Le relèvement du niveau scolaire des élèves est une priorité du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, Pap Ndiaye.
Afin de remédier aux difficultés scolaires et de donner aux élèves les mêmes chances de réussite, les mesures suivantes seront mises en œuvre dès la rentrée 2023 : Il s’agira aussi de prendre en compte le jeune âge des élèves à leur entrée au collège. A l’école primaire, l’effort pédagogique porté depuis 5 ans sur le CP, le CE1 et le CE2 doit être poursuivi avec la même intensité et complété par une action résolue en classes de CM1 et de CM2 afin d’inscrire dans le temps long l’acquisition des savoirs fondamentaux nécessaires à la réussite de chaque élève :
Le ministre de l'Éducation nationale a notamment annoncé une heure hebdomadaire de renforcement en français ou en mathématiques pour les élèves de sixième.
« Pour nous, l'urgence sur la classe de sixième est la diminution des effectifs en classe, qui implique évidemment un recrutement d'enseignants », au lieu de la suppression d'environ 1 500 postes prévue par le budget, dont 500 dans le second degré, ajoute-t-elle. Pour faire face aux difficultés des élèves à leur entrée au collège, Pap Ndiaye a aussi affiché sa volonté de mettre l'accent sur les classes de CM1 et CM2. « Dans certains territoires, ça impliquerait des déplacements conséquents pour les professeurs des écoles et, dans d'autres territoires, on est quand même en grand manque » d'enseignants, ajoute-t-elle. Le ministre avait déjà fait part à plusieurs reprises de sa volonté de réformer le collège, « homme malade du système » scolaire avec un niveau « faible », selon ses propres mots en septembre. Pap Ndiaye a aussi annoncé que le dispositif « devoirs faits », qui permet aux élèves de faire leur travail scolaire au collège, serait rendu obligatoire en sixième. Pour y remédier, le ministre de l'Éducation nationale a annoncé mercredi 4 janvier de premières mesures.
Le ministre de l'Éducation nationale a annoncé ce mercredi les premières mesures de la réforme de la classe de 6e, qu'il portera pour tenter d'améliorer le ...
Objectif : éviter que les enfants ramènent du travail à la maison, car cela est source de reproduction d'inégalités sociales entre les élèves, en fonction de leur cadre familial. Pap Ndiaye se place dans la continuité de son prédécesseur Jean-Michel Blanquer, en étendant ce dispositif qui prévoit que les élèves fassent leurs devoirs au collège, à raison de deux heures et demie par semaine en moyenne. "On va avoir une superposition, un agrafage meilleur, entre le primaire et le secondaire, parce qu'on sait que la marche d'entrée en 6e est difficile", a annoncé Pap Ndiaye sur BFMTV.
Le ministre de l'Education nationale Pap Ndiaye était l'invité de BFMTV-RMC ce mercredi matin. Il a évoqué sa priorité: réformer l'enseignement dans les ...
Pour les élèves en difficulté, "la transition" entre les deux degrés "est difficile", a-t-il encore déploré. Il s'agit en fait de la généralisation d'une expérimentation déjà à l'oeuvre dans l'académie d'Amiens. "D'abord, la création d'une heure hebdomadaire de renforcement ou d'approfondissement en français ou en mathématiques selon le niveau des élèves", a-t-il promis. Si le ministre a écarté toute responsabilité des enseignants, il a suggéré: "Le temps d'écriture, de rédaction est sans doute trop faible". Il a alors promis la prise de "mesures classiques", avec le renforcement de la pratique des dictées ou de l'étude des conjugaisons. Décisive dans les parcours scolaires, l'entrée au collège pâtit en effet d'une baisse générale de niveau des élèves.
Le ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye a annoncé des mesures pour le collège, notamment pour les classes de sixième qui font la transition entre le ...
"Pour nous, l'urgence sur la classe de 6e est la diminution des effectifs en classe, qui implique évidemment un Pour faire face aux difficultés des élèves à leur entrée au collège, Pap Ndiaye a aussi affiché sa volonté de mettre l'accent sur les classes de CM1 et CM2. [Pap Ndiaye](https://www.europe1.fr/%C3%89ducation%20:%20Pap%20Ndiaye%20a-t-il%20la%20main%20sur%20la%20politique%20%C3%A9ducative%20de%20la%20rentr%C3%A9e%20?), en s'appuyant notamment sur les dernières évaluations nationales en début de sixième. [Pap Ndiaye](https://www.europe1.fr/politique/rentree-scolaire-premier-test-pour-le-ministre-de-leducation-nationale-pap-ndiaye-4129595) a annoncé mercredi de premières mesures pour le collège, "homme malade" du système selon lui, sans lever cependant les interrogations des syndicats enseignants. Un collégien sur trois bénéficie de ce dispositif, mis en place en 2017 pour ceux qui le souhaitent, selon des chiffres publiés cet été par le ministère. Cela va permettre "un agrafage meilleur entre le primaire et le secondaire, parce qu'on sait que la marche d'entrée en sixième, en particulier pour les élèves les plus tangents, est très difficile", a-t-il indiqué sur BFMTV.
Le ministre de l'Éducation nationale, Pap Ndiaye, veut relever le niveau des élèves en maths et en français, jugé insuffisant. Il annonce des « réformes ...
