Charles Sobhraj

Emprisonné depuis 2003 à Katmandou, où il a été condamné à perpétuité pour deux meurtres, le tueur français pourrait être libéré pour des raisons de santé.

Libéré en 1997, il s'est retiré à Paris mais a refait surface en 2003 au Népal, où il a été repéré dans le quartier touristique de Katmandou et arrêté. Il a été arrêté en Inde en 1976, après la mort par empoisonnement d'un touriste français dans un hôtel de Delhi, et a été condamné à 12 ans de prison pour meurtre. La Cour suprême a estimé que Charles Sobhraj, 78 ans, emprisonné dans la république himalayenne depuis 2003 pour le meurtre de deux touristes nord-américains, devait être libéré pour des raisons de santé, selon une copie du verdict consultée par l' [AFP](/tags/afp).

La plus haute juridiction du Népal a ordonné la libération, pour raisons de santé, du tueur en série français qui avait écumé l'Asie.

Avant d'être surnommé « le Serpent », il fut connu sous l'étiquette de « Bikini Killer », en raison de la tenue vestimentaire portée par plusieurs de ses victimes, dont les corps ont été retrouvés sur des plages asiatiques. Il s'attache la loyauté de bon nombre de ses victimes en les aidant à s'extirper de situations difficiles. Il fuit en Afghanistan, en Turquie et en Grèce, utilisant les passeports de ses victimes, et multiplie les escales dans les prisons et tribunaux locaux. Le beau parleur suit toujours le même mode opératoire : après avoir mis en confiance ses proies, il les drogue et les déleste de leur portefeuille. La plus haute juridiction de la république himalayenne a ordonné mercredi la libération de celui qu'on surnomme « le Serpent » pour sa remarquable habileté à échapper à la police. Responsable d'une série de meurtres à travers l'Asie dans les années 1970, Sobhraj avait effectué un premier séjour en prison en Inde, entre 1976 et 1997.

Emprisonné au Népal depuis 18 ans, le serial killer Charles Sobhraj, connu comme le protagoniste de la série Netflix Le Serpent, va être libéré pour raisons ...

L’année suivante, un tribunal l’a condamné à la prison à vie pour avoir tué la touriste américaine Connie Jo Bronzich en 1975. Ses victimes étaient étranglées, battues ou brûlées, et il utilisait souvent les passeports de ses victimes masculines pour se rendre à sa prochaine destination. Après une enfance troublée et plusieurs séjours en prison en France pour des délits mineurs, Sobhraj a commencé à parcourir le monde au début des années 1970 et s’est retrouvé dans la capitale thaïlandaise, Bangkok.

"Le maintenir continuellement en prison n'est pas conforme aux droits humains du prisonnier", peut-on lire dans la copie du verdict consultée par l'AFP. "S'il n ...

L'année suivante, un tribunal le condamne à la prison à vie pour avoir tué la touriste américaine Connie Jo Bronzich en 1975. Un surnom devenu le titre d'une série à succès réalisée par la BBC et Netflix, qui s'inspire de sa vie et où l'acteur franco-algérien Tahar Rahim incarne le serial killer. Il passe finalement 21 ans en prison, avec une brève pause en 1986 lorsqu'il s'échappe avant d'être à nouveau arrêté dans l'État côtier indien de Goa. Il devra d'abord comparaître devant un tribunal pour des formalités administratives avant de pouvoir sortir librement, a ajouté le responsable. "Le maintenir continuellement en prison n'est pas conforme aux droits humains du prisonnier", peut-on lire dans la copie du verdict consultée par l'AFP. L'homme de 78 ans a besoin d'une opération à cœur ouvert, selon le tribunal.

La plus haute juridiction du Népal demande la libération sous quinze jours de Charles Sobhraj, responsable d'une vingtaine de meurtres dans les années 70.

Dix ans plus tard, il a également été reconnu coupable du meurtre de la compagne canadienne de Mme Bronzich. Sobhraj a finalement passé 21 ans en prison, avec une brève pause en 1986 lorsqu’il s’est échappé avant d’être à nouveau arrêté dans l’État côtier indien de Goa. Après une enfance troublée et plusieurs séjours en prison en France pour des délits mineurs, Sobhraj, voyage avec sa compagne Marie-Andrée Leclerc (incarnée par Jenna Coleman), à travers la Thaïlande, le Népal et l’Inde entre 1975 et 1976, commettant en chemin une série de crimes sur le « Hippie Trail » asiatique. Se lier d’amitié avec ses victimes, souvent des routards occidentaux en quête de spiritualité, avant de les droguer, de les voler et de les assassiner. Ce [tueur en série](https://www.huffingtonpost.fr/justice/article/les-pires-tueurs-en-serie-francais_145197.html) français est l’auteur de nombreux meurtres de touristes en Asie du Sud-Est dans les années 1970. « S’il n’y a pas d’autres affaires en cours contre lui pour le maintenir en prison, cette cour ordonne sa libération aujourd’hui et (...) le retour dans son pays dans les quinze jours.

