Le tribunal de commerce de Grenoble a placé jeudi le distributeur d'articles sportifs Groupe Go Sport en redressement judiciaire après avoir constaté son ...
Dans sa décision, le tribunal a constaté que Groupe Go Sport se trouvait en cessation des paiements, citant le rapport du cabinet Eight Advisory & Associés établissant au 5 janvier un passif s'élevant à plus de 14 millions d'euros. "Par un jugement solidement motivé, le tribunal (...) a constaté l'état de cessation des paiements de la société Groupe Go Sport et a ouvert une procédure en redressement judiciaire", a annoncé le parquet de Grenoble dans un communiqué. Il a précisé que "la société Go Sport France n'est pas déclarée en cessation des paiements, mais sa situation sera impactée par celle de sa société mère".
Le distributeur d'articles sportifs, qui emploie 2 160 salariés en France, avait été repris par Hermione People & Brands fin 2021 pour 1 euro symbolique.
HPB a annoncé le 12 janvier « l’acquisition de GAP France par Go Sport » pour un montant de 38 millions. Go Sport, fondé en 1978 et basé à Sassenage en banlieue de Grenoble, avait été repris par HPB fin 2021 pour 1 euro symbolique auprès de la maison mère du groupe de distribution alimentaire Casino, la société Rallye, elle-même lourdement endettée. Il a précisé que « la société Go Sport France n’est pas déclarée en cessation des paiements, mais sa situation sera impactée par celle de sa société mère ». « Cette enquête pourrait sans doute prouver que les salariés de l’entreprise Go sport, comme avant nos collègues de Camaïeu, et peut-être demain Gap, ne pourraient être que les victimes de la gestion incompétente et malveillante de sa holding HPB. « Si ce dernier n’est plus en mesure de payer les fournisseurs, comment les magasins seront-ils approvisionnés ? Le tribunal de commerce de Grenoble a placé, jeudi 19 janvier, le distributeur d’articles sportifs Groupe Go Sport en redressement judiciaire.
Par un jugement solidement motivé, le tribunal (...) a constaté l'état de cessation des paiements de la société Groupe Go Sport et a ouvert une procédure en ...
Cette décision survient alors que le parquet de Grenoble a ouvert en novembre 2022 une enquête pour «abus de bien social» concernant Groupe Go Sport, en après que «les commissaires aux comptes ont transmis plusieurs révélations de faits délictueux». Le tribunal de commerce de Grenoble a placé jeudi Groupe Go Sport, la maison mère des magasins Go Sport, en redressement judiciaire après avoir constaté l'état de cessation de paiement du distributeur d'articles sportifs. Il a précisé que «la société Go Sport France n'est pas déclarée en cessation des paiements, mais sa situation sera impactée par celle de sa société mère».
Ce jeudi 19 janvier 2023, le tribunal de commerce de Grenoble a déclaré le distributeur d'articles sportifs Groupe Go Sport en redressement judiciaire.
Les représentants syndicaux et le comité social et économique central (CSEC) avaient questionné la santé financière du groupe, s'alarmant notamment sur une remontée de 36 millions d'euros de trésorerie de Go Sport vers sa maison-mère, HPB. Les 2.160 salariés en France de Go Sports attendaient anxieusement la décision quelques semaines après la liquidation Ce jeudi 19 janvier 2023, le tribunal de commerce de Grenoble a déclaré le distributeur d'articles sportifs Groupe Go Sport en redressement judiciaire.
Un désaveu pour son repreneur HPB, qui martelait que l'entreprise n'était pas en cessation de paiement, comme le craignaient salariés et syndicats. Reste ...
Pour y parvenir, le groupe avait nommé à la tête de l'enseigne le 3 janvier dernier un spécialiste en restructuration d'entreprises en difficulté. « Par un jugement solidement motivé, le tribunal (...) a constaté l'état de cessation des paiements de la société Groupe Go Sport et a ouvert une procédure en redressement judiciaire », a déclaré le parquet de Grenoble dans un communiqué, ajoutant que « la société Go Sport France n'est pas déclarée en cessation des paiements, mais sa situation sera impactée par celle de sa société mère », également visée depuis novembre par La décision du tribunal de commerce de Grenoble, qui devait initialement être prise lundi, avait finalement été repoussée à ce jeudi. Et ce, sans que la société Hermione People and Brands (HPB) (qui a repris Go Sport fin 2021) ne se retrouve aux manettes du choix du futur repreneur : « En l'attente, les représentants des salariés restent mobilisés et ont l'espoir que leurs clients les soutiennent également en continuant d'aller chez Go Sport ». Il ne faut pas oublier qu'hier, le Parquet de Grenoble a annoncé l'ouverture d'une enquête pour abus de bien social », réagit Christophe Lavalle, porte-parole du CSE central (comité social et économique) de Go Sport, joint par La Tribune.
