Sur France 2, le président de la République se dit assuré que le retour à la nomale dans les stations service se fera "dans la semaine qui vient".
"Je pense qu'il y a des secteurs et certains acteurs qui considèrent qu'on peut aller 'dans le dur' tout de suite, pour parler familièrement", a-t-il regretté. "Mais je le dis très clairement: si le dialogue social n'aboutit pas dans les prochaines heures, nous réquisitionnerons", a-t-il averti. Il a insisté sur le fait que c'était "au dialogue social" entre directions et syndicats de résoudre les différends.
Pour la première fois, Le Parisien a ouvert son direct aux lecteurs. Retrouvez ci-dessous les réponses à vos multiples questions. 22:13 ...
« Je ne veux pas rentrer dans ces qualifications parce qu'elles ont peu de conséquences », répond le président Emmanuel Macron, alors que l'Ukraine et la Russie s'accusent mutuellement de « terrorisme ». Emmanuel Macron sera interrogé sur « les nouveaux périls et leurs conséquences déjà visibles dans la vie des Français », a expliqué la journaliste Caroline Roux, qui animera l'émission. En plus du renseignement fourni par la France, « nous avons parfois des actions de formation, mais nous ne sommes pas partie prenante de la guerre », dit-il. Il dit avoir « convaincu » le président russe d'accepter une mission d'experts de l'AIEA sur la centrale de Zaporijjia, alors occupée par des forces russes, et depuis en territoire annexé. « L'intensité des bombardements et des combats a changé », justifie-t-il. Mais à plus long terme, « ce sera dans l'intérêt de l'Ukraine et de la Russie de revenir à la table et de négocier ». « Quand on est en responsabilité et qu'on essaie de faire revenir la paix, on doit parler, et on doit parler aux protagonistes. Emmanuel Macron dispose sans doute d'éléments lui permettant d'annoncer un retour à la normale « dans le courant » de la semaine prochaine. A l'issue d'une rencontre entre Emmanuel Macron et la Première ministre britannique Liz Truss jeudi 6 octobre, les deux dirigeants ont notamment « souligné leur détermination à apporter à l’Ukraine aussi longtemps qu’il le faudra tout le soutien nécessaire pour lui permettre de rétablir sa souveraineté et son intégrité territoriale et de résister à l’agression russe ». Le président français le martèle : il appelle les deux belligérants à revenir à la table des négociations. « La Russie aujourd'hui est profondément déstabilisée », assure-t-il. Pour le président, la guerre doit inciter l'Europe à trouver de nouvelles sources d'énergie hors de la Russie.
Le chef de l'État s'est livré, ce mercredi, à un entretien d'une heure sur France 2 consacré à la crise ukrainienne et à la pénurie de carburant.
Le chef de l'État a de nouveau appelé "à la responsabilité" la direction de TotalEnergies et la CGT, en souhaitant que le syndicat "permette au pays de fonctionner". Le chef de l'État inaugure dans quelques minutes la nouvelle émission politique de France 2. Après une journée agitée et la reconduite de la grève dans les raffineries, Emmanuel Macron ne pouvait passer à côté du sujet de la pénurie de carburants qui touche la France. Depuis le début du conflit, la France a fourni 18 canons Caesar de 155 mm d'une portée de 40 km, montés sur camion, des missiles antichars et anti-aérien, des véhicules de l'avant-blindé (VAB), du carburant, des équipements individuels et une quinzaine de canons tractés TRF1 de 155 mm à l'Ukraine. - Emmanuel Macron a commencé par exhorter son homologue russe à « revenir à la table des négociations » : « Vladimir Poutine doit cesser cette guerre, respecter l'intégrité territoriale de l'Ukraine », a-t-il ajouté. Le chef de l'État a ainsi inauguré la nouvelle émission politique de France 2, L'Événement, dans laquelle il interviendra à nouveau le 26 octobre pour parler politique intérieure.
Aider l'Ukraine à résister à l'agression russe, la doter de nouveaux armements, jouer le jeu de l'unité européenne et prôner le retour des belligérants à la ...
Il s'est félicité d'avoir joué un rôle dans la rencontre entre le Premier ministre arménien et le président azéri, lors du récent sommet européen à Prague, lors duquel les deux pays se seraient mis d'accord pour « reconnaître les frontières de 1991 ». Il a estimé au passage que la crise avait révélé combien l'Europe était « trop dépendante du gaz russe » mais a salué l'effort de diversification énergétique, puisque les importations en provenance de Moscou ne représentent plus que 7,5 % du gaz consommé, contre 40 % l'an dernier. Interpellé sur le fait que les sanctions économiques pourraient avoir constitué une erreur, il a assuré au contraire que « c'est en train de marcher » car elles « entravent l'effort de guerre » du Kremlin, notamment sa capacité à régénérer ses armements. Emmanuel Macron a estimé au passage qu'il fallait « éviter toute escalade du conflit », pour qu'il ne s'étende pas à un pays voisin de l'Ukraine et pour empêcher le recours par Moscou à des armes chimiques ou nucléaires. A ce sujet, il s'est borné à souligner que la France était également un pays « doté » de la bombe atomique et croyait en la « dissuasion ». Avant de répéter « aujourd'hui, d'abord, Vladimir Poutine doit cesser cette guerre, respecter l'intégrité territoriale de l'Ukraine et revenir autour de la table des discussions ».
Le chef de l'État a estimé, dans une interview sur France 2, que seul « le dialogue social » entre directions et syndicats permettrait de résoudre la crise.
