Officialisé à l'été 2021, “Dead Space Remake” doit remettre au goût du jour un jeu légendaire. Opportunisme ou coup de maître ?
Un espace dans lequel des développeurs talentueux s’approprient un jeu de légende et le manipulent avec le même soin que des restaurateurs redonnant ses couleurs originelles à un tableau de maître. [À la manière de The Last of Us Part 1](https://leclaireur.fnac.com/article/121731-test-the-last-of-us-part-i-ravive-la-legende-sans-lecorner/), l’autre versant essentiel d’un remake est la possibilité pour les studios d’ajouter quantité d’options d’accessibilité. Le tout transpire d’une cohérence à toute épreuve et conserve, en guise de dénominateur commun, une appétence pour les murs tapissés de sang et les tentacules buboniques. Grâce à des ombres plus fines et, surtout, des effets de lumière extrêmement séduisants, les artistes de Motive se sont fait plaisir pour nous offrir des visuels plus variés. Une belle façon de nous encourager à revenir sur nos pas pour faire le plein de munitions, découvrir de nouveaux éléments du scénario, mener à bien quelques quêtes secondaires ou récupérer des composants nécessaires à l’amélioration de son arsenal. Pour se débarrasser des nécromorphes (les atrocités qui ont pris possession de l’équipage), leur tirer dans la tête ne suffit pas. Une machinerie complexe à appréhender pour les développeurs, mais qui leur offre aussi une variété d’outils précieuse pour faire évoluer le gameplay dans le bon sens. À l’aide de son gant, Isaac peut également ralentir ses assaillants et user de la télékinésie pour, par exemple, leur envoyer un rotor de ventilateur à la vitesse d’un coup droit de tennisman professionnel. En son cœur, Dead Space est donc un jeu d’action et de tir en vue TPS (à l’épaule) dans lequel il s’agira pour l’essentiel de rester en vie. [The Callisto Protocol](https://leclaireur.fnac.com/article/201857-critique-test-the-callisto-protocol/) à l’âge de pierre. Le capitalisme, en revanche, se porte mieux que jamais, au point que des vaisseaux spatiaux sont désormais conçus spécifiquement dans le but d’ouvrir des planètes comme des pistaches pour en extraire les ressources les plus précieuses. Dead Space Remake est une reproduction à l’échelle 1:1 de l’aventure imaginée par Visceral il y a 15 ans.
La saga Dead Space, tombée dans l'oubli après un troisième opus détesté, renaît de ses cendres grâce à un remake flamboyant du tout premier.
Le tout est enrobé dans une réalisation en plan-séquence qui, sans atteindre la réussite créative de [God of War Ragnarök](https://www.numerama.com/jeux-video/god-of-war-ragnarok/) dans la science du cadrage, assure une continuité totale dans l’aventure (sans aucun temps mort, ni chargement). Motive a réalisé quelques changements à la marge, dans le sillage du système d’amélioration des armes (légèrement remanié), des déplacements libres — mais compliqués — en apesanteur ou encore de l’intégration d’événements aléatoires quand on franchit les dizaines de portes de l’USC Ishimura (spoiler : les ennemis peuvent venir de partout ou… Sous la houlette du studio Motive, Isaac Clarke retrouve autant sa voix que la voie, dans une aventure revigorée par une réalisation sublimant l’ambiance et le design sonore. Tandis que rien n’invite à passer du temps dans cette carcasse déshumanisée et labyrinthiques, les développeurs trouvent des moyens de prolonger la souffrance. On se prend à rêver d’être en quête d’une vaine lueur d’espoir, au beau milieu des bruitages pensés pour inquiéter (une douche qui se déclenche sans prévenir, le boucan abrutissant d’une pale d’un immense ventilateur qui fait tout vibrer au rythme des changements d’éclairage). Il s’articule toujours autour d’Isaac Clarke, un ingénieur dont le prénom et le nom font référence à des auteurs majeurs de la SF (Isaac Asimov et Arthur C. En 2023, Electronic Arts décide de commander [un remake de celui par qui tout a commencé](https://www.numerama.com/pop-culture/724955-jai-rejoue-a-dead-space-et-cest-toujours-aussi-flippant.html) à Motive. Il aura précipité la chute tout à la fois de Dead Space et de Visceral Games (deux ans après la sortie de Dead Space 3). Elles feront certainement le bonheur des fans qui s’amuseront à jouer aux jeux des sept différences — ce qui vaut aussi pour le destin de certains personnages secondaires. Pour justifier le statut de remake, Motive a quand même retravaillé certains points, notamment l’approfondissement de plusieurs sous-intrigues ou l’ajout d’autres embranchements (par des quêtes secondaires). Les jump-scare et autres artifices utilisés par les artistes pour faire perler des gouttes de sueur froide dans le dos des téméraires ne sont que des échecs. [Dead Space](https://www.numerama.com/jeux-video/dead-space/) est sorti en 2008, sur Xbox 360, PlayStation 3 et PC.
