Dry January

Certains se lanceront d'ailleurs dans le « Dry January » ou le défi sans alcool du mois de janvier (« Janvier Sobre ») pour récupérer des excès des derniers ...

L’expertise collective de l’Inserm s’est ainsi positionnée en faveur du lancement de campagnes d’arrêt de la consommation, à l’image de l’opération « Dry January », dont les bénéfices (et le faible coût) ont été démontrés. Ce travail s’appuie essentiellement sur les données issues de la littérature scientifique disponible lors du premier semestre 2020. Les scientifiques se sont notamment intéressés aux bénéfices des périodes « sans alcool » et plus précisément à la campagne de sensibilisation annuelle Dry January qui est originaire du Royaume-Uni

Alors que débute le « défi de janvier », encourageant à arrêter l'alcool pendant un mois, le spécialiste en addictologie Mickael Naassila insiste sur les ...

Ces tendances sont à prendre avec précaution au regard des difficultés de continuité des soins pendant la pandémie et des difficultés rencontrées par les structures d’addictologie. La consommation est orientée à la baisse depuis la crise sanitaire, mais ces chiffres doivent être interprétés avec prudence. Professeur de physiologie à l’université de Picardie (Amiens) et neurobiologiste de l’addiction à l’alcool à l’Inserm, il rappelle les nombreux bénéfices pour la santé de l’abstinence. Ces moyennes ne traduisent pas la répartition entre ceux qui ne boivent pas du tout, et d’autres qui consomment beaucoup. L’enjeu est de déclencher une prise de conscience sur le niveau de consommation. Il y a souvent une confusion, la campagne du « défi de janvier » vise l’abstinence, certes, mais cela peut être aussi de réduire sa consommation d’alcool.

A l'origine, une initiative lancée en 2013 par une association caritative britannique : Alcohol Change. En France, « 41% des interrogés connaissent le Dry.

Et ces avantages ne se limiteraient pas au seul mois de janvier : « Ensuite », poursuit-il, « lorsque nous interrogeons les participants après six mois, ils déclarent qu’ils boivent significativement moins qu’avant, que ce soit en nombre de jours de consommation par semaine, en quantité d’alcool bue par jour de consommation ou en nombre d’épisodes d’ivresse par mois. Avec une « notoriété qui reste meilleure chez les jeunes et les CSP+ mais moindre chez les fumeurs et les personnes aux plus faibles revenus ». Ne pas boire une seule goutte d’alcool tout au long de ce mois de janvier : c’est votre défi de ce début d’année !

En janvier, de nombreux consommateurs s'abstiennent de boire de l'alcool. Ce « défi » de plus en plus médiatisé crispe les représentants de la viticulture ...

« Il y a un phénomène de santé publique », dit aussi Pierre Véron, responsable de la cave de Leclerc à Talence. Le « Dry January » – lancé au Royaume-Uni en 2013 – fait de plus en plus parler. « Ça n’a pas d’impact négatif aujourd’hui : janvier a toujours été un mois creux », ajoute Bertrand Deltil, le patron de Vinimarché, qui tient une grande cave à Pessac et un bar aux Halles de Bacalan, même s’il « entend de plus en plus de gens qui envisagent de se livrer à une période d’abstinence ». « Nous vendons de plus en plus de vin sans alcool et beaucoup de clients font attention maintenant au degré d’alcool des vins. « C’est un coup médiatique : en parler participe à la diabolisation de l’alcool », regrette Christophe Château, directeur de la communication du [’opération du « Dry January » est pointée du doigt](https://www.sudouest.fr/gironde/langon/vin-les-elus-de-langon-se-positionnent-contre-l-abstinence-en-toutes-circonstances-12906893.php) : « La tentation est grande pour certains de réduire le vin à l’alcool qu’il contient, de le rendre responsable de tant de maux et de le désigner comme le nouveau péril pour la santé publique. « Elle recommande de ne pas boire plus de deux verres par jour et de passer au moins deux jours par semaine avec zéro alcool. Président de l’appellation [Blaye Côtes de Bordeaux](https://www.vin-blaye.com/), Nicolas Carreau n’y va pas par quatre chemins : « C’est le signe de notre monde actuel qui est dans l’extrême. [Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux](https://www.bordeaux.com/fr/). Le mouvement est soutenu par des professionnels de santé, des hôpitaux et même certaines municipalités (1). Les défenseurs de la viticulture craignent que le défi devienne une campagne officielle de prévention, soutenue par les pouvoirs publics, comme le demandent certaines organisations. Un défi pour les consommateurs…

La galette des rois est une tradition du mois de janvier. Et de quoi on l'accompagne ? Souvent d'une bouteille de cidre. Ou pas.

