A l'appel des organisations syndicales, se tient ce jeudi la cinquième journée de grève et de manifestations contre la réforme engagée par le gouvernement.
Si les députés de la Nupes refusent de la voter par idéologie, c'est la voie royale » à la majorité, s'agace Marine Le Pen. La Nupes a déposé des milliers d'amendements, « ce qui ne permettra pas de voter le texte, constate Marine Le Pen sur RTL. Il est temps que la France Insoumise revienne dans un fonctionnement républicain », estime la cheffe de file du RN, Marine Le Pen, sur RTL. Sur ce dernier site, « des profs, gaziers, membres de l'UD 93 et de l'UL et étudiants sont venus soutenir les chauffeurs de bus », indique le parti Révolution Permanente. Un rassemblement des étudiants et des lycéens est prévu à 11 heures, place de la Sorbonne. « On n'est pas là pour se compter, on est là pour se mobiliser contre cette réforme injuste et injustifiée », assure le secrétaire général de FO Maubeuge Alexandre Leleux à BFMTV. Retrouvez [ le point sur les perturbations secteur par secteur.](https://www.leparisien.fr/economie/retraites/greve-du-16-fevrier-sncf-ratp-ecoles-energie-a-quoi-sattendre-ce-jeudi-15-02-2023-OR3DVEJMFNDEPG3WEJ5T5AJAMY.php) Ils vont partir en vacances », regrette le député LFI de la Somme. Le président est plus absent que jamais, il ne réalise pas l'état de tension du pays », déclare Jean-Luc Mélenchon, ancien député et leader LFI, dans la manifestation de Montpellier (Hérault). « La rue s'exprime, c'est important qu'elle puisse donner son avis sur un projet qui ne répond pas aux attentes », martèle Philippe Martinez, qui manifeste aujourd'hui à Albi, dans le Tarn. « C'est les vacances scolaires, on le sait, il n'y a pas un objectif de chiffres. « On est dans une journée avec beaucoup de vacances scolaires, mais aujourd'hui ça marche, parce que la détermination est intacte.
Quelle mobilisation pour le cinquième acte de la journée de grève et de manifestation contre la réforme des retraites jeudi 16 février 2023 à Paris ?
Retrouvez les prévisions de cette journée [ici](https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/greve-du-16-fevrier-a-paris-ligne-par-ligne-les-previsions-de-circulation-dans-les-transports_57415463.html). À la veille de la mobilisation, la professeure de sciences politiques Isabelle Lebreton-Falezan [analysait pour actu.fr](https://actu.fr/politique/reforme-des-retraites-quels-sont-les-scenarios-envisageables-pour-le-vote-du-texte_57263182.html) la situation dans l’Hémicycle. À Colombes, les collèges et lycées affichent aussi leur combat pour les retraites et « contre la casse de l’éducation publique ». Les manifestants traverseront la Seine via le pont de Sully avant de rejoindre la place d’Italie par le boulevard de l’Hôpital.Un i tinéraire bis pourrait être mis en place. [mettre la France à l’arrêt](https://actu.fr/societe/greve-du-11-fevrier-pas-de-perturbations-prevues-sur-les-reseaux-sncf_57311451.html) » lors d’une grève générale le 7 mars. Lors de la journée de grève de mardi, 25 % des agents SNCF avaient suivi le mouvement. La manifestation s’élancera à 14 heures de la [place de la Bastille](https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/carte-greve-du-16-fevrier-le-parcours-de-la-manifestation-a-paris_57413023.html) pour rejoindre ensuite la place d’Italie. « L’idée, c’est de maintenir la mobilisation. À moins de trois heures du départ, il est temps de faire un point sur le trajet du cortège. Sous les huées et les jets de pétards, une voiture des forces de l’ordre située à proximité de la faculté de Jussieu a fait marche arrière. [réforme des retraites](https://actu.fr/dossier/reforme-des-retraites_56523827.html) à l’Assemblée Nationale jusqu’à vendredi. Sur le parcours, les
La cinquième journée de mobilisation s'annonce moins suivie, mais elle marque une nouvelle étape dans la contestation de la réforme des retraites avant la ...
