Belgique

Grâce à une alerte des policiers néerlandais, plusieurs patrouilles autoroutières belges l'ont pris en chasse dans la région d'Anvers.

Cela a poussé le suspect à accélérer à «des vitesses allant jusqu'à 190 km/h», et à emprunter la bande d'arrêt d'urgence pour certains dépassements, poursuit le communiqué. L'accident est survenu sur l'E313 à Grobbendonk, à l'est d'Anvers, quand la présence d'un véhicule de service sur la bande d'arrêt d'urgence l'a obligé à se rabattre brusquement. Grâce à une alerte des policiers néerlandais, plusieurs patrouilles autoroutières belges l'ont pris en chasse dans la région d'Anvers.

L'homme de 35 ans, de nationalité algérienne vivant en France, a heurté un camion avec son véhicule et tenté de fuir à pied avant son interpellation Un ...

L’accident est survenu sur l’E313 à Grobbendonk, à l’est d’Anvers, quand la présence d’un véhicule de service sur la bande d’arrêt d’urgence l’a obligé à se rabattre brusquement. Grâce à une alerte des policiers néerlandais, qui ont vu le fuyard se diriger sur l’A16 vers la Belgique, des agents belges ont pu le repérer peu après la frontière et plusieurs patrouilles autoroutières l’ont alors pris en chasse dans la région d’Anvers. Un homme de 35 ans a été interpellé jeudi soir 6 octobre après un accident sur une autoroute belge, alors qu’il transportait près de 80 000 pilules d’ecstasy et fuyait la police à très vive allure, a indiqué ce vendredi 7 octobre le parquet d’Anvers (Nord).

Un homme a été interpellé jeudi soir après un accident sur une autoroute belge, alors qu'il transportait près de 80 000 pilules d'ecstasy.

Un homme de 35 ans a été interpellé jeudi soir après un accident sur une autoroute belge, alors qu'il transportait près de 80 000 pilules d'ecstasy et fuyait la police à très vive allure, a indiqué vendredi le parquet d'Anvers (nord). L'accident est survenu sur l'E313 à Grobbendonk, à l'est d'Anvers, quand la présence d'un véhicule de service sur la bande d'arrêt d'urgence l'a obligé à se rabattre brusquement. Grâce à une alerte des policiers néerlandais, qui ont vu le fuyard se diriger sur l'A16 vers la Belgique, des agents belges ont pu le repérer peu après la frontière et plusieurs patrouilles autoroutières l'ont alors pris en chasse dans la région d'Anvers.

Il s'agit de solutions envisagées par les entreprises et non pas d'une initiative gouvernementale. Va-t-on encore passer un hiver sans séances de cinémas, ...

- 10 Venise submergée par les visiteurs](/international/video-venise-les-touristes-suivis-a-la-trace-2228400.html)Publié le 5 août 2022 à 9h52 - 6 - 2 - 5 N'hésitez pas à nous écrire à l'adresse [email protected]. Mais à aucun moment le gouvernement ne propose de confiner une partie de sa population pour baisser la consommation. Vous souhaitez nous poser des questions ou nous soumettre une information qui ne vous paraît pas fiable ? ["flambée des prix de l'énergie" ](/conso/video-energie-des-economies-faciles-chez-soi-2233652.html)– et non pas parce qu'ils auraient fait le choix de réduire leur consommation – "plusieurs entreprises, administrations et secteurs ont décidé de rationner éclairage et chauffage". [DH](https://www.dhnet.be/actu/belgique/2022/10/04/vers-un-confinement-energetique-des-cinemas-concerts-piscines-theatres-etc-entre-fermetures-temporaires-prix-a-la-hausse-et-seances-en-moins-il-faudra-choisir-TZ5W6WLT2FGJVAVUTFYHYA6UYI/), l'un des principaux quotidiens généralistes en Belgique francophone, il est titré ainsi : "Vers un confinement énergétique des cinémas, concerts, piscines, théâtres, etc ?" Pour éviter d'en arriver là, les médias belges expliquent donc comment d'autres secteurs s'adaptent. C'est la crainte de certaines figures de la complosphère.

Une jeune femme de 23 ans est morte par suicide assisté le 7 mai dernier en Belgique. Elle se portait bien physiquement mais endurait de lourdes souffrances ...

