Le Saverdunois, kinésithérapeute et ostéopathe, fait partie du staff de l'équipe de France masculine de handball depuis les Jeux Olympiques de Rio, en 2016.
Depuis 2016, il en profite à fond. « On a une salle dédiée où on met de la musique, où il y a une lumière rouge douce, rigole Jacques Miquel. « Tous les jours, on voit environ 80 % des joueurs pour des petits ou des gros bobos, pour de la remise en forme. à cet article à partir de » Par exemple, vendredi soir, après la demi-finale, ils sont 9 à avoir sollicité l’intervention des « docs. » Un groupe WhatsApp a été constitué et ce sont les joueurs qui sollicitent, quand ils en ont envie ou besoin, un passage par la case soin. Jacques Miquel fait partie d’un groupe de trois aux petits soins des joueurs. Jacques Miquel en est une des figures importantes. » Il en est un des rouages principaux. Une parenthèse enchantée qui s’arrêtera aux Jeux Olympiques de Paris en 2024. Une de plus mais toujours avec le même plaisir. » Du plaisir mais aussi beaucoup de sueur.
A Stockholm, les Bleus ont surclassé (31-26) une équipe suédoise orpheline de son maître à jouer, Jim Gottfridsson. Ils viseront dimanche une septième ...
Pour le sélectionneur Guillaume Gille, qui paraissait plus ému que ses joueurs après le match, le rendez-vous de dimanche opposera effectivement les deux meilleures équipes du Mondial : « Le Danemark a un talent offensif incroyable, a-t-il déclaré. La rivalité entre les deux pays est profonde : les Français avaient battu (25-23) les Scandinaves en finale des Jeux olympiques de Tokyo en 2021, avant de perdre le match pour la troisième place face à ces mêmes Danois à l’Euro 2022, après prolongation. A part un accroc contre la Croatie [au tour principal, le Danemark et la Croatie ont fait match nul 32-32], ils se sont promenés depuis le début du tournoi, en dominant nettement tous leurs adversaires. « Un défi encore plus grand nous attend dimanche contre le Danemark, a insisté Luka Karabatic après le match. On a respecté notre plan de jeu à la lettre. On savait que c’était quelque chose de spécial de gagner ici et c’est chose faite. Après son match raté en quarts contre l’Allemagne, Vincent Gérard a rendu une copie plus qu’honorable, avec treize parades sur 38 tirs suédois tentés (34 %). Privés de leur meneur de jeu habituel, Jim Gottfridsson, blessé à un doigt, les Suédois n’avaient pas les armes pour rivaliser avec une équipe qui semblait réciter ses gammes. Vendredi, les hommes du sélectionneur Guillaume Gille ont livré un match plein face à la Suède, menant de bout en bout. Deux jours après avoir livré une bataille homérique contre la Norvège en quarts de finale (35-34 après deux prolongations), les Espagnols n’avaient plus d’essence dans le réservoir. Leur victoire est d’autant plus savoureuse qu’elle a eu pour cadre la Tele2 Arena de Stockholm, véritable temple du handball, dans un pays où ce sport est presque une religion. Les grandes équipes sont généralement capables d’élever leur niveau de jeu dans les grands rendez-vous.
Le joueur de handball français avait reçu six coups de couteau dans le dos il y a un peu plus d'un an. Il revient aujourd'hui disputer la finale contre le ...
Près de trois mois après l'agression, il revient sur le terrain avec le PSG pour un match en extérieur face à Nancy en Liqui Moly Starligue. : il y a un peu plus d'un an, lors de la nuit de la Saint-Sylvestre 2022, l'athlète français était violemment agressé au couteau à Paris dans le VIIIème arrondissement parisien. S'il dispute demain la finale contre le Danemark avec les Bleus au Mondial de Handball, il revient de loin.
Les Bleus disputeront leur première finale du Mondial de hand depuis 2017 après avoir surclassé (31-26) devant son public la Suède, championne d'Europe en titre ...
A l'image de ce kung fu entre les deux premiers (32e; 17-13). Les Suédois étaient eux privés de leur meneur de jeu Jim Gottfridsson, blessé à la main gauche, et ils n'ont pas su trouver les clés pour percer le coffre-fort tricolore en son absence. Qu'importe, le vétéran des Bleus (38 ans, 10e et dernier Mondial) et Briet ont été parfaitement supplées par Elohim Prandi et même Romain Lagarde, au temps de jeu réduit pourtant à peau de chagrin ces dernières temps en sélection. La France ne l'a jamais réalisé, victorieuse de deux titres consécutifs à deux reprises, du temps des Experts (2009, 2011 et 2015, 2017). Mais cinq minutes plus tard, après un 3-0 infligé, le match a été plié (30-24). Les Bleus disputeront leur première finale du Mondial de hand depuis 2017 après avoir surclassé (31-26) devant son public la Suède, championne d'Europe en titre, vendredi à Stockholm.