Invitée de RTL ce matin, Marine Le Pen a dénoncé "l'insincérité de la NUPES, LR et Renaissance". Le cortège est parti de la Bourse du travail et défile dans le centre-ville de Tarbes. La manifestation contre la réforme des retraites à Toulouse a démarré du quartier Saint Cyprien. Dans le détail on compte 36 % de grévistes chez les conducteurs, 20 % chez les contrôleurs ou encore 13,5 % chez les aiguilleurs, selon ces chiffres provisoires à la mi-journée. La marche contre la réforme des retraites touche à sa fin à Auch. "Le président est plus absent que jamais (...), nous avons besoin que par une action déterminée aujourd'hui et le 7 (mars), il lui soit donnée la leçon qu'il doit recevoir", a encore déclaré Jean-Luc Mélenchon, qui s'exprimait en marge de la manifestation contre la réforme des retraites organisée jeudi à Montpellier, où il sera en meeting dans la soirée. A la SNCF, le taux de grévistes est de 14 % ce jeudi contre 25 % mardi dernier. Quelque 300 000 personnes auraient manifesté ce jeudi à Paris pour la cinquième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, a annoncé la CGT à l'AFP, alors que le chiffre des autorités n'est pas encore disponible. Elles étaient 15 000 selon les chiffres de la préfecture le mardi 7 février, rappelle "Les salariés reçoivent ces 64 ans comme du mépris", explique le secrétaire général du syndicat qui promet de "revenir encore plus fort" le 7 mars pour la prochaine journée de mobilisation Environ 2 000 manifestants ont défilé dans la sous-préfecture, 2 500 à 3 000 dans la préfecture. Pour la 5e fois, les opposants à la réforme des retraites ont battu le pavé à Figeac ce jeudi après-midi.
Nouvel appel à cesser le travail et à se rassembler contre la réforme des retraites ce jeudi 16 février. A Paris, le cortège s'élancera de la place de la ...
La Préfecture de Police précise que les véhicules stationnés aux abords du parcours "feront l’objet de mesures de déplacement". Dans un communiqué la Préfecture de Police a dévoilé le parcours que le cortège doit emprunter. Elle précise que "les manifestants quitteront la place de la Bastille à 14h, pour rejoindre la place de la place d'Italie à 19h, en passant par le boulevard Henri IV, le pont de Sully , le quai Saint-Bernard, le boulevard de l'hôpital."
Ce jeudi 16 février, la mobilisation sociale contre la réforme des retraites s'est poursuivie dans la rue. Albi a été l'épicentre de la contestation mais ...
A Rennes, le parcours est le même que lors de la dernière manifestation. 15:49 - Paris : 300 000 personnes selon la CGT Le départ se fera de la commune du Séquestre en direction de le Vigan dès 14h30. Une mobilisation en baisse, car lors de la journée de grève du 7 février, l’intersyndicale avait avancé 50 000 manifestants et la préfecture de Gironde 9 500. Alors que la CGT a comptabilisé 300 000 manifestants dans le cortège parisien, ce jeudi 16 février, la préfecture de police annonce 37 000 personnes dans les rues de la capitale. Le cortège parisien arrive à sa destination finale, la place d'Italie (13ème arrondissement). La CGT a comptabilisé 1,3 million de manifestants dans toute la France, dont 300 000 à Paris. L'UNEF a comptabilisé 140 000 jeunes manifestants en France, dont 18 000 à Paris lors cette cinquième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Lors des précédentes journées, entre 2 et 2,8 millions de personnes avaient défilé à travers la France. - Un nouveau mouvement de grève a été organisé ce jeudi 16 février contre la réforme des retraites, à l'appel des huit principaux syndicats. Des chiffres qui correspondent à ceux enregistrés par la police, qui a comptabilisé 37 000 participants au sein du cortège parisien. - Dans l'Education nationale, selon le ministère, la mobilisation a été en baisse.
