas de parole".
« Slava Ukraini », de Bernard-Henri Lévy, sortira en salles le 22 février. Christine Angot l'a vu en avant-première, et livre au JDD ses impressions.
Le piano mélancolique accompagne la voix sur le mot sláva, qui veut dire « gloire » et qui est la racine de « slave ». Il pose une question à un combattant sur « le moral », avec le ton du journaliste, et de l’exhortateur qui donne du courage. La voix dit : « Malraux, l’Espagne, les brigades internationales. La vie n’a pas eu raison de la mort. Sur le canapé grenat, à l’entresol, il me dit :– Je vais mourir bientôt. Le visage crispé, il ajoute que son père et sa mère sont morts tous les deux à 75 ans. La voix off : « Le courage que depuis le début j’admire chez mes amis ukrainiens. » Lui le nanti. Il le sait. À l’entresol, il y avait deux canapés en angle en velours grenat, il s’est assis au bout du siège, les coudes sur les genoux, attentif. Nous, le public, les journalistes, les Français, il sait qu’il n’est pas aimé. Depuis sa naissance médiatique, à 30 ans, sur le plateau de Bernard Pivot, dénonçant l’URSS autocratique.
Réalisé par Bernard-Henri Lévy, le film Slava Ukraini sortira en salles sombres le 22 février 2023. Après l'avoir visionné en avant-première, ...
[Arielle Dombasle et Bernard-Henri Lévy amoureux : tendre baiser pour une chic soirée parisienne avec les VIP](/article/arielle-dombasle-et-bernard-henri-levy-amoureux-tendre-baiser-pour-une-chic-soiree-parisienne-avec-les-vip_a477109/1) [Voir toutes les news de Bernard-Henri Lévy](/people/bernard-henri-levy_p2056/articles/1) [Exclusif - Bernard-Henri Lévy et Olena Zelenska lors de la soirée de gala au profit de la fondation Olena Zelenska à la salle Pleyel à Paris le 13 décembre...](/diapo/-je-vais-mourir-bientot-bernard-henri-levy-sur-la-fin-de-vie-cet-age-qui-l-effraie-pour-une-raison-bien-precise_a504773/1) [Exclusif - Bernard-Henri Lévy lors de la soirée de gala au profit de la fondation Olena Zelenska à la salle Pleyel à Paris le 13 décembre 2022. J'en ai plus pour longtemps", a confié l'éditorialiste à sa première spectatrice pour [Lors de l'avant-première de ce documentaire](/article/bernard-henri-levy-fou-d-arielle-dombasle-baisers-fougueux-et-gestes-tendres-devant-sa-fille-justine_a504080/1) le 6 février 2023 au cinéma Le Balzac, de Paris, de très nombreux politiques et VIP étaient présents et ça a été une longue standing ovation. Un sentiment transcendant de "dernière fois"... Un entretien dans lequel celui que Christine Angot dépeint comme "un homme hyper-sensible" s'est également confié sur la fin de vie.
Dans son film “Slava Ukraini”, qui sort en salles le 22 février prochain, le philosophe rend hommage au peuple ukrainien, à sa résistance et à son courage.
Par la capitulation de la Russie. " La défaite de l'Ukraine ? Et vous connaissez un signe plus fort de la volonté de se conformer aux règles de l’Union Européenne ? Un hommage au peuple ukrainien et à son incroyable courage qu’il a rencontré de septembre à décembre derniers ; un appel à la mobilisation des Européens face à Poutine qu’il dénonce depuis des années. Car ces gens, ces « va-t-en-paix », ces « chiens de paix » comme on dit les « chiens de guerre », si on les écoutait, ne feraient que prolonger la guerre. Et, parmi ceux-là, il y en a une bonne dizaine qui ont une vie, une famille, une âme, et qui ont le moyen, à tout moment, de bloquer le processus. Et arrêter, surtout, avec l’image fantasmée d’un Poutine le doigt sur le bouton, prêt à appuyer et à faire sauter la planète. Pour ces hommes-là, la France reste le pays des droits de l'homme, l’allié absolu, la nation sœur. Macron a toujours dit : « c’est aux Ukrainiens, et aux Ukrainiens seuls, de décider si la victoire signifie la récupération du Donbass, de la Crimée, etc. Depuis les Canons Caesar jusqu’aux chars AMX-100 en passant par les systèmes de détection aériennes, la France a livré à peu près tout ce que les Ukrainiens lui demandaient. Et, secundo, que les termes, le moment, de cette victoire ce n’est pas lui, Macron, qui en déciderait. La guerre et la résistance.