Après un véritable parcours du combattant, la septième couronne mondiale se rapproche pour l'équipe de France masculine de handball qui affrontera le ...
Ils peuvent toujours compter sur leur gardien Niklas Landin, double meilleur joueur du monde en titre, et sur Hansen, lauréat de cette récompense à trois reprises comme Nikola Karabatic (2011, 2015 et 2018). « On a eu l’impression de progresser, de jouer de mieux en mieux depuis le début de la compétition », note Vincent Gérard. Il en reste une à glaner pour, selon Gille, « concrétiser cette idée fixe, cette ambition » affichée depuis le début. Confronté à sept forfaits (Pardin, Minne, Villeminot, Kounkoud, Konan, Nguessan, Descat) avant le début de la compétition, Gille n’a ainsi pu compter sur l’ensemble de son effectif depuis qu’elle a commencé, le 11 janvier à Katowice (Pologne). Espagne, Allemagne, Suède et maintenant Danemark : c’est un véritable parcours du combattant qui a été proposé à Guillaume Gille et ses hommes. Avant, donc, de se voir rendre la monnaie de sa pièce au Japon il y a un an et demi.
Les Bleus ont dominé les Scandinaves dans leur antre de Stockholm, portés un collectif impressionnant en dépit de blessures en cascade.
Dimanche, le même genre de beauté se présentera à eux : le Danemark, double champion du monde en titre, un jeu collectif aussi huilé que la Suède, et une pelletée d’individualités encore un cran au-dessus. Nouvelle preuve de l’impressionnante qualité du réservoir de talents du handball tricolore, les Bleus ont même dû faire sans Nikola Karabatic, inscrit sur la feuille de match mais manifestement inapte à jouer en raison d’une blessure au pied. Vainqueurs 31-26, les hommes de Guillaume Gille défieront le Danemark dimanche en finale du championnat du monde.
L'équipe de France de handball s'est qualifiée pour sa huitième finale de championnat du monde, ce vendredi 27 janvier, en dominant la Suède, ...
Son activité défensive, et celle de l’ensemble des Bleus, a souvent obligé les artilleurs adverses à prendre leur chance de loin (17 tentatives sur 46 au total au-delà des 9 mètres). En parlant de défense, que dire de la prestation du secteur central tricolore. Tout en tendant des pièges sur les lignes de passes scandinaves. Il provoque même la disqualification de Jonathan Carlsbogard en fin de match. Des Suédois qui les avaient éliminés au même stade de la compétition, lors du dernier Mondial et du dernier Euro. Ce qui en fait le joueur de champ le plus utilisé. Sur la réception de sa chute, il est resté au sol en se tenant l’épaule. On aurait pu citer Luka Karabatic à sa place, lui qui était absent des deux dernières rencontres contre la Suède, en demi-finales. L’équipe de France de handball s’est qualifiée pour sa huitième finale de championnat du monde, ce vendredi 27 janvier, en dominant la Suède, chez elle (31-26). Lors de l’Euro, l’annonce du départ de Gérard du Paris Saint-Germain et son remplacement par Palicka, avait quelque peu agacé l’international français. L’ancien Parisien a également apporté son écot offensif d’une autre manière, avec quatre buts marqués à des moments décisifs (sur six tentatives). Souvent catalogué comme un homme absent des matches couperets, il a su faire mentir ses détracteurs.
Raïssa Dapina (27 ans) ne portera plus les couleurs des Neptunes de Nantes la saison prochaine.
Depuis la création, en 2018, du Handball Club Brantôme/Dronne et Belle, les bénévoles n'ont cessé de travailler pour développer son activité.
Ce sera l’occasion d’évaluer l’effectif pour engager une équipe et de déterminer les conditions dans lesquelles elle va évoluer à l’avenir. L’objectif est de développer l’accès des femmes à ce sport. Aujourd’hui, le club accueille 90 licenciés de 8 à 58 ans répartis en huit équipes : 11 garçons (9 à 10 ans), 13 filles (11 à 12 ans), 15 filles et 18 garçons (13 à 14 ans) en entente avec Coulounieix-Chamiers et Thiviers, ainsi qu’une équipe de seniors garçons en entente également avec Thiviers.
Quatre équipes ont entamé la saison 2022-2023 : les U13, U15, U18 et seniors. Au total, environ soixante-dix joueuses. L'équipe U11, mixte garçons/filles, est ...
Ce sont les équipes de filles qui sont gérées par Villeneuve, réunissant les joueuses des deux clubs. En ce début de saison, les premiers résultats sportifs sont encourageants, notés « assez bien » par Alain Rousseau, le président du club. L’équipe U11, mixte garçons/filles, est basée aussi à Villeneuve, les autres équipes garçons relevant de Sens.