Le suspect a ouvert le feu sur plusieurs personnes dans le Xe arrondissement ce vendredi. Quatre personnes ont été blessées, dont deux qui se trouvent en ...
« À la suite de la dramatique fusillade qui s’est déroulée ce matin, je rentre à Paris et me rendrai sur place. [le meurtre de trois militantes kurdes](https://www.leparisien.fr/faits-divers/paris-enquete-relancee-apres-l-assassinat-de-trois-militantes-kurdes-en-2013-15-05-2019-8072358.php) dans la nuit du 9 au 10 janvier 2013, également dans le Xe arrondissement), des réunions se préparaient pour organiser un événement. « On a vu un vieux monsieur blanc rentrer et tirer dans le centre culturel kurde, puis il est allé dans le salon de coiffure à côté. « Il y a deux antécédents sur des faits en Seine-Saint-Denis avec un jugement récent, avec un appel qui a été fait, et un antécédent à Bercy avec des personnes installées dans des tentes et l’individu s’est attaqué à ces personnes. Trois personnes ont été tuées et trois autres blessées ce vendredi à la suite de coups de feu à Paris, rue d’Enghien, dans le Xe arrondissement. Lors de son interpellation, les forces de l’ordre ont mis la main sur l’arme qui lui a servi à tirer.
Les faits se sont déroulés rue d'Enghien, dans le Xe arrondissement, au centre de la capitale. L'homme interpellé "serait âgé d'une soixantaine d'années", selon ...
Selon un autre témoin, un habitant du quartier qui passait dans la rue et interrogé par l'AFP, "il y avait des gens en panique qui criaient à des policiers : 'il est là, il est là, avancez' en désignant un salon de coiffure". En déplacement dans le Nord, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a indiqué sur Twitter qu'il rentrait à Paris "à la suite de la dramatique fusillade qui s'est déroulée ce matin". A la suite de la dramatique fusillade qui s'est déroulée ce matin, je rentre à Paris et me rendrai sur place. Présente sur les lieux, la maire du Xe arrondissement, Alexandra Cordebard, a affirmé devant la presse que "le meurtrier, lui-même (blessé et) en urgence relative, a été conduit à l'hôpital". Selon deux sources policières, cet homme, un conducteur de train à la retraite de nationalité française et âgé de 69 ans, est connu pour deux tentatives d'homicide commises en 2016 et décembre 2021. Les faits se sont déroulés rue d'Enghien, au niveau d'un centre culturel kurde, dans un quartier commerçant et animé et notamment prisé de la communauté kurde.
Plusieurs coups de feu ont été tirés dans une rue du 10e arrondissement de Paris ce vendredi matin. Deux personnes ont été tuées, deux autres sont ...
Pensées pour les victimes et les témoins de ce drame", écrit l'élu. "Cinq minutes après on est allé dans le salon de coiffure (...) et on a vu qu'ils arrêtaient un homme assez âgé et qu'il y avait des blessés". Toutes mes pensées vont aux proches des victime", écrit le Ministre de l'Intérieur sur Twitter. "Le meurtrier, lui-même (blessé et) en urgence relative, a été conduit à l'hôpital", a affirmé sur place la maire du Xe arrondissement, Alexandra Cordebard. Trois personnes ont été tuées et quatre blessées, selon le parquet de Paris contacté par Plusieurs coups de feu ont été tirés dans une rue du 10e arrondissement de Paris ce vendredi matin.
Un homme d'une soixantaine d'années a tiré plusieurs coups de feu ce vendredi matin dans le 10e arrondissement de Paris.
Il a indiqué échanger avec la préfecture de police et le parquet "pour comprendre ce qu'il s'est passé". Trois personnes sont mortes et trois autres ont été blessées, ce vendredi matin après qu'un homme a ouvert le feu sur la voie publique, dans le 10e arrondissement de Paris, indique le parquet à l'AFP. Il a été pris en charge par les secours.
Une enquête a été ouverte des chefs d'assassinat, homicides volontaires et violences aggravées. Les investigations ont été pour l'heure confiées à la brigade ...
Selon un autre témoin, un habitant du quartier qui passait dans la rue et interrogé par l'AFP, "il y avait des gens en panique qui criaient à des policiers : 'il est là, il est là, avancez' en désignant un salon de coiffure". "On a vu un vieux monsieur blanc rentrer et tirer dans le centre culturel kurde, puis il est allé dans le salon de coiffure à côté. Un homme a été interpellé, a-t-on appris par le Parquet de Paris.
Dans le 10e arrondissement, un homme a été interpellé après des tirs qui ont fait quatre blessés, dont deux en urgence absolue, ce vendredi.
Le Centre Ahmet Kaya, nommé en hommage au chanteur éponyme, est une association loi 1901 ayant pour objectif de « favoriser l'insertion progressive » de la population kurde installée en Île-de- On est réfugiés dans le restaurant avec les salariés », a témoigné Romain, le directeur adjoint du restaurant Pouliche Paris, dans la rue, joint par téléphone. » « J'ai vu des policiers rentrer dans le salon où j'ai vu deux personnes à terre, blessées aux jambes, j'ai vu le sang », a-t-il ajouté. Sur BFMTV, la maire du 10e arrondissement Alexandra Cordebard a confié que le tireur était blessé, en urgence relative, et qu'il avait visé « le centre communautaire kurde, le restaurant juste en face du centre et chez un coiffeur aussi en face ». « L'auteur est interpellé avec son arme, le danger est écarté, ses motivations sont pour l'instant inconnues », a précisé une source policière, qui ajoute que l'homme est « de type caucasien ». Un suspect, « un homme âgé d'entre 60 et 70 ans, a été interpellé et placé en garde à vue », a-t-il ajouté, précisant que « son identité [était] en cours de fiabilisation ».
[VIDÉO] ▶️ Plusieurs personnes sont décédées ce vendredi à Paris dans une fusillade. Selon les premiers éléments, l'auteur des tirs a été interpellé et ...