« Je pense qu’il y a des secteurs et certains acteurs qui considèrent qu’on peut aller dans le dur tout de suite, pour parler familièrement », a-t-il regretté. Mais Philippe Martinez, le leader de la CGT, a dénoncé une « décision scandaleuse » et annoncé le dépôt d’un référé jeudi, pour s’y opposer. « Mais je le dis très clairement : si le dialogue social n’aboutit pas dans les prochaines heures, nous réquisitionnerons », a-t-il averti.
Plus d'un tiers des stations-service manquent de carburant en France, en raison de grèves chez Esso-ExxonMobil et TotalEnergies.
» Pour sa part, [Jean-Luc Mélenchon](https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/pourquoi-melenchon-evoque-la-marche-des-femmes-pour-defendre-son-rendez-vous-du-16-octobre_208687.html) a estimé qu’« il est temps de réquisitionner la direction de Total », qui « porte toute la responsabilité du blocage ». [Fabien Roussel](https://www.huffingtonpost.fr/justice/article/fabien-roussel-suspecte-d-emploi-fictif-entendu-par-la-police_207652.html), le patron du PCF : « L’événement ç’aurait été qu’Emmanuel Macron prenne le parti des salariés et de l’intérêt général. [Élisabeth Borne](https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/que-va-faire-elisabeth-borne-a-alger-deux-mois-apres-macron_208728.html) dimanche dernier, qui envisageait un retour à la normale dans le courant de cette semaine. [stations-service](https://www.huffingtonpost.fr/france/article/carburant-ces-cartes-et-outils-pour-trouver-une-station-essence-face-a-la-penurie_208821.html), dont un tiers est en manque d’au moins un carburant en raison de grèves dans les raffineries et dépôts ? Il est temps de réquisitionner la direction de #Total. Dans ce contexte, Emmanuel Macron a lancé « un appel à la responsabilité aux dirigeants de ces entreprises et aux salariés, aux syndicats qui les représentent ». Elle porte toute la responsabilité du blocage. « Ceci n’a rien à voir avec la guerre » en Ukraine, a-t-il tenu à rappeler. https://t.co/bWdFhhHjJ2— L'Événement (@LevenementFTV) [décidé de réquisitionner](https://www.huffingtonpost.fr/france/article/carburant-les-premiers-salaries-d-exxonmobil-requisitionnes-la-cgt-va-deposer-un-refere_208897.html) des salariés des dépôts de carburant Esso. https://t.co/MO1CAzyPSz— L'Événement (@LevenementFTV) Une échéance plus lointaine que celle, optimiste, donnée par la Première ministre
Le chef de l'Etat inaugurait ce mercredi la nouvelle émission politique de France 2, sur fond de poursuite de l'offensive russe sur l'Ukraine.
Emmanuel Macron promet un retour à la normale dans les stations-services «dans le courant de la semaine qui vient». Répétant que «ce n’est pas au président de la République de faire des négociations d’entreprises» et soucieux de laisser «vivre» le «dialogue social», il prévient que si ce dernier «n’aboutit pas dans les prochaines heures, nous réquisitionnerons». «Environ 40% du gaz qu’on achetait venait de Russie, aujourd’hui c’est 7,5%.» Mais, «si le prix du gaz augmente, ce n’est pas à cause des sanctions [européennes], c’est parce que la Russie en a fait une arme de guerre.» Dans une vidéo de moins d’une minute, le ministère de la Défense réclame ce mercredi plus de matériel de guerre à la France en reprenant la chanson Je t’aime… Pour le chef de l’Etat, «c’est une manœuvre de déstabilisation de la Russie qui, dans le Caucase, cherche à créer le désordre pour tous nous affaiblir et nous diviser». «On s’installe dans la guerre». «La Russie joue le jeu de l’Azerbaïdjan», a-t-il abondé. En Arménie, «la Russie joue le jeu de l’Azerbaïdjan». «La Russie a utilisé» le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, a estimé le Président. Le président russe Vladimir Poutine «doit cesser cette guerre, respecter l’intégrité territoriale de l’Ukraine et revenir autour de la table des discussions», a affirmé Macron, en reprochant à son homologue d’avoir fait le «choix» d’«installer» l’Europe «dans la guerre». «Nous nous tenons aux côtés de celles et ceux» qui manifestent en Iran, a assuré le Président. «On va livrer des radars, des systèmes et des missiles anti-aériens pour protéger [les Ukrainiens] des attaques, en particulier pour les protéger des attaques de drones», a-t-il dit.
Guerre en Ukraine, crise énergétique, Arménie, manifestations en Iran... Le président de la République s'est exprimé pendant une heure, mercredi soir, ...
