Elle est enfin libre, réfugiée à Lyon, près de son fils. Amira Bouraoui, la militante franco-algérienne a échappé de peu à une expulsion de la Tunisie vers ...
Vous dites....je ne voulais pas politiser tout ça, je voulais juste aller à l'encontre d'une interdiction injuste contre ma liberté de mouvement....c'est tout ce qui vous reste parfois quand vous avez tout perdu...voir son fils ...pourquoi tout ce cirque ? Ce n'est qu'un au revoir à très bientôt, j'ai besoin de me reposer de tout ce qui vient de se passer. Je remercie tous ceux qui ont fait en sorte que je ne me retrouve pas une autre fois derrière les barreaux. Je suis séquestrée maître.....» Et la....vous qui disiez aux détenues : faut pas pleurer ça va aller.....vous qui vous dites à chaque fois ....un militant ne doit pas pleurer.....les larmes que vous avez tant retenues tous ces jours passé à être menottées puis enfermée...vous ne pouvez plus les retenir. La juge m'a libérée, elle est juge au nom de votre république....vous ne pouvez pas aller à l'encontre de son jugement ! Est ce que je risque encore d'aller en prison ? Vous leurs dites : « Faites pas ça, c'est pas bon pour l'image de votre pays ! On vous demande d'écrire une lettre d'excuses afin de pouvoir voyager et la vous vous posez la question : qui doit s'excuser ? Vous voyez des journalistes emprisonnés pour rien ou maintenus sous pression afin de les pousser à l'autocensure....et puis vous n'en pouvez plus....vous décidez de partir. On vous fait sentir que vous êtes une persona non grata tout en vous empêchant de bouger sous risque d'aller en prison. Je veux juste aller voir mon fils et me sentir libre un instant loin de toutes ces pressions....ne dites rien ». Amira Bouraoui, la militante franco-algérienne a échappé de peu à une expulsion de la Tunisie vers l'Algérie, le 6 février.
L'Algérie a rappelé, mercredi 8 février, son ambassadeur en France. Un rappel « pour consultations » selon la formule officielle.
[pic.twitter.com/ITB7k8Ggna] [February 8, 2023] [Amira Bouraoui](https://www.rfi.fr/fr/afrique/20140430-algerie-amira-bouraoui-barakat-regime-est-finissant), connue par ses positions critiques du pouvoir, faisait l'objet, selon la presse, d'une interdiction de sortie du territoire nationale sur décision de justice. L'Algérie accuse la France d'avoir clandestinement exfiltré la militante franco-algérienne Amira Bouraoui, de Tunis vers Lyon, le lundi 6 février. Un rappel « pour consultations » selon la formule officielle.
Arrêtée en Tunisie vendredi d'où elle risquait d'être expulsée vers l'Algérie, la militante politique et journaliste Franco-algérienne Amira Bouraoui a ...
Les deux chefs d'Etat avaient alors signé en grande pompe une déclaration commune pour relancer la coopération bilatérale. Elle avait été interpellée par la police tunisienne alors qu'elle cherchait à prendre un avion pour la France. Peu avant le rappel de l'ambassadeur algérien à Paris, le ministère algérien des Affaires étrangères a indiqué avoir exprimé mercredi, dans une note officielle, à l'ambassade de France "la ferme condamnation par l'Algérie de la violation de la souveraineté nationale par des personnels diplomatiques, consulaires et de sécurité relevant de l'Etat français". Une juge l'avait remise en liberté lundi mais elle avait ensuite été emmenée par des policiers tunisiens avant d'obtenir la protection du consulat français à Tunis. [président algérien Abdelmadjid Tebboune](/international/algerie-abdelmadjid-tebboune-ex-premier-ministre-de-bouteflika-elu-president_AN-201912130059.html) a décidé mercredi de rappeler "pour consultations" son ambassadeur en France, à la suite de "l'exfiltration" de la militante et journaliste Amira Bouraoui via la Tunisie, lundi soir, a annoncé la présidence dans un communiqué. Soulignant que l'Algérie a, via une note officielle, "protesté fermement contre l'exfiltration clandestine et illégale d'une ressortissante algérienne" vers la France, le président Abdelmadjid Tebboune a ordonné le rappel en consultations de l'ambassadeur d'Algérie en France, Saïd Moussi, avec effet immédiat", a précisé la présidence.