Meurtrier en série dans plusieurs pays d'Asie dans les années 1970, le Français Charles Sobhraj va être libéré de sa prison au Népal, selon une décision de ...

Avec l’acteur vedette Tahar Rahim dans le rôle de Charles Sobhraj, la série a rencontré un franc succès sur la plateforme de streaming américaine. Se faisant passer pour un vendeur de pierres précieuses expatrié en Asie, il droguait ses victimes, avant de les détrousser et de les tuer, le plus souvent en les brûlant. Incarcéré dans une prison indienne, « le serpent » avait organisé son évasion peu de temps avant sa libération, afin d’éviter un mandat d’extradition vers la Thaïlande. Surnommé « le serpent », la vie de ce criminel notoire a été dépeinte dans une série à succès sur Netflix. Le tueur en série français, d’origine indienne et vietnamienne, est emprisonné dans la république himalayenne depuis 2003 pour le meurtre de deux touristes nord-américains. Alors qu’il risquait la prison à perpétuité, il avait été condamné à douze ans de prison.

Ce Français, qui vient de purger près de 20 ans de prison au Népal, va être libéré ce jeudi en raison de problèmes de santé Surnommé « le Serpent », le ...

L’habileté du tueur à disparaître lui vaut d’être surnommé « le Serpent ». « Il empoisonne des gens pour les voler », lui confie le jeune homme « terrifié ». Sobhraj était « froid, arrogant, mais c’était une belle gueule », selon un témoin cité dans l’ouvrage. En outre, Sobhraj a été accusé d’avoir tué, dans les années 1970, plus d’une dizaine de jeunes routards en Inde et en Thaïlande où il avait été surnommé « the Bikini Killer » par la presse, après le meurtre d’une Américaine. Entre voisins, on n’a pas tardé à se fréquenter », racontait-elle en 2021. Il avait été condamné à la prison à vie pour les meurtres de la jeune touriste américaine Connie Joe Bronzich et de son ami canadien Laurent Carrière en 1975.

Ses crimes ont fasciné des millions de téléspectateurs sur Netflix. Enfermé depuis près de vingt ans au Népal, le tueur en série français Charles Sobhraj, ...

En 2008, en prison il a épousé la fille de son avocat népalais, de 44 ans sa cadette. Sobhraj sera probablement libéré aujourd'hui, et de retour en France sous quinze jours. Etranglées, battues ou brûlées, il utilisait leur passeports pour échapper à la justice, d'où son surnom "le serpent". Enfermé depuis près de vingt ans au Népal, le tueur en série français Charles Sobhraj, surnommé "Le serpent", va sortir de prison. En 1975, il débarque à Bangkok avec une Canadienne. Il est soupçonné d'avoir tué une trentaine de touristes à travers toute l'Asie.

"Il avait déjà purgé 95% de sa peine de prison et aurait dû être libéré plus tôt encore en raison de son âge", a déclaré l'avocat de Sobhraj, Ram Bandhu Sharma, ...

Après sa libération, Charles Sobhraj retourne en France, mais en 2003, il est arrêté dans un casino de Katmandou, lors d’un voyage au Népal, où il se sait pourtant recherché. Il a commencé à parcourir le monde au début des années 1970. Mis à jour le 22/12/2022 à 04:51

Charles Sobhraj est lié à une vingtaine de meurtres, principalement en Thaïlande, au Népal et en Inde dans les années 1970. Il sera extradé vers la France.