La demande, précise le texte, doit encore être "formulée de manière volontaire, réfléchie et répétée" et ce, sans subir de "pression extérieure". Enfin, le texte garantit aux praticiens une clause de conscience. Pour être demandeur, il faut être "majeur ou mineur émancipé", être en pleine possession de sa "capacité de discernement" et, bien entendu, être "conscient" au moment d'engager la procédure. Un cadre qui englobe donc le cas Shanti De Corte selon la Commission fédérale. Ce second médecin doit également rendre un rapport à l'issue de son examen. La loi ménage d'ailleurs un temps pour la réflexion: il doit s'écouler "au moins un mois entre la demande écrite du patient et l'euthanasie". La réunion de cette instance voulue par l'exécutif s'inscrit dans le sillage de [l'avis rendu](/societe/fin-de-vie-le-comite-d-ethique-juge-possible-une-aide-active-a-mourir-strictement-encadree_AD-202209130224.html), le 13 septembre, par le Comité consultatif national d’éthique qui s'est dit favorable à la légalisation d'une "aide active à mourir". Une Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l'euthanasie en chapeaute chacune des applications. Celui-ci définit d'abord clairement le public concerné par ce parcours de fin de vie. Composé de 16 membres - dont huit docteurs en médecine, quatre professeurs de droit ou avocats et quatre spécialistes des pathologies incurables - cet organe intervient a posteriori et non en amont. [l'attentat de l'aéroport de Zaventem](/international/attentats-de-bruxelles-l-aeroport-pas-prepare-a-gerer-une-attaque-terroriste_AN-201607070033.html) avait plongé Shanti De Corte dans une dépression dont elle n'a jamais pu sortir. Le 31 mars dernier, en déplacement en Charente-Maritime,

Shanti de Corte figurait parmi les rescapés du double attentat-suicide ayant ciblé le métro de la capitale belge et l'aéroport Bruxelles-Zaventem, au nord-est ...

[« Le débat sur l’euthanasie devrait s’inscrire dans une éthique de la discussion »](https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/09/26/le-debat-sur-l-euthanasie-devrait-s-inscrire-dans-une-ethique-de-la-discussion_6143165_3232.html) Il précise aussi que la famille, qui a refusé de répondre aux sollicitations de la RTBF, a « émis des réserves sur le respect de la déontologie et de l’éthique », estimant que le reportage contenait « plusieurs erreurs fondamentales ». En Belgique, où l’euthanasie est autorisée depuis 2002, la diffusion du reportage dévoilant la fin de vie choisie par Shanti de Corte a toutefois été décriée. [ RTBF](https://www.rtbf.be/article/shanti-victime-des-attentats-de-bruxelles-euthanasiee-a-23-ans-pour-souffrance-psychique-insupportable-11079597), service public audiovisuel belge, qui a révélé les dessous du décès de la jeune Flamande, mercredi 5 octobre, dans un épisode du [magazine d’information « Investigation »](https://www.rtbf.be/article/shanti-victime-des-attentats-de-bruxelles-euthanasiee-a-23-ans-pour-souffrance-psychique-insupportable-11079597) consacré aux victimes « oubliées » des attaques terroristes du 22 mai 2016. Un neurologue du CHU bruxellois Brugmann, Paul Deltenre, qui est intervenu dans le dossier, a notamment estimé auprès de la RTBF que l’euthanasie n’aurait pas dû avoir lieu car d’autres propositions de soins avaient été formulées à la jeune femme. [Le texte de loi ](http://www.ejustice.just.fgov.be/cgi_loi/change_lg.pl?language=fr&la=F&table_name=loi&cn=2002052837)précise que la demande formulée par le patient doit être « volontaire, réfléchie, répétée », « sans pression extérieure ». Le parquet d’Anvers a, lui, ouvert une enquête sur les faits suite à signalement, avant de classer l’affaire, concluant que la procédure avait été respectée. Son traitement médicamenteux est alourdi, et l’inquiétude de son entourage augmente. Souffrant d’un mal-être psychologique antérieur à l’attentat et amplifié par le traumatisme des attaques, la jeune femme a souhaité mettre fin à ses jours. « Quelques semaines après le 22 mars, Shanti [de Corte] est hospitalisée dans une structure psychiatrique anversoise. Alors que les élèves attendaient dans le hall des départs, les deux terroristes présents sur le site ont actionné leurs explosifs, à quelques mètres d’eux. Après un long parcours thérapeutique et hospitalier, cette Belge de 23 ans, rescapée des

Shanti De Corte, âgée de 17 ans au moment des attentats qui ont secoué la capitale belge en mars 2016, a été euthanasiée en mai dernier à l'âge de 23 ans.

En 2018, elle est à nouveau internée et un patient tente de l'agresser sexuellement. Cette Flamande de 17 ans n'a pas été blessée physiquement, mais elle a été traumatisée, diagnostiquée en proie à une « souffrance psychique insupportable ». Un décès - légal en Belgique - qui n'a été annoncé que jeudi.

Shanti De Corte a été euthanasiée avec l'aval du corps médical en mai dernier, ont annoncé plusieurs médias belges. Elle avait 23 ans.