Les premières inspections suédoises, dévoilées la semaine dernière, ["renforcent"](https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/fuites-sur-les-gazoducs-nord-stream-les-premieres-inspections-suedoises-renforcent-les-soupcons-de-sabotage_5401237.html) [ pourtant ](https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/fuites-sur-les-gazoducs-nord-stream-les-premieres-inspections-suedoises-renforcent-les-soupcons-de-sabotage_5401237.html) ["les soupçons de sabotage"](https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/fuites-sur-les-gazoducs-nord-stream-les-premieres-inspections-suedoises-renforcent-les-soupcons-de-sabotage_5401237.html). 20h45 : "Quand on est en responsabilité et qu'on essaie de faire revenir la paix, on doit parler, et on doit parler aux protagonistes. Le chef de l'Etat en a profité pour redéfinir la position française dans ce conflit : "aider les Ukrainiens à résister" et "bâtir les conditions pour négocier le retour à la paix". Ces textes fixent les limites à respecter en temps de guerre pour la protection des civils, du personnel sanitaire, des blessés, des prisonniers de guerre… La Russie a fait du gaz un instrument de guerre." 21h00 : #CARBURANT Le chef de l'Etat est maintenant interrogé sur la pénurie. 23h01 : Emmanuel Macron estime qu'un retour à la normale de l'approvisionnement des stations-service en carburant pourra être possible "dans le courant de la semaine qui vient". 22h15 : En pleine crise énergétique, le chef de l'Etat a mentionné la réforme du marché européen de l'électricité qu'il défend. 21h39 : La soirée continue sur France 2 avec un débat qui approfondira les sujets abordés par le chef de l'Etat. "Il est temps de réquisitionner la direction de Total. "La France condamne les répressions aujourd'hui menées par le régime iranien et nous nous tenons aux côtés de ces femmes. 23h12 : Comme avec la Russie de Vladimir Poutine, qu'il se refuse toujours à qualifier de "dictateur", Emmanuel Macron s'emploie une nouvelle fois à défendre une vision réaliste des relations diplomatiques, qui peut être critiquée par les peuples en révolte : "Qu'est-ce que c'est que la diplomatie ?
Le locataire de l'Élysée a rappelé le soutien de la France "sans participer à la guerre". "Nous avons livré des armes pour résister", a ajouté Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron souhaite que la CGT permette au pays de fonctionner, "quand un accord majoritaire est signé". Mais je le dis très clairement, si le dialogue social n'aboutit pas dans les prochaines heures, nous réquisitionnerons", ajoute le président La France condamne les répressions du régime iranien", lance Emmanuel Macron Les sanctions ciblées prises contre la Russie "sont en train de marcher", a confirmé le chef de l'État. Le locataire de l'Élysée a rappelé le soutien de la France "sans participer à la guerre". Il a surtout misé sur un retour à la normale "dans le courant de la semaine qui vient".
Mercredi soir, Emmanuel Macron a expliqué son action diplomatique lors d'une émission sur France 2 consacrée à l'international. Son rôle en Ukraine est…
"Cet été, nous avons constaté un changement dans la rhétorique et les décisions du côté français après le retour de Kiev, raconte un conseiller extérieur du gouvernement ukrainien. [Vladimir Poutine](//www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/vladimir-poutine-pourquoi-il-peut-perdre-le-dossier-de-l-express_2180536.html) et sa volonté affichée de "ne pas humilier la Russie" passent très mal dans les pays qui ont vécu sous occupation soviétique, en particulier la Pologne et les pays Baltes. Son ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a égrené une liste de livraisons pour l'Europe de l'Est : des chars Leclerc en Roumanie, des avions Rafale en Lituanie et des véhicules blindés Griffon en Estonie. Le président français semble par ailleurs avoir infléchi son discours sur la Russie depuis le mois de juin. Le président a, en parallèle, annoncé un nouveau fonds de 100 millions d'euros d'aide militaire à Kiev. Le 6 octobre, à Prague, la réunion des 44 chefs d'Etat de la "Les appels téléphoniques entre Macron et Poutine n'ont vraiment rien donné de positif, [nous expliquait l'ancien secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen](https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/la-russie-ne-doit-plus-jamais-pouvoir-envahir-les-recommandations-de-l-ex-patron-de-l-otan_2180050.html), en septembre. "En définitive, les Français n'ont presque rien fait, renchérit Anders Fogh Rasmussen, l'ex-patron de l'Otan. Les Ukrainiens ont le sens du timing, et de la communication. [l'Ukraine](https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/l-ukraine-hesite-entre-est-et-ouest_1302698.html). Aucun doute : Kiev garde un oeil sur les programmes de la télévision française et entend bien maintenir Emmanuel Macron sous pression. Nous avons décidé d'isoler Poutine et son pays, et cette attitude accommodante de la France envers la Russie crée une division en Europe."
Sur France 2, le Président se fait désormais un défenseur forcené de la souveraineté française mais aussi européenne pour se protéger de l'Ogre de Moscou.
En prenant la tête de ce nouveau combat, la lutte contre la « guerre hybride », il a remis son costume préféré, celui de chef de guerre. Selon le chef de l’Etat, particulièrement offensif au cours de l’émission, la « guerre hybride » qu’ont déclenchée les nouveaux apparatchiks de Moscou, est multiforme et ne se limite pas à des terrains de conflit classique. « La Russie cherche à créer le désordre pour nous affaiblir et nous diviser », a-t-il ajouté, sur un ton martial. Comme pour tous les présidents de la Cinquième République, les guerres sont des formidables accélérateurs de popularité. L’homme qui rêvait de faire la paix en faisant les yeux doux à l’ancien agent du KGB s’est transformé en apôtre du bouclier aérien pour protéger le pays en résistance. A vingt mètres de lui, le maître des lieux, le toisant avec la morgue du déjà vainqueur.
Pénurie de carburant, guerre en Ukraine, menace nucléaire... Le président Emmanuel Macron s'est exprimé mercredi soir sur France 2 pour une heure ...