- 8 - 6 - 3 - 2 - 1 [Fusillade à Paris : "J'ai entendu plein de coups de feu et j'ai trouvé une douille par terre"](/justice-faits-divers/fusillade-a-paris-j-ai-entendu-plein-de-coups-de-feu-et-j-ai-trouve-une-douille-par-terre-2242861.html)Publié aujourd'hui à 13h19 [Nice : un homme armé, suspecté du meurtre de deux SDF, neutralisé par la police](/justice-faits-divers/nice-un-homme-arme-suspecte-du-meurtre-de-deux-sdf-neutralise-par-la-police-2240743.html)Publié le 4 décembre 2022 à 14h03 [Policier agressé à Cannes : trois interpellations dans l'entourage de l'attaquant](/justice-faits-divers/policier-agresse-a-cannes-devant-un-commissariat-lundi-8-novembre-trois-interpellations-dans-l-entourage-de-l-attaquant-2201353.html)Publié le 9 novembre 2021 à 12h18 [Policier blessé à l’arme blanche à Cannes : qui est l’agresseur ?](/justice-faits-divers/video-policier-blesse-a-l-arme-blanche-a-cannes-qui-est-l-agresseur-2201312.html)Publié le 8 novembre 2021 à 20h00 [Adolescent de 14 ans tué par balles à Marseille : ce que l'on sait du drame](/justice-faits-divers/adolescent-de-14-ans-tue-par-balles-a-marseille-ce-que-l-on-sait-du-drame-un-acte-ignoble-pour-darmanin-2194113.html)Publié le 19 août 2021 à 11h53 [Coups de couteau, traque et échange de tirs... Les faits se sont déroulés dans un quartier commerçant et animé, notamment prisé de la communauté kurde. "Pour l'heure, les investigations ont été confiées au 2e DPJ (Direction régionale de la police judiciaire, NDLR) et à la brigade criminelle", indique-t-il. "Cela concernerait des gens installés dans des tentes", à qui il se serait attaqué, "et venait d'être récemment remis en liberté." Selon des sources concordantes à TF1-LCI, il est de nationalité française et retraité de la SNCF, confirmant une information du Il a été blessé et conduit à l'hôpital en "urgence relative". On est réfugiés dans le restaurant avec les salariés", témoigne de son côté Romain, le directeur adjoint du restaurant Pouliche Paris, dans la rue, joint par l'AFP.
Des tirs ont touché plusieurs personnes, rue d'Enghien, dans le 10e arrondissement à Paris, vendredi 23 décembre. L'auteur présumé a été interpellé.
Avec en tête le triple assassinat de kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), il y a neuf ans, dans le même arrondissement. Un groupe d'une dizaine ...
Mais les parties civiles ont obtenu en 2019 que soient relancées des investigations pour examiner l'implication potentielle des services de renseignement turcs. Des informations qui nous parviennent, cette personne a eu le temps de charger son arme plusieurs fois, il n'y avait pas de sécurité et s'il y en avait, ils n'ont rien pu faire pour les protéger", dit Jihan Akdogan, 30 ans, qui se présente comme "interprète" et "patriote kurde". Il y aurait pu y avoir encore plus de victimes", ajoute la jeune femme. Avec en tête le triple assassinat de kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), il y a neuf ans, dans le même arrondissement. [a tué trois personnes à la mi-journée](https://www.france24.com/fr/france/20221223-au-moins-deux-morts-et-plusieurs-blessés-dans-une-fusillade-à-paris-un-suspect-interpellé), a constaté une journaliste de l'AFP. "Je me suis dit 'Ce n'est pas possible que ça recommence, pas les nôtres'", dit la sœur, Jihan Akdogan.
Un peu plus tôt vendredi, Elisabeth Borne a dénoncé un "acte odieux" et a présenté ses "pensées" et de son "plein soutien aux victimes de la fusillade ...
14h58 : Pensées et plein soutien aux victimes de la fusillade mortelle à Paris et à leurs proches. 14h10 : L'homme interpellé tout à l'heure venait d'être libéré après avoir été détenu pour des faits commis en 2021 à Paris, a expliqué la procureure Laure Beccuau : "Cela concernerait des gens qui étaient installés dans des tentes et l'intéressé se serait attaqué à ces tentes". 15h07 : Stupeur et émotion après la fusillade en plein cœur de Paris qui a coûté la vie à deux personnes et fait plusieurs blessés. 15h07 : Pensées pour les victimes de la terrible fusillade à Paris. 15h29 : Le suspect interpellé s'en était pris avec un sabre à une dizaine de migrants d'un camp situé dans le 12e arrondissement de Paris, en décembre 2021, a appris franceinfo de source proche de l'enquête. Le rendez-vous est fixé à midi sur la place de la République. Le ministre assure que la communauté pourra manifester après cette attaque et pour commémorer les dix ans de l'assassinat de trois militantes kurdes à Paris, en janvier 2012. 16h32 : Le suspect "était tireur dans un club de sport, il avait déclaré de nombreuses armes", révèle également Gérald Darmanin. 17h21 : Cette attaque et l'émotion qu'elle entraîne au sein de la communauté kurde à Paris interviennent également dans le contexte où des frappes de l'armée turque ont visé le Kurdistan irakien et syrien ces dernières semaines. Un peu plus tôt, c'est Elisabeth Borne qui a dénoncé un "acte odieux" et qui a présenté ses "pensées" et de son "plein soutien aux victimes de la fusillade mortelle", ainsi qu'à "leurs proches". 18h17 : La cellule psychologique ouverte à la mairie du 10e arrondissement a déjà accueilli "quelques personnes" cet après-midi, fait savoir Alexandra Cordebard, la maire de l'arrondissement. Des échauffourées éclatent entre des manifestants et les forces de l'ordre.La tension monte, après l'attaque qui a fait trois morts et trois blessés dans le 10e arrondissement de Paris, vendredi.
Les actions menées par Paris depuis plusieurs années pour améliorer la qualité de l'air ne sont efficaces qu'avec un accompagnement au plus proche des ...
Selon le capteur, un code couleur informe les personnes présentes dans la pièce de la qualité de l’air et donc, de la nécessité ou non d'aérer. Le projet est piloté par la Ville de Paris, en partenariat avec la fondation Bloomberg Philanthropies, Airparif, l’association de surveillance de la qualité de l’air à Paris et en Île-de-France, l’association Les petits débrouillards en charge de l'animation et l’UNICEF, en lien avec l’Académie du Climat. Il répond au souhait des Parisiens, formulé lors de l'édition 2019 du budget participatif, de renforcer les actions municipales concernant la qualité de l'air. Tous les établissements scolaires parisiens sont équipés de capteurs de CO2, qui évaluent le renouvellement de l’air intérieur. Les Parisien.ne.s peuvent aussi participer et la Ville les accompagne. Des aides existent également pour l’habitat collectif ou pour les entreprises.
Plusieurs coups de feu ont été tirés rue d'Enghien à Paris. Un premier bilan fait état de trois morts et trois personnes blessées, dont une en urgence ab...
"Ça concernerait des gens qui étaient installés dans des tentes et l'intéressé se serait attaqué à des tentes", a ajouté la procureure précisant qu'une information judiciaire avait été ouverte. Le second antécédent serait "lié à des faits qui se seraient passés du côté de Bercy à Paris". L'auteur des faits a tiré, selon elle, "en direction d'un salon de coiffure". Selon une commerçante d'un immeuble voisin, qui a témoigné auprès de l'Agence France Presse, "sept à huit coups de feu" ont été tirés dans la rue. Ces antécédents concerneraient "des faits en Seine-Saint-Denis où il serait passé récemment en jugement, aurait été condamné, mais à la suite de la condamnation un appel aurait été interjeté par le parquet", a affirmé la procureure de la République de Paris, Laure Beccuau. Le tireur de 69 ans, de nationalité française, a été interpellé et placé en garde à vue.
Est-ce le froid, le calme ou les éclairages festifs à la tombée de la nuit ? Les édifices religieux ne sont jamais aussi beaux et accueillants qu'en hiver.