Les psychiatres, après de multiples consultations, se sont dit qu’ils étaient au bout de leurs possibilités et qu’elle était incurable », a précisé, Yves de Locht, médecin généraliste à Bruxelles auprès de [BFM](https://www.bfmtv.com/international/europe/belgique/belgique-une-rescapee-des-attentats-de-bruxelles-euthanasiee-a-23-ans-pour-souffrances-psychiques_AV-202210070139.html). [RTBF](https://www.rtbf.be/article/shanti-victime-des-attentats-de-bruxelles-euthanasiee-a-23-ans-pour-souffrance-psychique-insupportable-11079597), la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie justifie sa décision d'accéder à la requête de la jeune femme. Selon plusieurs sources, ajoute la RTBF, une information judiciaire concernant l’euthanasie de Shanti De Corte a été ouverte au parquet d’Anvers. Elle contacte alors Leif, une association qui défend le droit de mourir dans la dignité et formule une nouvelle demande en avril dernier pour souffrance psychique irrévocable. Un temps, elle remonte la pente, tient bon la rampe et s’exprime même dans les médias pour témoigner, et prendre la parole au nom des victimes de attentats. Le 7 mai 2022, une jeune Flamande âgée seulement de 23 ans a été euthanasiée, entourée de sa famille avec l’aval du corps médical pour « souffrance psychologique insupportable ».

La jeune femme, alors âgée de 17 ans, était située à quelques mètres des terroristes lorsqu'ils ont fait exploser des bombes à l'aéroport de Zaventem, ...

Cette histoire resurgit alors que la Cour européenne des droits de l’homme a condamné mardi Bruxelles pour des « défaillances » dans le contrôle a posteriori des euthanasies. Mais la psychiatre de Shanti De Corte décline la proposition. « J’ai été informée que Shanti souffrait de traumas complexes et que la seule solution qui lui était proposée à ce jour est l’acceptation de sa demande d’euthanasie, écrit-elle à la psychiatre qui la prend en charge. [demandes d’euthanasie](https://www.leparisien.fr/societe/euthanasie-j-ai-euthanasie-quatre-francais-cette-annee-raconte-un-generaliste-belge-03-10-2017-7303929.php) refusées, la jeune femme a fini par « partir en paix ». Alertée par cette situation, une thérapeute d’Ostende fait une offre de soin à la jeune fille, rapporte RTBF. [à la presse](https://www.hln.be/de-krant/soms-schreeuw-ik-alsof-ik-terug-op-zaventem-ben-maar-ik-wil-leven-en-anderen-helpen~a0d9d898/) qu’elle veut « vivre et aider les autres. » Devenir la preuve vivante qu’on peut se relever de tout, la dépression et les traumatismes. En mai dernier, [la Flamande a été euthanasiée](https://www.leparisien.fr/international/apres-le-benelux-et-lespagne-lautriche-legalise-le-suicide-assiste-pour-les-personnes-gravement-malades-16-12-2021-CF2B6NWYN5AOHMLLN2XIEDUPZA.php) en Belgique, entourée de sa famille, relate plusieurs médias belges dont [RTBF](https://www.rtbf.be/article/shanti-victime-des-attentats-de-bruxelles-euthanasiee-a-23-ans-pour-souffrance-psychique-insupportable-11079597). [le hall de l’aéroport lorsque des terroristes ont fait exploser des bombes](https://www.leparisien.fr/faits-divers/videos-attentats-de-bruxelles-l-aeroport-n-etait-pas-pret-a-gerer-une-attaque-terroriste-07-07-2016-5948735.php), à quelques mètres d’elle. « J’ai ri et j’ai pleuré jusqu’au tout dernier jour, a-t-elle écrit sur [sa page Facebook ](https://www.facebook.com/shanti.decorte)en guise d’épitaphe (le contenu a été supprimé ce jeudi). « Je ne pourrais pas m’en passer », confie-t-elle sur Facebook, qu’elle utilise comme un journal de bord. Traumatisée par l’attentat, elle souffrait déjà de grave dépression.

La RTBF a révélé cette semaine l'histoire de Shanti De Corte, une Belge qui a survécu à l'explosion d'une bombe à l'aéroport de Bruxelles.

[la Cour européenne des droits de l'homme a condamné la Belgique pour le manque d'indépendance de sa Commission de contrôle](https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-belgique-condamnee-par-la-cedh-dans-une-affaire-d-euthanasie-20221004). La RTBF croit savoir qu'une information judiciaire a été ouverte au parquet d'Anvers, pour examiner la possibilité d'une dérive dans le choix d'accéder à la requête de la jeune femme. Le 7 mai 2022, la jeune femme est euthanasiée auprès de sa famille, à l'âge de 23 ans. Mais un neurologue, Paul Deltenre, s'indigne malgré tout que les offres de soin adaptées à la situation de la jeune femme n'aient pas été essayées. La vie de Shanti De Corte a été ruinée en quelques secondes, le 22 mars 2016, alors que l'adolescente était en partance pour Rome, où elle devait effectuer un voyage de fin d'études. Après plusieurs tentatives de suicide, la jeune femme souffrant de séquelles psychiatriques a été euthanasiée en mai dernier.