[le chef de l'État a prévu un retour à la normale "dans le courant" de la semaine prochaine sur le front des carburants](https://www.europe1.fr/societe/carburants-emmanuel-macron-prevoit-le-retour-a-la-normale-la-semaine-prochaine-4140368), alors que les Français sont confrontés à des difficultés croissantes d'approvisionnement en raison des grèves dans les raffineries. Sa dernière interview télévisée, déjà placée sous le signe des risques de pénurie et de la "sobriété" énergétique, remonte au 14 juillet. Emmanuel Macron a rappelé que cette crise n'avait "rien à voir avec la guerre" en Ukraine, mais à des conflits sociaux "dans deux entreprises, Exxon et Total, qui ont fait des profits importants parce que le contexte est bon pour ces entreprises, qui ont beaucoup distribué à leurs actionnaires et qui ont des négociations sociales en cours", a-t-il expliqué. La France se tient "aux côtés" des manifestants iraniens, a déclaré mercredi le président français Emmanuel Macron. Mais Philippe Martinez, le leader de la CGT, a dénoncé une "décision scandaleuse" et annoncé le dépôt d'un référé jeudi, pour s'y opposer. Il a estimé que ces manifestants portaient "l'universalisme de nos valeurs". Le président français a également répété que la France envisageait de livrer des canons Caesar supplémentaires à l'Ukraine. [va livrer des systèmes de défense anti-aérienne à l'Ukraine](https://www.europe1.fr/international/guerre-en-ukraine-la-france-va-livrer-a-kiev-des-systemes-de-defense-anti-aerien-4140366), a annoncé Emmanuel Macron. "Aujourd'hui, d'abord, Vladimir Poutine doit cesser cette guerre, respecter l'intégrité territoriale de l'Ukraine et revenir autour de la table des discussions", a affirmé le président sur France 2, assurant ne pas vouloir d'une "guerre mondiale". Les enjeux sont d'autant plus lourds que la guerre entre dans une nouvelle phase, avec des frappes russes massives depuis lundi sur le territoire ukrainien et des menaces directes du Kremlin sur les Européens qui soutiennent Kiev. "Si le président Loukachenko décide de s'engager encore davantage dans cette guerre, il le fera contre l'avis d'une bonne partie de son peuple et il le fera en prenant une responsabilité qui ne sera pas, je pense, sans lui poser des problèmes", a-t-il déclaré. Pénurie de carburant, [guerre en Ukraine](https://www.europe1.fr/dossiers/ukraine), menace nucléaire...
Face à l'endurance du blocage des raffineries françaises, Emmanuel Macron a appuyé l'annonce d'Élisabeth Borne concernant les réquisitions du personnel, ...
Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Et d'évoquer l'accord obtenu par des syndicats d'Esso avec leur direction, qui n'aura pas suffi à débloquer la situation. Alors que six des sept raffineries françaises sont encore en grève ce mercredi 12 octobre, Emmanuel Macron durcit le ton.
Face à la pénurie de carburants causée par les grèves dans les raffineries TotalEnergies et Esso-ExxonMobil, la Première ministre a réquisitionné des ...
« Mais je le dis très clairement : si le dialogue social n’aboutit pas dans les prochaines heures, nous réquisitionnerons », a-t-il averti. Venu soutenir les salariés grévistes d’ExxonMobil à Port-Jérôme, il a annoncé le dépôt jeudi d’un recours en référé contre les réquisitions de quatre d’entre eux. Je peux vous annoncer que demain nous irons en référé pour soutenir tous les salariés qui sont réquisitionnés » pour permettre la livraison de carburants mercredi soir et jeudi. « Le dialogue social doit vivre », selon lui. Mais la grève se poursuivait, y compris chez TotalEnergies, faute d’avancées sur les négociations salariales. Bientôt un retour à la normale dans les stations-service ?
" Négocier, cela ne veut pas dire renoncer, mais nous devons tout faire pour que la paix revienne". Emmanuel Macron (Au sujet de Vladimir Poutine et du conflit ...
Il a condamné, au nom de la France, " la répression menée par le régime iranien, c'est un peuple souverain qui réclame sa liberté". "C'est en train de marcher : la Russie est profondément déstabilisée". Il avait évoqué auparavant sa dernière rencontre, "il y a quelques semaines, pour permettre de protéger la centrale de Zaporijjia". La Russie diffuse de la propagande." On a une doctrine : la dissuasion fonctionne, mais ensuite, moins on en parle, moins on agite la menace, plus on est crédible." Et nous allons aussi livrer des radars et des missiles pour protéger de ces attaques".
Le président a fait commandeur de la Légion d'honneur l'homme qui reste l'incarnation d'une République intransigeante. « Le Point » y était.
Affaibli, mais le buste droit, et sans lire aucune note, l'ancien ministre (Éducation, Défense, Intérieur), incarnation vivante d'un ordre républicain ferme mais humaniste, a commencé par dire que cette décoration « honorait la longue cohorte de ceux qui [l']ont accompagné depuis cinquante ans ». [Che](/tags/ernesto-guevara) national ! Décoré des insignes de commandeur de la Légion d'honneur par [Emmanuel Macron](/tags/emmanuel-macron), ce mercredi 12 octobre, à l'Élysée, [Jean-Pierre Chevènement](/tags/jean-pierre-chevenement) a bousculé quelque peu le protocole en demandant à parler avant le président de la République.
Cette suggestion survient alors le président russe, Vladimir Poutine, devait rencontrer jeudi au Kazakhstan son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan. « Les ...
