La Première ministre a expliqué ce mardi matin que « d'autres solutions aussi peuvent permettre d'atteindre l'équilibre de notre régime de retraite à ...
Alors que la communauté internationale appelle Pékin à la transparence et que les pays multiplient les restrictions aux voyageurs chinois, le système de santé se retrouve submergé. « Ne pas alourdir les cotisations sociales nous a permis de créer plus de 1 million d'emplois dans le précédent quinquennat et de continuer à en créer aujourd'hui ». « D'autres solutions aussi peuvent permettre d'atteindre l'équilibre de notre régime de retraite à l'horizon 2030 », a ajouté Elisabeth Borne, sur France info, confirmant qu'il n'était pas question d'augmenter au-delà des 43 ans de la loi Touraine le nombre d'annuités pour bénéficier d'une retraite à taux plein. « Ma priorité, ce sont les actifs qui vont devoir travailler plus longtemps », a expliqué la cheffe du gouvernement. Le sujet agite non seulement à droite mais aussi parmi les députés de la majorité. Concernant l'application du minimum contributif aux retraités actuels, elle a renvoyé à la discussion au Parlement.
À une semaine de la présentation publique de la réforme des retraites, Élisabeth Borne a affirmé que "l'âge de départ à la retraite à 65 ans n'est pas un ...
Et la réforme, qui concernera les Français nés à partir du second semestre 1961, tiendra compte "des carrières longues, des carrières hachées, de la difficulté de certaines tâches", elle permettra "d'équilibrer le financement" du système et "d'améliorer la retraite minimale", avait fait valoir le chef de l'Etat. [une partie controversée du décret sur l'assurance chômage](https://www.europe1.fr/politique/assurance-chomage-le-gouvernement-retire-la-partie-controversee-du-decret-4158435) annoncée le 23 décembre, qui avait provoqué la colère de M. "Il n'y a que les retraités, les 65 ans et plus, qui se déclarent favorables", note Frédéric Dabi, directeur de l'institut Ifop. Le report de la présentation du texte du 15 décembre au 10 janvier a permis à la cheffe du gouvernement d'entendre à nouveau, avant Noël, les groupes politiques puis, cette semaine, les partenaires sociaux, avant le passage en Conseil des ministres le 23 janvier. "On a porté les 65 ans" mais "ce n'est pas un totem", a-t-elle déclaré sur franceinfo, ajoutant étudier "d'autres solutions qui permettent d'atteindre notre objectif", à savoir "l'équilibre du système de retraite à l'horizon 2030". [Élisabeth Borne](https://www.europe1.fr/dossiers/elisabeth-borne) a temporisé à nouveau mardi sur le report de l'âge de départ à la retraite à 65 ans, dont elle ne veut pas faire "un totem" avant ses ultimes entretiens avec les partenaires sociaux sur la réforme controversée des retraites.
La cheffe du gouvernement a précisé sur France Info que la future réforme n'allongerait pas «au-delà» de 43 ans la durée de cotisation.