Ce jeudi marque le cinquième mouvement social contre la réforme des retraites. 300.000 personnes ont défilé à Paris selon la CGT, 37.000 selon la ...
Olivier Faure se trouve dans le cortège parisien qui vient de s'élancer de la place de la Bastille. Le RER A n'est pas non plus impacté, à l'inverse du RER B où 2 trains sur 3 circulent en moyenne ce jeudi. "Je suis d'accord qu'ils fassent grève, mais là, je veux juste aller à mon stage et être tranquille", explique un étudiant à BFM Paris Île-de-France. Plusieurs murs de l'établissement ont été tagués et certaines portes ont été fracturées. Marine Tondelier appelle notamment les femmes, "celles qui payent le lourd tribut de cette réforme", à se mobiliser le 8 mars, journée internationale des droits des femmes. De son côté, la préfecture en compte 37.000. Et d'ajouter: "restons mobilisés aujourd'hui comme demain, derrière les organisations syndicales. "Des échauffements avant ce qu'il va se passer en mars", explique-t-elle à BFMTV depuis le cortège parisien. Ne lâchons rien !" "C'est important qu'on reste soudé, solidaire", assure Fabien Roussel, président du Parti communiste français au micro de BFMTV. Le cortège parisien s'élancera de la place de la Bastille à 14 heures pour rejoindre la place d'Italie aux alentours de 19 heures. Le cortège s'est élancé de la place de la Bastille à 14 heures
Selon la préfecture de police, 37.000 personnes ont défilé à Paris. C'est le niveau le plus bas depuis le début de la mobilisation, le 19 janvier.
À Châtellerault dans la Vienne, on comptait encore 2300 personnes dans les rues. Ce sont les villes moyennes qui font désormais office de haut lieu de l'opposition à la réforme du gouvernement. Pas loin des 2500 personnes présentes au premier jour du mouvement.
- La première journée de mobilisation, le 19 janvier, réunissait deux millions de personnes selon les syndicats, un million selon la police. La deuxième, le 31 ...
Et notamment le 7 mars : «Je ne dis pas que l’heure de gloire est arrivée mais c’est le moment où on met la France à l’arrêt et on doit arrêter Macron.» Pour pallier, un dispositif sera mis en place autour de la manifestation, «entre les boulevards Henri-IV, Beaumarchais, Diderot, Vincent-Auriol, la rue de Lyon, les quais Saint-Bernard et de la Râpée, les ponts de Sully et de Charles-de-Gaulles, l’avenue Mendes-France ainsi qu’autour des places de la Bastille et d’Italie». Dans le cortège, le leader syndical a déjà en tête la journée du 7 mars, qui «sera un tournant dans la mobilisation contre la réforme des retraites», estime-t-il. La bataille des retraites à la une de «Libé». Par exemple, sur le nombre donné par le ministre du Travail mercredi de 40 000 pensionnés qui passeront chaque année le cap des 85% du smic, «je vais demander la source, le détail, les tableaux pour en apprécier la sincérité», a-t-il précisé avant de s’y rendre. «La question ce n’est pas le chiffre, c’est de maintenir le souffle et de dire au Parlement qu’on est mobilisés», explique la seconde, ajoutant que la mobilisation se diversifie aussi, avec des rassemblements parfois prévus en fin de journée. Il lance : «Qu’on les jette à la poubelle les élus !» La désillusion est grande pour celui qui a commencé sa carrière à 16 ans dans la mécanique, avant de s’engager dans l’armée. Pour elles, «Mélenchon a raison» : «Il faut bloquer le pays et l’économie.» Dominique en est persuadée : «Les gens qui nous gouvernent ne parlent qu’un langage, celui de l’argent. [Et le 7 mars ?](https://www.liberation.fr/societe/education/reforme-des-retraites-etudiants-et-universitaires-aussi-appellent-au-durcissement-a-partir-du-7-mars-20230216_WTNC7HZMJJBZXB7Q6VFEI7RB7U/) Laurent, conducteur de train retraité et «militant de rien du tout», qui porte une pancarte «j’ai bien tout compris et je suis contre», sait déjà qu’il sera dans la rue, avec l’espoir que «les salariés seront en grève». Marine Le Pen, présidente du groupe RN, a déposé le même jour une motion de censure «afin que les députés opposés» à la réforme des retraites «puissent exprimer leur rejet de ce texte». Vu de Strasbourg : «Qu’on les jette à la poubelle les élus !» Parmi la mer de drapeaux estampillés aux couleurs des syndicats, le drapeau pirate de Frédéric se démarque largement. Vu de Paris : «J’en ai juste ras le cul que ce soit la classe populaire et moyenne qui fasse des efforts.» Les communistes se sont donné rendez-vous au métro Sully-Morland à 14h.