S’il cherche à éviter toute escalade, le chef de l’Etat rappelle aussi que la France est « dotée » de l’arme nucléaire. Il a cependant défendu sur France 2 son souci constant de parler quand nécessaire au chef du Kremlin, en particulier sur des sujets comme le sort de la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée et annexée par les Russes, et dont les Ukrainiens espèrent reprendre le contrôle. « A un moment donné ce sera de l’intérêt de l’Ukraine et de la Russie de négocier, a dit le chef de l’Etat. Quant à Volodymyr Zelensky, il refuse désormais d’imaginer le moindre contact avec son homologue russe, depuis l’annexion par Moscou, fin septembre, des territoires occupés du Donbass, de Kherson et de Zaporijia. Le président russe Vladimir Poutine « doit cesser cette guerre, respecter l’intégrité territoriale de l’Ukraine et revenir autour de la table des discussions », a répété M. [Emmanuel Macron a cherché, mercredi 12 octobre sur France 2, à confirmer le soutien de la France à l’Ukraine](https://www.lemonde.fr/politique/live/2022/10/12/emmanuel-macron-sur-france-2-suivez-en-direct-l-interview-du-president-sur-les-crises-internationales_6145532_823448.html), sans fermer la porte à un éventuel dialogue avec Moscou quand Kiev l’estimera possible.
Maladresses de communication, malaise vis-à-vis de TotalEnergies et manque de solidarité entre ministres : le mouvement de grève dans les raffineries a ...
(…) Le dialogue social nous y croyons », a insisté Emmanuel Macron, qui avait misé sur la redistribution volontaire des marges par les groupes pétroliers, plutôt que sur une taxation de leurs bénéfices exceptionnels dus à la guerre en Ukraine. La panique se ressent. « On a toujours tendance à mettre le singe sur l’épaule du gouvernement. Le gouvernement n’aurait donc pas, pense-t-il, mal anticipé les pénuries qui pénalisent depuis plus de dix jours les Français incapables d’utiliser leurs véhicules. Ce devait être une émission consacrée aux crises internationales, à la guerre en Ukraine, à l’énergie et au climat. Il aura fallu à peine trente minutes d’entretien
Inaugurant la nouvelle émission politique de France 2 «L'événement» ce mercredi, Emmanuel Macron a détaillé la position de la France dans plusieurs dossiers ...
Le chef de l’État espère que « le retour à la normale » se fasse « dans le courant de la semaine qui vient ». Je suis pour le dialogue social, pour la négociation, mais jamais pour le blocage », a martelé le chef de l’État, répétant comme il l’avait fait lundi que « ce n’est pas au président de la République de faire des négociations d’entreprises ». Nous ne lâcherons pas l’Arménie » assure-t-il, accusant la Russie de « déstabilisation » de la région. Le chef de l’État, qui veut gagner la « bataille du climat et de l’indépendance », veut mettre un terme aux usines à charbon en Europe, et prôner le nucléaire et le renouvelable. Il s’agit de conflits sociaux dans des entreprises qui ont fait des profits importants, qui ont beaucoup distribué à leurs actionnaires et qui ont beaucoup tardé » en termes de redistribution à leurs salariés, explique le président de la République. « [Je souhaite] que la CGT permette au pays de fonctionner. Face à Caroline Roux, Emmanuel Macron a rappelé la position de la France face à la Russie et son action pour aider l’Ukraine. Il y a donc consacré une partie de son propos, appelant une nouvelle fois « à la responsabilité » les syndicats grévistes et les deux groupes pétroliers pour aboutir à un accord ; rappelant qu’il ne pouvait accepter un blocage du pays. Sur cet épineux sujet de l’énergie ; de l’électricité et donc aussi du nucléaire français, Emmanuel Macron – un deuxième graphique à la clé sur le prix de l’électricité – s’est animé, voire agacé, réclamant des Français du « recul » pour analyser la situation française par rapport à celle de nos voisins qui paient beaucoup plus cher que nous leur électricité. Pour sa première prise de parole depuis son interview du 14-Juillet, Emmanuel Macron devait être interrogé ce mercfredi soir en direct dans la nouvelle émission politique de France 2, « L’événement », sur l’international avant d’aborder le national dans 15 jours. Une seconde interview sur les sujets nationaux est prévue le 26 octobre, mais le chef de l’État a dû évoquer la crise des carburants en France. Ainsi la première réunion thématique du Conseil national de la refondation (CNR), lundi, sur la santé a été percutée par le retour des bombardements russes en Ukraine au-delà de la ligne de front ; puis le premier sommet réussi de la Communauté politique européenne – son idée lancée le 9 mai – s’est retrouvé jeudi à Prague éclipsé par la crise des carburants dans l’Hexagone.
En septembre, au moins 286 personnes ont été tuées dans des affrontements entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan.
"La Russie a utilisé ce conflit qui datait de plusieurs décennies", a-t-il insisté. Le président français Emmanuel Macron a accusé mercredi la Russie d'avoir "joué le jeu" de l'Azerbaïdjan, avec une "complicité turque", face à l'Arménie et de poursuivre 'une "manoeuvre de déstabilisation" dans la région. Avant d'ajouter: "C'est une manoeuvre de déstabilisation de la Russie qui, dans le Caucase, cherche à créer le désordre pour tous nous affaiblir et nous diviser".
Retrouvez les principales déclarations d'Emmanuel Macron dans l'émission spéciale « L'Evénement » sur le conflit en Ukraine et ses conséquences.
La guerre concerne la France sur trois points selon Emmanuel Macron : « Un pays de notre continent est attaqué, son intégrité territoriale a été violée par son voisin, puis nos principes ont été attaqués, et enfin, la Russie est un Etat doté, ils ont l'arme nucléaire ». Cette aide arrivera dans les « prochaines semaines », précise-t-il. « En tant que puissance dotée, la Russie a cette responsabilité historique, et Vladimir Poutine le sait. « Non » on ne pouvait pas faire des réquisitions avant « car le dialogue sociale doit se faire », affirme Emmanuel Macron. A un moment donné, ce sera l'intérêt de l'Ukraine et de la Russie de retourner à la table des négociations ». Donc la question est de savoir si ces buts de guerre ne seront obtenus que militairement.