A l’intérieur, les voilà fascinés par le calme des salles de prière, les fontaines des jardins à l’andalouse, les décorations en stuc et en zellige, les lustres en fer forgé et le bois de cèdre magnifiquement ouvragé. Ouvert de 9 heures à 18 heures, tous les jours, sauf le vendredi et les jours de fêtes musulmanes. Elle est située juste à côté du Jardin des plantes, et il est agréable de s’y rendre avec les enfants après une visite de la Grande Galerie de l’évolution, au Muséum national d’histoire naturelle. Pour se réchauffer à la fin de la visite, un thé à la menthe et des petits gâteaux au salon de thé de la Grande Mosquée raviront les plus petits. Aujourd’hui, Saint-Serge-de-Radonège est un important institut de théologie orthodoxe qui a formé des centaines de prêtres. Nul besoin d’être croyant pour être touché par la grâce de ces lieux.
Des coups de feu dans le centre de Paris, ce vendredi, ont fait au moins trois morts et trois blessés. Le suspect, arrêté et hospitalisé, est connu de la ...
«J’ai vu deux personnes à terre, blessées aux jambes, j’ai vu le sang», a-t-il ajouté décrivant des «gens sous le choc et en panique». «Gratitude envers les policiers de la préfecture de police qui ont interpellé l’auteur présumé» et «aux pompiers de Paris engagés», a poursuivi la cheffe du gouvernement dans un message sur Twitter. Un témoin a affirmé à l’AFP que le tireur présumé aurait pénétré et tiré dans le centre culturel kurde, avant de se rendre dans un salon de coiffure. Face aux inquiétudes exprimées par les Kurdes résidant en France, Gérald Darmanin a annoncé une «réunion au ministère de l’Intérieur» pour évaluer «les menaces éventuelles ou complémentaires» sur la communauté kurde à Paris et sur tout le territoire, a-t-il ajouté. L’élue a indiqué qu’il n’y avait «pas de dispositif particulier autour de ce centre culturel», décrivant un «quartier qui vit en parfaite harmonie depuis des années». Le Conseil démocratique kurde, lui, a appelé sur Twitter «à une grande manifestation demain, samedi, 12 heures, Place de la République» à Paris. La fusillade, ce vendredi, a eu lieu rue d’Enghien, dans le Xe arrondissement de la capitale, à proximité d’un centre culturel kurde. Une information judiciaire avait été ouverte en fin d’année dernière et le suspect avait été libéré «récemment», toujours selon la procureure. Emmanuel Macron a dénoncé une «odieuse attaque» dont «les Kurdes de France ont été la cible». avait été «récemment jugé et condamné» mais le parquet avait fait appel, détaille la procureure de Paris. Appréhendé avec son arme, le suspect de nationalité française est connu de la justice, pour des faits de violence en 2016 et des faits de violence avec préméditation à caractère raciste en 2021. un homme blanc de 69 ans a été interpellé par la police et placé en garde à vue.
Selon le ministre de l'Intérieur, l'homme soupçonné d'avoir tué trois personnes et d'en avoir blessé trois autres vendredi à Paris près d'un centre culturel ...
Néanmoins, dans le cadre de son contrôle judiciaire, il lui était interdit de détenir et de porter une arme. Soupçonné d'être le tireur, il a été interpellé et placé en garde à vue peu après les faits, a déclaré le parquet de Paris. Il a également été placé en détention provisoire. Il avait alors porté des coups de couteau à un autre individu à son domicile. Dans un communiqué, vendredi en fin d'après-midi, elle précise qu'il a été condamné par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) le 29 juin 2017 à six mois d'emprisonnement assortis d'un sursis simple et à une interdiction de détenir ou porter une arme pendant cinq ans. Mais son état de santé a été déclaré compatible avec la garde à vue.
À l'occasion des 40 ans de la mort de Georges Perec est publié son grand projet littéraire inachevé : "Lieux". Denis Cosnard, journaliste et auteur, ...
Perec avait le projet de continuer à rédiger ses textes durant douze ans. "Perec avait choisi douze lieux dans Paris qui lui parlait d'une façon ou d'une autre, et chaque mois, il allait dans un des lieux pour décrire ce qu'il voyait. Dans son ouvrage, Denis Cosnard évoque également le projet littéraire, inachevé, de Georges Perec, intitulé "Lieux", récemment publié à l'occasion des 40 ans de sa mort. Dans son livre "Espèce d'espace" où Perec développe la notion de l'espace en général, tous ses exemples sont parisiens. Marie Sorbier est allée retrouver Denis Cosnard pour redécouvrir avec lui le Paris de Perec. "Dans son roman "La Disparition", écrit sans la lettre la plus fréquente de la langue française, le "e", certains critiques ne s'en sont même pas rendus compte.
Une fusillade a éclaté ce vendredi dans le 10e arrondissement, à proximité d'un centre culturel kurde. Le bilan est de trois morts et trois blessés, ...
De nombreuses personnalités politiques ont également exprimé leur « stupeur », « colère » ou « tristesse » après le drame. « Tristesse et colère devant l’attaque terroriste visant le centre culturel kurde Amet Kaya à Paris », a également déclaré le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon, également sur twitter. Emmanuel Macron a dénoncé une « odieuse attaque » dont « les Kurdes de France ont été la cible ». La Première ministre, Élisabeth Borne, a qualifié d’« acte odieux » cette fusillade au cœur de Paris, en exprimant ses « pensées » et son « plein soutien aux victimes et à leurs proches ». « On est réfugiés dans le restaurant avec les salariés », a témoigné Romain, le directeur adjoint du restaurant Pouliche Paris, dans la rue, joint par téléphone. « Les Kurdes de France ont été la cible d’une odieuse attaque au cœur de Paris. En fin de journée, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants kurdes près du centre culturel où s’est déroulé le drame. « Sept à huit coups de feu dans la rue, c’est la panique totale, on est restés enfermés à l’intérieur », a témoigné une commerçante d’un immeuble voisin souhaitant garder l’anonymat. Les manifestants ont en retour lancé des projectiles dans leur direction, brûlé des poubelles et érigé des barricades dans la rue. [selon Le Parisien](https://www.leparisien.fr/faits-divers/fusillade-a-paris-william-m-un-retraite-taciturne-et-passionne-darmes-qui-avait-deja-essaye-de-tuer-23-12-2022-C32PYWXAUBFZRCZ5PQYSOU523A.php), un conducteur de train à la retraite de nationalité française et âgé de 69 ans, est connu pour deux tentatives d’homicide commises en 2016 et décembre 2021. Si le parquet national antiterroriste et ses services se sont rendus sur les lieux, il n’y a « aucun élément qui privilégierait la nécessité de leur saisine », a indiqué la procureure de Paris, Laure Beccuau. De son côté, Le Conseil Démocratique Kurde en France (CDK-F) a estimé « inadmissible » que la fusillade ne soit pas qualifiée d’attentat terroriste.
