Une enquête préliminaire a été ouverte à l'encontre de l'auteur de bandes dessinées et de deux de ses maisons d'édition, indique le parquet de Nanterre.
[À LIRE AUSSIJean-Marc Rochette : « Pourquoi j'arrête la bande dessinée »](https://www.lepoint.fr/culture/jean-marc-rochette-pourquoi-j-arrete-la-bande-dessinee-23-12-2022-2502664_3.php) [Une autre association, Innocence en danger, a également déposé une plainte auprès du parquet de Paris fin décembre](https://www.lepoint.fr/justice/pedopornographie-l-auteur-de-bd-bastien-dans-le-viseur-de-la-justice-20-12-2022-2502352_2386.php) contre M. [Petit Paul (Glénat, 2018)](https://www.lepoint.fr/culture/bd-petit-paul-grands-effets-26-09-2018-2254573_3.php#xtmc=petit-paul&xtnp=1&xtcr=1), La Décharge mentale (Les Requins Marteaux, 2018) et Les Melons de la colère (Les Requins marteaux, 2011). L'enquête a été ouverte après le dépôt d'une plainte fin décembre de l'association Fondation pour l'enfance auprès du parquet de Nanterre. Cette enquête préliminaire vise l'auteur de 38 ans, figure du 9e art, ainsi que les maisons d'édition Glénat et Les Requins Marteaux qui ont publié trois de ses ouvrages en 2011 et 2018. « Des relations incestueuses sont également mises en scène entre Magalie et son frère, Petit Paul », dont « l'absence de consentement » est « présentée comme évidente », poursuit l'association. Cette plainte, dont des éléments avaient été révélés par
Visés par une plainte, l'auteur de BD et deux maisons d'édition font l'objet d'une enquête pour diffusion d'images pédopornographiques.
«J’aimerais qu’un de ses gosses la poignarde et qu’il fasse une BD sur comment il l’a poignardée et qu’il se fasse enculer à chaque like.» «On devrait buter son gosse»… Dans «Les melons de la colère», «Bastien Vivès met en scène Magalie, jeune fille mineure qui subit des agressions sexuelles et viols à répétition», décrit La Fondation pour l’enfance, citée par France Info. «Ce ton provocateur, il m’est arrivé de le reprendre parfois, de manière maladroite, dans mes interviews», a expliqué l’auteur de Petit Paul. Si l’enquête à Nanterre a été ouverte pour diffusion d’images pédopornographiques, les enquêteurs ne sont pas tenus de se limiter à cette seule infraction au cours de leurs investigations. Ces trois BD s’intitulent «Petit Paul» (Glénat, 2018), «La décharge mentale» (Les Requins Marteaux, 2018) et «Les melons de la colère» (Les Requins marteaux, 2011). Cette plainte, dont des éléments avaient été révélés par France Info, vise trois BD qui «livrent des représentations de mineurs, dans des situations sexuellement explicites, présentant indubitablement un caractère pornographique».
Il avait publié plusieurs bandes dessinés mêlant pornographie et mineurs.
Si l’enquête à Nanterre a été ouverte pour diffusion d’images pédopornographiques, les enquêteurs ne sont pas tenus de se limiter à cette seule infraction au cours de leurs investigations. Dans Les melons de la colère, « Bastien Vivès met en scène Magalie, jeune fille mineure qui subit des agressions sexuelles et viols à répétition », décrit La Fondation pour l’enfance, citée par France Info. [France Info](https://www.francetvinfo.fr/culture/bd/info-franceinfo-affaire-bastien-vives-une-deuxieme-association-porte-plainte-pour-diffusion-d-images-pedopornographiques-contre-l-auteur-et-deux-editeurs_5556915.html), vise trois BD qui « livrent des représentations de mineurs, dans des situations sexuellement explicites, présentant indubitablement un caractère pornographique ».
Elle vise l'auteur de 38 ans, figure du 9e art, ainsi que les maisons d'édition Glénat et Les Requins Marteaux, qui ont publié trois de ses ouvrages en 2011 et ...
Si l'enquête à Nanterre a été ouverte pour diffusion d'images pédopornographiques, les enquêteurs ne sont pas tenus de se limiter à cette seule infraction au cours de leurs investigations. Cette enquête a été confiée à la Brigade de protection des mineurs de la DRPJ de Paris. [l'auteur de bandes dessinées Bastien Vivès](/culture/bd/dessins-pedopornographiques-apologie-de-l-inceste-pourquoi-certaines-bd-de-bastien-vives-font-l-objet-d-un-debat-sur-leur-conformite-a-la-loi_5545998.html), a annoncé, vendredi 6 janvier, le parquet de Nanterre à franceinfo, confirmant une information de l'AFP.
