Assemblée nationale

En plus des discours des ministres, l'hémicycle a vu les motions de la Nupes et du Rassemblement national être rejetées ce lundi, au premier jour, ...

«N’ayons pas peur de le dire, a-t-il encore lancé sous les applaudissements de la majorité, en matière de retraites […], c’est la réforme ou la faillite !» «On n’est pas dans un amphi, on n’est pas dans une manif, on est dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale !» a-t-elle tonné en direction des bancs de la gauche. «Nous examinons une réforme haïe par 80 % des Français», a déclaré à la tribune Mathilde Panot, la présidente du groupe LFI, pour justifier la démarche. Ça veut dire que vous ne respectez pas les règles et que vous cherchez à les tordre dans votre intérêt politicien.» Et la députée du Pas-de-Calais de cogner en direction de la Nupes : «Halte à la tartufferie !» Une décision de la conférence des présidents de l’Assemblée nationale [contestée par les oppositions](https://www.liberation.fr/politique/reforme-des-retraites-a-lassemblee-la-gauche-furax-de-voir-la-motion-referendaire-du-rn-tiree-au-sort-20230201_EXRP4ZB2I5EXZHJFTEH35BPSRU/). [Cette arme parlementaire](https://www.liberation.fr/politique/reforme-des-retraites-quest-ce-la-motion-referendaire-qui-oppose-nupes-et-rn-a-lassemblee-nationale-20230131_ODOIMB6LCZCEDA6H5M44K4S66I/), qui vise à soumettre une loi débattue au Parlement au référendum des Français, a été dégainée le 1er février par les groupes de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) et le Rassemblement national (RN).

De nombreux rappels au règlement ainsi qu'une suspension de séance ont retardé les discours des ministres dans un hémicycle surchauffé où les oppositions ont ...

[le trafic sera fortement perturbé mardi à la SNCF et la RATP](https://www.europe1.fr/societe/greve-du-7-fevrier-le-trafic-fortement-perturbe-a-la-sncf-et-la-ratp-4165379). "On compte sur le fait qu'il y ait des mobilisations pour que les élus de la République prennent en compte l'avis des citoyens", a déclaré le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez. Si l'Assemblée ne vient pas à bout des amendements d'ici le 17 février minuit, le texte passera au Sénat, du fait du choix de l'exécutif de recourir à un budget rectificatif de la Sécurité sociale. "C'est la réforme ou la faillite" du système de retraites, a-t-il affirmé, renvoyant dos à dos la Nupes et son "canon fiscal", et le RN, "camp du mensonge et des privilèges". "On n'est pas dans un amphi, pas dans une manif". Non, pour Aurélien Pradié notamment, qui pointe une "tromperie" et demande d'aller plus loin pour ceux ayant commencé à cotiser tôt. "Les enchères commencent à montrer les contradictions des LR", observe une source gouvernementale. [projet très controversé des retraites](https://www.europe1.fr/dossiers/reforme-des-retraites), en ouverture des débats à l'Assemblée nationale dans une ambiance très chahutée. Les deux semaines prévues d'examen s'annoncent à haut risque sur cette réforme phare du second quinquennat d'Emmanuel Macron, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée. "Vous faites du favoritisme pour les riches", l'a tancé l'insoumis François Ruffin, en référence aux De plus, l'Assemblée nationale a rejeté lundi soir une demande de référendum du RN pour contester la réforme des retraites, aux premières heures du débat sur le projet de loi du gouvernement. La motion "échoue de peu, la bataille commence", pour Cyrielle Chatelain (EELV).

Suspension de séance, rappels au règlement, ministres chahutés par les oppositions... Les débats sur la réforme des retraites ont commencé lundi à ...

