Elisabeth Borne

La Première ministre, qui reçoit les partenaires sociaux ce mardi et mercredi, a confirmé que le gouvernement avait pour objectif une entrée en vigueur de ...

La cheffe du gouvernement a confirmé que la présentation de la réforme en Conseil des ministres aurait lieu le 23 janvier. Elle a ajouté que "l'âge d'annulation de la décote ne bougera pas: il restera à 67 ans", même si l'âge légal, lui, sera vraisemblablement relevé. "Le président de la République l'a redit à l'occasion de ses voeux : on souhaite une entrée en vigueur de la réforme à la fin de cet été", a-t-elle rappelé.

La Première ministre Élisabeth Borne a indiqué, mardi, que le report de l'âge légal de départ à la retraite à 65 ans n'était "pas un totem", précisant que ...

De même, "l'âge d'annulation de la décote (...) ne bougera pas, il restera à 67 ans", a-t-elle ajouté. "Les ferments d'une explosion sociale sont là" et une "étincelle pourrait tout embraser", prévient-il. Toute "mesure d'âge" sera une "ligne rouge", a redit son patron Laurent Berger dans Un exercice d'autant plus délicat au moment où le gouvernement présente d'autres textes contestés notamment sur l'immigration et les énergies renouvelables. Élisabeth Borne a de nouveau temporisé, mardi 3 janvier, sur le report de l'âge légal de départ à 65 ans, dont elle ne veut pas faire "un totem" avant ses ultimes entretiens avec les partenaires sociaux sur la réforme controversée des retraites. 🗣 Réforme des retraites ➡️ "Ces concertations sont utiles”, assure la Première ministre Elisabeth Borne. Elle doit à cet effet échanger avec leur président Éric Ciotti, ainsi qu'avec les chefs de groupes LR à l'Assemblée, Olivier Marleix, et au Sénat, Bruno Retailleau. "L’âge d’annulation de la décote ne bougera pas. Mais quelque 54 % des Français sont défavorables à cette réforme, selon un sondage Harris-Interactive réalisé fin décembre et publié lundi. La réforme des retraites sera ensuite présentée en conseil des ministres le 23 janvier. La Première ministre a semblé tempérer, mardi, la position du gouvernement sur la mesure d'âge. Une majorité de Français s'oppose à cette réforme, dans le contexte inflammable d'un pouvoir d'achat rogné par l'inflation.

La cheffe du gouvernement l'assure, les concertations avec les syndicats et responsables politiques sont « utiles ». « À chaque fois, on écoute les remarques », ...

« Il faut avoir en tête qu’une réforme des retraites, ce n’est pas oui/non, ce n’est pas un sujet, ce sont de très nombreux sujets », plaide la cheffe du gouvernement. « Je suis certaine que le débat parlementaire aura à cœur d’améliorer aussi la réforme », assure-t-elle. Le compte à rebours est lancé. Selon certains élus reçus par la Première ministre, cette dernière s’est montrée « intéressée » par un mix de mesure qui permettrait de repousser l’âge de départ à 64 ans tout en accélérant l’allongement de la durée de cotisation. Ce qui, pour lui, passe forcément par un recul de l’âge légal de départ, même si le départ à 65 ans n’est « pas un totem », selon la Première ministre. Reste encore une grosse inconnue, susceptible de beaucoup peser au parlement : la réforme fera-t-elle l’objet d’un projet de loi à part ou sera-t-elle glissée au détour d’un projet de loi rectificatif de la Sécurité sociale ? Une majorité des Français – plus de 6 Français sur 10 – y est opposée, selon » En clair, vous pourrez toucher une retraite à taux plein à 67 ans même si vous n’avez pas cotisé 43 ans. Sauf qu’il s’agit d’une « ligne rouge » pour le gouvernement, qui refuse toute mesure susceptible « d’augmenter le coût du travail ». Dans le même esprit, « l’âge d’annulation de la décote ne bougera pas. « À chaque fois, on écoute les remarques », insiste-t-elle sur franceinfo. Voté en 2014 sous François Hollande, le texte est entré en vigueur en 2020 et fait progressivement passer à 43 annuités la durée de cotisation nécessaire pour toucher une retraite pleine.

Laurent Berger s'est exprimé mardi après-midi, à la sortie d'une réunion à Matignon avec Elisabeth Borne.