Un homme de 69 ans, déjà connu des services de police et de justice, est accusé d'avoir ouvert le feu sur plusieurs personnes rue d'Enghien dans le centre ...
Une cellule d’urgence médico-psychologique a également été mise en place à la mairie du 10e arrondissement, ont annoncé la maire de Paris et son Premier adjoint sur Twitter. Un large périmètre de sécurité a été mis en place et Alexandra Cordebard précise que "le secteur sera sûrement bouclé toute la journée". Au micro de BFMTV, Ali, un autre témoin, explique avoir "entendu deux coups de feu" et que l'individu a "tiré à l'aveugle dans la rue". Les policiers de la brigade criminelle sont chargés d'interroger le suspect et d'évaluer son profil. Peu avant midi, des coups de feu ont eu lieu dans la rue commerçante et fréquentée du 10e arrondissement de Paris. [lors d'une fusillade rue d'Enghien](/paris/paris-plusieurs-blesses-apres-des-coups-de-feu-dans-une-rue-du-xe-arrondissement-le-tireur-interpelle_AN-202212230275.html), dans le 10e arrondissement de Paris.
Trois personnes ont été tuées et trois autres blessées par des coups de feu ce vendredi matin, à proximité d'un centre culturel kurde, ...
16h50 : Des échauffourées éclatent dans les environs de la rue d'Enghien entre des manifestants de la communauté kurde et les forces de l’ordre. 15h55 : À Marseille, plusieurs personnes se sont réunies pour un "rassemblement de solidarité avec les Kurdes", annonce ce vendredi sur Twitter le député La France Insoumise Sébastien Delogu. Le suspect de 69 ans était déjà connu pour "deux antécédents" judiciaires, en 2016 et 2021. 14h46 : La maire du 10e arrondissement affirme aux journalistes que le tireur a visé le centre culturel kurde Ahmet Kaya ainsi qu'un restaurant et un coiffeur situés en face. 17h34 : Dans un communiqué, le parquet de Paris précise que les victimes étaient deux hommes et une femme. "De nombreux membres de la communauté kurde ont souhaité se rassembler pour exprimer leur colère et leur stupéfaction face à ce drame", explique Alexandra Cordebard. Le bilan est désormais de trois morts - deux hommes et une femme - et trois blessés, a affirmé la procureure de Paris, Laure Beccuau. Ces meurtres restent impunis en raison du "refus de la France de lever le secret-défense", souligne l'avocat David Andic. 19h32 : Le chancelier allemand Olaf Scholz dénonce "un acte horrible qui a secoué Paris et la France aujourd'hui". Une personne a été interpellée pour violences contre les forces de l'ordre. Le suspect a été interpellé par les forces de l'ordre, et placé en garde à vue. [Un homme a tiré plusieurs coups de feu ](https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/paris-un-homme-ouvre-le-feu-dans-la-rue-plusieurs-personnes-blessees-7381690), rue d'Enghien, dans le 10e arrondissement de Paris, ce vendredi 23 décembre.
Dans un tweet, Emmanuel Macron a dénoncé une «odieuse attaque» dont «les Kurdes de France ont été la cible». «Pensées aux victimes, aux personnes qui luttent ...
Cinq policiers ont été blessés et une personne a été interpellée pour des violences sur les forces de l'ordre, a indiqué à l'AFP une source policière. Il a par ailleurs été mis en examen en décembre 2021 pour violences avec armes, avec préméditation et à caractère raciste, et dégradations pour des faits commis le 8 décembre 2021 à Paris, selon Laure Beccuau. La procureure de Paris a indiqué que le suspect avait été condamné en juin dernier à douze mois d’emprisonnement pour des faits de violence avec armes commis en 2016. «Taiseux» et «renfermé», le suspect ne «disait rien» et «a dû manigancer (l'attaque) tout seul», a confié son père à l'AFP. «Pensées aux victimes, aux personnes qui luttent pour vivre, à leurs familles et proches», a écrit le chef de l’Etat. Qualifié de «taiseux» et «renfermé», l'homme avait des antécédents de violences racistes.
Les faits se sont déroulés rue d'Enghien, au niveau d'un centre culturel kurde, dans un quartier commerçant et animé et notamment prisé de la communauté kurde.
Selon un autre témoin, un habitant du quartier qui passait dans la rue et interrogé par l'AFP, « il y avait des gens en panique qui criaient à des policiers : 'il est là, il est là, avancez' en désignant un salon de coiffure ». On est réfugiés dans le restaurant avec les salariés », a témoigné Romain, le directeur adjoint du restaurant Pouliche Paris, dans la rue, joint par téléphone. « Stupeur et émotion après la fusillade en plein coeur de Paris », a tweeté la cheffe des députés Rassemblement national Marine Le Pen sur Twitter. « Tristesse et colère devant l'attaque terroriste visant le centre culturel kurde Amet Kaya à Paris », a déclaré le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon, également sur twitter. Pensées et plein soutien aux victimes de la fusillade mortelle à Paris et à leurs proches. « Le meurtrier, lui-même (blessé et) en urgence relative, a été conduit à l'hôpital », a affirmé sur place la maire du Xe arrondissement, Alexandra Cordebard.
Trois personnes sont mortes vendredi 23 décembre 2022 après qu'un homme a ouvert le feu dans le 10e arrondissement de Paris. Il a été interpellé puis placé ...
Il a été interpellé après les faits puis placé en garde à vue. Selon le parquet de Paris, il est sorti de détention provisoire le 12 décembre dernier. Connu des services de police, il a été mis en examen l’année dernière après avoir
Tom Tarsiguel a créé Tableaux Paris il y a deux ans. Des brunchs, planches apéros ou encore des plateaux de fromages beaux à voir et à manger.
« On se différencie en offrant aux clients autre chose que des petites verrines dans des contenant en plastique, on casse les codes de la cuisine française », argue le vingtenaire. C’est alors qu’il importe les concept de « grazing box » et de « grazing table », des compositions où tous les éléments d’un brunch se trouvent dans la même boite, le salé comme le sucré et où l’esthétique prime. Le chef prévoit également d’ouvrir un commerce à Londres, à Genève et à New York. « Les grandes entreprises ont pris la relève sur nos carnets de commande », précise-t-il. Quant aux produits, Tom Tarsiguel l’assure, « ils sont en grande partie issus de France, je choisis le meilleur de nos régions, et d’Europe. Le chef dicte seul la direction artistique de ces tableaux, « je les dresse en fonction d’une couleur ou d’un produit ». Et puis on leur apportait quelque chose de beau qu'ils ne pouvaient plus trouver au restaurant à cause des mesures de restrictions. Alors il quitte le froid de Montréal et passe l’hiver sous le soleil de San Francisco. Le patron ferme deux de ses boutiques et met fin au contrat de Tom Tarsiguel. Après un saut de puce à Paris, il s’installe à Montréal, au Canada, où il officie au Ritz-Carlton. « J’ai commencé à travailler à 15 ans », annonce Tom Tarsiguel en préambule. À l’instar d’un Arcimboldo dont les créations se dégusteraient, il s’inspire des saisons et des produits qu’il choisit minutieusement.