Le CHU rappelle ainsi qu’en France on compte 1,5 million de personnes dépendantes à l’alcool. mais plutôt de faire une diète prolongée et réfléchir à son usage des boissons alcoolisées. La galette des rois est une tradition du mois de janvier.

Tout ce qu'il faut savoir sur Alors que le mois de janvier sans alcool, ou dry january, vient de commencer, une entreprise normande, JNPR, propose une ...

[Je m'identifie](https://login.lavoix.com/html/login?unitId=parisnormandie_www_prod&returnPage=https://www.paris-normandie.fr/id374878/article/2023-01-02/dry-january-la-marque-normande-jnpr-depoussiere-le-sans-alcool-et-vise) [Je m'inscris](https://espace-abonnement.paris-normandie.fr/pn-inscription-14j?int_source=paris_normandie&int_medium=paywall_anonyme&int_campaign=inscrits14j&backurl=https://www.paris-normandie.fr/id374878/article/2023-01-02/dry-january-la-marque-normande-jnpr-depoussiere-le-sans-alcool-et-vise) Et après deux ans d’existence, le rythme s’accélère pour cette marque de spiritueux sans alcool.

Le Défi de Janvier invite chacun et chacune à faire une pause dans sa consommation d'alcool juste après les fêtes.La règle est simple : ne pas boire ...

Un défi dont la règle unique est simple : ne pas consommer d'alcool dès le 1er janvier et jusqu'à la fin du mois. Les explications du Dr Philippe Batel, médecin ...

Lorsque l’on réduit sa consommation, on a tendance à être moins strict dans la diminution et à s’autoriser davantage "d’écarts", en quelque sorte" rappelle le spécialiste. Si vous abstenir complètement de boire de l’alcool vous effraie, vous pouvez tenter le Damp January, qui consiste à réduire sa consommation, sans l’arrêter complètement. Vous en avez sans doute entendu parler : le premier janvier débute le Dry January, ou mois sans alcool.

Depuis plusieurs années, le « Dry January » ou « Janvier sec » met au défi les participants de ne pas boire d'alcool pendant un mois.

En tout, 25 % des Français consomment plus que ce qui est préconisé, soit plus de deux verres par jour et dix verres par semaine et plus de deux jours dans une semaine. L’alcool est le premier facteur de risque de mortalité prématurée et d’incapacité chez les 15-49 ans. La Belgique reprend le concept quatre ans plus tard pour le mois de février, sous le nom de « Tournée minérale ». Les jeunes sont plus enclins à passer le mois de janvier sans alcool. En France, 10 % de la population joue le jeu. Il y a dix ans, l’organisation Alcohol Change UK a organisé en Grande-Bretagne la première édition du « Dry January ».

Le Dry January revient en janvier 2023 pour une nouvelle édition. Cette campagne, portée en France par un collectif d'associations et de réseaux nationaux, ...

[l'Organisation mondiale de la santé](https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/alcohol) le 9 mai 2022. L’expertise collective de l’Inserm s’est ainsi positionnée en faveur du lancement de campagnes d’arrêt de la consommation, à l’image de l’opération 'Dry January', dont les bénéfices (et le faible coût) ont été démontrés". Cette campagne, basée sur une idée britannique, trouve le soutien de l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale).

C'est parti pour le "Dry January", le "défi de janvier" qui consiste à ne pas boire d'alcool pendant un mois. Qui essaie ?

Après les excès des fêtes, c'est le Dry January. Cette campagne de santé publique incite à l'absence de consommation d'alcool après la soirée du Nouvel An et durant tout le mois de janvier. Qui essaie ?

L'objectif ultime de ce défi reste de ne pas boire une goutte d'alcool durant le mois de janvier. Cette initiative doit aussi permettre de s'interroger sur ...

"Chacun change son rapport à l'alcool en fonction de ce qu'il peut, note Amine Benyamina. "Si c'est plus facile la semaine, et plus difficile le week-end , ceux qui le font, noteront 'j'ai fait le défi mais j'avais plus de mal le week-end. "C'est juste le fait de me dire que je suis obligé.

