Le RC Lens reste une club mythique. Malgré que le club joue les montagnes russes depuis une dizaine d'années.
Pour sa première participation à la Ligue des Champions, le Racing hérite d’Arsenal, du Panathinaïkos et du Dinamo Kiev. Au coude à coude avec le FC Metz, les joueurs de Daniel Leclecrq, le Druide, se rendent à Auxerre lors de la dernière journée. De retour en D1, et désormais coachés par Gérard Houllier, les Sang et Or reviennent en Coupe UEFA pour vivre un parcours 100% belge débuté face à La Gantoise (1-1 et 2-1), poursuivi face à Antwerp (2-2 et 3-2) et terminé face à Anderlecht, un grand d’Europe des années 70-80, en 8èmes de finale. Juste avant le second conflit mondial, c’est au sein du stade Félix Bollaert, du nom du propriétaire de la Compagnie des Mines de Lens, inauguré en 1933, que le Racing accède à la D1 et réalise sa première grosse performance en atteignant la finale de la Coupe de France 1948 face au… C’est sans compter sur la furia de Bollaert et le génie d’un jeune joueur qui commence à faire parler de lui. C’est en 1906, comme pour conjurer le sort, sur les cendres d’une catastrophe minière, que le Racing Club de Lens voit officiellement le jour, enregistré sous les couleurs vertes, en référence à la Place Verte (actuelle Place de la République) où les étudiants fondateurs du club avaient leurs habitudes, et noires, pour symboliser l’omniprésence des mines de charbon dans la région.
Plus entreprenants, plus en maîtrise, les jeunes de Yohan Demont font le siège du camp lillois. Ayanda Sishuba a alerté Enzo Defives de loin (4e).
On l’a bien fait, on a eu la maîtrise en première avec le but à la clé. On a eu des situations pour alourdir le score, Lille a eu aussi des occasions. Les Artésiens auraient d’ailleurs pu doubler la marque à un quart d’heure du terme de la partie. Mais celui-ci ne pourra rien face à cette frappe enroulée et pleine d’audace de Sishuba à l’entrée de la surface (34e, 1-0). Tenus en échec à aller 2-2 à Luchin (buts de Barbier et Boua Dié), les Sang et Or ont rendu une très bonne copie, victoire 1-0 ! Ayanda Sishuba a alerté Enzo Defives de loin (4e).
Contre Auxerre (1-0), samedi, le piston polonais du Racing a de nouveau marqué un but important. Mais c'est surtout son abattage incessant pendant plus de ...
À mi-saison, il a touché près de 200 ballons de plus par rapport à l’exercice précédent (1055 contre 857). Le Polonais est le premier Lensois au nombre de tacles réussis (27) et le 3e pour les interceptions. [Il a donc été buteur et surtout le principal poison pour les Auxerrois](https://www.lavoixdunord.fr/1278742/article/2023-01-14/en-images-le-1010-du-rc-lens-apres-sa-victoire-auxerre). [il semble avoir pris plus confiance](https://www.lavoixdunord.fr/1243865/article/2022-10-20/rc-lens-frankowski-option-no-1-au-poste-de-piston-droit-et-apres) depuis la blessure de son concurrent. Contre Auxerre (1-0), samedi, le piston polonais du Racing a de nouveau marqué un but important. [Contre Paris il y a quinze jours, c’est lui qui lance le match, en renard des surfaces](https://www.lavoixdunord.fr/1273635/article/2023-01-02/lens-psg-przemyslaw-frankowski-buteur-de-prestige).
Ils gagnent souvent, ce qui reste le premier objectif du sport de haut niveau, mais ils le font surtout en pratiquant un football agréable à regarder.
Même si l’esthétisme a toujours une part de subjectivité, le Racing et le LOSC sont unanimement reconnus comme étant de grands fournisseurs de spectacle. Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Pour lire la suite de cet article :