Ce vendredi 23 décembre 2022, aux abords d'un centre communautaire kurde du Xe arrondissement de la capitale, un homme sortant de prison pour une attaque ...
Des accusations qui interviennent presque dix ans jour pour jour après l'assassinat, déjà dans le Xe arrondissement de Paris, de trois militantes kurdes, attribué aux services secrets turcs. Surtout, le 13 décembre 2021, le tireur présumé a été mis en examen dans une autre affaire, pour violences avec arme et à caractère raciste. Il a en effet déjà été condamné en juin dernier à douze mois de prison pour des faits de violence avec arme commis en 2016. Pensées aux victimes, aux personnes qui luttent pour vivre, à leurs familles et proches. C'est dans ce commerce que son périple meurtrier a pris fin, avec son interpellation par les policiers. Peu avant midi vendredi, un homme a ouvert le feu sur la voie publique.
Selon le CDK-F, les victimes seraient toutes des militants kurdes. L'instance a condamné « avec virulence » dans un communiqué, « cette attaque terroriste ...
« Le suspect a voulu s’en prendre à des étrangers », a notamment déclaré le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui s’est rendu sur place dans l’après-midi du 23 décembre. Il était tireur dans un club de sport et possédait « de nombreuses armes » et était sorti de prison depuis quelques jours seulement. Le tireur, un homme de 69 ans inconnu des services de renseignement français, était cependant connu par la justice pour deux tentatives d’homicide commises en 2016 et décembre 2021. L’instance a condamné « avec virulence » dans un communiqué, « cette attaque terroriste infâme qui intervient suite à de multiples menaces proférées par la Turquie, alliée de Daesh. [Paris ](https://actu.fr/paris/)a été le théâtre [d’une fusillade ](https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/fusillade-a-paris-deux-morts-et-plusieurs-blesses-un-homme-interpelle_56160948.html)à la mi-journée vendredi 23 décembre 2022. Si certains, comme Fahd, musulman sunnite « comme la plupart des Kurdes » espèrent qu’il s’agit d’un acte solitaire, beaucoup de regards se tournent vers la Turquie.
Les enquêteurs poursuivent samedi leurs investigations pour déterminer les raisons qui ont poussé un homme de 69 ans, déjà poursuivi pour une agression ...
Le matin des faits, "il n'a rien dit en partant (...) Il est cinglé. Les investigations ont été confiées à la police judiciaire. [De violents incidents ont éclaté avec les forces de l'ordre](https://www.france24.com/fr/france/20221223-fusillade-meurtrière-à-paris-échauffourées-entre-manifestants-kurdes-et-forces-de-l-ordre), et une personne a été interpellée, a indiqué à l'AFP une source policière. Si les raisons de son acte n'ont pas encore été clairement établies, le caractère raciste de son geste ne semble guère faire de doute. Il est fou", a déclaré à l'AFP le père du suspect âgé de 90 ans, le décrivant comme "taiseux" et "renfermé". L'homme "a été interpellé immédiatement après les faits et placé en garde à vue", a indiqué la procureure de Paris Laure Beccuau.
En plein cœur de Paris, vendredi 23 décembre, un homme de 69 ans a ouvert le feu dans une rue prisée de la communauté kurde. Trois personnes sont mortes.
M, le suspect, est un Français de 69 ans déjà connu de la justice et venait d’être libéré de prison. D’abord, dans un centre culturel kurde puis quelques mètres plus loin dans le salon de coiffure ainsi que dans un autre commerce de la même ruelle. Il est blessé à la tête.
Selon la procureure de Paris Laure Beccuau, une enquête a été ouverte pour assassinat, tentative d'assassinat, violences volontaires avec armes et infraction à ...
Après un an en détention provisoire, il a été remis le 12 décembre en liberté, comme l’exige la loi, et placé sous contrôle judiciaire. « Rien ne permet à ce stade d’accréditer une quelconque affiliation de cet homme à un mouvement idéologique extrémiste », a renchéri Laure Beccuau. Il a été condamné en juin dernier à douze mois d’emprisonnement pour des violences avec armes commises en 2016, condamnation dont il a fait appel. Cet homme a par ailleurs été mis en examen pour violences avec armes, avec préméditation et à caractère raciste, et dégradations pour des faits commis le 8 décembre 2021. Selon la procureure de Paris Laure Beccuau, une enquête a été ouverte pour assassinat, tentative d’assassinat, violences volontaires avec armes et infraction à la législation sur les armes. Selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, deux personnes ont été tuées devant le centre culturel kurde Ahmet-Kaya et la troisième dans un restaurant proche.
Un rassemblement de la communuaté kurde a eu lieu vendredi, et un autre est prévu ce samedi en hommage aux victimes de l'attaque.
Il est à craindre que nous soyons parvenus à ce point." [notamment par les déclarations du suspect lors de sa garde à vue](/paris/tuerie-a-paris-le-suspect-se-decrit-comme-raciste-devant-les-forces-de-l-ordre_AN-202212230544.html). "C'est inadmissible que des personnes soient assassinées comme cela en plein milieu de Paris." Les personnes rassemblées ont dit à plusieurs reprises leur colère après le drame, faisant le lien entre cette attaque et les meurtres de trois militantes kurdes en janvier 2013. [un communiqué, le président de SOS Racisme Dominique Soppo](https://twitter.com/SOS_Racisme/status/1606310914231357440) a lui dénoncé "une ambiance de racisme de plus en plus décomplexé et violent, des passages à l’acte de rue des groupuscules d’extrême-droite de plus en plus fréquents et à effet excitatif" en France. Les faits ont eu lieu rue d'Enghien, au niveau d'un centre culturel kurde, dans un quartier commerçant animé et prisé de la communauté kurde.
La mort de trois membres de la communauté kurde à Paris, vendredi 23 décembre 2022, fait tristement écho à l'assassinat en 2013 de trois militantes du PKK.
[tueur](https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/fusillade-a-paris-ce-que-l-on-sait-du-tireur-qui-a-fait-trois-morts-et-plusieurs-blesses_56166513.html), qui semble avoir agi seul, ne sont pas encore connues. [Thomas Martin](/auteur/thomas-martin)Publié le [La fusillade](https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/fusillade-a-paris-deux-morts-et-plusieurs-blesses-un-homme-interpelle_56160948.html) qui a fait trois morts dans le 10ème arrondissement de Paris, vendredi 23 décembre 2022, a eu lieu alors que la communauté kurde, touchée dans sa chair, s’apprêtait à commémorer l’anniversaire de la mort de trois militantes, assassinée dans le même arrondissement de la capitale dans la nuit du 9 au 10 janvier 2013. Les corps de Fidan Doğan, Sakine Cansız, cofondatrice du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), et Leyla Söylemez, toutes trois militantes kurdes, avaient été découverts à Paris, dans les locaux du Centre d’information sur le Kurdistan au 147 rue La Fayette, visiblement exécutées, chacune de plusieurs balles dans la tête.
