Les Rencontres du Papotin

Le président de la République était ce samedi le quatrième invité de la version télévisée des « Rencontres du Papotin », face à des journalistes autistes.

» » La famille ? « Je n’en parle pas souvent mais ça ne veut pas dire que je ne pense pas à eux », a-t-il affirmé, ému. » Un exercice réussi pour le « Papotin ». Moi, ça a redoublé mon envie de suivre mon chemin. Elle n’a pas été ma prof, elle a été ma prof de théâtre. Il y a des idées de droite auxquelles je crois et que je défends, il y a des idées de gauche auxquelles je crois et que je défends, et ce n’est pas incompatible. Et l’invité d’expliciter : « Par rapport à la moyenne, oui. Et le chef de l’État s’y est plié sans souci. Un exercice auquel les prédécesseurs du président de la République se sont prêtés volontiers, pendant ou après leur mandat. Et après avoir interrogé Gilles Lellouche et Camille Cottin, sous l’œil des caméras de France 2. Un entretien pas comme les autres dans lequel le chef de l’État a été parfois poussé dans ses retranchements, notamment sur sa vie personnelle.

Emmanuel Macron est l'invité des « Rencontres du Papotin » ce samedi soir sur France 2. Le président de la République répond aux questions d'une ...

». » Emmanuel Macron est l’invité des « Rencontres du Papotin » ce samedi soir sur France 2.

Ce samedi 7 janvier, Emmanuel Macron était l'invité exceptionnel des Rencontres du Papotin, émission diffusée sur France 2. Le président de la République a ...

), directes ("T'as beaucoup de pognon ? Une demi-heure de questions et réflexions parfois politiques ("Êtes-vous un partisan de droite ?" Ce samedi 7 janvier, Emmanuel Macron était l'invité exceptionnel des Rencontres du Papotin, émission diffusée sur France 2.

Le chef de l'Etat a répondu aux questions sans filtres d'une cinquantaine de journalistes ayant des troubles du spectre de l'autisme.

« Cela a redoublé mon envie de suivre mon chemin », a-t-il ajouté. », lui a également demandé sans détour Grégory. « Oui, parce qu'elle s'est beaucoup occupée de moi quand j'étais petit et adolescent », a affirmé Emmanuel Macron. « Mais quand je regarde les choses avec le recul, il y a des gens qui travaillaient beaucoup plus que moi pour l'avoir (...) Je passais plus de temps à faire du théâtre, à aller au théâtre », a-t-il admis. Sébastien l'a surpris en lui demandant si sa grand-mère Manette lui « manquait ». Dans cette interview pré-enregistrée, diffusée ce samedi soir sur France 2, le président de la République a répondu aux questions d'une cinquantaine de journalistes atteints de troubles autistiques.

Deux choix télé aujourd'hui ! Ou plus exactement un choix et une info : et si les Guignols revenaient ? C'est en projet et Patrice Gascoin vous explique ...

Mais la grande surprise vient de ceux à l'origine de cette parodie : les marionnettes des Guignols de l'Info ! Souvent cible de parodie, la séquence n'a pas échappé à la tradition. C'est donc à lui de se confronter à cette rédaction hors du commun où les journalistes sont atteints de trouble autistique**.

commence l'un des premiers journalistes face au président de la République. "Pour tout te dire, j'en avais plus avant d'être président, rétorque Emmanuel Macron ...

Adrien n'ose pas la lire lui-même et tend son papier au locataire de l'Elysée : "Il est le président, il doit montrer l’exemple et ne pas se marier avec sa prof". C'est pas comme la prof de maths". L'assistance rigole généreusement et le voisin du président de la République lui lance : "Al le malin... "Et en tant qu’Emmanuel ?" "Comment éviter que le mal gagne ?" À propos de la guerre en Ukraine, le chef de l'Etat explique que l'armée russe a perdu un peu sur le front ukrainien mais n'est pas vaincu". Interrogé sur sa plus grande peur en tant que président de la République, Emmanuel Macron a reconnu celle "d’attaques terroristes contre nos compatriotes français". "Oui elle me manque car elle s'est beaucoup occupée de moi enfant et adolescent. Question sans détour : "T'es partisan de la droite ?" Mais il n’y a rien qui justifie de déclencher la guerre". "Est-ce que vous gagnez beaucoup de pognon ?" "Est-ce que tu as beaucoup d’amis ?"