De nombreux Français ont consommé de l'alcool pour les fêtes de Noël et du Nouvel an. Face aux possibles excès, certains veulent se rattraper avec le "Dry ...

Et pour les participants qui ne parviendraient pas à tenir le zéro alcool en janvier, pour cause d'anniversaire ou autre, pas de panique selon le docteur Christele Peybernard, psychiatre addictologue, le principal est de réduire sa consommation. Il faut vraiment prendre la décision de le faire", prévient-elle auprès de Mélanie Gomez et Julia Vignali. "D'abord, il ne faut pas le faire comme une punition.

Comme chaque année depuis 10 ans, le défi du mois de janvier a débuté. Au programme : ne pas boire d'alcool du 1er au 31 janvier 2023.

Simple en apparence, le mois sans alcool peut s’avérer compliqué pour celles et ceux pour qui la consommation est régulière et/ou intimement liée aux relations sociales, voire synonyme de « savoir-vivre ». [alcool](https://livre.fnac.com/n200392/Sciences-humaines/Toutes-les-Questions-de-societe/Alcool-Alcoolisme?Origin=leclaireur) pendant tout le mois de janvier. Pour mémoire, selon les recommandations de Santé Publique France, il est conseillé de ne pas boire plus de 10 verres maximum par semaine, et jamais plus de deux par jour. Le principe de cette désintox est simple puisqu’il s’agit de faire une pause en ne buvant pas d’ Comme chaque année depuis bientôt 10 ans, le défi (fou ?) du mois de janvier a débuté. Né en 2013 en Grande-Bretagne, le « Dry January » (« janvier sec » ou « défi de janvier ») a débarqué en France il y deux ans seulement, avec le soutien d’associations et de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale).

Des dinosaures avantagés par le changement climatique, le Dry January est de retour et pour protéger des dauphins menacés, le fleuve du Mékong va avoir une ...

En high-tech : En santé : En animaux : En paléontologie :

Une place importante est réservée aux produits sans alcool dans les tracts de ce début d'année. Rayon Boissons vous propose un tour d'horizon de l'offre ...

Même chose pour Cora qui offre pourtant une remise de - 25 % sur les gammes Palermo, Mister Cocktail et Venezzio. Match (photo ci-jointe) a également joué la carte de la diversité sur sa page dédiée au dry january avec, en prime, la présence de la nouveauté Suze tonic zéro. Les vins Bonne Nouvelle (en rouge, en rosé et en blanc), Festillant mais aussi Palermo et Mister Cocktail complètent la sélection selon la taille des magasins.

Sorry, this entry is only available in French. alcool. L'alcool était la 7ème cause de perte d'années de vie en bonne santé dans le monde en 2016, ...

L’expertise collective de l’Inserm s’est ainsi positionnée en faveur du lancement de campagnes d’arrêt de la consommation, à l’image de l’opération « Dry January », dont les bénéfices (et le faible coût) ont été démontrés. Ce travail s’appuie essentiellement sur les données issues de la littérature scientifique disponible lors du premier semestre 2020. Les scientifiques se sont notamment intéressés aux bénéfices des périodes « sans alcool » et plus précisément à la campagne de sensibilisation annuelle Dry January qui est originaire du Royaume-Uni

Le premier mois de l'année, c'est celui consacré au "Dry January". Logiquement, les chiffres de ventes d'alcool devraient baisser en raison des très ...

Les plus jeunes étaient, eux, plus nombreux à avoir acheté de l'alcool. Côté spiritueux, ils étaient 127 000 de plus à être passés en caisse. Est-ce qu'il y a une corrélation entre ce défi annuel post-Nouvel An et les ventes ? Au vu de ce constat une baisse des ventes devrait se faire remarquer. Logiquement, les chiffres de ventes d'alcool devraient baisser en raison des très nombreux participants à ce mois sans alcool. La quatrième édition française de ce mois sans alcool a commencé ce dimanche 1er janvier après un réveillon sans doute trop arrosé pour certains.

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L’expertise collective de l’Inserm s’est ainsi positionnée en faveur du lancement de campagnes d’arrêt de la consommation, à l’image de l’opération « Dry January », dont les bénéfices (et le faible coût) ont été démontrés. Ce travail s’appuie essentiellement sur les données issues de la littérature scientifique disponible lors du premier semestre 2020. Les scientifiques se sont notamment intéressés aux bénéfices des périodes « sans alcool » et plus précisément à la campagne de sensibilisation annuelle Dry January qui est originaire du Royaume-Uni