Retrouvez le test de Dead Space Remake : Est-ce le jeu le plus flippant de l'histoire du jeu vidéo ? du 26/01/2023.Il y a presque 15 ans, Electronic Arts ...
Que vous soyez endoctriné ou néophyte, il y a une place pour vous dans ce vaisseau sanguin qui prend des allures de train fantôme, car oui, Dead Space est plus flippant que jamais. Le fait que les développeurs usent et abusent des zones de quarantaine à la fin de l’aventure fait également partie des quelques facilités qui auraient pu être gommées. Dans les corridors du vaisseau, il est plus qu’appréciable de retrouver les morceaux de Nécromorphes issus d’anciennes batailles éparpillés dans les arènes sans que l'ordinateur n’ait décidé de les supprimer. Grâce à des ajouts techniques et narratifs qui boostent son organisme, la création mutante de Motive est plus irrésistible que jamais. Faire des allers-retours est encouragé dans le but de dénicher des bonus accessibles grâce aux niveaux de sécurité qu’acquiert Isaac au fil de la progression. Les développeurs ont décidé de se reposer significativement sur tout ce qui a trait aux collisions avec plus d’objets à se saisir puis à envoyer dans la trogne des adversaires via la télékinésie. [Dead Space](https://www.jeuxvideo.com/jeux/xbox-series/jeu-1441663/) est un survival-horror en vue à la troisième personne qui a frappé fort lorsqu’il a débarqué en octobre 2008, à un tel point que [Resident Evil 5](https://www.jeuxvideo.com/jeux/xbox-360/00015040-resident-evil-5.htm) en a pris pour son grade lorsque sa démo s’est laissé approcher peu de temps après. Bien que des efforts aient été faits sur la narration, la production de Motive se contente du minimum syndical sur cet élément en conservant l’ossature du jeu de 2008 : Clarke reçoit des ordres en vidéo ou en audio et doit faire le sale boulot avec des moteurs à enclencher et des circuits électriques à réparer. Les musiques qui évoluent selon les situations couvrent formidablement bien l’action, tandis que les messages audio diffusés dans l’Ishimura se permettent quelques lignes en espagnol et en japonais qui ont tout à fait leur place dans l’enceinte d’une station abritant de multiples nationalités. Ensuite, de nouvelles interactions ont été intégrées entre les personnages principaux, occasionnant des scènes inédites (le plus souvent de discussion). La mission de restauration envisagée à la base se transforme vite en sauve-qui-peut face à des Nécromorphes en surnombre. En 2023, le géant américain s’apprête à donner une nouvelle dose à qui le souhaite par l’intermédiaire, cette fois-ci, des laborantins de Motive Studio.
The Callisto Protocol n'aura pas réussi à briller assez fort pour que l'on oublie l'existence de Dead Space Remake, une nouvelle version du jeu d'horreur ...
Voici donc où trouver Dead Space Remake au prix le plus bas. Vous pouvez d’ores et déjà consulter [notre test complet](https://www.actugaming.net/test-dead-space-remake-lreview-542225/) du jeu, qui revient en détails sur toutes les qualités et les défauts de ce remake. Nous vous proposons ici une sélection des sites marchands qui vendent le jeu.
EA Games nous ramène sur l'USG Ishimura, pour une aventure encore plus terrifiante qu'il y a 15 ans.