L'auteur est accusé de banaliser l'inceste et la pédocriminalité. Il est visé par deux plaintes et a été déprogrammé du festival d'Angoulême après une ...
Code promo Aliexpress Code promo Ebay Code promo Amazon « Des relations incestueuses sont également mises en scène entre Magalie et son frère, Petit Paul », dont « l’absence de consentement » est « présentée comme évidente », poursuit l’association. Cette plainte, dont des éléments avaient été révélés par [De la polémique à l’enquête pour diffusion d’images pédopornographiques : de quoi Bastien Vivès est-il le nom ?](https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20230106.OBS67998/de-la-polemique-a-l-enquete-pour-diffusion-d-images-pedopornographiques-de-quoi-bastien-vives-est-il-le-nom.html)
Fondation pour l'enfance dénonce la diffusion dans les œuvres de l'artiste d'images pédopornographiques, l'incitation à la commission d'agressions sexuelles sur ...
Concernant le contenu de ses livres, Bastien Vivès a également reconnu des torts. Ses bandes dessinées abordent entre autres un enfant au pénis démesuré suscitant la convoitise des femmes (Petit Paul), une adolescente violée (Les Melons de la colère) et mettent en scène des relations sexuelles entre des mineurs et un homme majeur (La Décharge mentale). Elles étaient et sont toujours accessibles aux mineurs qui pourraient parfaitement penser que les relations entre adulte et enfant ou adolescent doivent se passer de la sorte", peut-il ainsi être lu dans la plainte citée par L'ouverture de l'enquête fait suite au dépôt d’une plainte, en décembre dernier, de l’association Fondation pour l’enfance auprès du parquet de Nanterre. Il était tant critiqué pour ses prises de paroles que pour ses bandes dessinées. Depuis l’annulation de son exposition au festival d’Angoulême le 14 décembre dernier,
Après une mobilisation massive sur internet, le Festival de la BD d'Angoulême a annulé une exposition consacrée à cet auteur, accusé de banaliser l'inceste ...
Le parquet de Nanterre a indiqué vendredi 6 janvier à l’AFP [ouvrir une enquête préliminaire](https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20230106.OBS67997/bd-de-bastien-vives-la-justice-ouvre-une-enquete-pour-diffusion-d-images-pedopornographiques.html) pour diffusion d’images pédopornographi Je condamne la culture du viol et les violences faites aux femmes. « Je condamne la pédocriminalité, ainsi que son apologie et sa banalisation. Le lendemain, sur Instagram, le principal intéressé se fend d’excuses que l’on devine validées par un bataillon de juristes : « Dernier week-end de janvier » : c’est le titre du dernier album de Bastien Vivès, publié en août aux éditions Casterman, romance fugace entre un auteur de BD à succès et une jolie ORL peu portée sur le neuvième art pendant le Festival d’Angoulême. Le parquet de Nanterre a annoncé l’ouverture d’une enquête pour diffusion d’images pédopornographique à son encontre et celui de ses éditeurs.
Dans Les melons de la colère, "Bastien Vivès met en scène Magalie, jeune fille mineure qui subit des agressions sexuelles et viols à répétition", décrit La ...
[Innocence en danger, a également déposé plainte ](https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/pedopornographie-innocence-en-danger-porte-plainte-contre-l-auteur-bastien-vives-et-ses-deux-editeurs-8983955) auprès du parquet de Paris fin décembre contre Bastien Vivès et les mêmes maisons d'édition. Cette plainte vise trois BD de Bastien Vivès qui "livrent des représentations de mineurs, dans des situations sexuellement explicites, présentant indubitablement un caractère pornographique". L'auteur de bandes dessinées Bastien Vivès et les maisons d'édition Glénat et Les Requins Marteaux sont visés par une enquête pour diffusion d'images pédopornographiques, apprend-on ce vendredi 6 janvier.
Après l'annulation de son exposition au festival d'Angoulême, le dessinateur de BD avait fait l'objet d'une plainte pour diffusion de pédopornographie.
