Dans les Indiscrétions de cette semaine, retrouvez Gabriel Attal, Bernard Cazeneuve, Olivier Falorni, Bruno Retailleau, Aurore Bergé, Laurent Marcangeli, ...
Pas de doute, en ouverture de cette session qui promet d’être agitée, la présidente de l’Assemblée inspire et sait inspirer le respect. Elle peut jouer de son indépendance et ne s’en prive pas, que ce soit sur les retraites ou la dissolution. A la tête des députés Horizons, Laurent Marcangeli applique à la lettre la consigne qu’Edouard Philippe a donnée à ses troupes : "De la bienveillance avant tout." Il proteste avec ses accents convaincants d’avocat de profession de la loyauté de l’ancien Premier ministre, "qui a toujours respecté et respecte encore et toujours le président". Et le silence se fait. [Bernard Cazeneuve "pour une autre gauche"](https://www.challenges.fr/politique/bernard-cazeneuve-lance-un-manifeste-pour-une-autre-gauche_826536), un élu est allé le voir : "On avait dit à Lionel Jospin de percer l’armure. En particulier aux élus de 2017, qui se souviennent que le candidat Emmanuel Macron s’était prononcé contre la rente et pour une taxation accrue de l’héritage. L’essentiel pour le MoDem consiste à engranger des recrues pour peser dans la majorité face à Renaissance. L’initiative d’Aurore Bergé, d’une "alerte au gouvernement sur l’attente des Français qui souhaitent un allégement des droits de succession", a déplu à une partie du groupe Renaissance, qu’elle préside à l’Assemblée. Olivier Falorni, député jusqu’ici non-inscrit, va rejoindre le groupe Démocrate qui n’est plus chrétien mais "MoDem et indépendant". On voudrait que tu déchires le blazer et la pochette." Le Maire, c’est le notable qui se prend pour un prince.
Depuis trois semaines, les salariés des raffineries de Total et d'Esso sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires, entraînant des pénuries de carburants ...
Le ministre des Comptes publics Gabriel Attal a jugé dimanche "inacceptable la poursuite de blocages" dans cinq raffineries de TotalEnergies "alors même que des ...
On leur a donné des outils, avec la prime Macron, la monétisation des RTT..." Après l'accord sur la revalorisation de 7% des salaires chez TotalEnergies : "Nous avons demandé à toutes les entreprises d'augmenter les salaires. La grève, entamée depuis bientôt trois semaines, se poursuit dans les raffineries et dépôts du géant pétrolier, avec des conséquences importantes pour de nombreux secteurs d'activités affectés par la pénurie de carburants. Il a en outre estimé qu'il allait "falloir plusieurs jours avant que la situation s'améliore suffisamment pour que les Français le ressentent dans leur vie quotidienne. "Ce qui est inacceptable, c'est qu'il y ait la poursuite de blocages alors même que des accords majoritaires ont été trouvés pour revaloriser les salaires dans les entreprises. Ce qui est certain c'est que vous avez quelques syndicalistes qui parfois donnent l'impression de s'asseoir sur les intérêts de millions de Français", a déclaré dimanche le ministre.
Invité du "Grand Rendez-vous"Europe1/CNews/Les Echos, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal est revenu sur la poursuite de la grève dans cinq ...
Nous avons pris les mesures nécessaires pour améliorer la situation en faisant circuler plus de camions en important du carburant de Belgique", poursuit le ministre. "Je suis respectueux de la Constitution et du droit de grève (...). "Evidemment qu'il y a un droit de grève, mais à un moment le pays doit aussi pouvoir fonctionner.
Le ministre délégué aux Comptes publics estime la poursuite de la grève dans les raffineries de TotalEnergies injustifiée.
rappelle le ministre des Comptes Publics dans— Europe 1 \ud83c\udfa7\ud83c\udf0d\ud83d\udcfb (@Europe1) "Toutes les mesures que nous prenons montrent bien que le gouvernement ne trouve pas cela normal." "Évidemment qu'il y a un droit de grève, mais à un moment le pays doit aussi pouvoir fonctionner.
Le ministre des Comptes publics a vertement critiqué le comportement d'une minorité qui continue de pénaliser le quotidien de millions de Français.
D'ici quelques jours, ce seront d'ailleurs les vacanciers qui se retrouveront victimes de ces blocages. La poursuite des blocages est «inacceptable (...)alors même que des accords majoritaires ont été trouvés pour revaloriser les salaires» a lancé le ministre des Comptes publiques, Gabriel Attal, lors du «grand rendez-vous» Europe1/CNews/Les Échos. Il a également fustigé tous ceux qui, syndicalistes et politiques, qui appellent à la grève générale. Il n'a pas hésité à citer la France Insoumise et l'écologiste Sandrine Rousseau. En outre, il a rappelé que ces pénuries ne touchaient pas spécialement les bourgeois qui «se déplacent à vélo électrique(...) C'est plutôt les classes populaires qui souffrent». S'il a redit son attachement au droit de grève, il s'est montré critique du comportement de «quelques syndicalistes qui parfois donnent l'impression de s'asseoir sur les intérêts de millions de Français».