"Nous n'irons pas au-delà des 43 années de cotisations pour avoir une retraite à taux plein", [a assuré la Première ministre](https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/8h30-fauvelle-dely/reforme-des-retraites-assurance-chomage-crise-energetique-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-interview-d-elisabeth-borne-sur-franceinfo_5565042.html). François Hommeril, président de la CFE-CGC, estime "qu'il n'y a aucune urgence" à le réformer. La CFDT n'est pas contre une réforme des retraites", mais la réforme souhaitée par le gouvernement n'est "pas nécessaire" et risque d'aboutir à "un système plus injuste", affirme le secrétaire général de la CFDT. Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a menacé de prendre "des mesures" face aux fournisseurs qui "n'aident pas suffisamment" les boulangers et les petites entreprises. 08h46 : "Le président de la République l'a dit lors de ses voeux. "S'il y a un report à 64-65 ans, la CFDT se mobilisera, on fera ce que nous disons depuis le début (...) La CFDT est opposée au recul de l'âge légal de départ en retraite". "Bien sûr", répond la première ministre qui rappelle qu'elle va recevoir à partir de ce matin et demain les partenaires sociaux. 16h25 : "On n'a pas l'arbitrage sur les carrières longues", précise Laurent Berger à la sortie d'une réunion avec Elisabeth Borne, au sujet de la réforme des retraites. "A chaque fois, on écoute les questions, les observations et les remarques." L'enquête a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP). Il s'agit d'une "mesure exceptionnelle", prise "dans le cas où la survie de l'entreprise est menacée". 16h35 : "Ce gouvernement s'apprête à prendre les mesures les plus dures de ces 30 dernières années sur les retraites", dénonce Laurent Berger.

La Première ministre a annoncé le retrait de la partie controversée du décret sur l'assurance chômage qui devait réduire la durée d'indemnisation de 40 % en ...

La Première ministre, qui doit s’entretenir avec le leader syndical ce mardi 3 janvier à 15h30 sur le dossier des retraites, a [annoncé sur France Info](https://www.leparisien.fr/politique/reforme-des-retraites-age-de-depart-cotisations-calendrier-ce-quil-faut-retenir-de-linterview-delisabeth-borne-03-01-2023-F563DINFSFAQNJ6Z6VMQL5FVQM.php) le retrait de [la partie controversée du décret sur l’assurance chômage](https://www.leparisien.fr/economie/un-tres-mauvais-cadeau-de-noel-le-projet-de-decret-de-lassurance-chomage-passe-mal-25-12-2022-K3XRBTIL35HDXKJA5ITZKAPDBA.php) dévoilée par surprise le 23 décembre. La Première ministre a annoncé le retrait de la partie controversée du décret sur l’assurance chômage qui devait réduire la durée d’indemnisation de 40 % en cas d’un taux de chômage inférieur à 6 %.

La Première ministre était invitée ce mardi matin sur franceinfo pour présenter la réforme des retraites. La cheffe du gouvernement est revenue sur la grève ...

Mais en cette période hivernale, "nos hôpitaux font face à trois épidémies simultanées" de grippe, de bronchiolite et de Covid, a-t-elle rappelé, et "une fois de plus les soignants sont très mobilisés pour (y) faire face". La grève des médecins libéraux, entamée pendant les fêtes et qui se poursuit cette semaine pour réclamer un doublement du tarif de la consultation généraliste, "n'est vraiment pas responsable", a accusé mardi Elisabeth Borne. Lancé par un collectif de praticiens libéraux, soutenu par plusieurs syndicats, le mouvement s'est traduit la semaine dernière par une baisse d'activité de 10% des médecins généralistes, selon l'Assurance maladie.

La profession réclame une multiplication par deux du tarif de la consultation. Une demande jugée «extravagante» par le patron de l'assurance maladie.

Portée notamment par un collectif «Médecins pour demain», la profession ne compte pas abandonner si vite. La profession réclame principalement une multiplication par deux du tarif de la consultation (à 50 euros), pour créer un «choc d'attractivité» vers une médecine de ville écrasée par les tâches administratives au détriment du temps médical et qui n'attire plus les jeunes. Une grève, reconduite cette semaine, et jugée « vraiment pas responsable», par la cheffe du gouvernement.

