Laurent Bigorgne

2022 - 12 - 8

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Affaire Laurent Bigorgne : une peine plus légère, mais une ... (Le Monde)

Condamné à douze mois de prison avec sursis pour administration de drogue « en vue de commettre un viol ou une agression sexuelle », alors que le parquet ...

Le président du tribunal avait longuement cité les dizaines de textos à connotation sexuelle dont Laurent Bigorgne avait bombardé la jeune femme. Bigorgne avait précédemment drogué à son insu sa propre compagne. L’ex-directeur de l’Institut Montaigne, un think tank libéral influent auprès de la droite, de la gauche, et notamment du chef de l’Etat, Emmanuel Macron, n’a donc pas entendu le président Eric Vivian énoncer ce jugement mi-chèvre mi-choux – « incohérent et insensé », fustige Me Sébastien Schapira, l’avocat de M.

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Laurent Bigorgne, ex-patron de l'Institut Montaigne, condamné pour ... (Franceinfo)

L'homme de réseaux et proche d'Emmanuel Macron, Laurent Bigorgne, est condamné ce jeudi 8 décembre à 1 an de prison avec sursis et à 2.000 euros d'amende.

"Si la condamnation de Laurent Bigorgne avec intention sexuelle est définitive, cette procédure se terminera", a indiqué jeudi Me Alimi. Laurent Bigorgne "n'a fait l'objet d'aucun passe-droit, d'aucune faveur", a ajouté son avocat. En rendant son délibéré, le tribunal a requalifié les faits et considéré qu'en versant de la MDMA, une drogue de synthèse, dans le verre de sa collaboratrice Sophie Conrad, Laurent Bigorgne avait voulu "commettre à son égard un viol ou une agression sexuelle". Placé en garde à vue, Laurent Bigorgne avait rapidement reconnu avoir pris ce soir-là de la cocaïne et versé de la MDMA dans le verre de Sophie Conrad, mais a toujours contesté une intention sexuelle. "Le ministère public a tout fait pour éviter cette qualification", a accusé Me Alimi. Le parquet avait requis le 10 novembre dix-huit mois d'emprisonnement avec sursis et une obligation de soins à l'encontre de Laurent Bigorgne pour administration de substance nuisible par une personne agissant sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants.

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Laurent Bigorgne, du succès au sordide, la chute d'un homme de ... (Le Figaro)

RÉCIT - L'ex-patron de l'Institut Montaigne a été condamné à douze mois de prison avec sursis pour avoir drogué une collaboratrice afin de commettre «un ...

[Laurent Bigorgne, ex-directeur de l’Institut Montaigne](https://www.lefigaro.fr/faits-divers/laurent-bigorgne-l-ancien-patron-de-l-institut-montaigne-condamne-a-12-mois-avec-sursis-pour-avoir-drogue-une-ex-collaboratrice-20221208), avait drogué l’une de ses collaboratrices, également sœur de sa première épouse, le 22 février 2022 à son domicile, «afin de commettre à son égard un viol ou une agression sexuelle». L’ancien patron du think-tank libéral, personnage influent, proche de longue date du président Macron, a été condamné à douze mois de prison avec sursis. «Un tribunal n’est pas là pour se mettre dans la tête des gens.

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Les mauvaises manières de Laurent Bigorgne (Infodujour.fr)

Ce Lorrain, ex-patron du prestigieux Institut Montaigne, proche de Macron, a été condamné ce jeudi à 12 mois de prison avec sursis pour avoir drogué son ...

Proche d’Emmanuel Macron dont il est un ami, le directeur de l’Institut Montaigne a hébergé à son domicile personnel le siège du mouvement « En Marche » dont il est l’un des co-fondateurs. Il a déposé plainte contre le directeur de la police judiciaire et la procureure de Paris pour être intervenus pendant la garde à vue. Elle a bien absorbé de la MDMA, une drogue de synthèse, qu’on appelle aussi « la drogue de l’amour ». Le 27 février, Laurent Bigorgne a démissionné de l’Institut Montaigne. Il reconnaît avoir administré une drogue à sa collaboratrice, comme le confirmera l’expertise toxicologique de la plaignante. Il lui est reproché d’avoir drogué son ex-collaboratrice et ex-belle-sœur, Sophie Conrad qui fut Directrice générale adjointe (DGA) de la mairie de Nancy en 2018.

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Le mobile sexuel retenu, Laurent Bigorgne condamné à 12 mois ... (Le Parisien)

Ce proche d'Emmanuel Macron, ex-patron de l'Institut Montaigne, a été condamné à un an de prison avec sursis pour avoir drogué une collaboratrice.

Il a par ailleurs rejeté les accusations de « passe-droit » dont aurait bénéficié son client, qui devra, de fait, repasser par la case procès dans les mois qui viennent. Il a en parallèle multiplié les procédures pour élargir les charges visant Laurent Bigorgne, dont une plainte pour « tentative de viol », pour l’heure jugée irrecevable. C’est ainsi que le mobile aujourd’hui retenu par le tribunal n’a pour elle jamais fait de doute : « Son intention était, hélas, de me violer », avait-elle posé à l’audience, réclamant depuis le départ que les faits soient requalifiés. Absent lors du délibéré, [ l’ancien patron de l’Institut Montaigne](https://www.leparisien.fr/faits-divers/le-directeur-de-linstitut-montaigne-place-en-garde-a-vue-pour-administration-de-substance-nuisible-25-02-2022-R5SUW7GHURAWLCHPKQFJKPCBA4.php), un cercle de réflexion très influent qu’il avait dû quitter à la suite du scandale, a été condamné ce jeudi 8 décembre à douze mois de prison avec sursis et 2000 euros d’amende. « J’étais comme l’alcoolique qui fait boire », avait maladroitement expliqué Laurent Bigorgne, assurant avoir voulu créer un climat propice à la discussion… Une décision « aberrante, insensée, incohérente », a taclé son avocat Me Sébastien Schapira qui a immédiatement annoncé faire appel.

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Affaire Laurent Bigorgne : l'ex-patron de l'Institut Montaigne ... (Libération)

Personnage d'influence, ce proche des réseaux macronistes et du CAC 40 avait fait ingérer à une collaboratrice de la MDMA, une drogue désinhibitrice, ...

[Laurent Bigorgne, la dérive toxique d’une étoile de la macronie](/economie/laurent-bigorgne-la-derive-toxique-dune-etoile-de-la-macronie-20220404_ZI34G6W2W5BIHLYELZIVD7MM74/) Jugé pour «administration de substance nuisible», il risquait jusqu’à cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende. Laurent Bigorgne, l’ancien directeur de l’Institut Montaigne, a été condamné ce jeudi à douze mois de prison avec sursis et 2 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir drogué une ex-collaboratrice.

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