"On n'est pas dans un amphi, pas dans une manif". Non, pour Aurélien Pradié notamment, qui pointe une "tromperie" et demande d'aller plus loin pour ceux ayant commencé à cotiser tôt. "Les enchères commencent à montrer les contradictions des LR", observe une source gouvernementale. Leur patronne Mathilde Panot a fustigé une réforme qui "aggrave le chaos" dans la société. Dès le début de la séance, d'autres parlementaires d'opposition ont réclamé à leur tour que leur propre demande de référendum, déposée in extremis, soit aussi soumise. À sa suite, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal est monté au créneau contre les opposants au projet, les appelant à choisir entre "intérêt général" et "intérêt électoral". L'ancien socialiste a été chahuté par la gauche, qui l'a traité de "vendu". [Retraites en France, des efforts pour tous... "Est-ce que vous croyez que nous allons passer 15 jours comme ça dans l'hémicycle ?" Suspension de séance, rappels au règlement, ministres chahutés par les oppositions... "C'est la réforme ou la faillite" du système de retraites, a-t-il affirmé, renvoyant dos à dos la Nupes et son "canon fiscal", et le RN, "camp du mensonge et des privilèges". [le projet très controversé de réforme des retraites](https://www.france24.com/fr/france/20230131-retraites-après-une-mobilisation-record-l-exécutif-en-opération-colmatage) ont commencé dans un climat houleux lundi 6 février à [l'Assemblée nationale](https://www.france24.com/fr/france/20230206-la-réforme-des-retraites-arrive-à-l-assemblée-nationale-avant-une-nouvelle-journée-de-grève), le gouvernement défendant un texte "d'équité et de progrès" tandis que la gauche a fustigé une réforme qui "aggrave le chaos".

La gauche avait déserté l'hémicycle pour dénoncer une "mascarade", car la Nupes souhaitait qu'une autre motion soit soumise au vote : celle de la gauche ou ...

16h39 : #AN.En dehors de ce qu on pense de la réforme retraites, le comportement des députés Nupes est insupportable. 16h34 : La suspension est de courte durée à l'Assemblée. , de nouveau sur les bancs de la Nupes tandis que le ministre détaille la réforme du gouvernement. 18h24 : "C'est une réforme ou la faillite", a assuré le ministre délégué chargé des Comptes publics Gabriel Attal devant les députés, dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. "Mes chers collègues, on n'est pas dans un amphi, on n'est pas dans une manif, on est dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale !" 17h11 : Une vingtaine de stations de métro fermées, 3 RER A sur 5, une circulation normale des tramways... 19h04 : "Le retrait de votre réforme des retraites n'est pas négociable (...). 19h09 : Marine Le Pen annonce que des députés femmes ont reçu des textos pour dire que leur enfant est à l'hôpital et donc les empêcher de voter. 19h08 : Y-a-t-il eu des manœuvres pour entraver le vote de certaines députées ? Le trafic s'annonce "très perturbé"à la SNCF et la RATP. Elle demandait le rejet de l'ensemble de la réforme des retraites. La gauche avait déserté l'hémicycle pour dénoncer une "mascarade", car la Nupes souhaitait qu'une autre motion soit soumise au vote : celle de la gauche ou celle initiée dans la journée par le petit groupe indépendant Liot.

À sa suite, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal est monté au créneau contre les opposants au projet, les appelant à choisir entre « intérêt général » ...

Côté syndicats, l'effort de Mme Borne n'a pas convaincu: une « rustine » qui « n'est pas la réponse » attendue « à la mobilisation massive constatée », dénonce Laurent Berger, patron de la CFDT. À l'approche de deux journées d'action, mardi et samedi, à l'appel de l'intersyndicale, la cheffe du gouvernement Élisabeth Borne a reconnu encore dimanche que le recul de l'âge légal représentait « un effort collectif ». Dans une concession de dernière minute, elle a annoncé que les personnes ayant commencé à travailler entre 20 et 21 ans pourront partir à la retraite à 63 ans, une extension du dispositif carrières longues. [ministre du Travail Olivier Dussopt](https://www.rfi.fr/fr/france/20230204-france-le-ministre-du-travail-olivier-dussopt-rattrapé-par-une-affaire-de-favoritisme), traité de « vendu » par la gauche. Accusations de « magouilles », huées et suspension de séance : le coup d'envoi des débats sur la réforme des retraites s'annonçait chaud. Tout l'après-midi, les oppositions ont ferraillé autour du projet gouvernemental, qui prévoit un recul de l'âge de la retraite de 62 à 64 ans.