La Première ministre Elisabeth Borne a tancé ce mardi matin sur France info le mouvement de grève initié parmi les médecins généralistes le 26 décembre ...

C'est 300 euros par mois de plus pour une infirmière débutante, si on donne des ordres de grandeur." [ceux de son ministre de la Santé](/sante/la-mauvaise-periode-francois-braun-juge-la-greve-des-medecins-particulierement-malvenue_AV-202212280141.html) François Braun, mercredi dernier. La Première ministre a de plus assuré que les tractations étaient toujours d'actualité entre les institutions et les organisations: "Il y a une discussion en cours entre les médecins et l'Assurance maladie." Et une fois de plus, les soignants sont très mobilisés pour faire face." "Je le dis très clairement: ce n'est pas responsable", a-t-elle insisté. Elisabeth Borne a commencé par relativiser l'ampleur de la mobilisation: "C'est une partie des organisations qui représentent les médecins qui ont appelé à la grève."

À une semaine de la présentation publique de la réforme des retraites, Élisabeth Borne a affirmé que "l'âge de départ à la retraite à 65 ans n'est pas un ...

Et la réforme, qui concernera les Français nés à partir du second semestre 1961, tiendra compte "des carrières longues, des carrières hachées, de la difficulté de certaines tâches", elle permettra "d'équilibrer le financement" du système et "d'améliorer la retraite minimale", avait fait valoir le chef de l'Etat. [une partie controversée du décret sur l'assurance chômage](https://www.europe1.fr/politique/assurance-chomage-le-gouvernement-retire-la-partie-controversee-du-decret-4158435) annoncée le 23 décembre, qui avait provoqué la colère de M. "Il n'y a que les retraités, les 65 ans et plus, qui se déclarent favorables", note Frédéric Dabi, directeur de l'institut Ifop. Le report de la présentation du texte du 15 décembre au 10 janvier a permis à la cheffe du gouvernement d'entendre à nouveau, avant Noël, les groupes politiques puis, cette semaine, les partenaires sociaux, avant le passage en Conseil des ministres le 23 janvier. "On a porté les 65 ans" mais "ce n'est pas un totem", a-t-elle déclaré sur franceinfo, ajoutant étudier "d'autres solutions qui permettent d'atteindre notre objectif", à savoir "l'équilibre du système de retraite à l'horizon 2030". [Élisabeth Borne](https://www.europe1.fr/dossiers/elisabeth-borne) a temporisé à nouveau mardi sur le report de l'âge de départ à la retraite à 65 ans, dont elle ne veut pas faire "un totem" avant ses ultimes entretiens avec les partenaires sociaux sur la réforme controversée des retraites.

Élisabeth Borne a assuré sur France Info que l'âge de 65 ans ne constituait « pas un totem » dans la réforme.

», a de son côté [observé le communiste Ian Brossat](https://twitter.com/IanBrossat/status/1610189925994975233). », a-t-il lancé [sur Twitter](https://twitter.com/mbompard/status/1610193048926838787). Pour nous et la majorité des Français, c’est NON », [a-t-elle tweeté](https://twitter.com/Clem_Autain/status/1610189704489537538). Ils avaient fait la même diversion en 2019 en retirant [l’âge pivot](https://www.20minutes.fr/economie/2689447-20200107-reforme-retraites-gouvernement-vraiment-intention-lacher-lest-age-pivot). La gauche a vivement réagi mardi aux propos de la Première ministre sur le recul de l’âge de départ à la retraite et sa volonté de « compromis ». Elle a également renouvelé sa volonté de trouver un compromis pour que le texte passe au Parlement, quelle que soit sa forme, [budget rectificatif](https://www.20minutes.fr/economie/4008092-20221102-budget-rectificatif-2022-deficit-public-finalement-attendu-4-9-croissance-2-7) ou projet de loi ordinaire.

La mesure, annoncée par décret à la veille de Noël, avait provoqué un tollé parmi les syndicats et une vague d'angoisse chez les demandeurs d'emploi.

Dans ce texte d’application de la loi votée au Parlement cet automne, le gouvernement affichait sa volonté de réduire la durée d’indemnisation de 40 % pour les nouveaux demandeurs d’emploi, si le taux de chômage passait sous les 6 %. La cheffe du gouvernement a ainsi concédé que son gouvernement était allé vite en besogne dans son projet de décret transmis à la veille de Noël aux partenaires sociaux, après envoi au Conseil d’Etat. Invitée mardi matin sur France Info pour sa première interview de 2023, la Première ministre était attendue

Avant d'ultimes consultations avec les syndicats mercredi, la Première ministre a affirmé que « l'âge de départ à la retraite à 65 ans n'est pas un totem ».

