Plusieurs personnalités politiques se sont exprimées depuis l'annonce du suicide de Lucas, un collégien âgé de 13 ans victime de harcèlement scolaire dans ...
Une cellule psychologique a été mise en place dans l'établissement dès lundi « à destination des élèves et des enseignants » du collège Louis-Armand, a indiqué le rectorat de la région académique Grand Est, qui a fait part au côté l'académie de Metz-Nancy, de son « émotion », se disant « bouleversé par cet événement dramatique ». « Les faits avaient été signalés à l’Éducation nationale, qui avait reçu les mineurs », a ajouté le magistrat. Autre réaction notable : celle de l’ex-candidate à la présidentielle, Valérie Pécresse. Aucun enfant ne doit trouver comme issue ultime le suicide » a par exemple, réagi le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, sur Twitter. Depuis l’annonce de la tragédie ce jeudi 12 janvier, plusieurs personnalités politiques ont fait part de leur indignation, à commencer par des membres du gouvernement. Le 7 janvier dernier, le jeune Lucas, 13 ans, s'est donné la mort après avoir été harcelé dans son collège, à Golbey.
La mort d'un ado de 13 ans, victime de harcèlement dans les Vosges, relance le débat sur ce fléau scolaire. Sa mère a rédigé une lettre poignante.
» Les mots sont de la mère de « Aucun enfant ne doit trouver comme issue ultime le suicide », a-t-il rappelé. Avant de conclure : « Je peux vous assurer que lorsque je serai prête, je ne vous lâcherai plus. » Puis de s’interroger : « combien de marches blanches, d’enfants en souffrance et de famille cruellement touchées […] faudra-t-il encore pour que des actions concrètes soient enfin mises en place ? Laissez-moi du temps pour trouver les mots et la force nécessaire pour m’exprimer.
Le jeune Lucas, 13 ans, s'est suicidé et pour la famille le harcèlement et l'homophobie dont le jeune garçon était victime sont la cause de ce geste.
Comme le rapporte [Vosges Matin](https://www.vosgesmatin.fr/faits-divers-justice/2023/01/12/mort-du-petit-lucas-a-golbey-une-enquete-ouverte-apres-son-suicide), la famille a par ailleurs demandé à ce que les funérailles se déroulent "dans le calme et le respect". Rappelons qu'Emmanuel Macron a assuré que la lutte contre le harcèlement scolaire était l'une des causes prioritaires de son quinquennat. C'est semble-t-il ce que veut croire le ministre de l'Éducation nationale, qui s'est ému du suicide du jeune garçon, âgé de 13 ans, qui subissait des faits de harcèlement dans son collège, à Golbey, dans les Vosges, près d'Épinal. "Il y a toute une série de chaînes de responsabilités qui peuvent être recherchées et engagées si, en effet, les éléments d'une infraction ont été constitués", explique Me Catherine Faivre, l'avocate de la famille, dont BFM se fait l'écho. [France 3](https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/vosges/epinal/vosges-enquete-ouverte-pour-harcelement-apres-le-suicide-de-lucas-un-adolescent-de-13-ans-2692318.html) qu'après le signalement de harcèlement "les équipes du collège ont fait preuve d'une grande vigilance au quotidien, tout en conservant le lien avec l'élève et sa famille." Le rectorat a également rappelé que "l'établissement est engagé dans le dispositif pHARe de lutte contre le harcèlement, pour sensibiliser l'ensemble des élèves et des équipes éducatives sur ce sujet primordial pour le bien-être de toutes et tous". Une autopsie a déjà été effectuée sur l'adolescent à l'Institut médico-légal de Nancy. [homosexualité](https://www.linternaute.com/actualite/societe-france/homosexualite/) d'après les auditions du proche de la victime. [BFMTV](https://www.bfmtv.com/societe/suicide-de-lucas-une-amie-de-la-famille-rend-hommage-a-l-adolescent-victime-de-harcelement_AN-202301120771.html) a déploré l'absence de mesures concrètes prises contre les faits de harcèlement scolaire. , questionne la mère de la victime promettant de "consacrer sa vie entière à continuer le combat de Lucas". Alors que le suicide de Lucas, un jeune garçon de 13 ans, suscite l'émoi, le parquet d'Epinal a ouvert une enquête pour harcèlement sur mineur de moins de quinze ans. Le jeune homme "entier" et ouvertement homosexuel était harcelé et victime de moqueries et d'homophobie dans son collège de Golbey, dans les Vosges, selon sa famille.
