Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, s'est félicité ce jeudi matin du temps donné à la concertation sur l'explosif dossier de la réforme des ...
Ce qui veut dire que la réforme ne concernera que seuls les nouveaux embauchés des employeurs publics ayant un régime spécial, au premier rang desquels EDF et la RATP (la SNCF a déjà basculé de fait avec la réforme du statut). « L'âge n'est sûrement pas le seul paramètre sur lequel il faut se focaliser », a estimé le leader patronal, qui a insisté sur la nécessité de supprimer les régimes spéciaux de retraite, autre impératif fixé à la réforme par l'exécutif. Mais, a-t-il ajouté, « si on allonge l'âge de départ, il va falloir que collectivement, les entreprises soient en capacité d'employer plus de seniors et c'est un sujet complexe ». Le relèvement de l'âge de départ à 65 ans est un impératif pour le Medef qui l'a d'ailleurs inscrit parmi les propositions qu'il a soumises aux candidats à l'élection présidentielle. [Retraites : Macron charge Borne de préparer un texte « avant la fin de l'hiver »](https://www.lesechos.fr/politique-societe/emmanuel-macron-president/retraites-macron-charge-borne-de-preparer-un-texte-avant-la-fin-de-lhiver-1852516) [RECIT - Crustacés, dissolution, rires et grincements de dents... « C'est une question politique et moi je suis ni député ni président d'un groupe politique, je suis là pour défendre les entreprises », a-t-il expliqué.
Pour autant, selon les informations de BFMTV, il a mis en garde les convives invités au dîner de l'Elysée, hier soir, en cas de motion de censure votée par les ...
Mais cette méthode n’est toujours pas totalement écartée : « Si les concertations viraient au fiasco, on ne pourrait pas alors exclure un amendement au PLFSS », a confié à BFM un membre du gouvernement. Une menace qui vise les oppositions tentées de faire tomber le gouvernement via une alliance de circonstance. Emmanuel Macron est prêt à attendre l'hiver prochain pour faire adopter la réforme des retraites.
Pourtant en cas de blocage Macron n'exclut pas de "une dissolution en cas de censure à l'Assemblée", a indiqué le ministre du Travail ce jeudi 29 septembre. Une ...
(...) Si c'est pour proposer d'allonger l'âge de la retraite, on n'ira pas longtemps" à la table des négociations, a-t-il ajouté. "Et évidemment (...) nous serions en campagne pour que le président soit conforté", a-t-il ajouté. Le gouvernement a choisi de privilégier "le dialogue et la concertation" pour préparer un texte de loi dédié à la réforme des retraites qui sera mis au point d'ici Noël en vue d'un vote au Parlement début 2023. "Le fond n'a pas changé", a déclaré Philippe Martinez jeudi matin sur France 2. "Il n'y aura ni amendement dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), ni PLFSS rectificatif, donc pas de passage en force", a déclaré à Reuters une source ayant participé à un dîner de travail de la majorité à l'Elysée mercredi soir. Pourtant en cas de blocage Macron n'exclut pas de "une dissolution en cas de censure à l'Assemblée", a indiqué le ministre du Travail ce jeudi 29 septembre.
[VIDÉO] ▶️ Le président de la République n'exclut pas de dissoudre l'Assemblée nationale en cas de blocages sur la réforme des retraites.