Notons tout de même la présence d'un aliasing sur certains éléments, surtout en mode Performances, mais c'est très léger, et globalement, les deux modes proposent un rendu magnifique, bourré de détails, avec de très jolis effets et un éclairage qui donne tout son intérêt à ce remake. Dead Space est beau, Dead Space est stressant, Dead Space est violent, Dead Space est intense, Dead Space est prenant, comme en 2008. Le jeu a en effet l'intelligence de faire droper des munitions en fonction de l'arme utilisée, et plus votre arsenal est conséquent, plus les munitions sont nombreuses et prennent de la place dans l'inventaire. Toute la partie audio a également eu droit à un vrai coup de jeune, nous avons déjà parlé des doublages, mais jouer à Dead Space au casque ferait presque envisager d'investir dans des Pampers. Pour ce remake, Isaac Clarke est doublé, cela peut paraître un peu anodin, mais notre héros gagne quand même en profondeur et cela aide le joueur à s'attacher à lui, à sa mission, à sa relation avec les autres membres du Kellion et à s'impliquer davantage dans sa recherche de Nicole. Il manque quelque chose, de petits moments « wow » pour nous décoller la rétine, la faute sans doute à des environnements souvent plongés dans le noir. Un mode Performances pour atteindre 60 fps est présent, mais au détriment de l'image, qui passe alors en 2K et sans ray-tracing. De manière générale, la mise en scène de Dead Space est maîtrisée de bout en bout et n'a pas pris une ride. Il y a d'ailleurs eu un gros travail sur les démembrements, la chair, les os et le sang sont plus réalistes que jamais, c'est dégoûtant et donc très réussi. Dead Space est fortement influencé par Resident Evil 4, nous avons là un jeu de tir à la troisième personne orienté vers la survie. Vu comme ça, c'est un banal jeu d'horreur dans l'espace, qui fait écho aux Alien ou à Event Horizon, mais le scénario s'épaissit au fil des heures, alors qu'Isaac trouve des carnets textuels et audio qui relatent les évènements qui sont survenus sur l'USG Ishimura pendant les semaines et jours avant son arrivée. Dead Space prend place en 2508, alors que l'USG Kellion est envoyé vers l'USG Ishimura, un énorme brise-surface chargé de récolter des minerais sur la planète Aegis VII.
Bien avant The Callisto Protocol, Glen Schofield chapeautait un survival horror développé par le défunt studio Visceral Games, sorti en 2008 sur consoles et ...
Toutefois, un gros travail a été fait sur la carte, désormais un peu plus lisible, bien que ça ne soit pas encore parfait et le système de points de force pour déverrouiller les améliorations de l'équipement a été allégé. De même, le retour haptique arrive à nous faire ressentir les déplacements en apesanteur, le choc de notre combinaison sur la taule ou nos déplacements dans la mélasse alien. Enfin, pour les amoureux de défis, sachez qu’il existe un mode de difficulté « impossible » qui vous demandera de finir le jeu d’un trait avec une seule et unique vie et sauvegarde. Pour son remake, Motive a également repris ce qui avait été fait dans le titre d’origine concernant la gestion de l’inventaire et l’amélioration de notre équipement, à quelques détails près. Nous ne sommes clairement pas sur un travail digne d’un gros RPG par exemple, mais force est d’admettre que les protagonistes, et antagonistes, ont désormais bien plus de consistance, et que toute la mythologie de la licence Dead Space gagne en détails et en cohérence comparé à ce que proposait le jeu de 2008. On se sent tout petit, et on rêverait presque de space opera, avant de se faire ramener de force dans l’horreur la plus totale dès le sas de pressurisation franchi. L'action et l’horreur sont parfaitement dosées, et la montée en puissance de notre personnage entre en parfaite symbiose avec celle des événements et des séquences de jeu qui deviennent, peu à peu, toujours plus intenses. Non seulement on dénombre bien plus de séquences sanglantes et de mise en avant de l’hémoglobine dans l'environnement, mais en prime le studio a revu son système de démembrement. D'autant que le bestiaire ne lésine pas sur les moyens pour en faire voir de toutes les couleurs. Si leur contenu est sympa et apporte encore plus d'informations, elles sont également dispensables dans la mesure où elles ne vous empêcheront clairement pas de terminer le jeu et d’en profiter pleinement. Et pour ce faire, le studio a mis les petits plats de tripailles dans les grands. EA et Visceral tenteront également de capitaliser sur la franchise avec quelques jeux plus modestes qui ne soulèveront pas les foules malheureusement.
Isaac Clarke revient explorer l'Ishimura dans la version flambant neuve de Dead Space Remake. Découvrez notre avis sur cette refonte développée par EA ...