Une amie de la famille a lu à l'antenne de BFMTV un texte écrit par la mère de Lucas, 13 ans, victime de harcèlement et d'homophobie, qui s'est donné la ...
« Nous vous remercions de tout cœur pour le temps d’antenne que vous consacrerez à rendre hommage à notre petit homme, mais je vous en prie, vraiment, laissez-moi pleurer dignement mon fils, laissez-moi du temps pour trouver les mots et la force nécessaire pour m’exprimer. Les parents de la victime ont encouragé les participants à porter un signe distinctif LGBT, en guise d’hommage à leur fils. Une enquête pour harcèlement sur mineur de moins de 15 ans a été ouverte après le suicide de l’adolescent à Golbey (Vosges), a annoncé le parquet d’Épinal. Dans ce texte court mais poignant, elle dénonce le manque d’« actions concrètes » pour protéger les enfants du [harcèlement](https://www.huffingtonpost.fr/life/article/lorsque-les-enfants-sont-harceles-leurs-parents-sont-effrayes_210045.html). C’est aussi le sens du message adressé par l’amie de la famille sur BFMTV. La famille souhaite enterrer son fils en paix », a ajouté le conseil.
La mère du jeune Lucas, qui s'est suicidé le week-end dernier dans les Vosges, a écrit une lettre dans laquelle elle partage son chagrin.
[site de l’Education nationale](https://www.education.gouv.fr/non-au-harcelement/phare-un-programme-de-lutte-contre-le-harcelement-l-ecole-323435) explique qu’il se compose de «huit piliers» comportant notamment la «prévention des phénomènes de harcèlement» ou encore la mise en place d’une «communauté protectrice de professionnels et de personnels pour les élèves». Alors quand il se donne lui-même la mort parce qu'il est victime de harcèlement homophobe, la colère se rajoute à l'horreur. Je peux vous assurer que le jour où je serai prête, je ne vous lâcherai plus, je consacrerai ma vie à continuer le combat de Lucas». Aujourd'hui nous mettons en place cette cagnotte pour accompagner les parents et la famille dans cette douloureuse épreuve. Combien de marches blanches, combien d'enfants en souffrance et de familles cruellement touchées et de frères et sœurs amputés faudra-t-il encore pour que des actions concrètes soient enfin mises en place dans les lieux où chaque enfant a le droit à une scolarité sans harcèlement», débute-t-elle. Sa famille a expliqué que le garçon subissait des moqueries régulières au collège, au point de ne plus supporter de vivre.
Linfo.re - Lucas, un collégien de 13 ans s'est donné la mort au domicile de ses parents. Il a été régulièrement victime de harcèlement scolaire et...
Par ailleurs, une cagnotte a été ouverte pour accompagner les parents et la famille dans cette douloureuse épreuve. "La situation a été prise très au sérieux par l’établissement, par le professeur principal", a-t-elle noté. Face à cette situation, sa mère a appelé la CPE, le principal du collège. Elle a également indiqué que le collégien et sa mère auraient été victimes de "moqueries" à cause de l’orientation sexuelle de l’adolescent. Il a été régulièrement victime de harcèlement scolaire et d’homophobie. Le collégien a été régulièrement victime de [harcèlement](https://www.linfo.re/tags/harcelement-scolaire) dans son établissement scolaire, à cause de son homosexualité.
