La directrice de l'antenne du groupe Radio France a annoncé mardi son départ à ses collaborateurs dans un mail interne, consulté par «Libération», ...
Ceux-ci décrivaient un «système de violence et de soumission, qui neutralise par la peur» ou une «politique de dénigrement généralisé» ayant entraîné au moins quatre signalements, portant des accusations de harcèlement moral et visant la direction de la chaîne, en 2022. Il va de soi que j’ai fait des erreurs, et j’en suis désolée.» Ou encore : «Parfois, à l’évidence, renforcés par la distance, la séparation, la difficulté à se réunir, la réduction des temps informels, parfois aussi la vitesse des évolutions, le stress, la surcharge de sujets, nous nous sommes moins bien compris. [par plusieurs témoignages dans une enquête de Libération en septembre](https://www.liberation.fr/economie/medias/a-france-culture-un-systeme-de-violence-et-de-soumission-venu-den-haut-20220921_ENXG3V46BRAP5OQNCFMB2RFSX4/), Sandrine Treiner a annoncé mardi sa démission de la direction de France Culture dans un mail interne envoyé aux salariés de la chaîne, [comme l’indique également le Monde](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/01/24/sandrine-treiner-demissionne-de-france-culture_6159102_3234.html). [continuer à s’élargir](https://www.liberation.fr/france/2018/11/27/a-france-culture-les-nouveaux-chemins-de-la-croissance_1694639/). C’est pourquoi, en accord avec la direction générale, j’ai décidé de quitter la direction de France Culture», écrit Sandrine Treiner en préambule de ce long message, faisant le bilan de ses treize années au sein de l’antenne, d’abord comme conseillère de programmes d’Olivier Poivre d’Arvor, puis comme directrice de France Culture, nommée par Matthieu Gallet en 2015. Depuis la parution de l’article [de Libé] et l’ouverture de l’enquête, le climat n’est pas optimal, moins serein», commente une source proche de la directrice de Culture. «C’est au-delà de ce que l’on pouvait imaginer, commente la même source. «Sandrine a voulu mettre fin à un moment compliqué, qui avait assez duré selon elle. Le cabinet Alcens (qui ne souhaite pas s’exprimer à ce stade) n’a pas terminé sa rédaction et n’a pas transmis d’éléments intermédiaires à la direction de Radio France. Même si certains y ont sûrement participé pour dire tout le bien qu’ils pensaient de la direction. Le contenu de cet audit n’a pas filtré. En annonçant ainsi sa démission, Sandrine Treiner devance les résultats attendus la semaine prochaine d’une mission d’enquête et d’écoute auprès des salariés de France Culture, menée par le cabinet spécialisé Alcens.
En fonctions depuis 2015, elle cessera de diriger la station à la fin de la semaine. Elle a préféré ne pas attendre les conclusions d'une expertise réclamée ...
Déjà, des noms circulent pour la remplacer, à commencer par celui de Marc Voinchet, actuellement à la tête de France Musique. Reconnaissant que la maison a parfois été traversée de « désaccords », elle esquisse un mea culpa : « Parfois, à l’évidence, renforcés par la distance, la séparation, la difficulté à se réunir, la réduction des temps informels, parfois aussi la vitesse des évolutions, le stress, la surcharge de sujets, nous nous sommes moins bien compris. « J’ai décidé de quitter la direction de France Culture.
À la veille de la publication d'un rapport sur son management jugé brutal, la directrice de France Culture, en poste depuis 2015, a annoncé mardi son départ ...
« Il va de soi que j’ai fait des erreurs, je suis désolée », confesse d’emblée celle qui est entrée à France Culture il y a douze ans et qui, dans ses adieux de trois pages en forme de bilan, entend « rembobiner le film », pour montrer que « les résultats sont là ». J’en ai moi-même fait les frais par le passé », glisse-t-elle, déplorant les « représentations sociales » subies. À la veille de la publication d’un rapport sur son management jugé brutal, la directrice de France Culture, en poste depuis 2015, a annoncé mardi son départ de la station publique. « Parfois, à l’évidence, renforcés par la distance, la séparation, la difficulté à se réunir […] le stress, la surcharge de sujets, nous nous sommes moins bien compris. C’est pourquoi j’ai décidé de quitter la direction de France Culture. Si elle savait son sort en suspens, la
La directrice de la station de radio publique a été épinglée dans une enquête de « Libération », pour des cas de harcèlement moral.