Invitée sur BFMTV ce lundi soir, la secrétaire d'État est revenue sur la première journée de débats à l'Assemblée nationale sur la réforme des retraites ...

"C'est une réforme qui suscite des réactions, donc c'est normal qu'il y ait du débat. [la Première ministre ce dimanche dans le JDD](/economie/economie-social/reforme-des-retraites-elizabeth-borne-affirme-qu-elle-va-bouger-sur-le-sujet-des-carrieres-longues_AN-202302040389.html), qui a concédé des nouveaux changements dans la réforme, la secrétaire d'État macroniste a ajouté que le gouvernement était "très ouvert aux améliorations". Invitée dans la foulée sur BFMTV, Marlène Schiappa a de son côté demandé à ce que le débat soit "constructif".

Prenant le relais à la tribune, le ministre des comptes publics, Gabriel Attal, a dramatisé les enjeux d'un projet de loi dont le contenu a été critiqué ...

Des classes moyennes et populaires qui paient le prix fort de votre réforme comptable », a appuyé le député LR de l’Ardèche Fabrice Brun, quelques minutes avant la fin de la séance, à minuit. Après ces revers, les oppositions ont néanmoins intensifié leurs critiques à l’encontre de la principale réforme du second quinquennat d’Emmanuel Macron avec l’article liminaire. Dès ses prémices, le débat sur la réforme des retraites s’est heurté aux antagonismes d’un Hémicycle morcelé.

Lundi 6 février 2023, le texte de la réforme des retraites est arrivé à l'Assemblée nationale. Le gouvernement a tenté de défendre son projet face aux ...

[Débat des lecteurs](https://www.capital.fr/espace-debat/debat/legislatives-faut-il-elire-les-deputes-a-la-proportionnelle?utm_source=article&utm_campaign=d1410445-bf68-48d8-8cd9-d2a594ded97e&utm_content=legislatives-faut-il-elire-les-deputes-a-la-proportionnelle&mtm_keyword=https%3A%2F%2Fwww.capital.fr%2Feconomie-politique%2Freforme-des-retraites-un-premier-jour-sous-haute-tension-a-lassemblee-nationale-1459494&mtm_cid=13) [SNCF](https://www.capital.fr/economie-politique/la-sncf-durcit-les-conditions-a-respecter-pour-echanger-gratuitement-son-billet-ou-se-faire-rembourser-1459413) et la RATP. Les journées de mobilisation des 19 et 31 janvier ont déjà réuni chaque fois plus d'un million de manifestants selon la police, plus de deux millions selon les organisateurs. Non, pour Aurélien Pradié notamment, qui épingle une "tromperie" et demande d'aller plus loin pour ceux ayant commencé à cotiser tôt. La gauche avait déserté l'hémicycle pour dénoncer "mascarade" et "déni démocratique", car la Nupes souhaitait qu'une autre motion soit soumise au vote: celle de la coalition de gauche ou celle initiée dans la journée par le petit groupe indépendant Liot. Série de rappels au règlement et suspension de séance ont retardé les discours des ministres dans un hémicycle surchauffé où les oppositions ont ferraillé autour du

« Si le gouvernement ne veut pas retirer son projet, le peuple devra retirer ce gouvernement », a poursuivi Mathilde Panot en déclarant les députés LFI « prêts ...

Réforme des retraites : premières séances agitées à l’Assemblée nationale Ils ont ensuite exposé en discussion générale de vrais choix de société divergents. Réforme des retraites 2023 : premières séances agitées à l’Assemblée nationale

Cette action s'est tenue à l'occasion de la troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, après les manifestations historiques des 19 et 31 ...

Pourtant les inégalités de salaire et de carrière que subissent les femmes tout au long de leur vie active demeurent et se répercutent sur le montant des pensions et l’âge de départ. C’est cette question que les Rosies soulèvent par leurs chansons chorégraphiées, qui ont vocation à servir de levier de mobilisation pour faire barrage à cette réforme. Cette action s’est tenue à l’occasion de la troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, après les manifestations historiques des 19 et 31 janvier.