Et aussi : Christophe Béchu n'a pas aimé son bizutage ; Anne Hidalgo ne voyage pas comme le PSG ; Gourdault-Montagne juge Laurent Fabius « peu chaleureux »…
« Il pourrait démissionner pour mieux revenir », spécule le même, qui imagine le président rester en poste au moins ju... Et il n'a pas envie d'être celui qui remettra les clés de l'Élysée à Marine Le Pen, dans cinq ans », confie un fidèle, qui y voit l'explication de sa récente menace de dissolution de l' [Assemblée nationale](/tags/assemblee-nationale) en cas de motion de censure de l'opposition, ce qui a provoqué la surprise dans son propre camp. [Emmanuel Macron](/tags/emmanuel-macron) claquant la porte avant 2027, sur un référendum avorté ou des législatives anticipées perdues.
VIDÉO. Le chef de l'Etat a renvoyé à leurs responsabilités salariés et dirigeants de Total et d'Exxonmobil et anticipe un retour à la normale « dans le ...
Mais Philippe Martinez, le leader de la CGT, a dénoncé une « décision scandaleuse » et annoncé le dépôt d’un référé ce jeudi, pour s’y opposer. « Je pense qu’il y a des secteurs et certains acteurs qui considèrent qu’on peut aller dans le dur tout de suite, pour parler familièrement », a-t-il regretté. [Cours d'espagnol avec Gymglish.com](https://cours-espagnol.nouvelobs.com?rfextension=LOBS-SERVCICES-RUBRIQUE-POLITIQUE) [handicape des milliers de Français](https://www.nouvelobs.com/societe/20221012.OBS64507/je-suis-obligee-d-annuler-des-passages-chez-des-patients-les-infirmieres-liberales-inquietes-face-a-la-penurie-d-essence.html) depuis près d’une semaine. Mais je le dis très clairement : si le dialogue social n’aboutit pas dans les prochaines heures, nous réquisitionnerons. « Le dialogue social doit vivre.
DISCOURS MACRON. Emmanuel Macron était le premier invité de la nouvelle émission politique de France 2, L'Événement, le 12 octobre 2022.
Quant à l'Arménie où les affrontements avec l'Azerbaïdjan pour la région du Haut-Karabagh font toujours rage, le chef de l'Etat a promis que "nous ne lâcherons pas les Arméniennes et les Arméniens" en rappelant la participation de la France dans les négociations entre les deux belligérants à Prague. Le président de la République a toutefois pris le parti des automobilistes qui subissent de plein fouet les conséquences de la grève et a critiqué le comportement des syndicats : "Que la CGT permette au pays de fonctionner". Le 26 octobre 2022, Emmanuel Macron sera à nouveau l'invité de l'émission L'Évènement. En ce qui concerne la révolution qui semble se préparer en Iran après le décès de Mahsa Amini, Emmanuel Macron a assuré que "la France condamne les répressions menées par le régime iranien et nous nous tenons aux côtés de ces femmes" qui militent pour leur droit et leur liberté. Emmanuel Macron a aussi mis son homologue russe en garde à propos de l'arme nucléaire dans les premières minutes de l'entretien. Le chef des armées a aussi confirmé la prochaine livraison de six canons d'artillerie Caesar supplémentaires normalement destinés au Danemark. Une volonté de guerre que le chef de l'Etat pointe du doigt mais à laquelle il veut répondre par le dialogue. Il a appelé à la "responsabilité" des syndicats mais aussi des dirigeants des sociétés pétrolières, les invitants à se remettre autour de la table : "Je suis pour la négociation, pas pour le blocage." Mais ce sont surtout les déclarations du chef de l'Etat sur la pénurie d'essence, hors du cadre prévu par l'interview, qui ont retenu l'attention. Mais celui qui s'est positionné durant les premiers mois de la guerre comme un médiateur entre Kiev et Moscou n'a pas pu se contenter de rejeter la faute sur l'un des belligérants et a appelé, une nouvelle fois, son Vladimir Poutine à "cesser cette guerre, respecter l'intégrité territoriale de l'Ukraine et revenir autour de la table des discussions." C'est chose faite puisque le chef de l'Etat a accusé son homologue russe d'avoir "déclenché une guerre de manière unilatérale contre un pays voisin [et] mis en danger tout un peuple et le continent". Il s'est longuement exprimé sur la guerre en Ukraine et a eu un mot sur la pénurie d'essence.](https://img-4.linternaute.com/i9eVbtsJI5jRnKncFBI0_UEpdtU=/1500x/smart/abed214fcd9c4184921d19f8d0580da2/ccmcms-linternaute/38526305.jpg)
Le chef de l'Etat s'est exprimé ce mercredi soir sur France 2. En plus des sujets internationaux, Emmanuel Macron est revenu sur les grèves et la pénurie ...
