A la SNCF comme à la RATP, la direction a accordé deux hausses de salaire successives en 2022. Mais plusieurs syndicats ont relayé cette semaine un mot ...
Deux coups de pouce qui représentent une enveloppe de 500 millions d'euros, soit la moitié des résultats dégagés par l'entreprise au premier semestre. Eternel rival de la CGT-Cheminots, SUD-Rail a choisi en dernière minute d'appeler également à débrayer, pour ne pas lui laisser le monopole de la défense du pouvoir d'achat. Une méthode « complètement caricaturale, qui détourne l'objet de la loi, voulant que les préavis soient liés à des sujets relatifs à l'entreprise. La question des salaires n'est pourtant pas restée sous le tapis à la SNCF. A quelques semaines des élections professionnelles (du 17 au 24 novembre), la règle maison veut que les sujets importants soient laissés au vestiaire, pour ne pas donner des gages à tel ou tel syndicat qui s'en prévaudrait dans sa campagne. Jouant in fine contre l'image des transports collectifs, et faisant planer au passage la menace d'un conflit reconductible au-delà des 24 heures de rigueur, tout au moins à la SNCF.
L'ancien premier ministre pourrait succéder à Catherine Guillouard, partie récemment pour des raisons personnelles. Il doit être auditionné par la Haute ...
L'ancien maire de Prades (Pyrénées-Orientales) n'a pas caché son souhait de diriger prochainement la SNCF, un poste occupé Toujours selon «Mobiletttre», il «aurait été sollicité par Emmanuel Macron pour remettre un peu d'ordre dans la maison RATP, orpheline de sa PDG Catherine Guillouard, démissionnaire, et de son numéro deux, Philippe Martin, parti en retraite le 30 septembre dernier». Telle est l'hypothèse avancée par le site «Mobilettre», alors qu'un cabinet de recrutement (Jouve et Associés) est chargé de trouver l'oiseau rare depuis plusieurs semaines.