« Je le dis ici et je l'ai dit à la Première ministre : s'il y a un report de l'âge légal de départ en retraite à 64 ou 65 ans, la CFDT se mobilisera pour contester cette réforme », a martelé devant la presse le numéro un de la centrale réformiste. [À LIRE AUSSIRéforme des retraites : le sucré avant le salé](https://www.lepoint.fr/economie/reforme-des-retraites-le-sucre-avant-le-sale-15-12-2022-2501943_28.php) [rallier Les Républicains](https://www.lepoint.fr/politique/reforme-des-retraites-emmanuel-macron-mise-sur-lr-17-11-2022-2498162_20.php), favorables à un report de l'âge. Ce n'est pas une question de “totem”, c'est une question de justice sociale », a déclaré le chef des députés PS, Boris Vallaud, sur Twitter. [À LIRE AUSSIKervasdoué – Le tour de passe-passe du financement des retraites](https://www.lepoint.fr/invites-du-point/kervasdoue-le-tour-de-passe-passe-du-financement-des-retraites-22-02-2022-2465740_420.php) [la CFDT](https://www.lepoint.fr/societe/reforme-des-retraites-la-mise-en-garde-de-la-cfdt-18-09-2022-2490411_23.php). « Les Anglais ont l' [Irlande](/tags/irlande), les Américains ont les armes. [À LIRE AUSSIFaut-il vraiment réformer les retraites ?](https://www.lepoint.fr/economie/faut-il-vraiment-reformer-les-retraites-08-12-2022-2500979_28.php) Nous, on a les retraites », glissait récemment à l' [Agence France-Presse](/tags/afp), fataliste, Édouard Philippe. Et la réforme, qui concernera les Français nés à partir du second semestre 1961, tiendra compte « des carrières longues, des carrières hachées, de la difficulté de certaines tâches », elle permettra d'« équilibrer le financement » du système et d'« améliorer la retraite minimale », avait fait valoir le chef de l'État. « Il n'y a que les retraités, les 65 ans et plus, qui se déclarent favorables », note [Frédéric Dabi](/tags/frederic-dabi), directeur de l'institut Ifop. [ses ultimes entretiens avec les partenaires sociaux sur la réforme controversée des retraites](https://www.lepoint.fr/politique/retraites-elisabeth-borne-recevra-les-partenaires-sociaux-mardi-et-mercredi-02-01-2023-2503462_20.php).

J'entends que ce point n'a peut-être pas suffisamment fait l'objet de discussions », a reconnu la première ministre mardi sur Franceinfo.

[Marine Tondelier](https://twitter.com/marinetondelier/status/1610187774329769995), « ce qui est bien, c’est qu’on n’a pas encore commencé à manifester que le gouvernement a déjà compris qu’il allait falloir se détendre sur les mesures antisociales… [« Politique »Chaque semaine, « Le Monde » analyse pour vous les enjeux de l’actualité politiqueS’inscrire](https://www.lemonde.fr/newsletters/politique/?origin=inread) « La preuve que le rapport de force paie ! Ils font marche arrière, tant mieux », a réagi Yvan Ricordeau (CFDT). Mais, fait nouveau, il était envisagé que la durée d’indemnisation soit réduite de 40 % et non de 25 %, lorsque le taux de chômage passe au-dessous de 6 % (il est actuellement à 7,3 %). « Nous remettrons ce sujet dans la concertation sur les futures règles de l’assurance-chômage.

À une semaine de la présentation de la réforme, la Première ministre a annoncé ce mardi 3 janvier plusieurs concessions à destination des syndicats, ...

"Nous n'irons pas au-delà des 43 années de cotisations pour avoir une retraite à taux plein", a assuré la Première ministre. Elisabeth Borne qui en a profité pour effectuer une opération déminage à destination des syndicats, mais aussi de la droite... Dans une semaine tout pile, nous connaitrons les contours de la future réforme des retraites.

Interview de Mme Élisabeth Borne, Première ministre, à France info le 3 janvier 2023, sur la réforme des retraites, les hausses du prix de l'énergie, ...