A 13 ans, Lucas s'est suicidé après avoir été victime de harcèlement scolaire et d'homophobie. Sa mère a écrit une lettre déchirante et promet de continuer ...
Je peux vous assurer que le jour où je serai prête, je ne vous lâcherai plus, je consacrerai ma vie à continuer le combat de Lucas". Une enquête pour harcèlement sur mineur de moins de 15 ans a été ouverte après le suicide de Lucas,, a annoncé le parquet d'Épinal. Selon ses parents, il était victime de [harcèlement scolaire](/vecu/temoignages/temoignage.-je-devais-me-placer-contre-le-mur-et-attendre-d-etre-frappe-par-les-eleves-1673946) et d'homophobie dans son établissement scolaire.
Scolarisé en classe de 4ème dans les Vosges, Lucas a mis fin à ses jours samedi 7 janvier. Lundi 9 janvier, une cellule psychologique a été mise en place pour ...
« Lucas a dit par la suite que les choses s’étaient arrangées, qu’il ne faisait plus l’objet de moqueries ». Les jeunes comme les familles peuvent appeler en cas de violences répétées dans le cadre scolaire. Pour signaler une situation de harcèlement, composez le 3020. « La situation a été prise très au sérieux par l’établissement, par le professeur principal », assure Valérie Dautresme avec presque immédiatement une intervention auprès de l’équipe pédagogique et des élèves. [La Voix du Nord](https://www.lavoixdunord.fr/1277514/article/2023-01-12/lucas-13-ans-s-est-suicide-apres-des-mois-de-harcelement-scolaire-contre-son), le jeune Lucas avait fait l’objet de « moqueries » par rapport à son orientation sexuelle. Lundi 9 janvier, une cellule psychologique a été mise en place pour les élèves et les enseignants de l’établissement.
"Son orientation sexuelle était connue de tous", a confirmé le procureur ce vendredi, précisant aussi les objectifs de l'enquête à venir. Cette dernière devra ...
"Je vous en prie, vraiment, laissez-moi pleurer dignement mon fils, laissez-moi du temps pour trouver les mots et la force nécessaire pour m'exprimer. "La situation a été prise très au sérieux par l'établissement, par le professeur principal", avait indiqué la Valérie Dautresme, la directrice académique à nos confrères de C'est ce que devra démontrer l'enquête pour "harcèlement sur mineur de moins de 15 ans et harcèlement scolaire" ouverte ce vendredi 13 janvier par Frédéric Nahon, le procureur de la République d'Épinal.
Le procureur d'Epinal Frédéric Nahon a fait le point ce vendredi sur l'enquête ouverte, pratiquement une semaine après le suicide de Lucas, collégien de 13 ...
"Les investigations s'attacheront à vérifier les liens de causalité entre ces faits de harcèlement et le suicide du jeune adolescent", explique-t-il, appelant à la prudence sur ce point. Pratiquement une semaine plus tard, l'enquête se poursuit et doit encore déterminer les liens exacts entre le harcèlement et le geste de Lucas, selon le procureur d'Epinal Frédéric Nahon. Il reste encore selon lui à déterminer les liens de causalité entre le harcèlement et la mort de l'adolescent.
Tout ce qu'il faut savoir sur Lucas, l'adolescent de 13 ans qui s'est suicidé à Golbey (Vosges) et dont les parents affirment qu'il était harcelé en raison ...
Selon le rectorat, les « moqueries » rapportées par Lucas et sa mère à la rentrée avaient été « immédiatement prises au sérieux par les équipes du collège ». L’enquête préliminaire ouverte mercredi s’attachera « à vérifier le lien de causalité direct entre ces faits et le suicide du jeune adolescent », a indiqué le procureur, invitant toutefois à de « la prudence quant à ce dernier point ». Lucas, l’adolescent de 13 ans qui s’est suicidé à Golbey (Vosges) et dont les parents affirment qu’il était harcelé en raison de son homosexualité, avait exprimé « sa volonté de mettre fin à ses jours » dans son « journal intime », a indiqué vendredi le procureur de la République d’Épinal.