L'Algérie a rappelé mercredi "pour consultations" son ambassadeur en France pour protester contre "l'exfiltration illégale" via la Tunisie de la mi...
Une juge l'avait remise en liberté lundi, mais elle avait été emmenée par des policiers tunisiens avant d'être placée sous la protection du consulat français à Tunis. "Cette politique française, d'un pas en avant et dix en arrière, n'apaise pas les esprits et jette le froid sur les relations bilatérales à quelques semaines de la visite d'Etat que devrait effectuer le président Tebboune, en France", selon le quotidien francophone. [Algérie](/tags/algerie) a rappelé mercredi "pour consultations" son ambassadeur en [France](/tags/france) pour protester contre "l'exfiltration illégale" via la [Tunisie](/tags/tunisie) de la militante franco-algérienne Amira Bouraoui, une affaire qui risque de raviver les tensions bilatérales après une phase récente de réchauffement.
Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a décidé, mercredi 8 février, de rappeler « pour consultations » son ambassadeur en France, Saïd Moussi, ...
[Après un coup de froid depuis l’automne 2021](https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/09/29/l-algerie-convoque-l-ambassadeur-de-france-en-reaction-a-la-decision-de-reduire-le-nombre-de-visas_6096501_3212.html), Paris et Alger avaient scellé un net réchauffement de leurs relations à l’occasion d’un déplacement d’Emmanuel Macron en août dernier. [sur Twitter](https://twitter.com/RSF_inter/status/1623391256226193408?s=20&t=kq_CN-QCM00slt2L9yEOqw), en dénonçant des « méthodes répétées de répression contre les journalistes », et a « appelé à sa libération immédiate ». [dans le mouvement Barakat en 2014](https://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/04/17/a-alger-le-rassemblement-barakat-contre-bouteflika-escamote_4402681_3212.html), qui a mené une campagne contre le quatrième mandat du président défunt, Abdelaziz Bouteflika, et elle a tenté plusieurs fois de quitter le territoire national ces derniers mois pour rendre visite à son fils établi en France ». Elle est sous le coup d’une condamnation à deux ans de prison ferme pour « offense à l’islam » pour des propos tenus sur sa page Facebook. Amira Bouraoui a assuré mercredi soir que son départ pour la France n’est pas « un exil » et qu’elle sera « de retour très vite ». Ces personnels « ont participé à une opération clandestine et illégale d’exfiltration d’une ressortissante algérienne dont la présence physique sur le territoire national est prescrite par la justice algérienne », a précisé le ministère dans un communiqué.
L'ambassadeur de l'Algérie en France a été rappelé par le président, mercredi 8 février, pour « consultations », selon le président algérien Abdelmadjid ...
Ces personnels « ont participé à une opération clandestine et illégale d’exfiltration d’une ressortissante algérienne dont la présence physique sur le territoire national est prescrite par la justice algérienne », a précisé le ministère dans un communiqué. Cette décision fait suite à l’« exfiltration » de la militante et journaliste franco-algérienne Amira Bouraoui, lundi soir. Elle avait été interpellée par la police tunisienne alors qu’elle cherchait à prendre un avion pour la France.
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a décidé de rappeler « pour consultations » son ambassadeur à Paris, à la suite de « l'exfiltration » de la ...
Alors que la France a rappatrié la journaliste et militante politique franco-algérienne Amira Bouraoui, contre le gré de l'Algérie qui lui avait notifié ...
Alors que la France a rapatrié la journaliste et militante politique franco-algérienne Amira Bouraoui, contre la volonté de l'Algérie qui lui avait notifié une «interdiction de quitter le territoire» au regard de ses opinions politiques, La militante politique, âgée de 46 ans et médecin de formation, est notamment connue pour s'être opposée à un quatrième mandat du président sortant, feu Abdelaziz Bouteflika, en 2014. [l'Algérie](https://www.cnews.fr/algerie) a dénoncé une «violation de la souveraineté nationale par des personnels diplomatiques, consulaires et de sécurité relevant de l'Etat français». [Le Monde](https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/02/07/la-militante-franco-algerienne-amira-bouraoui-echappe-a-une-extradition-vers-alger-depuis-la-tunisie-apres-l-intervention-de-la-france_6160843_3212.html), la militante a été accueillie «quelques heures à l'ambassade de France», avant que le président tunisien Kaïs Saïed ne lui octroie «l'autorisation de rejoindre la France». [Barakat (Ça suffit ! Le rapatriement en France de la journaliste et militante politique franco-algérienne Amira Bouraoui, visée par une interdiction de quitter le territoire algérien, ravive les tensions entre Paris et Alger.