Emmanuel Macron a en outre accusé la Russie de « déstabilisation » dans ce conflit. Dès le début de l’entretien, Emmanuel Macron a exhorté Vladimir Poutine à « revenir autour de la table des discussions ». Pour autant : « Nous ne sommes pas en guerre », a-t-il rappelé plusieurs fois, expliquant que la France n’est pas cobelligérante. Le président Macron a insisté sur le fait qu’une négociation serait, in fine, aussi dans « l’intérêt » de Kiev. « Moins on en parle », plus elle est crédible, a-t-il glissé en substance. « On est en train d’essayer de les livrer tout de suite aux Ukrainiens », a-t-il dit. Le chef de l’Etat a ensuite exhorté la CGT à permettre au pays de fonctionner : « Je suis pour la négociation, jamais pour le blocage. [l’enlisement de la situation](https://www.nouvelobs.com/social/20221012.OBS64484/greves-reconduites-a-esso-exxonmobil-et-totalenergies-le-gouvernement-poursuit-les-requisitions-des-personnels.html), 30 % des stations-service qui connaissent des difficultés d’approvisionnement en carburant en France, des salariés réquisitionnés et la poursuite des grèves dans six raffineries sur huit, Emmanuel Macron a évoqué [un retour à la normale](https://www.nouvelobs.com/social/20221012.OBS64523/penurie-d-essence-macron-prevoit-le-retour-a-la-normale-dans-le-courant-de-la-semaine-prochaine.html) « dans le courant de la semaine qui vient ». Après deux jours de bombardements russes intensifs, le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait demandé la création d’un « bouclier » antiaérien au-dessus de l’Ukraine. Mais là, on a la rage » : chez Esso-ExxonMobil, les réquisitions remotivent les grévistes](https://www.nouvelobs.com/social/20221012.OBS64521/le-mouvement-s-essoufflait-mais-la-on-a-la-rage-chez-esso-exxonmobil-les-requisitions-remotivent-les-grevistes.html) Le chef de l’Etat est aussi revenu pendant une heure, comme prévu, sur le conflit en Ukraine, ainsi que la guerre en Arménie et les manifestations en Iran. Le chef de l’Etat s’est exprimé ce mercredi soir sur France 2.
France 2 inaugurait jeudi soir “L'événement”, sa nouvelle émission politique, par un entretien d'une heure du chef de l'État consacré à l'international.
Les 5,4 millions de curieux qui les ont écoutés – soit près de 24 % du public présent devant la télé, un succès d’audience –, aussi. Caroline Roux cède alors son fauteuil à Carole Gaessler, présentatrice du JT de France 3, pour animer la deuxième partie, L’événement, la suite – un long débat de bonne facture avec des experts, des envoyés spéciaux à Kiev, à Washington, ou un duplex avec la présidente de la Géorgie. Après avoir rapidement abordé les situations en Arménie et en Iran, la journaliste tente de mettre un point final à l’entretien, mais Macron, lancé sur la défense de son bilan, jouerait bien les prolongations. « La Russie a fait du prix du gaz un instrument de guerre. Patience : il est à nouveau l’invité de l’émission, le 26 octobre, même heure, même endroit, pour un entretien ciblé sur les sujets de politique intérieure. » – « Dans le courant de la semaine qui vient », répond du tac au tac le président, la journaliste trouvant là un angle d’attaque. » […] « On aurait pas pu faire les réquisitions avant ? » Il annonce, entre autres, la livraison de nouveaux armements ou pèse ses mots à propos de la menace nucléaire : « Moins on en parle, moins on agite la menace, plus on est crédible. « Je vous remercie de suivre avec beaucoup de courage ce conflit », la complimente Emmanuel Macron, adressant ses pensées au journaliste de BFMTV Frédéric Leclerc-Imhoff, tué en mai dernier. Terminé – les visages de Français anonymes apparaissant en visio – les grands duels avec un adversaire politique ou le défilé de chroniqueurs et d’éditorialistes. Elle a remplacé Léa Salamé (partie animer un talk-show le samedi soir) à la présentation de l’émission politique, et », amorce Caroline Roux, rentrant dans le vif du sujet, comme elle le fait chaque après-midi dans C dans l’air, son magazine de décryptage de France 5.
Le chef de l'Etat a remis à l'ancien ministre de François Mitterrand les insignes de commandeur de la Légion d'honneur, devant un aréopage de personnalités ...
», s’inquiète l’ex-ministre, persuadé que l’« axe républicain » de Chevènement, « s’il devient une politique », pourrait aider à « éviter le pire ». De son côté, Arnaud Montebourg se réjouit que la question de la souveraineté, chère à son « mentor », ait retrouvé une actualité. », rétorque-t-elle, [évoquant les files d’attente aux stations-service.](https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/10/13/cette-crise-des-carburants-que-le-gouvernement-et-emmanuel-macron-n-ont-pas-voulu-voir_6145571_823448.html) [L’insolente santé du souverainisme](https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/02/11/l-insolente-sante-du-souverainisme_6113235_3232.html) L’ex-candidate à la présidentielle de 2007 se souvient « comme si c’était hier » « Ça me fait plaisir de revoir la famille même si elle vieillit », glisse Ségolène Royal. Avant de lui remettre les insignes de commandeur de la Légion d’honneur, Emmanuel Macron a rendu hommage au souverainiste, « sourcil de jais et regard grave », ayant incarné « l’esprit de la République ».
"Aider les Ukrainiens à se protéger." La France va livrer dans les prochaines semaines des radars et des missiles anti-aériens pour protéger l'Ukraine, ...
Pour le président, Il faudra un jour "revenir autour de la table et de négocier": "Négocier, ce n'est pas renoncer", a-t-il ajouté en justifiant, ainsi, de continuer à maintenir un canal de discussion avec Vladimir Poutine. "Moins on en parle, moins on agite la menace plus on est crédible", a-t-il rappelé en mettant en garde contre les risques de surenchère et d'escalade. Emmanuel Macron n'a pas précisé la nature ni le nombre de systèmes livrés, parlant simplement de "radars et de systèmes avec des missiles anti-aériens". [drones de fabrication iranienne](/monde/europe/manifestations-en-ukraine/guerre-en-ukraine-que-sait-on-des-drones-iraniens-employes-par-l-armee-russe_5399380.html) qui ont en effet été utilisés massivement par l'armée russe lundi et mardi pour bombarder les villes ukrainiennes. La France en possède douze et pourrait en donner trois, selon les chiffres avancés par plusieurs analystes militaires, qui précisent qu'il s'agit de missiles courte-portée qui s'inscrivent en complément des systèmes déjà fournis par les Américains et les Allemands. Après les Etats-Unis et l'Allemagne, la France devrait donc livrer à l'Ukraine de quoi l'aider à créer un bouclier anti-aérien.