Avant de "mettre à l'arrêt" la France le 7 mars, les syndicats organisent jeudi leur cinquième journée de mobilisation contre la réforme des retraites.
Le ministre du Travail a promis que le gouvernement "fera en sorte" que la réforme permette le retour à l'équilibre du système de retraites. "C'est un mouvement bien ancré, un mouvement de fond", a assuré le leader de la CGT, rappelant qu'il y avait encore "des rendez-vous à venir" les 7 et 8 mars. ["mettre le pays" à l'arrêt le 7 mars](/economie/economie-social/social/laurent-berger-affirme-sa-volonte-de-mettre-la-france-a-l-arret-sans-confirmer-de-blocage-general_AV-202302120210.html), date du début de l'examen du projet de loi au Sénat. "Il est hors de question de faire une réforme qui ne permette pas le retour à l'équilibre. "À la fin, c'est un cadeau fait au gouvernement parce qu'ils sont tellement mal à l'aise sur le fond de ce dossier que toute mini perche tendue les sert (...). Il faut absolument que par les actions de ce jeudi et du 7 mars "lui soit donné la leçon qu'il doit recevoir". Invité sur BFMTV, Philippe Martinez a donné les premiers chiffres de mobilisation contre la réforme des retraites dans des villes petites et moyennes ce jeudi. "Les agents de la Direction de la Sécurité sociale m'ont répondu qu’ils n’étaient pas à l’origine de ce chiffre et n’en étaient pas eux-mêmes à l’origine. "Il faut bloquer cette attaque, on n'en veut pas", déclare-t-elle à propos de la réforme des retraites. Il a d'abord lancé: "Nous avons proposé 1001 options pour financer les retraites, comme taxer les actions gratuites, les exonérations de cotisations pour les hauts salaires mais seul l’impôt sur la vie et le bonheur compte pour vous". Le site "ne pourra pas accueillir de public dans les prochains jours", a-t-elle ajouté. Mais je vous invite monsieur le ministre à ne pas sortir vos mots croisés comme vous venez de le faire durant l’expression de la représentation nationale", a posé Aurélien Pradié durant une intervention repérée par LCP.
La présence des leaders syndicaux à Albi n'empêche pas une forte mobilisation à Paris. On ignore encore les chiffres des manifestants, mais le cortège semble ...
Dans le Gard, les cortèges se réuniront à 10 h à Alès et Uzès, ils partiront respectivement de la sous-préfecture et de l'esplanade de la mairie. Dès 10 h puis 10 h 30, à Béziers devant la Bourse du travail et à Sète sur la place de la mairie, les cortèges se rassembleront. En Occitanie, c'est la ville d'Albi qui fera office de symbole de la mobilisation, et accueillera les dirigeants syndicaux à 14 h place du Vigan. Une partie de la France étant en vacances d'hiver, les organisateurs ne s'attendent pas à faire le plein après la forte mobilisation de samedi dernier, qui a fait descendre dans la rue des centaines de milliers de Français : 963 000 selon le ministère de l'Intérieur, 1,8 million selon la CFDT, 2,5 millions pour la CGT. Le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse a communiqué les taux de grévistes dans le cadre du mouvement social de ce jour pour les académies de la zone C, seule zone qui n’est pas actuellement en congés scolaires (Paris, Versailles, Créteil, Toulouse, Montpellier). Pour l'heure, cette cinquième mobilisation est moins populaire que les précédentes à Montpellier malgré la présence de Jean-Luc Mélenchon. Les syndicats, dont les représentés avaient décidé de manifester à Albi estiment à 55 000 personnes le nombre de manifestants qui ont battu le pavé dans la préfecture du Tarn. Là aussi un chiffre en baisse par rapport à samedi dernier qui a vu 10 000 anti-réforme des retraites défiler dans les rues de la cité catalane. Pour la préfecture, ils étaient 7 200 à défiler à Montpellier, 2 500 à Béziers et 1 500 à Sète. Il sera difficile de faire autant ce jeudi, pour autant, plusieurs milliers de personnes se sont élancées du Jardin de la Fontaine ce jeudi après-midi, pour réclamer l'arrêt du projet de réforme des retraites. En comparaison, le 7 février dans la capitale, la CGT avait annoncé 400 000 participants. En comparaison, le 7 février dernier, les autorités avaient comptabilisé 57 000 manifestants à Paris.
