Russes guerre ukraine

Les présidents russe et biélorusse Vladimir Poutine et Alexandre Loukachenko doivent se retrouver lundi à Minsk pour un sommet destiné à resserrer encore leur ...

La capitale ukrainienne ainsi que 10 autres régions sont touchées par des coupures d'électricité après des nouvelles attaques russes La capitale ukrainienne ...

« Maintenant, nous n’avons presque pas de réseau mobile, pas d’électricité et pas d’eau », ajoute-t-il. Un autre habitant qui vit dans le nord-ouest de la capitale, a été réveillé par les déflagrations. Selon les autorités locales, 23 de ces engins ont été aperçus dans le ciel de Kiev, dont 18 ont été abattus par la défense antiaérienne.

Le président russe va rencontrer son homologue biélorusse ce lundi, son seul allié dans cette guerre. Une première visite en trois ans pour Vladimir Poutine ...

L'armée russe, de son côté, a d'ores et déjà annoncé ce lundi que ses militaires allaient prendre part à des "exercices tactiques" en Biélorussie. Ça ajouterait aux tensions dans la région", décrypte le général Pellistrandi. Un signe, selon elle, que l'homme fort du Kremlin cherche "à obtenir de la Biélorussie qu'elle s'engage davantage dans le conflit". Les autorités ukrainiennes redoutent en tout cas cette éventualité, dans les premiers mois de 2023, depuis le territoire biélorusse, répétant le scénario du début de l'invasion, le 24 février. Il y sera accueilli par son homologue, qui règne sans partage depuis 1994 sur son pays, et qui occupe la place de seul soutien de Moscou dans sa guerre contre l'Ukraine. Ce lundi, le président russe se rend pour une visite officielle en Biélorussie, pour faire avancer l'union entre les deux pays.

Après de multiples entraînements, une nouvelle inspection des troupes est en cours. L'état-major ukrainien craint une nouvelle offensive par le nord mais ne ...

Cela pourrait avoir lieu en février, au mieux en mars, et au pire à la fin du mois de janvier.» Mais cette région de la Polésie est un territoire de marais infranchissables pour des blindés et où les routes descendant vers le sud sont étroites et rares. Toutefois, il se passe trop de choses au Bélarus en ce moment pour qu’il ne s’agisse que de simples tentatives de fixation des forces ukrainiennes près de la frontière nord. Après l’offensive sur Kyiv en février et mars, les Ukrainiens ont renforcé leurs défenses sur les routes qui mènent de la frontière nord à la capitale. «Je ne doute pas qu’ils tenteront à nouveau de s’emparer de Kyiv, affirme-t-il. [nouvelles concentrations de troupes](https://www.liberation.fr/international/europe/guerre-en-ukraine-linquietante-surenchere-de-larmee-belarusse-20221017_6UY5G3HUONF4XODNZZNYUSZTOI/) russes ont été repérées dans le pays depuis la fin du mois d’octobre. «Au vu de la nature de la visite, il ne serait pas surprenant que les forces armées bélarusses soient désormais complètement subordonnées à l’état-major russe», estime Konrad Muzyka, analyste défense spécialiste du Bélarus. Malgré des rumeurs de plus en plus insistantes, celle-ci ne semble pas avoir commencé. Plus d’une centaine de chars bélarusses ont été envoyés vers la Russie pour renforcer les fronts en Ukraine, et plus de [65 000 tonnes de munitions](https://twitter.com/MotolkoHelp/status/1586127843603501057?t=rl-bKqMCtseyDNkkImRusw&s=19) ont été livrées au voisin entre mars et septembre. Le 3 décembre, le ministre de la Défense russe était déjà passé à Minsk pour une visite surprise. Aux questions d’hommes s’ajoutent les problèmes de terrain. Ses camps d’entraînement ont servi de base arrière à

Des exercices militaires russes ont été annoncés en Biélorussie, autre pays frontalier de l'Ukraine Des unités militaires russes vont effectuer des ...

Ce déploiement a fait craindre que les troupes biélorusses ne rejoignent l’intervention en Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a souligné dimanche soir que « la protection de la frontière avec la Russie et la Biélorussie » était « également une priorité constante ». Cette annonce intervient au moment où Vladimir Poutine est attendu à Minsk pour des entretiens avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko.

L'annonce que vient de faire le ministère russe de la Défense à l'occasion de la visite que doit faire le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, à Minsk, ce.

La situation à la frontière de l’Ukraine avec la Russie et la Biélorussie, qui fait l’objet de discussions avec les « commandants militaires » est une « priorité constante », a-t-il assuré. Et toutes les opérations, menées actuellement, visent à adopter une réaction adéquate aux actions menées près de notre frontière », avait ensuite précisé le minsitère biélorusse de la Défense. « L’évaluation finale de la capacité et de l’aptitude au combat des unités sera donnée […] une fois achevés les exercices tactiques des bataillons », a seulement précisé Moscou.

La capitale ukrainienne a subi lundi une attaque de drones qui a endommagé plusieurs infrastructures « essentielles » en plein hiver, privant plusieurs ...

Dans son discours du soir dimanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré que la situation à la frontière nord était une « priorité constante ». « Malheureusement, une installation d'infrastructures essentielles a été touchée », a dit sur Telegram Serguiï Popko, à la tête de l'administration militaire. Lundi, la capitale ukrainienne a subi une attaque de drones qui a endommagé plusieurs infrastructures « essentielles » en plein hiver, quelques heures avant une rencontre au Bélarus entre Vladimir Poutine et son allié Alexandre Loukachenko. Aucun vaccin ne dispose d'une autorisation de mise sur le marché pour l'instant. Dans la nuit, la capitale ukrainienne a subi un nouvel assaut de drones envoyés par la Russie. [L'Europe est confrontée à une épizootie de grippe aviaire.