[Népal](https://www.20minutes.fr/monde/nepal/), où il a été repéré dans le quartier touristique de Katmandou et arrêté. Sobhraj a finalement passé 21 ans en prison, avec une brève pause en 1986 lorsqu’il s’est échappé avant d’être à nouveau arrêté dans l’État côtier indien de Goa. [Népal ](https://www.20minutes.fr/monde/nepal/)a ordonné la libération du [tueur en série français âgé de 78 ans](https://www.20minutes.fr/monde/586629-20100728-charles-sobhraj-serial-killer-francais-ensanglante-sous-continent-indien), responsable d’une série de meurtres à travers l’ [Asie](https://www.20minutes.fr/dossier/asie) dans les années 1970. La Cour suprême a estimé que le Français, dépeint dans la série [Netflix](https://www.20minutes.fr/dossier/netflix) Le Serpent, [emprisonné dans la république himalayenne depuis 2003](https://www.20minutes.fr/societe/1275881-20140119-20140119-principaux-cas-francais-detenus-a-etranger) pour le meurtre de deux touristes nord-américains, devait être libéré pour des raisons de santé. Ses victimes étaient étranglées, battues ou brûlées, et il utilisait souvent les passeports de ses victimes masculines pour se rendre à sa prochaine destination. « Le maintenir continuellement en prison n’est pas conforme aux droits humains du prisonnier », écrivent les magistrats dans le document.

Le tueur en série français Charles Sobhraj, qui a commis plusieurs meurtres à travers l'Asie dans les années 1970 et a inspiré la série Netflix "Le...

"Je n'ai pas de sentiments envers lui maintenant que cela fait si longtemps", a déclaré Suthimai, 90 ans. Dix ans plus tard, il a aussi été reconnu coupable du meurtre du compagnon canadien de Mme Bronzich. Le tribunal a ordonné qu'il soit expulsé dans les 15 jours.

La Cour suprême du pays a ordonné sa libération pour des raisons de santé. Il avait été condamné en 2003 pour le meurtre de deux touristes.

Libéré en 1997, il est retourné à Paris mais a refait surface en 2003 au Népal, où il a été repéré dans le quartier touristique de Katmandou et arrêté. Derrière les barreaux, Charles Sobhraj a maintenu son innocence face aux deux meurtres et a affirmé qu'il n'était jamais allé au Népal avant le voyage qui a conduit à son arrestation. Celle-ci en a décidé ainsi en raison des problèmes de santé du détenu âgé de 78 ans, qui a besoin d'une opération à cœur ouvert.

Le tueur en série français Charles Sobhraj, qui a commis plusieurs meurtres à travers l'Asie dans les années 1970 et a inspiré la série Netflix "Le Serpent" ...

"Je n'ai pas de sentiments envers lui maintenant que cela fait si longtemps", a déclaré Suthimai, 90 ans. Dix ans plus tard, il a aussi été reconnu coupable du meurtre du compagnon canadien de Mme Bronzich. "Il méprisait les routards, de pauvres jeunes drogués. Le tribunal a ordonné qu'il soit expulsé dans les 15 jours. Libéré en 1997, il s'est retiré à Paris mais a refait surface en 2003 au Népal, où il a été repéré dans le quartier touristique de Katmandou et arrêté. Le tueur en série français Charles Sobhraj, qui a commis plusieurs meurtres à travers l'Asie dans les années 1970 et a inspiré la série Netflix "Le Serpent", doit sortir jeudi de prison au Népal.

Le criminel français, né en 1944 au Vietnam d'un père indien et d'une mère vietnamienne, avait été incarcéré à vie pour plusieurs meurtres. La Cour suprême du ...

[meurtres](https://www.vanityfair.fr/actualites/articles/des-nouvelles-du-serpent-netflix-depuis-sa-prison-de-katmandou/82736) de la touriste américaine Connie Joe Bronzich et de son ami canadien, Laurent Carrière, en 1975. Son nom est aujourd'hui connu à travers la série à succès Netflix, Le Serpent, mettant en scène le meurtrier incarné par l'acteur français Tahar Rahim. La Cour suprême du Népal a toutefois ordonné sa libération, après la requête d'une équipe juridique témoignant de son âge et de « son bon comportement », précise la [BBC](https://www.bbc.com/news/world-asia-64050714).

La plus haute juridiction du Népal a ordonné mercredi 21 décembre la libération de Charles Sobhraj, surnommé « Le Serpent ». Star d'une série de Netflix, ...

