À la demande de Marlon Brando, l'actrice était intervenue sur scène pour dénoncer le traitement des Amérindiens par l'industrie du cinéma.
L’ancien président de l’Académie David Rubin, qui lui avait adressé des excuses au mois de juin, est également monté sur scène, évoquant le « fardeau émotionnel » porté par la militante amérindienne et « le coût pour [sa] propre carrière ». Sacheen Littlefeather, qui est Apache et Yaqui, a été huée lors de la cérémonie des Oscars de 1973, la première à être diffusée en direct dans le monde entier, alors qu’elle expliquait au nom de Marlon Brando pourquoi il ne voulait pas accepter son Oscar du meilleur acteur pour son rôle dans Le Parrain. « J’y suis allée, comme une femme indienne fière, avec dignité, courage, grâce et humilité, a déclaré Littlefeather lors de la cérémonie au musée.
Elle avait dit non, au nom des Amérindiens, à l'Académie des Oscars en 1973, en refusant de prendre le prix de Marlon Brando pour « le Parrain ».
Il n’est jamais trop tard pour le pardon. « Il n’est jamais trop tard pour des excuses. Le fardeau émotionnel que vous avez porté et le coût pour votre propre carrière dans notre industrie sont irréparables. La militante apache et yaqui y avait été huée en 1973, alors que la soirée était retransmise pour la première fois en direct dans le monde entier. L’Académie avait récemment organisé une cérémonie dans son nouveau musée de Los Angeles pour rendre hommage à Sacheen Littlefeather. Sacheen Littlefeather qui, en 1973, avait été huée alors qu’elle refusait un Oscar au nom de Marlon Brando, est décédée à l’âge de 75 ans, des suites d’un cancer du sein, a annoncé Calina Lawrence, sa nièce et soignante, dimanche 2 octobre.
[VIDÉO] ▶️ La militante amérindienne et comédienne Sacheen Littlefeather est morte à l'âge de 75 ans. En 1973, elle avait été huée lorsqu'elle était ...
- 10 - 9 - 8 - 5 - 4 - 2 - 1 Il n'est jamais trop tard pour le pardon", avait-elle répondu. "Je savais que je devais dire la vérité. Sacheen Littlefeather, qui est Apache et Yaqui, avait été huée lors de la cérémonie des Oscars de 1973 – la première à être diffusée en direct dans le monde entier – alors qu'elle expliquait au nom de Brando pourquoi il ne voulait pas de l'Oscar du meilleur acteur pour Le Parrain. "J'y suis allée, comme une femme indienne fière, avec dignité, courage, grâce et humilité", a déclaré Sacheen Littlefeather lors de la cérémonie au musée. Dans son message sur Twitter indiquant son décès dimanche, l'Académie des Oscars a cité les propos de Sacheen Littlefeather : "Quand je serai partie, rappelez-vous toujours que chaque fois que vous défendrez votre vérité, vous garderez en vie ma voix et les voix de nos nations et de nos peuples".
L'actrice et militante amérindienne Sacheen Littlefeather, qui, en 1973, avait été huée alors qu'elle refusait un Oscar au nom de Marlon Brando, ...
Un arc-en-ciel de personnes qui devraient être impliquées dans la création de leur propre image», avait-elle expliqué. «Le fardeau émotionnel que vous avez porté et le coût pour votre propre carrière dans notre industrie sont irréparables». «Nous, les Indiens, sommes des gens très patients - cela ne fait que 50 ans !», avait réagi Sacheen Littlefeather. C'est notre moyen de survie», a-t-elle ajouté. L'actrice et militante amérindienne Sacheen Littlefeather, qui, en 1973, avait été huée alors qu'elle refusait un Oscar au nom de Marlon Brando, est décédée à l'âge de 75 ans. Dans les années qui ont suivi, Littlefeather avait déclaré avoir été moquée, discriminée et personnellement attaquée pour sa brève apparition aux Oscars.
En 1973, l'actrice, décédée le dimanche 2 octobre, avait refusé la récompense au nom de Marlon Brando, en signe de protestation contre la manière dont ...
