L'avocat franco-palestinien était détenu sans accusation formelle dans des prisons israéliennes depuis le mois de mars, soupçonné d'avoir des liens avec une ...
Mais [ son expulsion avait été reportée ](https://www.liberation.fr/international/moyen-orient/israel-prolonge-de-trois-mois-la-detention-du-franco-palestinien-salah-hamouri-20220905_64S2H4YXKJERRJ4YODWGVQYS6M/?redirected=1)à la suite d’audiences devant la justice militaire, ses avocats remettant en cause son ordre d’expulsion et aussi la révocation de son statut de résident de Jérusalem-Est. La France a fermement condamné dimanche cette expulsion, la jugeant «contraire au droit». «Nous condamnons aujourd’hui la décision des autorités israéliennes, contraire au droit, d’expulser M. [Salah Hamouri ](https://www.liberation.fr/checknews/2017/11/21/qui-est-salah-hamouri_1652768/?redirected=1)avait été condamné en mars à trois mois de détention administrative, une mesure controversée permettant à Israël d’incarcérer des suspects sans accusation formelle. Après des mois de sagas judiciaires, Salah Hamouri a été accueilli dimanche en fin de matinée à l’aéroport parisien de Roissy par sa femme Elsa et plusieurs dizaines de personnes mobilisées en sa faveur. «J’ai changé d’endroit mais le combat continue», a-t-il déclaré.
L'avocat franco-palestinien Salah Hamouri, expulsé dimanche par Israël, est arrivé à l'aéroport parisien de Roissy, accueilli par sa...
Salah Hamouri est soupçonné par Israël de liens, ce qu'il nie, avec le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une organisation jugée terroriste par l'Etat hébreu et l'Union européenne. "Depuis sa dernière arrestation, la France s'est pleinement mobilisée, y compris au plus haut niveau de l'Etat, pour faire en sorte que les droits de M. Des pratiques de détention "pas seulement illégales: elles sont sadiques", jugent-ils encore. "Aujourd'hui, je suis arraché de ma patrie brutalement par cette force occupante, qui continue ce nettoyage ethnique depuis 1948. Notre droit c'est de résister", a-t-il ajouté. "Aujourd'hui, je sens que j'ai une responsabilité énorme pour ma cause et mon peuple.
Paris a réagi en condamnant "la décision des autorités israéliennes, contraire au droit" - Agence Anadolu.
[Seulement une partie des dépêches, que l'Agence Anadolu diffuse à ses abonnés via le Système de Diffusion interne (HAS), est diffusée sur le site de l'AA, de manière résumée. « Depuis sa dernière arrestation, la France s’est pleinement mobilisée, y compris au plus haut niveau de l’Etat, pour faire en sorte que les droits de M. Salah Hamouri vers la France ».
Salah Hamouri, qui avait été notifié en novembre de son expulsion, a été expulsé tôt ce dimanche matin vers la France, a annoncé le ministère israélien de ...
La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, a réagi à l’interview du président de la FFR, Bernard Laporte, dans les colonnes du JDD. Sa femme, la Française Elsa Lefort, a déploré qu’il « n’y a pas eu de volonté politique de faire pression avec des moyens sur le gouvernement israélien » mais estime maintenant que son mari sera en France « une voix pour le peuple palestinien ». Ce matin, Amnesty International considère aussi que cette « expulsion peut constituer un crime de guerre ». Mais cette expulsion voulue par la ministre israélienne de l’Intérieur, Ayelet Shaked, fait polémique. [Jérusalem](https://www.lejdd.fr/J%C3%A9rusalem%20:%20ce%20qu%E2%80%99il%20faut%20savoir%20sur%20les%20heurts%20sur%20l%E2%80%99Esplanade%20des%20Mosqu%C3%A9es) , Salah Hamouri ne dispose pas de la nationalité israélienne mais d'un permis de résidence, que les autorités israéliennes ont révoqué. Salah Hamouri, avocat franco-palestinien de 37 ans, a été expulsé ce dimanche matin par Israël vers la France.
En détention administrative depuis mars, le militant pour les droits humains a été expulsé de Jérusalem par Israël ce dimanche. Une décision qui pourrait ...
Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris. À Béganne, dans le Morbihan, s’est construit en 2014 le premier parc éolien citoyen de France. » Face à l’homophobie, il invite les victimes à « ne pas se laisser bouffer par la peur ».