Des attaques de drones russes sur l'Ukraine ont de nouveau eu lieu lundi 19 décembre, provoquant de nombreuses coupures de courant à Kiev et dans dix autres ...

[les drones iraniens « Shahed »](https://www.la-croix.com/Monde/Guerre-Ukraine-drones-iraniens-Shahed-nouvelle-arme-russe-contre-Kiev-2022-10-11-1201237147), déjà utilisés dans le pilonnage de Kiev ces dernières semaines. « L’ennemi attaque la capitale », a écrit l’administration, assurant que neuf drones « ennemis ont déjà été abattus dans l’espace aérien de Kiev ». De son côté, Vladimir Poutine se rend à Minsk pour rencontrer le président de la Biélorussie, Alexandre Loukachenko.

Vladimir Poutine est à Minsk ce 19 septembre pour un sommet avec son homologue Alexandre Loukachenko afin de resserrer leur alliance. C'est...

"Une nation amie"Une analyse partagée par des experts comme Artiom Chraïbman, affilié au centre Carnegie, qui estime lors d’une interview pour l’AFP le 8 juillet "qu’il n'y a pas de raisons rationnelles - ou même irrationnelles - pour que Loukachenko rejoigne Moscou". Tous ces mouvements sont observés de près par les garde-frontières ukrainiens qui en ont fait la remarque lors d’un point presse cité par l'AFP le 13 décembre, soulignant "la distance à laquelle ces unités se rapprochent de la frontière avec l'Ukraine". L'analyste militaire russe Alexandre Khramtchikhine, juge une implication du Bélarus "très improbable" car son armée "n'a aucune expérience de combat" et ne dispose que d'une poignée de bataillons. Une armée impréparéeMais de nombreux analystes estiment que l’armée bélarusse n’est pas prête à s’engager sur le terrain. En juillet, Svetlana Tikhanovskaïa avait expliqué lors d’un point presse à Varsovie que "l'armée bélarusse est extrêmement démoralisée". Un avis infirmé par Isabelle Facon qui estime assez improbable que le Bélarus rejoigne la Russie. Selon le conseiller du ministre bélarusse de la Défense pour la coopération militaire internationale, Valéri Revenko, la Russie va envoyer "environ 170 chars, jusqu'à 200 (autres) véhicules blindés et jusqu'à 100 armes et mortiers de calibre supérieur à 100 mm". Lors de cette visite, le président Loukachenko a observé une unité de drones de fabrication bélarusse. Quelques jours plus tard, il accuse encore une fois les Occidentaux d’être à l’origine de la guerre et de vouloir la prolonger. "Il y a moins d'un mois j'ai donné l'ordre à nos forces armées d'avoir dans le viseur, comme on dit maintenant, les centres de décisions dans vos capitales", affirme-t-il, évoquant les missiles promis par Vladimir Poutine, ainsi que le système de lance-roquettes bélarusse Polonez. Quelques jours plus tard, Alexandre Loukachenko accuse cette fois-ci l'Ukraine de préparer une attaque contre son pays et annonce qu'en conséquence Minsk allait déployer un groupement russo-bélarusse, sans préciser où. Ces "plans" prévoient des offensives "passant par l'Ukraine et par le Bélarus", assure-t-il.

Dasha est russe, artiste et professeure de français de 35 ans. Elle vit à Montreuil depuis mars 2022, moment de sa fuite consécutive à l'offensive de Poutine ...

C'est le cas de Dasha. Un choix fait dans l'urgence, juste après l'annonce de «l'opération militaire spéciale» en Russie. «Tout est soit noir, soit blanc, dans cette guerre», souffle-t-elle en recrachant la fumée de sa cigarette.

De son côté, la capitale Kiev s'est réveillée attaquée par des drones ce lundi. Du côté des alliés du président ukrainien, le Premier ministre britannique Rishi ...

"Nous avons également fourni plus de 100.000 munitions depuis février", le mois où la Russie a déclenché son offensive, a-t-il ajouté. "La Russie peut se passer de nous, et nous ne pouvons pas nous passer d'elle", a-t-il encore fait valoir. Rishi Sunak, qui arrivera lundi en Lettonie, demandera aux autres dirigeants des pays participant aux côtés du Royaume-Uni à la Force expéditionnaire conjointe (JEF) de maintenir ou de dépasser en 2023 le niveau du soutien accordé cette année à l'Ukraine, selon un communiqué diffusé par le bureau du Premier ministre. Il s'agit des "mesures communes pour assurer la sécurité" des deux pays, des "livraisons mutuelles d'armes", ainsi que de la fabrication commune des armements, a précisé M. Selon lui, au cours de ces pourparlers "substantiels", Moscou et Minsk se sont mis d'accord pour renforcer leur coopération dans "tous les domaines", notamment dans le secteur de la défense. Le président russe Vladimir Poutine a assuré lundi que la Russie "n'a pas intérêt" à absorber le Bélarus, son plus proche allié, très dépendant de Moscou pour les livraisons de gaz et de pétrole.

Moscou affirme ne pas vouloir absorber la Biélorussie. Le président russe, Vladimir Poutine, a assuré que la Russie « n'a pas intérêt » à absorber la ...

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