- 21h10 ». Dans son mail de départ, Sandrine Treiner revient également sur le bilan de l’antenne ainsi que sur toutes les actions qu’elle a menées au cours des huit années passées à la tête de la station. L’expertise évoquait des [Dans cette enquête](https://www.nouvelobs.com/medias/20220921.OBS63477/la-peur-est-omnipresente-la-direction-de-france-culture-epinglee-pour-des-cas-de-harcelement-moral.html), Sandrine Treiner est mise en cause par une vingtaine de salariés. C’est pourquoi, en accord avec la direction générale, j’ai décidé de quitter la direction de France Culture », a-t-elle écrit.
En septembre 2022, une enquête du journal « Libération » pointait le « système de violence et de soumission » appliqué par la directrice de France Culture.
Elle ajoute : « À côté de nos grandes réussites et de tous nos moments de joie partagée, j’ai aussi des regrets. RADIO - «J’ai décidé de quitter la direction de France Culture ». « C’est avec une grande émotion que j’ai choisi de vous écrire.
La directrice de France Culture, Sandrine Treiner, a annoncé sa démission dans un mail interne rapporte Le Monde. Son management critiqué de la station ...
Après [une enquête parue dans Libération](https://www.liberation.fr/economie/medias/a-france-culture-un-systeme-de-violence-et-de-soumission-venu-den-haut-20220921_ENXG3V46BRAP5OQNCFMB2RFSX4/) en septembre dernier, la direction de Radio France avait réclamé une expertise sur son management, qualifié de brutal par le quotidien. [d'après Le Monde](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/01/24/sandrine-treiner-demissionne-de-france-culture_6159102_3234.html), le mode opératoire qu'a choisi Sandrine Treiner afin d'acter sa démission de la direction de France Culture qu'elle occupait depuis 2015. Parfois, à l’évidence, renforcés par la distance, la séparation, la difficulté à se réunir, la réduction des temps informels, parfois aussi la vitesse des évolutions, le stress, la surcharge de sujets, nous nous sommes moins bien compris.
Critiquée pour son management, elle dirigeait la station depuis 2015. Elle quittera ses fonctions à la fin de la semaine « J'ai décidé de quitter la ...
C’est après que le quotidien [« Libération »](https://www.liberation.fr/economie/medias/a-france-culture-un-systeme-de-violence-et-de-soumission-venu-den-haut-20220921_ENXG3V46BRAP5OQNCFMB2RFSX4/) eut publié une enquête faisant part de la « brutalité » de son management qu’une expertise avait été réclamée par la direction de Radio France. ». [du « Monde »](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/01/24/sandrine-treiner-demissionne-de-france-culture_6159102_3234.html), que Sandrine Treiner, la directrice de France Culture, a annoncé à ses équipes sa démission.
Fragilisée par des accusations de management « brutal », Sandrine Treiner a annoncé ce mardi sa démission au terme d'un règne de huit ans qui a contribué à ...
« L'équipe en place est solide », juge-t-elle, en citant Florian Delorme, nommé délégué aux programmes de France Culture en octobre. Une source travaillant chez France Culture confirme à l'AFP « des méthodes un peu brusques », « une grande concentration des pouvoirs » et l'existence d'un climat dégradé. Elle rappelait qu'« aucun fait de harcèlement moral » n'avait alors « été établi ». « Pour notre collectif et pour France Culture que j'aime tant, je veux clore ce moment difficile », écrit la dirigeante, dans un courrier à ses collaborateurs. Le journal évoquait alors quatre signalements « pour harcèlement moral » depuis le début de l'année 2022. Preuve de la réussite de son tournant numérique, sur la saison 2021-2022, la station est la deuxième radio la plus podcastée derrière France Inter.
Après huit ans à la direction de la chaîne de radio, Sandrine Treiner quitte son poste, fragilisée par des accusations de management « brutal ».
« L'équipe en place est solide », juge-t-elle, en citant Florian Delorme, nommé délégué aux programmes de France Culture en octobre. Dans son courrier à ses troupes mardi, Sandrine Treiner admet des « désaccords ». Une source travaillant chez France Culture confirme à l'AFP « des méthodes un peu brusques », « une grande concentration des pouvoirs » et l'existence d'un climat dégradé. Elle rappelait qu'« aucun fait de harcèlement moral » n'avait alors « été établi ». Dans son enquête, Libération avait pointé « le despotisme de Sandrine Treiner » et le « climat permanent d'insécurité et d'arbitraire » décrit par « la plupart des témoignages recueillis ». Depuis, la station n'a cessé « de conquérir des auditeurs, jusqu'à en doubler le nombre », fait-elle valoir dans son courrier.