La seconde serait de lâcher d’entrée sur l’âge légal à 64 ans combiné à une accélération de la réforme Touraine sur l’allongement de la durée de cotisation, pour espérer toper avec LR. En attendant, LR pointe déjà «des trous dans la raquette», dixit Viry, et attend des gages sur la pénibilité, la pension minimale des retraités et les carrières longues. Lui plaide pour un panachage entre report de l’âge et allongement de la durée de cotisation. François Hommeril, président de la CFE-CGC, s’est, à son tour, dit prêt à contrer «une mesure extrêmement injuste […] de décalage» de l’âge de départ. Quand les membres de la majorité évoquent «du sucré» pour faire passer l’amer du report de l’âge légal, ils songent aussi à la promesse de porter la pension minimale à 1 200 euros pour une carrière complète. Ça prouve que les débats avant le travail parlementaire servent à quelque chose.» Cajolée par le gouvernement avant Noël, l’ex-UMP sait qu’elle aura du mal à justifier son opposition à une réforme qui fut longtemps son fonds de commerce – Fillon en 2017, Pécresse en 2022. «On a porté dans la campagne une réforme qui décale l’âge légal de départ à 65 ans, ce n’est pas un totem», assure la Première ministre, «Déterminé à ne pas laisser passer une réforme qui va d’abord impacter les travailleurs modestes» et «rendra le système plus injuste», il a prévenu que si cette mesure d’âge était arbitrée, «la CFDT se mobilisera[it] pour [la] contester». Une augmentation des cotisations patronales retraites est aussi exclue : «La ligne rouge c’est de ne pas augmenter le coût du travail», justifie Borne, qui tient à mettre en avant les autres volets du texte devant être présenté en Conseil des ministres le 23 janvier : pénibilité, carrières longues, emploi des seniors. [annoncé mardi](https://www.liberation.fr/politique/assurance-chomage-elisabeth-borne-suspend-la-reduction-de-40-de-lindemnisation-en-cas-de-plein-emploi-20230103_BIDDIV27RVEABPJ25GUDJWCPWI/), d’un point très décrié ajouté en douce au décret sur l’assurance chômage – la baisse de la durée d’indemnisation de 40 % si le chômage passe sous 6 %. Borne veut donner la «priorité» aux «actifs qui vont devoir travailler un peu plus longtemps», mais suggère que le débat parlementaire, qui s’ouvrira en février à l’Assemblée nationale, pourrait élargir le champ. «Nous n’irons pas au-delà des 43 années de cotisation pour avoir une retraite à taux plein», prévues par la réforme Touraine, écarte-t-elle.
L'objectif de la réforme des retraites est de garantir un "équilibre du système à l'horizon 2030", a réaffirmé la Première ministre, mardi 3 janvier, ...
[sur l'antenne de LCP](https://twitter.com/LCP/status/1602374327533543425), le président du groupe "Les Républicains", Olivier Marleix, avait reproché au gouvernement d'"agiter le chiffon rouge des 65 ans", considérant qu'un report de l'âge de départ à 63 ans d'ici la fin du quinquennat constituerait déjà une avancée. ["pas certain[s]"](https://www.dailymotion.com/video/x8g5re8) de voter la réforme dans ces conditions. La cheffe du gouvernement a expliqué envisager un seuil à 64 ans accompagné d'une accélération de l'allongement de la durée de cotisation. [réagi](https://twitter.com/BorisVallaud/status/1610194907762769921) le président du groupe "Socialistes et apparentés", Boris Vallaud. "Tentative d'enfumage : le départ à 65 ans "n'est pas un totem" selon Élisabeth Borne. De quoi renforcer encore la mobilisation sociale qui se prépare", a pour sa part [tweeté](https://twitter.com/ericcoquerel/status/1610211479881498629) le président de la commission des finances, Eric Coquerel (La France insoumise).
La réforme des retraites, disposition phare du gouvernement Borne, va être présentée mardi prochain. Cette réforme fait débat, notamment à cause de l'âge du ...
Pour la Première ministre, le report de l'âge légal de départ en retraite à 65 ans, défendu par Emmanuel Macron durant la campagne présidentielle, « n'est pas ...
Pour la Première ministre, le report de l’âge légal de départ en retraite à 65 ans, défendu par [Emmanuel Macron](https://www.20minutes.fr/politique/emmanuel-macron/) durant la campagne présidentielle, « n’est pas un totem », a-t-elle affirmé ce mardi matin sur [France Info](https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/direct-retraites-pouvoir-d-achat-energie-sante-suivez-l-interview-de-la-premiere-ministre-elisabeth-borne-dans-la-matinale-de-franceinfo_5576157.html). Mme Borne n'a pas précisé quelle forme juridique elle prendrait, texte budgétaire rectificatif ou projet de loi ordinaire. « Ce qu'on veut c'est préserver notre système de retraites par répartition.