Et je voulais savoir : est-ce que cette aide mise en place par le ministre Bruno LE MAIRE, va aussi concerner les restaurants, les bars et les cafés, qui ont eux aussi du mal à payer leurs factures d'électricité, de gaz etc., et qui décident donc, soit de payer en retard leurs factures et leurs employés, ou bien qui décident de fermer ? Ecoutez, je vous dis, je ne vous répondrai pas dans ces termes-là. Moi, je suis médecin urgentiste, je ne souhaite pas vous interroger là-dessus, je souhaite essayer de comprendre auprès de vous pourquoi en France, dans un pays comme la France, ce système de mise en place de la retraite à 60, à plus de 65 ans, bloque à ce point-là, alors que dans tous les autres pays, tous les autres pays ont adopté 65, 67, voire 69, pourquoi un pays comme la France dit non de façon aussi catégorique ? Dans 3 minutes précisément vous serez face aux auditeurs, c'est une image, face aux auditeurs et aux téléspectateurs de France Info. Elisabeth BORNE, vous restez avec nous. Vous allez accéder aux demandes ? Vous leur dites quoi ? Est-ce que vous pouvez dire aujourd'hui aux soignants qu'il y aura d'autres augmentations substantielles dans les mois ou dans les années qui viennent ? Est-ce que vous êtes plus optimiste aujourd’hui qu’il y a un mois ? Moi, j’entends que ce point n’a peut-être pas suffisamment fait l’objet de discussions, donc nous allons le retirer, ce troisième niveau du décret qui entrera en vigueur au 1er février, et nous remettrons ce sujet dans la concertation sur les futures règles de l’assurance chômage. Est-ce que vous pourriez aller au-delà de 43 ans ou pas ? Jusqu’à 09h, nous allons donc vous interroger avec Marc, et ensuite, ce sont les auditeurs et les téléspectateurs de France info qui prendront la parole : 0809 40 41 42, c’est le numéro du standard au prix d’un appel local.

La Première ministre Elisabeth Borne, invitée de France info, a assuré que le décret sur l'assurance-chômage qui devait réduire la durée d'indemnisation de ...

"Notre intention est transparente: si le chômage est à moins de 6%, alors on pense que c'est la bonne règle d'indemnisation. -2°C dans le salon, pas d'électricité... "Le décret n'est pas une surprise.

De passage sur les ondes de France Info, ce mardi 3 janvier, Élisabeth Borne a répondu aux nombreuses questions des auditeurs. Une séquence durant...

[Élisabeth Borne](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/une-femme-de-confiance-a-huis-clos-emmanuel-macron-decore-elisabeth-borne_509315) portant sur les dispositifs d’aides aux entreprises concernant la hausse des [prix de l’électricité](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/video-les-propos-rassurants-de-bruno-le-maire-sur-les-coupures-delectricite-nous-pouvons-les-eviter_508606). Pour preuve, lors de son passage sur les ondes de RTL Matin, le 7 décembre dernier, la Première ministre avait été moquée par l’humoriste [Philippe Caverivière](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/philippe-caveriviere-nous-presente-sarah-la-femme-de-sa-vie_508545) sur sa fâcheuse tendance à vapoter au sein de l’Assemblée nationale. [Élisabeth Borne](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elisabeth-borne-bruno-le-maire-marlene-schiappa-ou-les-ministres-partent-ils-en-vacances-cet-hiver_509495) s’est souvent montrée amusée par les déclarations qui lui sont faites. [Élisabeth Borne](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/merci-on-ny-avait-pas-pense-elisabeth-borne-moqueuse-avec-un-celebre-ministre_509580) a eu l’opportunité de répondre directement à certaines questions posées par des auditeurs. , a ensuite répondu la [Première ministre](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elisabeth-borne-premiere-ministre-deja-6-mois-a-matignon-elle-se-demene-pour-exister_506663), hilare par cette demande inattendue. De passage sur les ondes de France Info, ce mardi 3 janvier, Élisabeth Borne a répondu aux nombreuses questions des auditeurs.

ANALYSE - En affirmant que 65 ans n'est pas un «totem», elle n'a pas réussi à rallier la CFDT. Alors que l'opposition fourbit ses armes et que les syndicats ...