« Ce que nous demandons, c’est une heure de français et une heure de maths en plus pour tous, en petits groupes, dispensées par des enseignants du collège. » Pap Ndiaye confirme la pénurie de professeurs et la forte baisse du nombre de candidats aux concours de recrutement. « De quoi remédier aux difficultés des plus fragiles et cultiver l’excellence des plus à l’aise ». Il annonce des « réformes rapides » pour la fin du primaire et la classe de 6e. Des revalorisations sont aussi prévues, sous forme de primes, pour les enseignants s’engageant dans l’orientation des collégiens et lycéens, assurant des remplacements de courte durée, faisant de la formation continue… Si le niveau des élèves de fin de CM2 s’améliore, des lacunes persistent dans l’écriture, la lecture et le calcul.
Le ministre de l'Education a annoncé ce mercredi la création d'une heure hebdomadaire d'approfondissement en français et en mathématiques pour les élèves de ...
Alors que nos moyens baissent, cette heure de soutien n’est ni fléchée ni financée donc je ne vois pas comment on va trouver une heure de soutien pour tous les élèves dans chaque collège de France», s’interroge Sophie Vénétitay, la secrétaire générale du syndicat Snes-FSU, premier syndicat du secondaire. «Aujourd’hui, cela ressemble plus à un soutien dans une matière plutôt qu’à une aide aux devoirs», pointe Stéphane Crochet du SE-Unsa, qui dénonce une «réforme du collège superficielle avec un risque d’épuisement important pour les professeurs des écoles volontaires». Pour y remédier, Pap Ndiaye propose d’instaurer une fois par semaine, dès la rentrée 2023 et pour chaque élève de sixième, une heure «de renforcement ou d’approfondissement» en maths ou en français.
La communauté éducative attend des précisions concernant le soutien en classe de 6e, et déplore un saupoudrage de décisions sans « objectif clair ».
« On a du mal à trouver assez d’enseignants pour faire les remplacements et le ministère prévoit des suppressions de postes l’année prochaine, donc ça passera sûrement par des heures supplémentaires, alors que « Nous avons besoin de le savoir vite, car nous allons recevoir nos dotations horaires pour l’année prochaine, et nous ne pourrons pas la mettre en place à moyens constants », souligne Bruno Bobkiewicz, chef d’établissement et secrétaire général du SNPDEN-UNSA. Le flou entoure aussi les modalités d’intervention des professeurs des écoles dans les collèges, qui se feront « sur la base du volontariat », d’après la Rue de Grenelle. Le dispositif « Devoirs faits » deviendra, en outre, obligatoire en 6e. Sept mois après son entrée en fonctions en tant que ministre de l’éducation nationale, Pap Ndiaye a annoncé, mercredi 4 janvier, de premières mesures concrètes pour le collège. L’annonce a laissé les syndicats unanimement circonspects, alors que l’expérimentation de l’académie d’Amiens ne concerne que six collèges depuis trois mois et n’a fait l’objet d’aucune évaluation.
À l'occasion de la rentrée des classes, le ministre de l'Éducation Nationale et de la Jeunesse, Pap Ndiaye, s'est rendu à l'école Yves-Coppens de ...
Un grand bravo à toute l’équipe enseignante», souligne le maire de Montigny Jean-Noël Carpentier. Cette particularité oblige les collectivités à investir de façon importante dans des établissements scolaires dans un contexte budgétaire contraint et à l’Éducation nationale à nous trouver des enseignants ». Il a aussi assisté à un conseil de classe d’élèves de Cp, lors duquel les enfants ont échangé collectivement sur leur quotidien.
Une revalorisation – qui ne sera finalement pas de 10% pour tous les enseignants contrairement à la promesse du président, un choc d'attractivité qui n'est pas ...
Sur la question de la place de l’enseignement privé, le Ministre ne l’oppose pas à l’enseignement privé. À l’évocation des tenues de type abayas et kamis, le Ministre renvoie à la loi de 2004 qui interdit le port de signes religieux ostensibles. Il y a aura une augmentation socle pour tous les enseignants et une augmentation liée à des tâches nouvelles qui incluent un certain nombre de missions pour la transformation de l’école et la réussite des élèves ». Interrogé sur la réforme des retraites dans l’émission « Le rendez-vous d’Apolline de Maherbe » sur BFM, le ministre de l’Éducation nationale s’est étonné de la mobilisation annoncée par les syndicats de professeurs. Selon lui, leur nombre est relativement « modeste », 0,5 à 1,5% dans le premier degré et de 6,5 à 8 % dans le second degré. « Les modalités de la réforme des retraites seront annoncées par la Première ministre le 10 janvier.
Mercredi 4 janvier 2023, Pap Ndiaye a annoncé de nouvelles mesures en amont d'une prochaine réforme du collège, sa priorité en cette rentrée des clas1.
Le ministre de l'Education nationale a notamment annoncé la création d'une heure hebdomadaire de renforcement en français ou en mathématiques en 6e, ...
Pour faire face aux difficultés des élèves à leur entrée au collège, Pap Ndiaye a aussi affiché sa volonté de mettre l’accent sur les classes de CM1 et CM2. « Pour nous, l’urgence sur la classe de 6e est la diminution des effectifs en classe, qui implique évidemment un recrutement d’enseignants », au lieu de la suppression d’environ 1 500 postes prévue par le budget, dont 500 dans le second degré, ajoute-t-elle. Des recommandations « vues moult fois depuis longtemps », estime cependant Stéphane Crochet. « On voit mal comment on arriverait à avoir les professeurs volontaires en nombre suffisant », s’interroge aussi Catherine Nave-Bekhti, du Sgen-CFDT. Pap Ndiaye a aussi annoncé que le dispositif « Devoirs faits », qui permet aux élèves de faire leur travail scolaire au collège, serait rendu obligatoire en 6e. Selon celles-ci, 27 % des élèves de 6e n’ont pas le niveau attendu en français et près d’un tiers en mathématiques.