Sylvain Tesson est passé à deux doigts de la mort il y a huit ans. Véritable miraculé, il a raconté ce dimanche à Laurent Delahousse, avec beaucoup de ...
Elisabeth Philippe, Patricia Martin, Jérôme Garcin, Frédéric Beigbeder et Arnaud Viviant : les critiques de l'émission littéraire étaient réunis pour ...
Arnaud Vivant reprend la parole : "Il y a pour moi dans ce petit livre des marqueurs stylistiques de droite. Sur le chemin, il ne voit que des calvaires et des statues de Sainte Vierge… Il décrit les montagnes comme des paysages de trains électriques et il parle un moment d'une forêt qui ressemble à un mikado de cristal. Il est vert et il aime la nature, dont il veut protéger la pureté." C'est une écriture grandiloquente, avec l'usage de néologismes, de passé de l'imparfait du subjonctif, de la majuscule à blanc… Il dit : " Il y a des migrants qui fuient "la guerre d'islam" pour arriver aux rives chrétiennes qui sont les seules à leur donner une chance." Sylvain Tesson raconte que Lénine, sur son lit de mort, a dit : "Que faire ?" Sa dernière phrase a été : "Ici, je me heurte à une contradiction" et il est mort. Il y a de beaux passages qui sont une façon d'être lié à son espèce. Le journaliste à L'Obs explique : "Il est le numéro Un des ventes, devant les primés de l'automne. L'auteur de La Panthère des neiges, prix Renaudot 2019, fait dans Blanc (Gallimard) le récit de sa traversée des Alpes à skis et à peaux de phoque. J'espère que la boucle est bouclée, qu'il arrêtera de nous parler des montagnes, du froid, de la Sibérie, etc.