Sur le sujet clé de l’âge de départ, «65 ans n’est pas un totem, il y a d’autres moyens d’arriver à l’équilibre des comptes», a-t-elle déclaré. Après le président de la République, qui a réaffirmé lors des vœux que la réforme se fera et entrera en vigueur «avant la fin de l’été 2023», c’était mardi au tour d’Élisabeth Borne de préparer ce terrain miné. Le projet sera officiellement dévoilé le 10 janvier, puis présenté en Conseil des ministres le 23 janvier.

La Première ministre a assuré ce mardi que le relèvement de l'âge à 65 ans n'est « pas un totem ». Pas de quoi adoucir la position des syndicats reçus ...

Alors que la communauté internationale appelle Pékin à la transparence et que les pays multiplient les restrictions aux voyageurs chinois, le système de santé se retrouve submergé. Tout comme les élus de la droite, clés pour permettre à l'exécutif de faire passer la réforme sans recourir à l'article 49.3 de la Constitution. Les syndicalistes s'attendaient cependant à ce que la cheffe du gouvernement leur donne quelques précisions sur les arbitrages rendus sur les mesures d'accompagnement de la réforme relatives à l'emploi des seniors, aux carrières longues, à la pénibilité ou encore au minimum contributif. Soit [l'option proposée par la droite sénatoriale](https://www.lesechos.fr/economie-france/social/reforme-des-retraites-les-senateurs-lr-dessinent-la-voie-dun-possible-compromis-politique-1875594) . Et tous, à l'instar de Laurent Berger, ont « martelé » Il a dénoncé le « roman [construit par l'exécutif] de l'existence de problèmes d'équilibre » sur le système de retraite.

Elisabeth Borne qui s'apprête à dévoiler le contenu de la réforme des retraites. Un texte emblématique qui fâche tous les syndicats et l'ensemble des partis ...

Elisabeth Borne a beau revendiquer son souci du dialogue et de la négociation, elle a aussi imposé sans broncher une réforme de l’assurance-chômage qui rabote les indemnités et fâche tous les syndicats jusqu’à la CFDT de Laurent Berger. Début décembre, elle a décroché un nouveau sursis d’un mois et le report de la présentation de la réforme au 10 janvier. Fin septembre, elle avait déjà réfréné ses velléités de passer en force avec un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale.

La Première ministre s'est exprimée ce mardi 3 janvier 2023 sur la grève des médecins généralistes. Selon elle, « ce n'est pas responsable ».

Selon elle, « ce n’est pas responsable ». Mais ce n’est vraiment pas responsable de faire grève, notamment dans une période de fêtes où ça a augmenté les tensions sur l’hôpital. Je le dis très clairement, ce n’est pas responsable », a déclaré la Première ministre.

La Première ministre Elisabeth Borne a précisé, mardi 3 janvier, les contours de sa réforme des retraites. Elle a notamment assuré que l'âge de départ à 65 ...

En revanche, pour la durée de cotisation, il n'y a pas de changement : elle sera toujours de 43 ans à l'issue de la réforme. "Ce n'est pas un totem. Une semaine avant les derniers arbitrages autour de la réforme des retraites, la Première ministre Elisabeth Borne a tenté de désamorcer, mardi 3 janvier, la grogne des oppositions.

Alors que le gouvernement dévoilera le projet autour de la réforme des retraites le 10 janvier, le gouvernement cherche des soutiens à droite alors que les ...

Élisabeth Borne a d’ailleurs déjà fait un geste mardi à l’égard des syndicats en annonçant la suppression d’un projet de décret décrié qui réduisait de 40 % la durée des indemnisations chômage si le taux de chômage passe sous la barre des 6 %. La France insoumise a déjà promis d’être au rendez-vous des manifestations, à commencer par celle du 21 janvier, à l’appel d’organisations de jeunesse. Mais ce n’est pas "un totem", a assuré la Première ministre sur franceinfo. élisabeth Borne devrait également s’entretenir avec des membres du groupe centriste Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (Liot), qui compte une vingtaine de députés à l’Assemblée nationale. "S’il y a un report de l’âge légal de départ en retraite qui est annoncé à 65 ou 64 ans, la CFDT fera ce que nous disons depuis le début, c’est-à-dire : nous nous opposerons à cette réforme, notamment en appelant les salariés à se mobiliser", a-t-il déclaré à l’issue de la réunion. À une semaine de l’échéance, les questions les plus sensibles ne sont pas encore complètement tranchées, a assuré la Première ministre, rappelant que "les discussions continuent".

