Manifestation Rennes

Des affrontements violents se sont produits en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Rennes, samedi 11 février 2023.

En début de soirée les équipes de la Ville étaient sur place pour nettoyer le verre brisé. Vers 18 h 30, les CRS ont utilisé leur canon à eau pour finir de disperser les occupants de la place de la République. Ils ont été repoussés par les CRS, selon la Ville de Rennes. De nouveaux affrontements se sont déroulés sur la place où des passants et des familles se trouvaient en terrasse. Alors que la tête de l’immense cortège venait de finir sa déambulation, un groupe hétérogène d’une centaine de personnes a réussi à se détacher et a commencé à viser les forces de l’ordre avec des projectiles et des cocktails molotov. Des affrontements violents se sont produits en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Rennes, samedi 11 février 2023.

Pour ce quatrième acte de mobilisation contre la réforme des retraites, les syndicats ont appelé à se mobiliser un samedi. C'est le premier samedi depuis le ...

A Rennes, rendez-vous a été donné place de Bretagne à 14h30. Pour ce quatrième acte de mobilisation contre la réforme des retraites, les syndicats ont appelé à se mobiliser un samedi. De nombreuses familles sont présentes dans le cortège.

Des affrontements violents se sont produits en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Rennes, samedi 11 février 2023. Ils se.

Des affrontements violents se sont produits en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Rennes, samedi 11 février 2023. Ils se sont poursuivis en début de soirée place Sainte-Anne. L’immense majorité de la manifestation record contre la réforme des retraites -

Des heurts entre manifestants et policiers à Rennes. Vers 16h50, des manifestants ont lancé des projectiles, comme des bouteilles, vers la police qui a ...

Face à la forte affluence de la manifestation à Paris, la préfecture a décidé d’ouvrir un itinéraire bis. Les forces de l’ordre font usage de gaz lacrymogène à hauteur de la tête de cortège. Mais la CGT en a compté 100 000, soit un écart de un à quatre, plus marqué que lors des journées précédentes. « Si le gouvernement n’entend toujours pas la détermination des travailleurs, de la jeunesse et de tous ceux qui soutiennent ce mouvement unitaire pour exprimer leur colère face à cette nouvelle injustice, il devra assumer le blocage de l’économie dans notre pays », a prévenu l’intersyndicale (CGT, FO, UNSA, CFE-CGC) de la Régie autonome des transports parisiens dans un communiqué. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur 963 000 personnes ont manifesté dans toute la France ce samedi dont 93 000 à Paris. « En raison des heurts en cours à l’avant de la manifestation, les organisations syndicales appellent à la dislocation du cortège institutionnel », poursuit la police d’Ille-et-Vilaine dans un communiqué. A Lyon, la préfecture fait état de deux arrestations, selon Un chiffre en hausse par rapport à celui de mardi où 57 000 personnes ont été dénombrées. Elle poursuit : « A celle d’Assa Traoré, on en a pris plein la figure à République. Selon Philippe Martinez (CGT), « la balle est dans le camp » de l’exécutif, son homologue de la CFDT Laurent Berger ajoutant que « ça laisse un peu de temps s’ils veulent réagir ». La CGT cheminots envisage de faire de même. Rendez-vous le 16 février pour la prochaine journée d’action : les leaders de l’intersyndicale ont prévu de manifester ensemble à Albi.

Ce samedi 11 février était organisée la quatrième journée de mobilisation contre la réforme des retraites portée par la Première ministre, Elisabeth Borne.

Un chiffre en hausse depuis le début de la mobilisation. Les syndicats annoncent plus de 35.000 personnes présentes. À Rennes, les manifestants sont venus nombreux ce samedi.