Dans Quelle époque, la venue du philosophe Bernard-Heni Lévy a été très commentée. Les internautes se sont plutôt déchainés sur l'écrivain, ...
Au cours de l'émission, BHL a été interrogé, sur un ton beaucoup plus léger, sur des habitudes de son quotidien. Durant tout son passage sur le plateau, l'écrivain n'a cessé de saluer l'extraordinaire résistance du peuple ukrainien, et affirmé que Vladimir Poutine avait déjà perdu la guerre, selon lui. Venu parler de la guerre en Ukraine, l'écrivain s'est attiré les foudres de nombreux internautes.
Avec la sortie de son film « Slava Ukraini », le philosophe et reporter Bernard-Henri Lévy témoigne des réalités de la guerre. Et de ses héros anonymes.
[Ukraine](/tags/ukraine), le ciel bourdonne, et les gens, entre les deux, prient pour eux et pour leurs morts. Les sinistrés attendent le printemps, et les militaires, les premiers chars Léopard. Et de ses héros anonymes.Par
Bernard-Henri Lévy, le reporter-philosophe, s'explique sur une année passée à écumer et filmer, de Kharkiv à Bakhmout et Kherson, les fronts de cette guerre ...
» Deux jours après leur conversation du mois de mai, BHL finissait un article dans le « JDD » d’un « Je sais ce qu’il me reste à faire ». Le lendemain, les « nazis des nazis », selon la propagande russe, ces implacables ennemis promis à la pire vengeance, déposent les armes. Dans un champ, près de Kharkiv, à la fin de l’été, un général attend le reporter. Il paraît qu’il est devenu tendance en Russie de se faire tatouer la croix orthodoxe à côté de la tête de Staline et que le mot-clé #je n’ai pas honte, sur Twitter, attire des millions de fans pour qui Boutcha – ses 458 civils retrouvés dans des fosses, ses femmes violées, torturées dans des caves, ses cyclistes tirés comme au ball-trap – n’est pas un nom maudit. L’Ukraine a été le théâtre de la sanglante Shoah par balles, elle a ses Justes comme ses barbares antisémites, de quoi faire de son « cas » un motif de discorde jusqu’en Israël. Retour au carnet de bord de « Slava Ukraini ». Parce qu’il est sûr que ce peuple dressé contre le totalitarisme a commencé à offrir à ses fantômes la seule sépulture qui compte, celle de la mémoire, l’intraitable « prince de Samarie » passe avec lui un véritable pacte et lui fixe le rendez-vous « absolu » de sa vie. » On pense encore à de Gaulle, et à la contagion québécoise qui lui fit lancer « Vive le Québec libre ! Grand lecteur de la Bible, BHL ne sera jamais un moine de l’écriture : « En vérité, si je m’enfermais, que je disparaissais comme le philosophe Maurice Blanchot, je crois que je n'écrirais pas. L’homme du ventre de la baleine est l’un des modèles de BHL, avec Baudelaire et Solal, le Juif solaire de « Belle du Seigneur », d’Albert Cohen, dont la lecture a été, l’année de ses 20 ans, une révélation, celle qu’un judaïsme glorieux était possible et qu’il remplacerait le judaïsme doloriste rejeté par son père, magnifique combattant de la guerre d’Espagne et de la France libre qui inscrivit son fils à des cours de combat, pour qu’il ne se laisse jamais traiter de « sale Juif ». Et met un point d’honneur à se présenter, devant les faibles et les puissants, dans les salons et les synagogues et même aux abords des champs de bataille, avec ce costume en guise de politesse incongrue. Dans « Le Monde », un chroniqueur fait mieux.