La CGT a été fondée en 1895. L'organisation syndicale est aujourd'hui dirigée par Philippe Martinez, dont le mandat prendra fin en mars 2023. Elle revendique « ...

François Asselin a notamment estimé que le projet de réforme était « équilibré » tant que le relèvement de l’âge de départ était accompagné d’une prise en compte « des carrières longues » et des « métiers physiquement plus exposés que d’autres ». Pour autant, il conditionne son soutien à la réforme à plusieurs conditions comme la réévaluation des petites pensions de retraite et maintien des dispositifs de départ anticipés. Le Medef se revendique comme « le premier réseau d’entrepreneurs de France » avec plus de « 123 000 entreprises adhérentes ». [l’organisation sur site internet](https://www.cfecgc.org/cfe-cgc/qui-sommes-nous). [En 2019, nos confrères de ](https://www.la-croix.com/Economie/Social/CGT-CFDT-enregistrent-hausse-dadherents-lannee-2019-2020-05-14-1201094306) [La Croix](https://www.la-croix.com/Economie/Social/CGT-CFDT-enregistrent-hausse-dadherents-lannee-2019-2020-05-14-1201094306) , avançaient « un nombre non-définitif de 640 000 adhérents, avec 46 % de femmes et 54 % d’hommes ». Concernant la réforme des retraites, le syndicat a présenté jeudi 8 décembre 2022, ses propres solutions de financements des retraites. Aux élections professionnelles de la fonction publique, le syndicat a recueilli 83 000 voix soit 3,9 % des suffrages. L’organisation représentative compterait environ « 350 000 adhérents » selon son ancien dirigeant Yves Veyrier cité par [Les Échos](https://www.lesechos.fr/economie-france/social/fo-compterait-a-peu-pres-350000-adherents-1410938) . Côté secteur privé, le syndicat a obtenu, sur la période 2017-2021, environ 764 000 votes pour une audience de 15,24 % et un poids relatif de 17,64 %. Ce résultat la classe troisième, derrière Force ouvrière (FO) et la Confédération générale du Travail (CGT). Force ouvrière (FO) est née en 1948, après une scission au sein de la CGT. Le poids d’un syndicat est déterminé par la mesure de l’audience et de la représentativité syndicale.

Ce mercredi 4 janvier, avant de recevoir les syndicats dans le but de parler avec eux de la réforme des retraites, la Première ministre Elisabeth B...

Une décision qui arrive quelques heures à peine avant de recevoir les syndicats pour une dernière phase de concertations sur cette très clivante [réforme des retraites ](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/brigitte-macron-et-la-reforme-des-retraites-pourquoi-elle-fait-figure-dexemple-aux-yeux-demmanuel-macron_472048)qui fait couler beaucoup d’encre depuis quelques semaines. A noter que cette mesure, annoncée la veille de Noël, avait provoqué un tollé unanime dans la sphère politique. Mieux encore, le président du parti présidentiel de la commission des Lois à l’Assemblée, Sasha Houlié, est allé jusqu’à complimenter la Première ministre dont la décision “montre une vraie intelligence de situation”. [Elisabeth Borne](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/une-femme-de-confiance-a-huis-clos-emmanuel-macron-decore-elisabeth-borne_509315) espère apaiser les tensions afin de trouver un terrain d’entente avec les syndicats dans cette dernière phase de négociations. En lâchant du lest suite au retrait de cette mesure, “Quand on peut reculer sur une connerie, ça ne fait pas de mal”, a avancé un cadre

Invitée de franceinfo, mardi, au moment de recevoir les partenaires sociaux, Elisabeth Borne a ajusté la position du gouvernement sur deux réformes en cours ...

