Olivier Bellamy et Jean-Pierre Devillers ont consacré, en 2004, un portrait à la chanteuse de « Tous les garçons et les filles » pour ses quarante ans de ...
Les vertus, enfin, de la solitude choisie ou encore la fascination pour les grands interprètes du classique (Martha Argerich, Hélène Grimaud). L’enfance et ses blessures (l’incurie d’un père qui menait double vie, Françoise porte le nom de sa mère, Madeleine, qu’il n’avait pas épousée) ; la honte – « un des premiers sentiments que j’ai éprouvés et qui ne m’a jamais lâchée » – ; l’amitié et les connivences professionnelles (Georges Brassens, Michel Berger, Serge Gainsbourg, Véronique Sanson, Iggy Pop…) ; la relation de couple, l’amour, ses aléas et ses enseignements – « J’ai retenu que l’amour est une présence qui ne juge pas, qui ne demande et n’attend rien. La maison de disques Vogue, qui lui signa ce premier contrat, cherchait un pendant féminin à L’Idole des jeunes (le tube qui imposa Johnny Hallyday en 1962).