- 8 - 6 - 5 La Première ministre ne l'exclut pas](/politique/un-49-3-pour-le-prochain-budget-la-premiere-ministre-elisabeth-borne-ne-l-exclut-pas-2230550.html)Publié le 27 août 2022 à 21h50 [Semaine de casse-tête pour Elisabeth Borne, chargée de former un "gouvernement d'action"](/politique/semaine-de-casse-tete-pour-la-premiere-ministre-elisabeth-borne-chargee-de-former-un-gouvernement-d-action-les-republicains-nupes-larem-2224462.html)Publié le 27 juin 2022 à 8h09 "Aucun pays n’investit autant que la France pour protéger", tant face à la crise sanitaire que désormais face à l'inflation, a-t-il défendu, et cet "effort inédit (...) a un coût". Cette mesure est même primordiale dans toute la politique budgétaire du gouvernement. Alors, il est bien décidé à la faire appliquer au plus vite pendant ce second quinquennat. En cas de dissolution de l'Assemblée nationale, il faudrait organiser de nouvelles élections législatives et la couleur actuelle de l'hémicycle serait entièrement revue. Si elle était adoptée, elle obligerait le gouvernement à démissionner. Emmanuel Macron pourrait donc être en difficulté pour faire adopter sa réforme des retraites, contre laquelle sont la Nupes et le Rassemblement national, les deuxième et troisième plus gros groupes parlementaires. Depuis les élections législatives de juin dernier, le groupe Renaissance et ses alliés n'ont Et si Emmanuel Macron se trouvait en difficulté pour faire adopter son texte, il a brandi la menace d'une dissolution de l'Assemblée nationale en cas de vote d'une motion de censure présentée par l'opposition.
Le gouvernement va ouvrir un nouveau cycle de concertations autour de la réforme des retraites, dans la perspective d'adopter un projet de loi.
Cet objectif doit être atteint en 2031, ce qui nécessite de reculer l'âge légal de départ à la retraite de 4 mois par an. Le temps de la concertation et du "dialogue", que le ministre du Travail Olivier Dussopt doit engager avec les partenaires sociaux et les autres partis politiques dès la semaine prochaine durera un peu moins de trois mois. Sauf s'il y a une motion de censure. Un scénario qui avait provoqué la colère des syndicats et des remous dans la majorité présidentielle à l'Assemblée, particulièrement du côté de l'allié François Bayrou. Ce sera donc un projet de loi "ad hoc" consacré à la réforme des retraites, une méthode a priori moins brutale que celle de l'amendement évoquée dans un premier temps mais risquée puisque l'exécutif n'a qu'une majorité relative à l'Assemblée. Dans cette perspective, Élisabeth Borne a demandé au ministre du Travail Olivier Dussopt "d’engager dès la semaine prochaine" des négociations avec organisations patronales et syndicales, ainsi qu’avec les "groupes parlementaires".
Invité de notre matinale, le député Horizons Frédéric Valletoux estime que « trois mois » seront nécessaires pour expliciter la réforme des retrait...
Lorsqu’il n’y a pas de soignants, on ne prend pas de risques, on ferme les lits et on attend de pouvoir recruter. « Il faut aussi dire que l’on a beaucoup augmenté le nombre de places en ambulatoire, pour accueillir le matin des patients qui repartiront le soir. « C’est un ensemble de mesures qui doivent être prises pour mieux répartir les professionnels de santé sur le territoire ». » « C’est de la dentelle », ajoute-t-il. Selon une étude publiée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, plus de 4 300 lits d’hôpital ont été fermés en 2021, portant à plus de 21 000 le nombre de lits supprimés sur la période 2016-2021. « Si le gouvernement tombe, cela veut dire que le président de la République n’envisage pas de trouver dans l’Assemblée nationale de quoi organiser un gouvernement stable pour la France », commente Frédéric Valletoux.
"Sur une réforme aussi importante, c'était difficile de ne pas faire une concertation", a déclaré jeudi 29 septembre sur franceinfo Geoffroy Roux de Bézieux, ...
Pour le président du Medef, l'âge de départ à la retraite, "n'est pas le seul paramètre sur lequel il faut se focaliser." "Nous on soutient depuis le début le principe d'une réforme des retraites", ajoute-t-il. Le but étant - pour Elisabeth Borne - "une entrée en vigueur de la réforme à l'été 2023".
Si toutes les oppositions se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement », précise le ministre du Travail.