Elle joue déjà le coup d'après : la solidité ou la fragilité du soutien de l'opinion publique à une mobilisation qui semble inévitable. Elle s'efforce de travailler l'acceptabilité de la réforme. Or, depuis la rentrée, le cap des 65 ans ne cessait pourtant d'être confirmé et reconfirmé, présenté comme "le" programme sur lequel Emmanuel Macron a été reconduit à l'Élysée. Les sénateurs LR ont de nouveau voté cette année un mix "report de l'âge de départ à 64 ans + accélération vers les 43 ans de cotisation". En campagne de la présidentielle, entre les deux tours, il avait lui-même déclaré que [les 65 ans n'étaient pas un dogme](/elections/presidentielle/presidentielle-2022-emmanuel-macron-se-dit-pret-a-bouger-sur-sa-reforme-des-retraites_5076817.html), que rassembler et écouter, c'était aussi accepter de bouger. ["65 ans, ce n'est pas un totem"](/economie/retraite/reforme-des-retraites/reforme-des-retraites-nous-n-irons-pas-au-dela-des-43-annees-de-cotisations-pour-avoir-une-retraite-a-taux-plein-annonce-elisabeth-borne_5577873.html), ce n'est pas anodin.

Selon la Première ministre, le contexte international et national va nécessiter "de la résolution, de l'abnégation, de la résistance aux vents contraires, ...

Sur la méthode, la cheffe du gouvernement, privée à l'Assemblée de majorité absolue, a dit sa volonté de "délivrer les engagements pris", d'avoir "le réflexe de l'interministériel" et de "travailler avec tous les acteurs", au-delà de la seule sphère de l'État. Élisabeth Borne a ensuite souhaité "mettre en oeuvre l'égalité des chances" et en dernier lieu "prendre pleinement le virage de la transition écologique" même si en la matière "ce sont des chantiers difficiles". [le gouvernement à "l'audace et à rester à l'écoute des préoccupations des Français"](/politique/elysee/emmanuel-macron-appelle-le-gouvernement-a-l-audace-et-a-rester-a-l-ecoute-des-francais_AD-202301040318.html), pour "(se) mettre à la place de chacun, au moment où nous réformons", a rapporté le porte-parole du gouvernement Olivier Véran lors du compte-rendu du Conseil des ministres.

Alors que l'exécutif doit lancer plusieurs projets contestés comme celui des retraites, la Première ministre a demandé ce mercredi au gouvernement de ...

Élisabeth Borne a ensuite souhaité « mettre en œuvre l’égalité des chances » et en dernier lieu « prendre pleinement le virage de la transition écologique » même si en la matière « ce sont des chantiers difficiles ». Elle a également cité les autres textes de loi à venir sur les énergies renouvelables, le nucléaire, les Jeux olympiques, ou encore [l’immigration](https://www.leparisien.fr/politique/immigration-ce-quil-faut-retenir-des-mesures-annoncees-par-darmanin-et-dussopt-02-11-2022-B6IUXVUL55BNFBD3RW7LOXA7KU.php). « Désormais, c’est jusqu’à l’été que nous devons nous projeter, avec modestie mais aussi avec détermination », a-t-elle conclu. Le premier Conseil des ministres de 2023 s’est tenu ce mercredi. Son deuxième objectif est de « transformer et consolider » les services publics, notamment la Outre « l’anticipation et la réactivité », la Première ministre a fixé quatre objectifs à son gouvernement, dont celui de « réformer » notamment

Lors du premier Conseil des ministres de 2023 et alors que la réforme des retraites est attendue, la Première ministre a demandé aux membres du gouvernement ...

À partir de la mi-janvier, chacun aura les yeux rivés sur le climat social. [lors du premier Conseil des ministres de 2023](https://www.ouest-france.fr/economie/energie/electricite/le-risque-de-coupures-cet-hiver-semble-s-ecarter-rassure-le-porte-parole-du-gouvernement-aebc4cac-8c1b-11ed-9fb2-0b86ee40425f), de « résister aux vents contraires » alors que l’exécutif doit lancer plusieurs projets controversés au premier rang desquels [celui des retraites](https://www.ouest-france.fr/economie/syndicats/retraites-qui-sont-les-syndicats-recus-par-elisabeth-borne-a-matignon-b26b8f28-8b41-11ed-8cd4-3e0a8eec1c0a), a appris l’AFP auprès de plusieurs participants. Lors du premier Conseil des ministres de 2023 et alors que la réforme des retraites est attendue, la Première ministre a demandé aux membres du gouvernement de « résister aux vents contraires »

La Première ministre a estimé que les vœux d'Emmanuel Macron n'étaient pas « légers » étant donné le contexte international et national qui « va demander à ...

Code promo Cybertek Code promo HP Code promo Dell Code promo Acer Code promo GoPro Code promo NordVPN