Trois personnes sont mortes et trois autres ont été blessées vendredi, après des coups de feu tirés dans le 10e arrondissement de Paris, devant un centre ...
10h38 : Lorsque l'homme a tiré hier sur des clients d'un salon de coiffure de la rue d'Enghien, dans le 10e arrondissement de Paris, ils ont fait preuve de sang-froid et sont parvenus à le maîtriser. Le président de la République a également adressé ses "pensées aux victimes, aux personnes qui luttent pour vivre, à leurs familles et proches." "Nous sommes endeuillés et en colère" a déclaré ce matin sur franceinfo Agit Polat, porte-parole de la communauté kurde, qui fera partie des interlocuteurs présents. 10h58 : "Je lui demande le motif de ses actes, et il m'indique qu'il est raciste", relate le policier qui a interpellé le principal suspect de l'attaque mortelle dans le 10e arrondissement de Paris dans le procès-verbal que David Di Giacomo, journaliste à franceinfo, a pu consulter. Une minute de silence a été observée, en musique, à la mémoire des victimes et de "tous les Kurdes morts pour la liberté". La garde à vue du suspect de l'attaque par arme à feu qui a fait trois morts et trois blessés vendredi dans le 10e arrondissement de Paris a été prolongée et le mobile raciste a été retenu par l'enquête, a annoncé le parquet de Paris, samedi 24 décembre. 11h25 : Bonjour Il faut attendre la suite de l'enquête pour savoir s'il a pu se procurer des armes à sa sortie de prison, et comment. Il avait été mis en examen pour "violences à caractère raciste" et pour ces faits "la détention provisoire est au maximum d'un an", rappelle Ludovic Friat, président de l'Union syndicale des magistrats (USM) sur franceinfo. 13h17 : Plusieurs centaines de personnes sont réunies depuis une heure environ place de la République à Paris pour rendre hommage aux trois Kurdes tués et aux trois autres blessés hier par les tirs d'un homme de 69 ans près d'un centre culturel kurde. "L'ajout de cette circonstance ne modifie pas la peine maximale encourue, qui demeure la réclusion criminelle à perpétuité", précise le parquet. "Nous sommes endeuillés et en colère" a déclaré samedi matin sur franceinfo Agit Polat, porte-parole de la communauté kurde, qui fera partie des interlocuteurs présents. Dans la foule, de nombreux manifestants agitent des drapeaux du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) ou à l'effigie de trois militantes kurdes assassinées en janvier 2013 à Paris.
Un homme de 69 ans, déjà poursuivi pour une agression raciste, à ouvrir le feu vendredi à Paris, près d'un centre culturel kurde, faisant trois morts et ...
Selon le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, qui s'est rendu sur place dans l'après-midi, deux personnes ont été tuées devant le centre culturel kurde Ahmet-Kaya et la troisième dans un restaurant proche. Le préfet de police de Paris va recevoir "les responsables de la communauté kurde le samedi 24 décembre à 10 heures", écrit la préfecture dans un communiqué. Peu avant midi vendredi, rue d'Enghien, dans le Xe arrondissement de la capitale, un homme de 69 ans a fait usage de son arme à plusieurs reprises. Une enquête a été ouverte pour assassinat, tentative d'assassinat, violences volontaires avec armes et infraction à la législations sur les armes. La piste d'un attentat terroriste a, elle, été écartée à ce stade des investigations, selon la procureure. "L'heure et le jour de l'attaque n'est pas anodin. "Nous sommes non seulement des militants pour la cause kurde, mais nous sommes aussi des franco-kurdes ou des réfugiés politiques" et "cette protection nous est due". Sur place, les personnes ont dit à plusieurs reprises leur colère après le drame, faisant le lien entre cette attaque et les meurtres de trois militantes kurdes en janvier 2013. "C'est inadmissible que des personnes soient assassinées comme cela en plein milieu de Paris." Les militants de la France insoumise (LFI) ont fait savoir qu'ils participeraient au rassemblement. Pour rappel, le suspect arrêté hier par les forces de l'ordre est de nationalité française. Les forces de l'ordre ont essuyé des tirs de projectile, notamment du mobilier urbain, et ont riposté avec des gaz lacrymogènes.
L'homme de 69 ans a ouvert le feu, vendredi 23 décembre, au niveau d'un centre culturel kurde. Il a tué trois personnes et en a blessé tout autant.
« Il n'est pas sûr que le tueur qui a voulu assassiner ces personnes […] l'ait fait spécifiquement parce qu'elles étaient des Kurdes », avait-il souligné, alors que des rumeurs d'attaque « politique » étaient relayées par la communauté kurde. Il a « voulu s'en prendre à des étrangers » et a « manifestement agi seul », avait estimé le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, lors d'un point presse, vendredi, sur les lieux. Elle avait fait une demande d'asile politique qui avait été « rejetée par les autorités françaises », a précisé vendredi devant la presse le porte-parole du mouvement, Agit Polat. [Le suspect](https://www.lepoint.fr/faits-divers/coups-de-feu-a-paris-ce-que-l-on-sait-du-tireur-presume-23-12-2022-2502699_2627.php), un conducteur de train à la retraite de nationalité française, a fait usage de son arme à plusieurs reprises. « L'ajout de cette circonstance ne modifie pas la peine maximale encourue, qui demeure la réclusion criminelle à perpétuité », a précisé le parquet. [la fusillade qui a endeuillé la rue d'Enghien](https://www.lepoint.fr/societe/paris-plusieurs-blesses-apres-des-coups-de-feu-un-homme-interpelle-23-12-2022-2502695_23.php), dans le 10e arrondissement de [Paris](/tags/paris), vendredi 23 décembre, se confirme.
Une grande manifestation est organisée ce samedi à Paris, au lendemain de la mort de trois personnes dans le 10e arrondissement.
Un peu plus tôt dans la matinée, des représentants de la communauté kurde ont été reçus par le préfet de police de Paris, Laurent Nunez. Plus tôt, le préfet de police de Paris a reçu des représentants de la communauté kurde. Le suspect est inconnu des fichiers du renseignement territorial et de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Dans la foule, de nombreux manifestants agitent des drapeaux du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) ou à l'effigie de trois militantes kurdes assassinées en janvier 2013 à Paris. Il était prévu de longue date pour commémorer le triple assassinat de militantes Kurdes du PKK il y a 10 ans, à Paris. "L'ajout de cette circonstance ne modifie pas la peine maximale encourue, qui demeure la réclusion criminelle à perpétuité", a précisé le parquet. Au lendemain de l'attaque qui a coûté la vie à deux hommes et une femme près d'un centre culturel kurde dans le 10e arrondissement de Paris, on apprend que le tireur, en garde à vue, a reconnu qu'il voulait s'en prendre à la communauté kurde. , grâce à une "carte SNCF". Le mobile raciste est retenu par l'enquête, indique ce samedi midi le parquet de Paris. Le parquet de Paris retient le caractère raciste de l'attaque. Le mobile raciste est retenu dans l'enquête sur les tirs mortels qui ont fait trois morts, vendredi dans le 10e arrondissement de Paris, devant un centre culturel kurde. Plusieurs centaines de personnes se sont réunies à Paris.