« Le 49.3 est un outil constitutionnel qui permet de dépasser les blocages, les obstructions, qui expose le gouvernement à une motion de censure », a rappelé [Olivier Dussopt](https://www.20minutes.fr/politique/olivier-dussopt/). Et évidemment (…) nous serions en campagne pour que le président soit conforté », a affirmé Olivier Dussopt, chargé d’engager de nouvelles concertations sur les [manifestations](https://www.20minutes.fr/societe/4002872-20220929-journee-greves-direct-nombreuses-manifestations-prevues-premiere-mobilisation-interprofessionnelle-depuis-rentree) sont prévues partout en France ce jeudi pour réclamer des hausses de salaires et donner un coup de semonce sur les retraites. Il pourrait l’obliger à dégainer l’article 49.3 de la Constitution, qui permet l’adoption d’un texte sans vote sauf motion de censure, mais n’est utilisable qu’une fois par session parlementaire. [Sécurité sociale](https://www.20minutes.fr/dossier/securite_sociale) (PLFSS). Le [ministre du Travail](https://www.20minutes.fr/dossier/ministre_du_travail) Olivier Dussopt affirme sur [LCI](https://www.20minutes.fr/dossier/lci) ce matin que le président [Emmanuel Macron](https://www.20minutes.fr/politique/emmanuel-macron/) n’exclut pas une dissolution en cas de censure à l’ [Assemblée nationale](https://www.20minutes.fr/dossier/assemblee_nationale).
Le président anticipe un possible échec des débats sur la réforme des retraites dans les prochains mois.
Plusieurs avantages à cette stratégie : d'abord, elle contente le camp d'Emmanuel Macron, ensuite elle permet de tenir le calendrier : une entrée en vigueur de la réforme des retraites à l'été prochain. Cette nouvelle concertation, avec les partis politiques et avec les partenaires sociaux, sera menée sur la base des promesses de campagne électorale d'Emmanuel Macron, à savoir le recul de l'âge de départ à la retraite à 65 ans en 2031. Les discussions porteront ainsi sur la fin des régime spéciaux, la retraite minimale à 1 000 euros ou la question des carrières longues ou de la pénibilité.
Geoffroy Roux de Bézieux a réagi à l'annonce d'une concertation sur la réforme des retraites. Il l'a jugée « raisonnable » et a confirmé que le Medef y ...
À la question de savoir si l’âge de départ à la retraite devait être fixé à 64 ou 65 ans, Geoffroy Roux de Bézieux a estimé que ce n’était pas [la concertation de trois mois prévue](https://www.ouest-france.fr/economie/retraites/reforme-des-retraites-olivier-dussopt-veut-tracer-des-consensus-et-des-convergences-ceea4cca-3fbf-11ed-b588-0a3420c1a9bd) en vue de l’adoption d’un projet de loi sur la réforme des retraites, jeudi sur [Franceinfo ](https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/reforme-des-retraites-on-ira-evidemment-a-cette-concertation-declare-geoffroy-roux-de-bezieux_5387680.html). Geoffroy Roux de Bézieux a réagi à l’annonce d’une concertation sur la réforme des retraites.
L'exécutif, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée, pourrait être contraint à dégainer l'article 49.3 de la Constitution pour faire ...
En revanche le gouvernement peut utiliser cette arme du 49.3 à volonté sur les textes budgétaires, que sont les projets de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Sur la menace de dissolution, une réaction ne s'est pas faite attendre : « Chiche ! Elle a rappelé que la réforme des retraites devait entrer en vigueur « à l'été 2023 ». « Si toutes les oppositions se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement, il (le président de la République, NDLR) s'en remettrait aux Français et les Français trancheraient et diraient quelle est la nouvelle majorité qu'ils veulent », a affirmé sur LCI le ministre du Travail, chargé d'engager de nouvelles concertations sur les retraites à partir de la semaine prochaine. Pareil pour les LR, qui votent chaque année au Sénat un amendement pas très éloigné de ce qu'on veut faire et ont défendu à la présidentielle une réforme des retraites, analyse un convive. « Il faudra que les socialistes retournent devant les électeurs en expliquant pourquoi ils ont fait la réforme Touraine il y a dix ans et s'opposent maintenant à celle-ci.
Emmanuel Macron serait prêt à dissoudre l'Assemblée nationale en cas d'échec des débats sur la réforme des retraites dans les prochains mois.
Et s'il est tenu de consulter le Premier ministre et les président du Sénat et de l'Assemblée nationale avant de prononcer la dissolution, il n'est toutefois pas obligé de suivre leur avis. "Le président peut, après consultation du Premier ministre et des présidents des assemblées, prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale", pose l’article 12. Il s’agit de l’un des pouvoirs que la Constitution attribue exclusivement au président de la République.