Enfin, côté accessibilité, Dead Space Remake offre la possibilité au plus grand nombre d’être découvert, qu’il s’agisse de paramètres visuels, comme la taille des sous-titres ou le mode daltonien, ou bien du mode Histoire, une difficulté où les ennemis ne sont plus vraiment une menace, afin de profiter au maximum de l’intrigue. Autrement dit, l’histoire reste essentiellement la même et se parcourt la plupart du temps comme avant, en se permettant heureusement des changements de level design et de narration. Rappelons qu’il consiste à envoyer des ballons dans des cibles afin de faire grimper au maximum son score et ainsi gagner des récompenses en fonction du résultat obtenu. Difficile d’expliquer cela à l’écrit, mais on peine parfois à s’orienter et on utilise souvent la touche de « remise à l’endroit » pour se repérer. En évitant un tel hic, le backtracking aurait vraiment pu livrer une évolution pleinement réussie à l’exploration, qui en plus de tout ça se pare de quêtes annexes pour allonger la durée de vie et donner davantage d’épaisseur aux personnages secondaires, dont Nicole. Ses battements de cœur, sa respiration ainsi que ses râles de douleur varient subtilement en fonction des situations et s’expriment en symbiose et de manière tout à fait cohérente. Le disjoncteur mentionné juste avant constitue un des ajouts à l’occasion de cette refonte, en permettant de distribuer l’énergie disponible pour alimenter une porte au détriment d’une autre ou d’un appareil électrique. Ce retrait de lumière, c’est même nous qui l’exerçons à quelques reprises par la manipulation d’un disjoncteur, un des nombreux éléments apportant la nouveauté aux côtés du peaufinage. À l’intérieur, la situation devient de plus en plus inquiétante et au cours d’une introduction toujours aussi efficace, on fait assez rapidement la connaissance des créatures sanguinaires qui semblent avoir investi les lieux, les Nécromorphes. Concernant la dimension sonore, l’audio 3D et sa spatialisation réussissent un coup double : on parvient à localiser assez précisément la source d’un bruit, mais vu que son origine peut revêtir bien des formes, on se retrouve donc souvent à surveiller autour de soi tant l’USG Ishimura s’avère bavard. Une première partie de 18h a été faite en difficulté Moyenne, en mode Performances, en explorant entièrement le vaisseau et en complétant la plupart des missions secondaires. Une deuxième partie a été commencée dans la foulée afin de tester le mode Qualité et de mesurer quelques changements apportés par le New Game +.
Jeu de tir à la troisième personne, on y incarne l'ingénieur Isaac Clarke, obligé d'explorer les méandres de l'USG Ishimura (« village de pierre » en japonais), ...
Cette version remaniée de Dead Space ne réinvente peut-être pas le genre, mais il en restitue une expérience très bien calibrée, à la hauteur de son aîné et de ses promesses. Dead Space est beau, fourmille de détails, et offre une immersion incroyable grâce à l’ambiance sonore oppressante. Les anciens pourront toutefois se consoler avec les nouvelles intrigues et quêtes secondaires, qui permettent de densifier l’histoire de l’Ishimura et ses occupants. Cet aspect n’a d’ailleurs fait que s’accroître au fil de licence, jusqu’à aboutir à un Dead Space 3 dopé aux hormones et bien moins prenant que ses prédécesseurs. Le conseil est désormais d’autant plus judicieux que le remake s’est quelque peu musclé par rapport au jeu original. Car ces monstres de 2023 sont bien plus entêtés que leurs aînés et relâchent moins facilement leurs proies. Le moindre bruit suspect nous met en alerte, et le plus amusant, c’est qu’il s’agit bien souvent d’une porte qui se ferme, d’un tuyau qui fuit ou d’une douche qui se met inopinément en route. Avant d’évoquer les nouveautés en termes de gameplay, il est important d’évoquer le sentiment d’inquiétante étrangeté que produit ce remake. Sur un bon vieux disque dur, comme nous avons pu le constater, il pouvait arriver occasionnellement que certains éléments, y compris les monstres, apparaissent subitement à l’écran. Le par cœur ne fonctionne plus, la mémoire ne sert plus à rien. Sorti en 2008, le tout premier jeu vidéo Dead Space s’apprête à connaître une seconde jeunesse. Et le tout vit (et meurt) sous nos yeux avec une fluidité remarquable.
Ça y est, le remake de Dead Space est enfin sorti ! Le jeu s'est doté de nouveaux graphismes et effets sonores qui exploitent au mieux les atouts des.
Découvrez où trouver Dead Space remake au meilleur prix. Découvrez où acheter Dead Space au prix le moins cher. Le remake du célèbre jeu d’horreur Dead Space est sorti ce 27 janvier 2023. Le rendu est immersif et réaliste. Le jeu est affiché au prix conseillé de 79,99€ sur PS5 et Xbox Series X ainsi qu’à 69,99€ pour sa version numérique sur PC. Ça y est, le remake de Dead Space est enfin sorti !
Le légendaire Dead Space fait son grand retour 14 ans après sa sortie initiale et le survival horror promet quelques sueurs froides aux joueurs.