EN IMAGES - Au lendemain de la tuerie dans le 10e arrondissement de Paris, la communauté kurde, visée par l'assaillant de 69 ans, rend hommage aux trois ...
Une minute de silence a été observée, en musique, à la mémoire des victimes et de «tous les Kurdes morts pour la liberté». «Il semble que les assassins aient une prédilection pour attaquer les femmes kurdes», a déploré Jean-Luc Mélenchon, présent au centre culturel kurde le soir de l'attaque. La manifestation est organisée par le Conseil démocratique kurde en France qui «condamne avec virulence cette attaque terroriste infâme qui intervient suite à de multiples menaces proférées par la Turquie, alliée de Daesh».
Des heurts ont éclaté à Paris ce samedi 24 décembre lors de la manifestation en soutien à la communauté kurde.
Un peu plus tôt dans la matinée, des représentants de la communauté kurde avaient été reçus par le préfet de police de Paris, Laurent Nunez. Plusieurs manifestants ont dénoncé auprès de l'AFP une "injustice" et un acte "terroriste" et "politique". Dans la foule, de nombreux manifestants agitaient des drapeaux du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) ou à l'effigie de trois militantes kurdes assassinées en janvier 2013 à Paris.
Plusieurs manifestants présents samedi place de la République ont renversé des voitures et brûlé des poubelles après la fusillade à Paris.
Dans les minutes qui ont suivi l'attaque, les Kurdes de France ont évoqué un acte « terroriste » et mis en cause la Plusieurs manifestants présents samedi ont dénoncé auprès de l'AFP une « injustice » et un acte « terroriste » et « politique ». Une minute de silence a été observée, en musique, à la mémoire des victimes et de « tous les Kurdes morts pour la liberté ». Au moins quatre voitures ont été renversées, dont au moins une incendiée, et des poubelles brûlées sur le boulevard du Temple, près de la place de la République. [À LIRE AUSSIUn climat de violence en France](https://www.lepoint.fr/politique/un-climat-de-violence-en-france-16-02-2022-2465150_20.php) « Ce qu'on ressent, c'est de la peine et de l'incompréhension parce que ce n'est pas la première fois que ça arrive », a déclaré à l'AFP Esra, une étudiante de 23 ans qui n'a pas souhaité donner son patronyme, les yeux rougis par les larmes.
Les manifestants disent leur colère et leurs suspicions sur la responsabilité de l'Etat turc, contre qui ils sont en guerre, alors que l'assaillant présumé a ...
[Abdullah Ocalan](https://www.liberation.fr/planete/1995/04/11/abdullah-ocalan_130512/). Le centre culturel où l’attaque a eu lieu en était une vitrine légale. «Suite à l’attentat terroriste perpétré contre notre siège aujourd’hui, […] nous appelons à une grande manifestation demain, samedi, 12 heures, place de la République [à] Paris.» Au lendemain de l’attaque de la rue d’Enghien (Xe arrondissement), au cours de laquelle trois Kurdes ont été tués par arme à feu et trois autres blessés dont un grièvement, à proximité d’un centre culturel kurde, la colère de la communauté ne faiblit pas.
La communauté kurde manifestait samedi à Paris sur la place de la République, au lendemain de la fusillade meurtrière qui a eu lieu rue d'Enghien, ...
"Vive la résistance du peuple kurde", ont crié plusieurs d'entre eux. "Nul doute pour nous que ce sont des assassinats politiques. Au moins quatre voitures ont été renversées, dont au moins une incendiée, et des poubelles brûlées. Une minute de silence a été observée, en musique, à la mémoire des victimes et de "tous les Kurdes morts pour la liberté". Des heurts ont éclaté entre manifestants et forces de l'ordre en marge de la manifestation qui réunissait samedi 24 décembre plusieurs milliers de personnes à Paris pour rendre hommage Des heurts à Paris en marge de la manifestation en hommage aux Kurdes tués la veille
Alors que le rassemblement sur la place de la République s'est déroulée dans le calme, des échauffourées ont éclaté sur le boulevard du Temple.
Il était normalement prévu que l'ensemble du cortège s'élance vers la place de la Bastille, point d'arrivée de la manifestation. Adrien Portron, journaliste présent sur place pour BFMTV, décrit des "scènes de chaos". Des bagarres auraient éclaté, selon les reporters de BFMTV présents sur place.
Dans la foule, de nombreux manifestants agitaient des drapeaux du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) ou à l'effigie des trois militantes kurdes ...
[La communauté kurde sous le choc et en colère après la tuerie de la rue d’Enghien](https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/12/24/la-communaute-kurde-sous-le-choc-et-en-colere-apres-la-tuerie-de-la-rue-d-enghien_6155566_3224.html) [le parquet a fait savoir que le mobile raciste avait été retenu dans l’enquête](https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/12/24/kurdes-tues-a-paris-le-mobile-raciste-du-tireur-retenu-dans-l-enquete_6155606_3224.html) qui va tenter de faire la lumière sur les raisons qui ont poussé un Français de 69 ans à ouvrir le feu, vendredi matin, rue d’Enghien à Paris, dans le 10e arrondissement. Plusieurs manifestants ont dénoncé une « injustice » et un acte « terroriste » et « politique ». Un peu plus tôt dans la matinée, des représentants de la communauté kurde avaient été reçus par Laurent Nunez. Quelques dizaines de manifestants ont jeté des projectiles sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogènes, aux cris de « Vive la résistance du peuple kurde ». Dans la foule, de nombreux manifestants agitaient des drapeaux du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) ou à l’effigie des trois militantes kurdes assassinées en janvier 2013 à Paris.
Des violences ont éclaté ce samedi 24 décembre 2022 à Paris en marge de la manifestation kurde au lendemain de la fusillade mortelle qui a endeuillé la ...
Elle avait fait une demande d’asile politique « rejetée par les autorités françaises », a précisé vendredi devant la presse le porte-parole du mouvement, Agit Polat. Il a par ailleurs lancé un appel « solennel » aux autorités française et au président de la République : « Nous avons besoin d’une volonté politique, claire et nette de la part de la France. Le drapeau kurde a par ailleurs été hissé sur le fronton de la mairie. « Encore une fois la communauté kurde a été meurtrie dans ce même 10e arrondissement », a-t-il déclaré faisant référence au triple assassinat de militantes kurdes le 9 janvier 2013 à quelques rues de là. Alors que le caractère terroriste n’a pas été retenu par les autorités, Agit Polat a fait part de son indignation : « Nous sommes indignés face à cette situation. Les forces de l’ordre ont été l’objet de jets de projectiles et ont répliqué avec des gaz lacrymogènes.