Finalement, c'est via un projet de loi en début d'année prochaine que devra être discutée la réforme des retraites. Avant, des concertations sont lancées ...
D’après les chiffres de la Drees, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, 58% des retraités nés en 1946 étaient en emploi juste avant la retraite. Pour avancer, l’idéal serait que le gouvernement envoie aux partenaires sociaux un courrier les invitant à négocier pour aboutir à un accord national interprofessionnel sur le maintien des seniors en emploi.” “Oui, il faut continuer à améliorer le dispositif sur la pénibilité, mais il faut aussi arrêter de faire peser sur la retraite la réparation des inégalités qui existent dans le monde du travail”, nuance François Hommeril. “Demander à des salariés d’EDF de bosser comme des malades aujourd’hui car on a besoin d’eux et ensuite casser leur système de retraite, ce sont des signaux contradictoires”, rétorque Dominique Corona de l’Unsa. Le travail sur le sujet n’est pas nouveau et les partenaires sociaux ont déjà réfléchi à la question. Si ces chiffres s’améliorent de génération en génération, reste que plus de 40% des retraités ne sont pas en poste avant de cesser leur activité. [À LIRE AUSSI Le Comité de suivi des retraites appelle à réformer le régime](https://www.capital.fr/votre-retraite/le-comite-de-suivi-des-retraites-appelle-a-reformer-le-regime-1446932) “Pour nous, ce serait la double peine car ceux qui ont commencé à travailler tôt doivent pouvoir partir lorsqu’ils ont le nombre de trimestres nécessaires pour avoir le taux plein”, estime Pascale Coton. “Très clairement, si on allonge l'âge de départ, il va falloir que, collectivement, les entreprises soient en capacité d'employer plus de seniors, et c'est un sujet complexe…”, a affirmé Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, au micro de Élisabeth Borne n’a cependant pas uniquement mis la question de l’âge au cœur des concertations. Finalement, c’est via un projet de loi en début d’année prochaine que devra être discutée la réforme des retraites. “La concertation, c’est un écran de fumée, tempête François Hommeril, patron de la CFE-CGC.
Michel Beaugas précise que FO n'acceptera pas une "augmentation de l'âge de départ à la retraite".
Le secrétaire confédéral de Force ouvrière se dit d'ores et déjà "prêt à appeler les salariés à se mobiliser pour faire reculer le gouvernement". Michel Beaugas se redit en effet "opposé" au "recul de l'âge de départ à la retraite à 65 ans, pour nous il n'en est pas question". Michel Beaugas pose "une ligne rouge" : il refuse ainsi toute "augmentation de l'âge de départ à la retraite" ou "accélération de la réforme dite Touraine" de 2014.
Le gouvernement présentera début 2023 un projet de loi repoussant progressivement à 65 ans l'âge de départ à la retraite. Emmanuel Macron n'exclut pas une ...
Emmanuel Macron n’exclut pas une dissolution de l’Assemblée si le gouvernement était renversé sur ce sujet. Le gouvernement présentera début 2023 un projet de loi repoussant progressivement à 65 ans l’âge de départ à la retraite. Réforme des retraites : un projet de loi « avant la fin de l’hiver »
Mercredi 28 septembre, Emmanuel Macron a confirmé ses différents objectifs de la réforme des retraites qu'il prépare avec le gouvernement.
Dès la semaine prochaine, le ministre du Travail, Olivier Dussopt, engagera les nouvelles concertations. Pour apaiser les dissensions au sein même de la majorité, le gouvernement va rouvrir les concertations. Chez Les Républicains, le président du Sénat, Gérard Larcher, veut engager les débats dans l’hémicycle dès cet automne.
Le gouvernement défendra donc la réforme des retraites et le recul de l'âge légal de départ à 65 ans dans un projet de loi qu'il veut voir adopté « avant la ...