Après l’annulation de son exposition au festival d’Angoulême, le dessinateur de BD avait fait [l’objet d’une plainte pour diffusion de pédopornographie](https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/livres/pedopornographie-une-deuxieme-plainte-contre-le-dessinateur-bastien-vives-et-deux-editeurs-22-12-2022-W36NN5G2DVE65JYAEAXTNVPSSM.php). [ a-t-il écrit jeudi sur Instagram](https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/livres/bastien-vives-je-tiens-a-exprimer-ma-solidarite-sincere-envers-les-victimes-dinceste-et-de-tout-autre-abus-sexuels-15-12-2022-HYHPVJZKB5C4DKK7A73QT5OROA.php). La polémique porte également sur les livres de cet auteur, qui mêlent pornographie et mineurs. Elles étaient et sont toujours accessibles aux mineurs qui pourraient parfaitement penser que les relations entre adulte et enfant ou adolescent doivent se passer de la sorte ». Il invoquait des « menaces » qui ont visé l’auteur et les organisateurs. L’enquête a été ouverte après le dépôt d’une plainte fin décembre de l’association Fondation pour l’enfance auprès du parquet de Nanterre.
Deux maisons d'édition de l'auteur de bandes dessinées, Glénat et Les Requins Marteaux, sont également visées.
En 2018, déjà, après la parution de Petit Paul qui met en scène un enfant au pénis démesuré ayant des relations sexuelles avec des femmes majeures, les éditions Glénat avaient affirmé qu’« aussi obscène et provocatrice qu’on puisse la considérer, cette œuvre de fiction n’a jamais pour vocation de dédramatiser, favoriser ou légitimer l’abus de mineur de quelque manière que ce soit ». La direction du festival a annoncé l’annulation de l’exposition, invoquant des « menaces » contre l’auteur et les organisateurs. Toutefois, l’avocate d’Innocence en danger, Delphine Girard, s’est réjouie de l’ouverture de l’enquête à Nanterre, espérant que s’ensuivent « des poursuites effectives et que le droit des enfants soit respecté ». Dans ce dernier ouvrage, « Bastien Vivès met en scène Magalie, jeune fille mineure qui subit des agressions sexuelles et viols à répétition », décrit La Fondation pour l’enfance, citée par Franceinfo. [dont des éléments avaient été révélés par Franceinfo](https://www.francetvinfo.fr/culture/bd/info-franceinfo-affaire-bastien-vives-une-deuxieme-association-porte-plainte-pour-diffusion-d-images-pedopornographiques-contre-l-auteur-et-deux-editeurs_5556915.html), vise trois bandes dessinées qui « livrent des représentations de mineurs, dans des situations sexuellement explicites, présentant indubitablement un caractère pornographique ». Il disait aussi « condamner la pédocriminalité, ainsi que son apologie et sa banalisation ».
Les maisons d'édition Glénat et Les Requins Marteaux, qui ont publié trois de ses ouvrages en 2011 et 2018, sont également impliquées. Contactées, les éditions ...
Dans «Les melons de la colère», «Bastien Vivès met en scène Magalie, jeune fille mineure qui subit des agressions sexuelles et viols à répétition», décrit La Fondation pour l'enfance, citée par France Info. Celles-ci «livrent des représentations de mineurs, dans des situations sexuellement explicites, présentant indubitablement un caractère pornographique». Le parquet de Nanterre a en effet confirmé ce vendredi à l’AFP l’ouverture cette semaine d’une enquête préliminaire, confiée à la Brigade de protection des mineurs, à l’encontre de l'auteur de 38 ans, figure du 9e art.
L'auteur de bandes dessinées est visé par une enquête ouverte cette semaine par le parquet de Nanterre, suite à la plainte déposée par la Fondation pour ...
[pétitions en ligne](https://www.mesopinions.com/petition/enfants/pedocriminalite-deprogrammation-expo-bastien-vives-festival/193829?fbclid=PAAaZ2gYXz13sfOJwcFdOjEseKjPxf_E1ltHerB1LR7ayzoTMEiT40QbNSkuE) réclamaient l'annulation de l'exposition "Dans les yeux de Bastien Vivès" à Angoulême, accusant l'auteur de "banaliser" et faire "l'apologie de l'inceste et de la pédocriminalité" dans plusieurs de ses ouvrages. [sur son compte Instagram](https://www.instagram.com/p/CmL4CvjtwPw/?utm_source=ig_embed&ig_rid=6c90bd42-40dd-4edc-893d-ccf04d32ed69), l'auteur assure "condamner la pédocriminalité ainsi que son apologie et sa banalisation". Au départ, est réprimée la diffusion "d'image" à caractère pornographique d'un mineur. Les Requins Marteaux, 2018) et Les Melons de la Colère (éd. L'album présente également des "relations incestueuses", où "l'absence de consentement" est présentée "comme évidente", décrit la plainte. [déprogrammée du festival d'Angoulême](https://www.radiofrance.fr/franceinter/le-festival-de-la-bd-d-angouleme-annule-l-exposition-bastien-vives-apres-des-menaces-contre-le-dessinateur-1639692), Bastien Vivès voit désormais la justice se pencher sur ses dessins.