Le distributeur d'articles sportifs Go Sport a été placé en redressement judiciaire. Dans un communiqué publié jeudi 19 janvier, le parquet de Grenoble ...
Un membre du comité social d'entreprise craint toutefois que "le redressement judiciaire de Groupe Go Sport n'entraîne le redressement judiciaire de Go Sport France". Et de préciser que "la société Go Sport France n'est pas déclarée en cessation des paiements, mais sa situation sera impactée par celle de sa société-mère". A ce placement en redressement judiciaire s'ajoute par ailleurs [une enquête préliminaire pour "abus de bien social"](/economie/entreprises/go-sport-une-enquete-pour-abus-de-bien-social-a-ete-ouverte-en-novembre_5609879.html).
Alors qu'une enquête préliminaire pour « abus de bien social » est en cours, le tribunal de commerce de Grenoble a constaté, jeudi, l'état de cessation de ...
« Les juges et le parquet ne se sont pas laissés duper par les manipulations de notre actionnaire », défend M. Les élus du personnel se félicitent de cette décision qui, d’après Christophe Lavalle, leur porte-parole, écarte « l’actionnaire [Michel Ohayon] de la prise de toute décision » et « fait échapper Groupe Go Sport à une procédure de conciliation qu’il souhaitait pour revendre l’entreprise ». Le parquet de Grenoble avait requis l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire pour Go Sport, qui avait bénéficié de deux prêts garantis par l’Etat, en 2020 et 2021, pour un montant total de 55 millions d’euros.
Le distributeur d'équipement sportif Go Sport a été placé en redressement judiciaire ce jeudi par le tribunal de commerce de Grenoble.
Contacté par Ouest France , Go Sport de son côté a indiqué ne vouloir partager « aucune réaction pour l’instant ». HPB affirmait à l’AFP que Go Sport n’est Une décision qui intervient peu après la liquidation judiciaire de Camaïeu, propriété du même groupe.
Jusqu'en 2021, tout allait pour le mieux pour Hermione People & Brands (HPB), l'entité rassemblant les activités de distribution reprises par l'homme ...
La filiale Go Sport France, dans laquelle sont logés les magasins du groupe selon une source syndicale, n'est elle pas déclarée en cessation de paiements. HPB a bien présenté un plan de continuation de l'activité, mais il est "très peu instruit", indique à l'AFP le ministre délégué à l'Industrie Roland Lescure. Ils alertent la justice à Grenoble, car l'entreprise de quelque 2100 salariés est basée à Sassenage, en Isère. Une "centaine de villes" étaient alors ciblées. A l'été 2021, tout allait pour le mieux pour Hermione People & Brands (HPB), l'entité rassemblant les activités de distribution reprises par l'homme d'affaires Michel Ohayon. Mais au même moment plusieurs bailleurs s'alarment: Camaieu ne paie plus certains de ses loyers.
Le tribunal de commerce de Grenoble a placé, ce jeudi, le distributeur d'articles sportifs Groupe Go Sport en redressement judiciaire après avoir constaté ...
En gros, le rachat de Gap aurait permis de faire remonter 36 millions au groupe. Selon le tribunal, Go Sport France dispose finalement d'un excédent de l'actif disponible d'un montant de 1,4 million d'euros, ce qui le sauve pour le moment. L'enseigne a connu un développement en franchise à l'étranger (jusqu'à une cinquantaine de points de vente). La nuance est de taille : le groupe Go Sport emploie entre 200 et 250 salariés quand sa filiale Go Sport France en compte presque 2.000. La direction du groupe Hermione People & Brands (HPB), propriété de l'homme d'affaires bordelais Michel Ohayon, attestaient du contraire. A vrai dire, la société Go Sport France, qui porte les magasins, échappe pour l'heure au même sort.
Les difficultés de l'enseigne d'articles de sport menacent de s'étendre aux autres marques détenues par le groupe HPB, dont la gestion financière intrigue ...
Deux administrateurs judiciaires ont été nommés afin de chercher une solution pour cette entreprise qui compte aujourd’hui 2 150 salariés et 82 magasins dans l’Hexagone, auxquels s’ajoutent 88 boutiques en franchise. Les juges s’intéressent à des mouvements de fonds suspects dans les comptes de Go Sport au profit d’autres entités du groupe Hermione People & Brands, contrôlé par l’homme d’affaires bordelais Michel Ohayon. Cette décision intervient dans la foulée de
Go Sport est placé en redressement judiciaire en ce jeudi 19 janvier 2023 par le tribunal de commerce de...-Distributeurs.