L'adolescent de 13 ans avait fait part à ses proches des moqueries qu'il subissait à cause de son homosexualité. L'enquête en cours vise à déterminer si ce ...
Les investigations s'attacheront à vérifier le lien de causalité entre ces faits et le suicide", a développé Frédéric Nahon. "Il convient d'être prudent sur le lien de causalité", a prévenu ce vendredi le procureur de la République d'Epinal, Frédéric Nahon, lors d'une conférence de presse. Sa famille avait déjà signalé la situation à l'Education nationale sans pour autant déposer plainte.
Des élèves du collège Louis-Armand de Golbey dans les Vosges confient avoir été au courant des moqueries subies par l'adolescent. Le collégien de 13 ans a ...
Le collège Louis-Armand fait pourtant partie des établissements concernés par le programme pHARe (programme de lutte contre le harcèlement à l'école). La mère de Lucas sera entendue lundi par le procureur. Ces propos corroborent ceux tenus par Lucas et ses proches. [Dans son journal intime, Lucas avait fait part de sa volonté de mettre fin à ses jours](https://www.bfmtv.com/police-justice/suicide-de-lucas-le-harcelement-moral-a-t-il-pousse-l-adolescent-pousse-a-mettre-fin-a-ses-jours_AV-202301130477.html), mais sans faire référence au harcèlement, selon le procureur de la République d'Épinal Frédéric Nahon. [Une enquête administrative a été ouverte](https://www.bfmtv.com/police-justice/suicide-de-lucas-le-ministre-pap-ndiaye-annonce-l-ouverture-d-une-enquete-administrative_AN-202301130659.html) en plus de l'enquête préliminaire pour "harcèlement sur mineur de moins de 15 ans et harcèlement scolaire", a indiqué Pap Ndiaye. [le suicide de Lucas, 13 ans, le 7 janvier dans les Vosges](/societe/suicide-de-lucas-une-amie-de-la-famille-rend-hommage-a-l-adolescent-victime-de-harcelement_AN-202301120771.html), et on en apprend un peu plus sur son quotidien dans l'établissement et notamment sur les faits de harcèlement dénoncés par ses parents, notamment en lien avec son orientation sexuelle.
Pour l'instant, la famille n'a pas déposé plainte. Les obsèques de Lucas se tiendront ce samedi 14 janvier à Épinal. Léa Tintillier | Reportage TF1 Léa Merlier, ...
- 10 - 8 - 7 - 6 - 5 - 3 - 2 - 1 Quelle est la chaîne des évènements", a déclaré Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse. "Il nous reste à déterminer ce qu’il s’est passé à la rentrée de janvier. L’une des pistes étudiées par les enquêteurs est le harcèlement scolaire. Je le connaissais un petit peu, de vue, on était ensemble en théâtre et il était gentil", affirme une collégienne dans le reportage du 20h en tête de cet article.
Une enquête préliminaire pour harcèlement sur mineur de moins de 15 ans a été ouverte après le suicide, le 7 janvier, de Lucas, un adolescent de 13 ans à ...
"La cérémonie est ouverte à la famille, aux amis de Lucas, et aux amis de la famille. "Lucas, 13 ans, victime de harcèlement scolaire et d'homophobie, a fini par craquer ce 7 janvier 2023. Dans leurs premières auditions, les proches de Lucas ont révélé "qu'il existait des moqueries et des insultes à caractère homophobe", dont il était victime de la part d'autres élèves de son collège, a détaillé le procureur dans sa conférence de presse. La famille avait signalé la situation à l'Education nationale en septembre, a révélé le procureur de la République. L'homosexualité de Lucas était "assumée et connue des proches de l'adolescent", a-t-elle précisé. "Quand il passait, on l'insultait, quand on le voyait, on le regardait mal.