Mise en cause par les conclusions d'une enquête sur le management de la station, sa directrice depuis huit ans a pris l'initiative de son départ.
Arrivée en 2010 comme chroniqueuse culturelle dans l’émission de la mi-journée, Sandrine Treiner a très vite été nommée conseillère de programmes par Olivier Poivre d’Arvor, avant de lui succéder à la direction de France Culture cinq ans plus tard, à l’arrivée de Mathieu Gallet à la présidence de Radio France. Cette ancienne journaliste au Monde se félicite aussi des développements numériques qu’elle a impulsés, jusqu’à faire de France Culture « la deuxième radio de France la plus téléchargée ». Plus de 150 personnes se sont présentées à la cellule d’écoute, afin d’apporter leurs témoignages au sujet de l’ensemble de la direction, et pas seulement de Sandrine Treiner. « J’ai à cœur, par ce choix personnel difficile, de permettre à France Culture de retrouver un climat de sérénité, a fait savoir au Monde Sandrine Treiner. Plutôt que de subir les événements, Sandrine Treiner a annoncé, mardi 24 janvier, sa décision de quitter la direction de France Culture, qu’elle occupe depuis 2015. Pour notre collectif et pour France Culture, que j’aime tant, je veux clore ce moment difficile, a-t-elle confié à ses désormais ex-équipes dans un long mail envoyé à la mi-journée, mardi.
Fragilisée par des accusations de management "brutal", la directrice de France Culture, Sandrine Treiner, a annoncé mardi sa démission, au terme d'un règne ...
"L'équipe en place est solide", juge-t-elle, en citant Florian Delorme, nommé délégué aux programmes de France Culture en octobre. Pour les femmes en responsabilité, d'une manière particulière", estime-t-elle, évoquant des "représentations sociales bien établies (...) que parfois malheureusement nous contribuons à entretenir". Dans son courrier à ses troupes mardi, Sandrine Treiner admet des "désaccords". "On en a vu se faire virer du jour au lendemain pour avoir été un peu plus critiques, plus volubiles, plus bruyants que d'autres", assure cette source qui a souhaité rester anonyme. Deux jours après la publication de l'article, Sibyle Veil avait apporté son soutien à Sandrine Treiner dans un mail interne aux salariés, cité par le quotidien. La dirigeante était dans la tourmente depuis la parution cet automne d'une enquête de Libération sur ses méthodes de management, appuyée sur de nombreux témoignages essentiellement anonymes.
Le journal « Libération » avait pointé « le despotisme de Sandrine Treiner » et le « climat permanent d'insécurité et d'arbitraire »
[femmes](https://www.20minutes.fr/dossier/femme). « L’équipe en place est solide », juge-t-elle, en citant Florian Delorme, nommé délégué aux programmes de France Culture en octobre. Dans son courrier à ses troupes mardi, Sandrine Treiner admet des « désaccords ». Elle avait toutefois reconnu l’existence d’un « malaise » et annoncé la mise en place d’un « dispositif de diagnostic et d’écoute ». « On en a vu se faire virer du jour au lendemain pour avoir été un peu plus critiques, plus volubiles, plus bruyants que d’autres », assure cette source qui a souhaité rester anonyme. [Médiamétrie](https://www.20minutes.fr/dossier/mediametrie), France Culture a ainsi séduit 1,7 million d’auditeurs quotidiens en novembre-décembre 2022 (+ 25.000 sur un an), pour une audience cumulée de 3,1 %, contre 2 % sur la même période en 2015, au début du mandat de Sandrine Treiner. [France Culture](https://www.20minutes.fr/dossier/france_culture), Sandrine Treiner a annoncé sa [démission](https://www.20minutes.fr/dossier/demission) surprise mardi. Le journal évoquait alors quatre signalements « pour harcèlement moral » depuis le début de l’année 2022. Depuis, la station n’a cessé « de conquérir des auditeurs, jusqu’à en doubler le nombre », fait-elle valoir dans son courrier. Elle dénonce plus généralement la « « Pour notre collectif et pour France Culture que j’aime tant, je veux clore ce moment difficile », a écrit Sandrine Treiner dans un courrier envoyé à ses collaborateurs et consulté par l’AFP. [Le journal y décrivait ses méthodes de management](https://www.liberation.fr/economie/medias/a-france-culture-un-systeme-de-violence-et-de-soumission-venu-den-haut-20220921_ENXG3V46BRAP5OQNCFMB2RFSX4/), s’appuyant sur de nombreux témoignages essentiellement anonymes.