La créatrice de l'agence de stars de la téléréalité Shauna Events avait été condamnée en 2019 pour « abus de faiblesse » et « blanchiment », dans le cadre ...
Quant aux sommes soutirées, elles ont été remboursées petit à petit dans le cadre de la procédure. Mercredi, douze personnes [ont été placées en garde à vue](https://www.leparisien.fr/faits-divers/magali-berdah-victime-de-cyberharcelement-douze-personnes-placees-en-garde-a-vue-et-bientot-devant-la-justice-20-10-2022-HRN6BD4J2JAUZP5RC5SIAW6LFM.php) dans cet autre dossier. En 2019, la sanction a été durcie en appel, avec une interdiction de gérer une société durant cinq ans. Dans un premier jugement, le tribunal correctionnel de Nice a alors confirmé l’état de faiblesse de la victime, condamnant Magali Berdah à un an de prison en 2018. À l’époque, Magali Berdah n’était pas une influente agente de stars de téléréalité, mais une entrepreneuse spécialisée dans les mutuelles et en faillite. Cette condamnation est survenue dans une affaire « d’abus de faiblesse » et de « blanchiment » remontant à 2015.
Une enquête a été ouverte en juin dernier, après une plainte de Magali Berdah, par le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH)
Quelques jours plus tard, sur Twitter, il avait qualifié ces influenceuses de « pédo-sociopathes » et de « voleuses, arnaqueuses, manipulatrices ». La garde à vue de la treizième personne a été levée, sans poursuites. Au mois de mai, le duc de Boulogne avait partagé le hashtag #influvoleurs sur son compte Instagram. La directrice de Shauna Events a affirmé avoir reçu des menaces de mort et des messages haineux à caractère antisémite. Elles seront jugées par le tribunal correctionnel de Paris en 2023 pour des chefs de « Depuis plusieurs mois, la papesse des influenceurs accuse le rappeur Booba d’avoir initié une vague de cyberharcèlement à son encontre.
La patronne de Shauna Events, une agence d'influenceurs issus de la téléréalité, empêtrée dans un long conflit avec le rappeur Booba, est visée par de ...
Parmi les messages, elle dénonçait des menaces de mort ou des messages à caractère antisémite. Un appel au clash qui a amené, dans son sillon, des fans de l’artiste, ainsi que de nombreuses personnes critiques du milieu de la téléréalité. En cause, notamment, une campagne pilotée par le rappeur Booba, habitué des clashs en ligne, qui veut dénoncer Au total, treize personnes ont été interpellées dans le cadre d’une enquête ouverte en juin dernier, à la suite d’une plainte déposée par Magali Berdah pour cyberharcèlement. La treizième personne placée en garde à vue n’est pour l’instant pas poursuivie. Elles seront jugées « des chefs de cyberharcèlement aggravé », et, pour certaines, « à raison de la religion », ou encore, pour certaines, pour « menaces de mort à raison de la religion ».
Un vaste coup de filet a été mené mercredi dans toute la France dans le cadre des menaces dont fait l'objet la.
Sur Twitter, le rappeur avait dénoncé des "pédo-sociopathes et des voleuses, arnaqueuses, manipulatrices". Ces menaces étaient intervenues après les accusations portées sur les réseaux sociaux contre Magali Berdah par le rappeur Booba. Booba, suivi par près de 7 millions d'abonnés sur Instagram avait même créé le hashtag #influvoleurs à l'appui de ses accusations.
Ciblée sur les réseaux sociaux, notamment par le rappeur Booba, la papesse de la téléréalité avait déposé plainte et obtenu l'ouverture en juin d'une enquête.
L'affaire Bouthier prend de l'ampleur au Maroc](/justice-faits-divers/nouvelle-plainte-garde-a-vue-temoignages-incriminants-l-affaire-jacques-bouthier-ex-patron-assu-2000-prend-de-l-ampleur-au-maroc-2226686.html)Publié le 17 juillet 2022 à 10h26 [Affaire Bouthier : un Français mis en examen dans l'enquête visant l'ex-patron d'Assu 2000](/justice-faits-divers/affaire-jacques-bouthier-un-francais-mis-en-examen-dans-l-enquete-visant-l-ex-patron-d-assu-2000-2228385.html)Publié le 3 août 2022 à 21h43 [Meurtre de Lola : le point sur la situation administrative de la suspecte principale](/justice-faits-divers/paris-meurtre-de-lola-12-ans-oqtf-visa-la-suspecte-faisait-l-objet-d-une-obligation-de-quitter-le-territoire-2235816.html)Publié le 18 octobre 2022 à 14h31 Le parquet de Grasse a ouvert une enquête le 6 septembre sur la première infraction, confiée au commissariat d'Antibes. Dans un communiqué mi-juillet, la quadragénaire accusait Booba de la cibler sur les réseaux sociaux depuis plusieurs mois "par des publications mensongères et humiliantes", selon elle. "À l'issue, douze personnes, une femme et onze hommes, sont convoquées à des audiences ultérieures se déroulant en 2023 pour être jugées notamment des chefs de cyberharcèlement aggravé et, pour certains, à raison de la religion, et menaces de mort, pour certains, à raison de la religion", précise le ministère public. Une opération "concertée", coordonnée par le PNLH et l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité et les crimes de haine (OCLCH), avec l'appui des polices judiciaires locales. Ciblée sur les réseaux sociaux, notamment par le rappeur Booba, la papesse de la téléréalité avait déposé plainte et obtenu l'ouverture en juin d'une enquête au Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PLNH) du tribunal judiciaire de Paris.