[VIDÉO] ▶️ Mercredi soir, Emmanuel Macron a annoncé que des armes anti-aériennes vont être livrées à l'Ukraine. Récemment, Kiev avait requis un soutien ...
[L’Allemagne signe un accord pour renforcer la défense anti-aérienne de l'Otan... - 1 Le point sur la situation en Ukraine](/international/video-guerre-ukraine-visite-historique-de-macron-livraison-d-armes-combats-dans-le-donbass-le-point-sur-la-situation-2223426.html)Publié le 17 juin 2022 à 6h20 [canons Caesar](/international/video-reportage-tf1-guerre-en-ukraine-canon-caesar-francais-les-secrets-de-fabrication-d-une-arme-redoutable-2232893.html) seraient de nouveau livrés aux militaires ukrainiens. Emmanuel Macron a également annoncé que des Les demandes de l’Ukraine vont être entendues.
Le président reçoit le 18 octobre une quinzaine de convives, dont Robert et Élisabeth Badinter, pour évoquer la mémoire de cette figure de la IVe ...
On le décrit soucieux de se nourrir, d'échanger, de sortir du carcan de l'Élysée et des « tableaux Excel d'Alexis Kohler », son secrétaire général. « Il cherche toujours comment marquer l'Histoire de son empreinte », souffle un proche. « Le président veut voir des monuments, des légendes », note son entourage. L'ancien ministre [Robert Badinter](/tags/robert-badinter) et son épouse la philosophe [Élisabeth Badinter](/tags/elisabeth-badinter), la journaliste [Anne Sinclair](/tags/anne-sinclair), l'homme de presse Claude Perdriel, l'ancien député socialiste François Loncle… Ses conseillers le remarquent : depuis plusieurs semaines, le président se dit désireux [d'ouvrir les portes de l'Élysée](https://www.lepoint.fr/politique/textos-rendez-vous-secrets-marches-les-nuits-d-emmanuel-macron-18-08-2022-2486697_20.php), de varier le panel de ses interlocuteurs, de s'extraire de l'urgence des dossiers. [Algérie](/tags/algerie), le chef de l'État recevra ainsi à déjeuner à l'Élysée un drôle d'aréopage.
« Les Arméniens vous appellent », écrit Sylvain Tesson à Emmanuel Macron. L'écrivain français a publié une lettre dans Le Figaro à l'adresse du président de la ...
[Le Figaro](https://www.lefigaro.fr/vox/monde/la-lettre-de-sylvain-tesson-a-emmanuel-macron-monsieur-le-president-l-armenie-est-en-passe-de-disparaitre-20221013) à l’adresse du président de la République pour l’alerter sur la [situation au Haut-Karabakh](https://www.20minutes.fr/monde/3333819-20220804-haut-karabakh-tout-comprendre-conflit-oppose-azerbaidjan-armenie), et plus généralement sur le conflit entre l’Arménie et [l’Azerbaïdjan](https://www.20minutes.fr/monde/azerbaidjan/). [Invité dans l’émission de France 2 L’Evènement](https://www.20minutes.fr/politique/4005117-20221012-macron-france-2-president-veut-eviter-escalade-nucleaire-dit-pret-requisitions-carburant), Emmanuel Macron a assuré que la France « ne laisse pas tomber » les Arméniens. [La Russie](https://www.20minutes.fr/monde/4004851-20221011-guerre-ukraine-missiles-russes-pleuvent-encore-corps-civils-ukrainiens-exhumes-zones-liberees) a utilisé ce conflit qui datait depuis plusieurs décennies et elle s’est immiscée dans ce conflit, elle a manifestement joué le jeu de l’Azerbaïdjan, avec une complicité turque, et elle est revenue là pour affaiblir l’Arménie qui pourtant naguère était un pays dont elle était proche. Des propos « inacceptables », a fustigé Moscou jeudi. La présence de Moscou dans cette région est analysée par Emmanuel Macron comme « une manœuvre de déstabilisation de la Russie, qui dans le Caucase cherche à créer le désordre pour tous nous affaiblir et nous diviser ». [conflit qui oppose l’Azerbaïdjan et l’Arménie](https://www.20minutes.fr/monde/3349055-20220913-passe-quoi-frontiere-entre-armenie-azerbaidjan), Emmanuel Macron a pointé du doigt Moscou.
"Les déclarations d'Emmanuel Macron selon lesquelles la Russie se servirait du conflit au Nagorny Karabakh pour déstabiliser le Caucase du Sud sont ...
Aux yeux de la diplomatie russe, ces "propos absurdes du président français prouvent que Paris n'a pas intérêt à établir une paix durable dans la région et mettent en doute la capacité de son pays à y jouer un rôle constructif". "C'est une manœuvre de déstabilisation de la Russie qui, dans le Caucase, cherche à créer le désordre pour tous nous affaiblir et nous diviser", a-t-il estimé. "Les déclarations d'Emmanuel Macron selon lesquelles la Russie se servirait du conflit au Nagorny Karabakh pour déstabiliser le Caucase du Sud sont révoltantes et absolument inacceptables", a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.