Durant la présidentielle, Valérie Pécresse, leur candidate, proposait, elle aussi, de reculer l’âge de départ à 65 ans. Par la voix de son secrétaire général Laurent Berger, la CFDT a été claire : elle « s’engagera dans les discussions » mais, a-t-elle ajouté, « nous nous opposerons au recul de l’âge à 65 ans ». Philippe Martinez, le patron de la CGT, est lui aussi fermement opposé à cette mesure. Ainsi, en 2031, l’âge de départ légal sera fixé à 65 ans. À cet égard, la réforme d’Emmanuel Macron participe de la même inspiration : demander aux Français de travailler plus longtemps. Et, sans surprise, une mesure va focaliser toute l’attention : le recul de l’âge de départ légal à la retraite.
Aucune étude ne prouve réellement l'affirmation. En 2016, l'Insee évaluait le taux d'emploi de cet âge-là plutôt à 38 %. Toutefois, le Conseil d'orientation des ...
« D’éventuelles difficultés de santé aux âges élevés sont un obstacle au maintien dans l’emploi et doivent être prises en compte dans la réflexion sur l’âge de la retraite », souligne le rapport. « 77 % des retraités sont sans incapacité au cours de leur première année de retraite, 15 % sont limités mais pas fortement et 8 % sont fortement limités ». [dans une étude publiée ](https://www.insee.fr/fr/statistiques/4985478)en 2020 que les seniors sont de plus en plus nombreux sur le marché du travail. Ce sont par exemple le cas des ouvriers ou des employés, à l’inverse des cadres et professions intellectuelles supérieures, dont le taux est plus faible. À 60 ans par exemple, il atteint 38 %, soit le double de ce qu’il était en 2006 », [souligne l’étude.](https://www.insee.fr/fr/statistiques/4985478) Si on suit la logique de l’Insee, les travailleurs seraient un peu plus nombreux que ce qu’affirme François Ruffin. [de la réforme des retraites](https://www.20minutes.fr/dossier/reforme_des_retraites), les statistiques détournées ressortent souvent pour s’opposer au report de l’âge légal à le retraite. Car un Français sur deux a une santé altérée à 60 ans », a décrit le député LFI. « Vers 60 ans, environ une personne sur dix déclare être fortement limitée dans les activités de la vie quotidienne, et est donc considérée dans cette étude comme handicapée. Plus tôt, en 2019, le président de la CGT [Philippe Martinez](https://www.20minutes.fr/dossier/philippe-martinez) avançait également quelques chiffres. - Sur France Info, mercredi matin, le député François Ruffin a affirmé : « A 60 ans, un Français sur deux n’est plus au travail. La discussion sur la très discutée réforme des retraites va revenir dans les prochains jours à l’agenda politique et crée déjà des débats. Car un Français sur deux a une santé altérée à 60 ans ».
Le gouvernement va lancer de nouvelles concertations. Mais si celles-ci n'aboutissent pas, le président promet quand même d'aller jusqu'au bout.
[Se connecter](https://authentication.leparisien.fr/connexion/?source=lp_sso_paywall&redirect_url=https://www.leparisien.fr/politique/reforme-des-retraites-emmanuel-macron-temporise-pour-mieux-sauter-29-09-2022-NIES62KJUZGQ3NYZZSHZKIYXJE.php) sans qu’aucune question ne soit éludée](https://www.leparisien.fr/politique/reforme-des-retraites-et-menace-de-dissolution-pourquoi-macron-montre-les-muscles-29-09-2022-LJ45Y5XQ7BBBVAASKXQMYHTIQM.php). mais peu de marges de manœuvre ?
"Je pense que le report de l'âge légal de départ à la retraite est injuste." Le député LR du Pas-de-Calais, Pierre-Henri Dumont, a fait part de la division au ...
D'autres députés de droite, comme Pierre-Henri Dumont ou Aurélien Pradié, contestent le bien-fondé du report de l'âge légal, préférant allonger la durée de cotisation afin de ne pas pénaliser ceux ayant commencé à travailler tôt. "Si on ne vote pas ce texte, on va passer pour des gens qui n'ont aucune conviction", explique un élu. Le député LR du Pas-de-Calais, Pierre-Henri Dumont, a fait part de la division au sein des Républicains sur le sujet de