En marge de la manifestation organisée au lendemain de l'attaque contre des membres de la communauté kurde, des affrontements ont eu lieu avec les forces de ...
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La communauté kurde et ses soutiens se sont réunis samedi place de la République à Paris pour réclamer vérité et justice, au lendemain d'une attaque ayant ...
[des heurts ont éclaté en marge du rassemblement,](https://www.france24.com/fr/france/20221224-des-heurts-à-paris-en-marge-de-la-manifestation-en-hommage-aux-kurdes-tués-la-veille) et la police a fait usage de gaz lacrymogène pour disperser des personnes qui dégradaient du mobilier urbain dans les rues adjacentes. "Le gouvernement français ne nous protège pas, dénonce Konak, franco-kurde de 37 ans. "On veut que cet acte soit reconnu comme terroriste et que la lumière soit faite entièrement sur les motivations du tireur, estime la jeune femme, venue avec sa famille et ses amis au rassemblement depuis le Val-d'Oise, en Île-de-France. [bien que le mobile raciste de l’acte ait été retenu par l'enquête](https://www.france24.com/fr/france/20221224-après-l-attaque-contre-des-kurdes-à-paris-l-enquête-se-poursuit). Vous êtes chez vous !" Mais sur l’estrade, des discours en kurde et en français se succèdent, et appellent à une enquête approfondie. De la tristesse et de la colère, des larmes et des visages fermés. "Je suis là car j’ai mal au cœur, et parce que je suis en colère", confie-t-il. "On est là aujourd’hui pour commémorer nos camarades tombés hier et pour réclamer la justice. Je suis là pour montrer que nous sommes soudés, et que nous répondrons toujours présents." "C’est important pour nous de nous réunir, d’amener nos enfants, alors que nous sommes encore une fois visés. Sur la place de la République noire de monde et hérissée de drapeaux, des centaines de personnes criaient samedi 24 décembre en kurde "Les martyrs ne meurent jamais" et "vérité et justice".
Le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a reçu samedi matin des responsables de la communauté kurde. La piste d'un attentat terroriste a été écartée à ce ...
Dans la foule, de nombreux manifestants agitaient des drapeaux du PKK ou à l’effigie des trois militantes kurdes [« A la une »Chaque matin, parcourez l’essentiel de l’actualité du jour avec les derniers titres du « Monde »S’inscrire](https://www.lemonde.fr/newsletters/a-la-une/?origin=inread) Au moins quatre voitures ont été renversées, dont au moins une incendiée, et des poubelles brûlées sur le boulevard du Temple, près de la place de la République. La piste d’un attentat terroriste a été écartée à ce stade des investigations, suscitant l’incompréhension et la colère du CDKF. Le suspect est inconnu des fichiers du renseignement territorial et de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), et M. Le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a reçu samedi matin des responsables de la communauté kurde. Le suspect, âgé de 69 ans, est un conducteur de train à la retraite de nationalité française. Le 8 décembre 2021, il est soupçonné de s’être rendu avec un sabre dans un camp occupé par des migrants, situé dans le 12e arrondissement de Paris. Blessé au visage lors de sa neutralisation, le suspect a aussitôt été placé en garde à vue. « La mesure de garde à vue a donc été levée dans l’attente de sa présentation devant un juge d’instruction lorsque son état de santé le permettra », a-t-il ajouté, précisant que les investigations se poursuivaient. L’homme a été hospitalisé à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police, a-t-on précisé de même source. Plus tôt dans la journée, le parquet avait annoncé que le mobile raciste avait été ajouté à l’enquête.
Une femme et deux hommes ont été tués lors de la fusillade de la rue d'Enghien à Paris, vendredi 23 décembre 2022.
Un mobile retenu par le parquet de Paris dans le cadre de la garde à vue prolongée ce samedi 24 décembre en fin de matinée. Elle avait fait une demande d’asile politique « rejetée par les autorités françaises », a précisé vendredi devant la presse le porte-parole du mouvement, Agit Polat. La piste d’un attentat terroriste a, été écartée à ce stade des investigations, a précisé de son côté la procureure de Paris Laure Beccuau.
Une femme et deux hommes ont été tués, vendredi, près du centre culturel kurde Ahmet-Kaya, dans le 10e arrondissement de Paris.
«Il a fait face à un procès, un emprisonnement, il a dû se réfugier en France, il était réfugié politique.» «C’est une répétition de l’histoire», a déploré, samedi, Agit Polat, porte-parole du CDKF, après s’être entretenu avec le préfet de police Laurent Nunez. La troisième victime, Abdulrahman Kizil, était un habitué du centre culturel Ahmet-Kaya. La première victime, Emine Kara, était la responsable du mouvement de femmes kurdes en France. Alors que les Kurdes s’apprêtaient à commémorer la mort de trois militantes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), tuées en 2013, un nouveau drame a fait écho à cette tragédie. La deuxième victime décédée, Mir Perwer, était «un artiste kurde exilé en France», a déclaré Berivan Firat.
PORTRAITS - Plusieurs centaines de personnes se sont réunies place de la République à Paris au lendemain de l'attaque du 23 décembre pour rendre hommage aux ...
Raison pour laquelle il a dû se réfugier en France, sous la protection de l'asile politique, après avoir affronté un procès puis un séjour en prison pour contestation au pouvoir turc. Il était dans toutes les actions, les manifestations kurdes», se souvient Berivan Firat. C'est aussi une femme qui a combattu pour la protection de la France. Avec ses cheveux bruns et son air très décidé, Emine Kara était «responsable du mouvement des femmes kurdes en France», selon Agit Polat, porte-parole de l'association Conseil Démocratique Kurde en France. Elle a combattu dans le nord et l'est de la Syrie (notamment dans l'offensive de Rakka, NDLR). Pour Agit Polat, elle «avait une certaine responsabilité plus large à l'échelle du mouvement des femmes kurdes du monde entier.
L'assaillant armé d'un pistolet et d'une mallette contenant plusieurs munitions, a ouvert le feu rue d'Enghien, touchant alors le Centre culturel kurde, un ...
Il a brièvement été blessé au visage lors de son interpellation et placé en garde à vue. Cinq-six minutes après, on est rentré dans le salon de coiffure », a confié un passant à l’antenne de BMFTV. Les passants se sont réfugiés dans les différents commerces de la rue afin de se mettre à l’abri des balles.
Il avait été activé le 12 décembre dernier et permis l'ouverture de "1500 places d'hébergement d'urgence supplémentaires en Île-de-France, dont 400 au bénéfice ...
Cette levée intervient alors que des maires et élus de gauche ont alerté sur le sort des enfants à la rue. Il avait été activé le 12 décembre dernier et permis l'ouverture de "1500 places d'hébergement d'urgence supplémentaires en Île-de-France, dont 400 au bénéfice du SIAO (le 115, ndlr) de Paris". Le plan permet l'ouverture de places supplémentaires pour loger des sans-abris.