Pour cela, nous vous présentons nos plus sincères excuses et (vous faisons part de) notre sincère admiration.» Sacheen Littlefeather avait réagi à ce mea culpa le 17 septembre, durant un événement organisé à l'Academy Museum of Motion Pictures de Los Angeles. Avant de poursuivre : «Pendant trop longtemps, le courage dont vous avez fait preuve n'a pas été reconnu. Le fardeau émotionnel que vous avez porté et le coût pour votre propre carrière dans notre industrie sont irréparables.» «Je représente Marlon Brando ce soir, et il m'a demandé de vous lire un discours très long, que je ne peux pas partager avec vous pour le moment, pour une question de temps (…), avait-elle débuté. [actrice](https://madame.lefigaro.fr/tag/actrice) Sacheen Littlefeather, décédée le dimanche 2 octobre à l'âge de 75 ans, s'était en effet remémoré une soirée houleuse : celle de la [cérémonie des Oscars](https://madame.lefigaro.fr/tag/ceremonie-des-oscars), organisée en 1973. L'incident a par la suite valu à la jeune femme, membre de la Screen Actors Guild, des difficultés pour être employée à Hollywood.
Chaque lundi, un tour d'horizon des nouvelles qui ont fait parler d'elles sur la Toile ces derniers jours.
Après s'être écrasé lundi sur la surface d'une petite lune nommée Dimorphos, le vaisseau de la Nasa Dart révèle enfin ses premières images. Le projet devrait selon l'entrepreneur coûter « probablement moins de 20.000 dollars », ce qui lui permet d'affirmer l'ambition de Tesla d'en commercialiser des millions sous cinq ans. La robe composée d'une seule et même pièce, à base de fibres de coton et de matériaux synthétique, est une démonstration spectaculaire de l'esprit d'innovation du label. Cela sera le moment de retracer la carrière de l'icône. A Paris, les yeux étaient davantage tournés vers le défilé événement de la marque Coperni. [deux prototypes de robots humanoïdes](https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/tesla-devoile-une-premiere-version-de-son-robot-humanoide-optimus-1853167) . Le second, plus abouti et disposant de moins de câbles, n'est cependant pas capable de se déplacer seul. [une déroute pour les pur-sang japonais rassemblés à l'occasion du Prix de l'Arc de Triomphe](https://www.lesechos.fr/weekend/business-story/hippisme-a-longchamp-les-japonais-revent-de-triomphe-1852848) qui se déroulait ce week-end. Le premier « Bumble C » a salué la foule en marchant sur scène précautionneusement. Une prise de parole franche de la part de l'actrice qui, philosophe, laissait tout de même une place à la rédemption : « Il n'est jamais trop tard pour des excuses. Figure emblématique de la lutte des droits des Amérindiens dans l'industrie cinématographique, son discours sur scène lui avait alors valu des insultes, de se faire moquer par Clint Eastwood, et presque agresser par John Wayne... Il n'est jamais trop tard pour le pardon ».
Elle était venue, au nom de Marlon Brando, refuser son Oscar du meilleur acteur pour “Le Parrain” et sensibiliser le public à la cause amérindienne.
Sacheen Littlefeather, l'actrice et militante amérindienne qui, en 1973, avait refusé un Oscar au nom de Marlon Brando, est décédée à l'âge de 75 ans.
Il n'est jamais trop tard pour le pardon», avait-t-elle répondu. «Il n'est jamais trop tard pour des excuses. Dans les années qui ont suivi, Littlefeather avait déclaré avoir été moquée, discriminée et personnellement attaquée pour sa brève apparition aux Oscars. «J'y suis allée, comme une femme indienne fière, avec dignité, courage, grâce et humilité», avait-t-elle déclarée lors de la cérémonie au musée. «Il n'est jamais trop tard pour le pardon» «Je savais que je devais dire la vérité.
Sacheen Littlefeather, l'actrice et militante autochtone américaine qui était montée sur la scène des Oscars, il y a cinquante ans, pour refuser le prix ...