En deux ans, de 1975 à 1976, il est soupçonné d’avoir tué au moins neuf touristes, entre la Thaïlande, le Népal et l’Inde. « Tant que je peux parler aux gens, je peux les manipuler », aurait confié Charles Sobhraj à Richard Neville, un de ses biographes. Mais cela n’émeut pas plus que ça l’officier de police thaïlandais Sompol Suthimai, 90 ans, dont le travail avec Interpol a contribué à son arrestation en 1976 : « Je n’ai pas de sentiments envers lui maintenant que cela fait si longtemps. En tout, il pourrait être lié à plus de vingt meurtres. Arrestations et séjour en prison se succèdent, de l’Inde à la Grèce en passant par l’Afghanistan. À Noël 1975, un Français, hébergé chez Charles Sobhraj alors en voyage, montre à Nadine Gires le coffre-fort de son hôte plein de faux passeports. En septembre 2003, il décide de retourner au Népal pour des raisons qui restent floues. Les hippies en pleine quête spirituelle et à la recherche de drogues. « Beaucoup de personnes tombaient malades chez eux », poursuit la voisine, se souvenant avoir un jour dit à Sobhraj sur le ton de la plaisanterie : « Tu leur jettes un sort ! Mais il passe d’abord son enfance à Saïgon, où son père s’occupe peu de lui, avant que sa mère ne le ramène avec elle en France. Selon France info, [il pourrait même être de retour en France d’ici à quinze jours](https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-est-a-nous/charles-sobhraj-alias-le-serpent-bientot-de-retour-en-france_5530401.html). La plus haute juridiction du Népal a ordonné mercredi 21 décembre la libération de Charles Sobhraj, surnommé « Le Serpent ».

Le Français Charles Sobhraj est soupçonné d'avoir tué une dizaine de personnes dans les années 1970. Sa libération a été décidée ce mercredi par la Cour ...

Selon les responsables de l'établissement, le tueur en série va être remis aux services d'immigration pour être expulsé, dans les 15 jours. Mais en septembre 2003, de retour au Népal pour une raison inconnue, il est rapidement arrêté puis condamné à perpétuité pour l'assassinat de Connie Jo Bronzich en 1975. Charles Sobhraj a passé 21 ans en prison, marqués par un bref intermède: une évasion de 22 jours en 1986, après avoir endormi ses geôliers à l'aide de pâtisseries bourrées de somnifères. C'est précisément cette habileté à disparaître qui vaudra à Charles Sobhraj son surnom, "Le Serpent". Au total, il a été accusé d'avoir tué, au cours de ses années 1970, plus d'une dizaine de jeunes routards en Inde et en Thaïlande. Le Français est décrit, par l'un des témoins cité dans l'ouvrage, comme quelqu'un de "froid, arrogant, mais c'était une belle gueule. Depuis sa cellule indienne, il vend son histoire à une maison d'édition, pour quelques milliers de dollars, dont les journalistes australiens Richard Neville et Julie Clarke tireront un livre, Sur la trace du serpent. Ce dernier, qui est à la recherche de deux compatriotes disparus, monte avec la jeune femme un dossier à charge, avec des pièces collectées dans la fouille de son appartement, puis alertent la police thaïlandaise. Il peine à croire le manque d'actions de la police. "Il empoisonne des gens pour les voler", lui confie le jeune homme "terrifié". Le mariage de sa mère avec un militaire français lui permet d'obtenir, à l'adolescence, la nationalité française. Le couple s'installe à Bombay (Inde), où naît leur fille Madhu le 15 novembre, et vit de diverses escroqueries.

Citoyen français d'origine vietnamienne et indienne, Charles Sobhraj va être libéré pour raisons de santé.

Les responsables de la prison avaient indiqué plus tôt à l'AFP qu'après avoir reçu les documents judiciaires, ils remettraient Charles Sobhraj aux services d'immigration. "Nous avons été informés que la Cour suprême du Népal avait accepté le recours de M. Le ministère français des Affaires étrangères n'a pas encore officiellement reçu, de la part des autorités népalaises, la demande d'expulsion du

Mis en scène dans la série Netflix « Le Serpent » sortie en 2021 sur Netflix, le tueur en série français Charles Sobhraj va quitter sa prison ce jeudi 22 ...

L'officier de police thaïlandais Sompol Suthimai, dont le travail avec Interpol a contribué à l'arrestation de Sobhraj en 1976, avait fait pression pour qu'il soit extradé vers la Thaïlande et jugé pour les meurtres qu'il y a commis. Surnommé le « tueur au bikini », il a finalement été lié à plus de 20 meurtres. Nadine Gires, une Française qui vivait dans le même immeuble que Charles Sobhraj à Bangkok, a dit à l'AFP l'année dernière qu'elle avait trouvé au départ que c'était un personnage « cultivé » et impressionnant. Il est devenu le titre d'une série à succès réalisée par la BBC et Netflix qui s'inspire de sa vie. L'année suivante, un tribunal l'a condamné à la prison à vie pour l'assassinat de la touriste américaine Connie Jo Bronzich en 1975. Lui se voyait en héros criminel », confiait en 2021 à l'AFP la journaliste australienne Julie Clarke, qui a interviewé Sobhraj.