Si l'Algérie ne semble pas tenir rigueur à Tunis d'avoir permis le départ pour la France de la militante dont elle réclamait l'expulsion, le ton est ...
La gynécologue avait déjà tenté de quitter Tunis par avion le vendredi précédent, mais elle avait été appréhendée et placée en garde à vue par la police tunisienne pour entrée illégale dans le pays. C’est l’attitude que semblent avoir choisie les autorités algériennes suite à Brouille avec Paris, mais position conciliante vis-à-vis de Tunis.
Les relations entre la France et l'Algérie ne tiennent qu'à un fil, malgré l'embellie de ces derniers mois. En témoigne l'affaire de la militante algérienne ...
Disposant de la nationalité française, en plus de sa nationalité d’origine, la militante a pu compter sur le soutien de l’ambassade française en Tunisie dans cette affaire. [Abonnez-vous dès 1€](https://boutique.courrierinternational.com/) [S’abonner avec -50% la 1re année](https://www.courrierinternational.com/?abonnement-google) [Se connecter](https://www.courrierinternational.com/login?destination=/article/diplomatie-avec-l-affaire-amira-bouraoui-nouvelle-brouille-entre-paris-et-alger)
Paris entend continuer à approfondir ses relations avec Alger malgré les frictions liées au retour en France de la franco-algérienne Amira...
Les deux principaux dirigeants de l'ONG de défense des droits humains ont pris le chemin de l'exil. Il s'est en revanche refusé à tout commentaire sur le rappel de l'ambassadeur algérien, "une décision algérienne qu'il ne m'appartient pas de commenter". "Il s'agit d'une procédure qui ne ressort d'aucune manière de l'ordinaire", a-t-il également réagi.
L'aide apportée par Paris pour exfiltrer vers la France la gynécologue, militante et journaliste franco-algérienne Amira Bouraoui, condamnée à la prison en ...
Réforme de la police judiciaire : la baisse des taux d’élucidation ciblée Zelensky à Bruxelles : les Européens à la recherche d’une « paix juste » » : trois jours après le séisme en Turquie, la colère gronde en Anatolie
Le président Tebboune a aussi ordonné le rappel « en consultations » de l'ambassadeur d'Algérie en France, Saïd Moussi. La France entend continuer à approfondir ...
Interrogé sur la possibilité d’une remise en cause de ce déplacement, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères français n’a pas souhaité répondre. Le président Tebboune a aussi ordonné le rappel « en consultations » de l’ambassadeur d’Algérie en France, Saïd Moussi. Mercredi 8 février, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a décidé de rappeler l’ambassadeur d’Algérie en France avec « effet immédiat » pour « consultations ».
La militante franco-algérienne Amira Bouraoui, figure de l'opposition à l'ex président Abdelaziz Bouteflika, fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la part ...
Mercredi soir, des médias algériens ont annoncé l’interpellation de Mustapha Bendjama, rédacteur en chef du journal Le Provincial à Annaba (est), non loin de la frontière avec la Tunisie. Elle a assuré que son départ pour la France n’est pas « un exil » et qu’elle sera « de retour très vite » en Algérie. Selon le quotidien français Le Monde, elle a été « accueillie quelques heures à l’ambassade de France » avant d’obtenir « du président tunisien Kais Saied l’autorisation de rejoindre la France ». Elle a tenté plusieurs fois de quitter l’Algérie ces derniers mois pour rendre visite à son fils établi en France, mais en vain, selon le site du média algérien radio M où elle animait depuis septembre une émission politique. Ces personnels « ont participé à une opération clandestine et illégale d’exfiltration d’une ressortissante algérienne dont la présence physique sur le territoire national est prescrite par la justice algérienne », selon cette note. Une juge l’avait remise en liberté lundi mais elle avait été emmenée par des policiers tunisiens, avant d’être placée sous la protection du consulat français à Tunis.