Une enquête avait été ouverte en juin par le parquet de Paris, après une plainte de Magali Berdah, qui conseille des influenceurs issus de la téléréalité.
Magali Berdah avait obtenu la fermeture du compte Instagram de Booba, décision invalidée depuis par la justice – mais le compte est toujours inaccessible. L'enquête, coordonnée par l'office central de lutte contre les crimes contre l'humanité (OCLCH) a permis d'identifier ces 13 suspects, dans une dizaine de départements, de la région parisienne à la Corse, en passant par la Gironde et la Sarthe. L'information a été confirmée par le parquet de Paris.
L'influenceuse Magali Berdah avait déposé une plainte pour cyberharcèlement. L'enquête du pôle national de lutte contre la haine en ligne a abouti à ...
Cette vague de cyberharcèlement avait été provoquée par les accusations du rappeur Booba (7 millions d’abonnés sur Instagram) dénonçant les « influvoleurs ». L’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité (OCLCH) qui coordonne les investigations, a identifié et interpellé 13 personnes, originaires du Var, de la Moselle, de Seine-Saint-Denis, de Gironde, des Hauts-de-Seine, de la Sarthe, des Alpes-Maritimes, de Corse, de Seine-Maritime et de Paris. Une enquête avait été ouverte le 1er juin par le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de Paris, après une plainte de Magali Berdah, qui conseille des influenceurs issus de la téléréalité via son agence Shauna Events, et elle-même influenceuse.
Douze personnes ont été placées en garde à vue après une vague d'interpellation mercredi 19 octobre 2022 pour avoir cyberharcelé Magali Berdah.
Toujours selon le parquet de Paris, les individus interpellés devraient être convoqués à des audiences pour être jugés. Les enquêteurs du Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) et l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH) auront procédé à une vague d’interpellations à l’échelle nationale. Des faits de menaces de mort sont aussi reprochés à certains.
Elle est surnommée "la papesse des influenceurs". Treize personnes ont été interpellées dans une dizaine de départements dans l'enquête sur des menaces ...
Selon franceinfo qui a révélé l'information, ces personnes ont été interpellées dans une dizaine de départements, de la région parisienne à la Corse, en passant par la Gironde et la Sarthe. Treize personnes ont été interpellées dans toute la France mercredi 19 octobre dans le cadre d'une enquête ouverte par le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de paris. Treize personnes ont été interpellées dans une dizaine de départements dans l'enquête sur des menaces contre Magali Berdah sur les réseaux sociaux apprend-on ce jeudi.
12 personnes vont en effet être jugées devant un tribunal correctionnel dans le cadre de cette affaire. La présidente de l'agence Shauna Events dénonçait depuis ...
Il a porté plainte contre elle pour "pratiques commerciales trompeuses", et l’a régulièrement interpellée sur les réseaux sociaux. Elle s’est exprimée sur son compte Instagram, en pleurs : "Je suis trop contente parce que du coup ça montre à tout le monde qu'on ne peut pas faire n'importe quoi sans que ça reste impuni. Le rappeur s’est lancé dans une croisade pour dénoncer les arnaques des influenceurs et dans son viseur, il y a notamment
La papesse de la téléréalité avait déposé plainte après avoir été harcelée sur les réseaux sociaux, ciblant notamment la responsabilité du rappeur Booba.
«Depuis, je subis un harcèlement en ligne de masse», avec des milliers de messages quotidiens, expliquait-elle. «La garde à vue de la treizième personne a été levée sans poursuite à ce stade», a-t-on indiqué de même source. L’opération «concertée» a été coordonnée par le PNLH et l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine, avec l’appui des polices judiciaires locales, selon le parquet.
Nouvelle victoire juridique pour Magali Berdah. 12 personnes ont été placées en garde à vue pour avoir harcelé et menacé l'agente.
Des convocations qui coïncident avec une enquête menée par l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH) et le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH). Rappelons que l’agente de Shauna Events dort avec ses gardes du corps à la maison, de peur qu’on attente à sa vie ou celle de ses proches. Quant aux accusations d’escroquerie qui pèsent sur sa personne, la trublionne du PAF a toujours affirmé qu’elle voulait que le marché de l’influence se régule. En effet, ce dernier serait au cœur de ce harcèlement de masse, qu’il justifie par sa volonté de mettre un terme au joug des « influvoleurs ». Magali Berdah peut se féliciter de sa nouvelle victoire juridique. Si Magali Berdah se satisfait de cette petite victoire, elle reste consciente que le chemin sera long.