L'Assemblée nationale a commencé les débats sur la réforme des retraites ce lundi, dans une ambiance houleuse. Le ministre du Travail Olivier Dussopt a été ...

Il faut oser la dénoncer et elle a raison", conclut Jérôme Marty. Il y a des cris, il y a du remue-ménage mais il n'y a pas de rupture démocratique", estime le praticien. Vous n'avez pas le droit de mettre à genoux les gens qui tiennent la France debout. [Rachel Keke](/actualites/politique/rachel-keke-elue-deputee-son-election-c-est-l-honneur-de-notre-democratie-salue-jerome-marty_AV-202206200454.html), la députée de la France insoumise, qui a rappellé à l'hémicycle le poids de la pénibilité sur certaines carrières: "Qui d'entre vous a déjà fait un métier pénible? [Gabriel Attal](/actualites/politique/retraites-gabriel-attal-en-reunion-publique-a-lille-pour-defendre-la-reforme_AV-202302020056.html), le ministre des Comptes publics, a volé à son secours, taclant au passage la Nupes et ses nombreux amendements. [Le ministre du Travail Olivier Dussopt](/actualites/economie/travail/reforme-des-retraites-les-reponses-du-ministre-olivier-dussopt-aux-auditeurs-rmc_AV-202302070261.html) a été chahuté par les députés de la Nupes pendant tout son discours.

Huit personnes des collectifs Attac et "Les Rosies" ont été interpellées après une action "festive" devant l'Assemblée nationale, dont la porte et une ...

"60 ans", comme l'âge de départ à la retraite réclamé par les deux collectifs, a été inscrit sur le piédestal de la statue de la Loi qui se trouve derrière l'Assemblée nationale, ainsi que sur la porte du bâtiment, à la craie "lavable et biodégradable". Yaël Braun-Pivet fait pourtant un amalgame inacceptable entre cette action et des menaces, insultes racistes et attaques contre parlementaires", lui a répondu Attac. La réforme va aggraver cela, ce qui est scandaleusement injuste", abonde Lou Chesné, également porte-parole d'Attac et co-fondatrice des Rosies.

Le mouvement Attac France a mené une action en taguant une des portes de l'Assemblée nationale et la statue de la Loi, située place du Palais Bourbon.

Le débat sur le projet de réforme des retraites a démarré de façon chaotique ce lundi à l’Assemblée nationale. Le débat sur la réforme des retraites a commencé lundi à l’Assemblée nationale. Ce lundi, les débats ont commencé dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale autour de la réforme des retraites. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, affirme que le gouvernement est prêt « à améliorer » le projet. La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a tenu à remercier les forces de l’ordre « pour leur action immédiate ». Par ailleurs, le mouvement a mis en avant le caractère injuste de cette réforme pour les femmes.

Cette action s'est tenue à l'occasion de la troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, après les manifestations historiques des 19 et 31 ...

Pourtant les inégalités de salaire et de carrière que subissent les femmes tout au long de leur vie active demeurent et se répercutent sur le montant des pensions et l’âge de départ. C’est cette question que les Rosies soulèvent par leurs chansons chorégraphiées, qui ont vocation à servir de levier de mobilisation pour faire barrage à cette réforme. Cette action s’est tenue à l’occasion de la troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, après les manifestations historiques des 19 et 31 janvier.

Ce mardi 7 février au matin, une trentaine d'activistes d'Attac se sont rassemblées devant l'Assemblée nationale pour montrer leur opposition à la réforme ...

L’une des portes de l’Assemblée nationale et la statue de la Loi toute proche arboraient des messages hostiles à la réforme des retraites mardi matin, à l’aube d’une nouvelle journée de mobilisation des opposants. Selon Attac, qui est à l’origine des tags, ceux-ci ont été réalisés à la peinture à la craie, lavable à l’eau. Ce mardi 7 février au matin, une trentaine d’activistes d’Attac se sont rassemblées devant l’Assemblée nationale pour montrer leur opposition à la réforme des retraites, qu’elles jugent particulièrement injuste pour les femmes.