Israël a expulsé, dimanche, l'avocat franco-palestinien détenu sans accusation formelle dans des prisons israéliennes depuis mars. Salah Hamouri a été ...
Celui qui avait déjà été détenu entre 2005 et 2011 pour avoir, selon la justice israélienne, participé à un complot visant à assassiner un dirigeant religieux et politique israélien, avait appris fin novembre qu’il allait être expulsé en décembre vers la France. « Je suis leur cible depuis plus de vingt ans. Né à Jérusalem-Est, annexée et occupée par l’Etat hébreu, Salah Hamouri ne dispose pas de la nationalité israélienne, mais d’un permis de résidence, que les autorités israéliennes ont révoqué. « J’ai été extrait contre mon gré de mon lieu de détention et envoyé en exil », dénonce le juriste. Quelques heures plus tôt, il avait été extrait de sa cellule et » Eprouvé et physiquement marqué par dix mois d’emprisonnement, l’avocat franco-palestinien Salah Hamouri, détenu sans accusation formelle dans des prisons israéliennes depuis mars, est arrivé à Roissy, dimanche 18 décembre en fin de matinée.
L'avocat franco-palestinien était détenu depuis mars dans des prisons israéliennes, sans accusation formelle.
« La première étape sera de se retrouver, il y a du temps à rattraper en famille. C’est un citoyen français il est davantage palestinien. [Emmanuel Macron](https://www.20minutes.fr/politique/emmanuel-macron/) de faire pression sur Israël pour surseoir son expulsion et permettre à Salah Hamouri de voyager librement entre Jérusalem et la France, pays où vivent actuellement son épouse, Elsa Lefort, et leurs deux enfants. « L’expulsion de Salah Hamouri est vraiment préoccupante pour les Palestiniens de Jérusalem », a déclaré un haut responsable palestinien requérant l’anonymat, la campagne de soutien du franco-palestinien jugeant « illégale » son expulsion de sa ville natale par un « pouvoir d’occupation ». [la Ville sainte](https://www.20minutes.fr/monde/jerusalem/), annexée et occupée par l’Etat hébreu, Salah Hamouri ne dispose pas de la nationalité israélienne mais d’un permis de résidence, que les autorités israéliennes ont révoqué, ce qu’il conteste. La voix de Salah ne va pas s’éteindre avec cet exil forcé (…) En France, il sera une voix pour le peuple palestinien », a déclaré son épouse Elsa Lefort.
Sorti de prison et arrivé en France dimanche, l'avocat et défenseur des prisonniers palestiniens Salah Hamouri ente.
L’expulsion de Salah Hamouri est un «test» pour les habitants de Jérusalem-Est, a estimé récemment son avocate Leah Tsemel, disant craindre que le futur gouvernement israélien ne multiplie les révocations de permis de résident de Palestiniens nés dans la Ville Sainte. Soupçonné par Israël de liens – ce qu’il nie – avec le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une organisation jugée terroriste par l’Etat hébreu et l’Union européenne, Salah Hamouri avait appris fin novembre qu’il allait être expulsé en décembre vers la France. La France a «condamné» dimanche l’expulsion de Salah Hamouri, la jugeant «contraire au droit» et rappelant avoir «engagé de multiples démarches auprès des autorités israéliennes pour manifester de la manière la plus claire son opposition à cette expulsion d’un résident palestinien de Jérusalem-Est, territoire occupé au sens de la quatrième convention de Genève». L’expulsion de Salah Hamouri intervient peu avant la formation d’un nouveau gouvernement en Israël mené par Benjamin Netanyahu, vainqueur des législatives du 1er novembre, et ses alliés des partis ultra-orthodoxes et d’extrême droite. «J’ai changé d’endroit mais le combat continue» a déclaré l’avocat de 37 ans à son arrivée à l’aéroport parisien de Roissy, où il a été accueilli par sa femme Elsa et plusieurs dizaines de ses soutiens, dont certains scandaient «Palestine vivra, Palestine vaincra». L’avocat franco-palestinien Salah Hamouri, expulsé dimanche par Israël après plusieurs mois de détention, est arrivé en fin de matinée en France, où il a affirmé vouloir continuer «le combat».