Le Dead Space de 2008 était devenu instantanément une référence du genre et deux suites, Dead Space 2 et Dead Space 3, sont sorties respectivement en 2011 et 2013. [guide des sorties jeux vidéo de ce mois de janvier 2023](https://www.sitegeek.fr/article-jeux-video/jeux-video-les-grosses-sorties-de-ce-mois-de-janvier-2023/#Dead_Space_2023), c’est bien le remake de Dead Space (2023) qui sort en cette fin de mois (le 27 janvier pour être exact). Les développeurs de Motive Studios, un studio canadien appartenant à Electronic Arts, souhaitent offrir de l’adrénaline et quelques sueurs froides aux joueurs.
Il est enfin là : le remake du cultissime survival-horror Dead Space débarque et, d'après la critique, est une des premières grosses claques de cette année.
Voilà qui nous donnerait déjà envie d'espérer un autre remake de qualité : celui du non moins excellent Dead Space 2. Que l’on soit fan ou pas du jeu de 2008, la refonte du technique serait parfaitement à la hauteur des exigences que l'on attendre en 2023 d’un titre du genre, et toute l’expérience originale reste parfaitement immaculée. Au lendemain de The Callisto Protocol, le contraste devrait plutôt jouer en faveur de ce Dead Space, et peut-être même lui octroyer une toute nouvelle popularité. Game Informer : "Plutôt que de réinventer la roue, Motive Studios a rendu Dead Space plus beau et plus agréable à jouer, tout en préservant le cœur de son expérience. J’espère que cette exceptionnelle revisite du jeu rappellera à EA que Dead Space en a encore sous le capot et que son univers peut toujours nous proposer plus d’histoires cauchemardesques pour l’avenir." Toutefois, si vous avez épongé en long en large et en travers le jeu de 2008, il n’y aura rien ici pour vous redonner le coup de foudre. TierraGamer : "Dead Space est un remake qui parvient à surpasser l’original. Metro GameCentral : "Un excellent remake d’un survival horror pas si culte que ça. L’USG Ishimura est terrifiant, les jeux d’ombre et de lumière du Frostbite Engine sont absolument bluffants et vous feront faire des cauchemars pendant des semaines. Power Unlimited : "Dead Space (premier du nom) est un indéniable classique, l’un des meilleurs jeux survival horror qui n’ait jamais existé. Sur 56 avis, un seul est plus tiède que les autres – quant à la majorité, elle reste néanmoins plus que positive. Avec une note presse de 89/100 sur Metacritic, le remake fait mieux que l’original qui, en 2008, affichait déjà un très bon 86.
Dead Space Remake vient d'arriver ce 27 janvier et cela peut être l'occasion pour certains joueurs et joueuses de découvrir le genre du survival-horror.
Plus que ça, n'hésitez pas à vous en servir pour ralentir les hordes de nécromorphes sur votre chemin pour viser plus facilement où il faut, et faciliter vos traversées. De nombreuses recharges de stase se trouvent au cours du jeu, que ce soit contre les murs ou dans votre inventaire, n'hésitez donc pas à avoir la main lourde sur la stase ! En début de partie, pour garder un maximum de balles, n'hésitez pas à utiliser le tir secondaire de votre Arme d'Assaut, particulièrement efficace en zone, qui viendra rapidement à bout des ennemis. Pour sauver beaucoup du munitions, n'hésitez pas à jeter des éléments du décor dans la tronche des nécromorphes ! La télékinésie est une des capacités principales de la tenue d'Isaac Clarke, et si vous vous en servirez principalement pour les puzzles, gardez en tête qu'elle peut servir à bien plus de choses. N'ayez pas peur de ça en tout cas, voici 5 conseils pour être comme un poisson dans l'eau à bord de ce vaisseau géant.
On vous donne notre estimation de la durée de vie de Dead Space Remake sorti ce 27 janvier sur PC, PS5 et Xbox Series. L'occasion de savoir combien d'heures ...
Le contenu des trophées est plutôt sympathique et exigeant à aller chercher, et vous occupera pendant de longues heures si vous souhaiter vous aventurer dans les tréfonds de l'USG Ishimura de nombreuses fois. On vous conseille néanmoins d'entrer dans un minimum de salles non-obligatoires sur votre chemin histoire de récupérer quelques munitions et kits de soin à partir de la difficulté "normale", cela pourrait potentiellement même être un gain de temps à l'arrivée puisque ces ressources vous seront chères dans beaucoup de compartiments du jeu. On est le 27 janvier, jour de la sortie de Dead Space mais aussi premier jour du week-end !