Pour cette cinquième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, les chefs de file de l'intersyndicale défileront loin de Paris.
Dans cette situation, l’idée de braquer les caméras sur Albi plutôt que sur la capitale pourrait s’avérer efficace. Même son de cloche dans l’Éducation nationale où les chiffres annoncés par le ministère à la mi-journée sont les plus faibles depuis le 19 janvier. En outre, cette 5e journée de mobilisation s’annonce beaucoup moins suivie que les précédentes. [réforme des retraites,](https://www.huffingtonpost.fr/france/article/greve-du-16-fevrier-contre-la-reforme-des-retraites-les-perturbations-a-prevoir_214150.html) les leaders de l’intersyndicale ont fait le choix de défiler à Albi, préfecture du Tarn, en région Occitanie. Et le gouvernement doit entendre la grogne sociale qui monte dans cette France des territoires. C’est ce que Le HuffPost avait pu mesurer dans le cortège à Laval (Mayenne) le 7 février dernier. D’abord, parce qu’Albi se situe dans la région d’une des figures historiques de la gauche française : Les Depuis Albi, le secrétaire général de la CGT a dit son envie de « maintenir la mobilisation ». Ils en attendent 10 000 de plus pour cette nouvelle journée de mobilisation. La raison est doublement symbolique. Un record pour cette ville de la « France rurale ».
Alors qu'ils documentaient une manifestation étudiante, ce jeudi matin, deux journalistes travaillant pour «AB7 Média» et «QG» ont été arrêtés par la police ...
et Apolline B., la préfecture assure qu’ils «ont été retenus le temps nécessaire à la vérification de leur qualité [de journaliste]. Une fois cette qualité établie, ils ont été laissés libres.» Après avoir été empêché de travailler pendant une heure, Apolline B. «Il était plus gradé que les autres, pense Apolline B., et il était directement en liaison radio avec le commissariat.» Dans une autre fourgonnette, où «nous étions 13», rapporte Apolline B., celle-ci tente d’expliquer à nouveau sa situation : qu’elle est journaliste, même si elle n’a que des factures et pas de carte de presse. «Un fumigène a été jeté sous un véhicule, une poubelle a été incendiée, une banque a été dégradée», complète la préfecture de police de Paris. Je ne pouvais plus rien faire, et on me disait de me taire dès que je parlais», déplore Luc A. Au bout d’un moment, un policier lui assure qu’«il faut absolument une carte de presse», ce qui est faux. est une personne proche de Luc A. [vidéo diffusée par le compte Twitter «La Luciole - Média»](https://twitter.com/laluciolemedia/status/1626187789669658624), on entend Luc A. présente aux agents, en vain : «Je l’ai montrée au policier qui m’a palpé, il n’en avait rien à faire.» Apolline B., quant à elle, présente une facture prouvant que des médias la rétribuent pour ses vidéos – elle a notamment filmé La manifestation a pour destination la fac de Tolbiac, selon Apolline B. couvrent, respectivement pour Quartier Général (QG) et AB7Média, une manifestation «sauvage» dans le Quartier latin, dans le centre de la capitale.