Pour autant, selon les informations de BFMTV, il a mis en garde les convives invités au dîner de l'Elysée, hier soir, en cas de motion de censure votée par les ...
Mais cette méthode n’est toujours pas totalement écartée : « Si les concertations viraient au fiasco, on ne pourrait pas alors exclure un amendement au PLFSS », a confié à BFM un membre du gouvernement. Une menace qui vise les oppositions tentées de faire tomber le gouvernement via une alliance de circonstance. Emmanuel Macron est prêt à attendre l'hiver prochain pour faire adopter la réforme des retraites.
Pourtant en cas de blocage Macron n'exclut pas de "une dissolution en cas de censure à l'Assemblée", a indiqué le ministre du Travail ce jeudi 29 septembre. Une ...
(...) Si c'est pour proposer d'allonger l'âge de la retraite, on n'ira pas longtemps" à la table des négociations, a-t-il ajouté. "Et évidemment (...) nous serions en campagne pour que le président soit conforté", a-t-il ajouté. Le gouvernement a choisi de privilégier "le dialogue et la concertation" pour préparer un texte de loi dédié à la réforme des retraites qui sera mis au point d'ici Noël en vue d'un vote au Parlement début 2023. "Le fond n'a pas changé", a déclaré Philippe Martinez jeudi matin sur France 2. "Il n'y aura ni amendement dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), ni PLFSS rectificatif, donc pas de passage en force", a déclaré à Reuters une source ayant participé à un dîner de travail de la majorité à l'Elysée mercredi soir. Pourtant en cas de blocage Macron n'exclut pas de "une dissolution en cas de censure à l'Assemblée", a indiqué le ministre du Travail ce jeudi 29 septembre.
[VIDÉO] ▶️ Le président de la République n'exclut pas de dissoudre l'Assemblée nationale en cas de blocages sur la réforme des retraites.
- 8 - 6 - 5 La Première ministre ne l'exclut pas](/politique/un-49-3-pour-le-prochain-budget-la-premiere-ministre-elisabeth-borne-ne-l-exclut-pas-2230550.html)Publié le 27 août 2022 à 21h50 [Semaine de casse-tête pour Elisabeth Borne, chargée de former un "gouvernement d'action"](/politique/semaine-de-casse-tete-pour-la-premiere-ministre-elisabeth-borne-chargee-de-former-un-gouvernement-d-action-les-republicains-nupes-larem-2224462.html)Publié le 27 juin 2022 à 8h09 "Aucun pays n’investit autant que la France pour protéger", tant face à la crise sanitaire que désormais face à l'inflation, a-t-il défendu, et cet "effort inédit (...) a un coût". Cette mesure est même primordiale dans toute la politique budgétaire du gouvernement. Alors, il est bien décidé à la faire appliquer au plus vite pendant ce second quinquennat. En cas de dissolution de l'Assemblée nationale, il faudrait organiser de nouvelles élections législatives et la couleur actuelle de l'hémicycle serait entièrement revue. Si elle était adoptée, elle obligerait le gouvernement à démissionner. Emmanuel Macron pourrait donc être en difficulté pour faire adopter sa réforme des retraites, contre laquelle sont la Nupes et le Rassemblement national, les deuxième et troisième plus gros groupes parlementaires. Depuis les élections législatives de juin dernier, le groupe Renaissance et ses alliés n'ont Et si Emmanuel Macron se trouvait en difficulté pour faire adopter son texte, il a brandi la menace d'une dissolution de l'Assemblée nationale en cas de vote d'une motion de censure présentée par l'opposition.
Si toutes les oppositions se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement », précise le ministre du Travail.
« Le 49.3 est un outil constitutionnel qui permet de dépasser les blocages, les obstructions, qui expose le gouvernement à une motion de censure », a rappelé [Olivier Dussopt](https://www.20minutes.fr/politique/olivier-dussopt/). Et évidemment (…) nous serions en campagne pour que le président soit conforté », a affirmé Olivier Dussopt, chargé d’engager de nouvelles concertations sur les [manifestations](https://www.20minutes.fr/societe/4002872-20220929-journee-greves-direct-nombreuses-manifestations-prevues-premiere-mobilisation-interprofessionnelle-depuis-rentree) sont prévues partout en France ce jeudi pour réclamer des hausses de salaires et donner un coup de semonce sur les retraites. Il pourrait l’obliger à dégainer l’article 49.3 de la Constitution, qui permet l’adoption d’un texte sans vote sauf motion de censure, mais n’est utilisable qu’une fois par session parlementaire. [Sécurité sociale](https://www.20minutes.fr/dossier/securite_sociale) (PLFSS). Le [ministre du Travail](https://www.20minutes.fr/dossier/ministre_du_travail) Olivier Dussopt affirme sur [LCI](https://www.20minutes.fr/dossier/lci) ce matin que le président [Emmanuel Macron](https://www.20minutes.fr/politique/emmanuel-macron/) n’exclut pas une dissolution en cas de censure à l’ [Assemblée nationale](https://www.20minutes.fr/dossier/assemblee_nationale).
Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, s'est félicité ce jeudi matin du temps donné à la concertation sur l'explosif dossier de la réforme des ...
Ce qui veut dire que la réforme ne concernera que seuls les nouveaux embauchés des employeurs publics ayant un régime spécial, au premier rang desquels EDF et la RATP (la SNCF a déjà basculé de fait avec la réforme du statut). « L'âge n'est sûrement pas le seul paramètre sur lequel il faut se focaliser », a estimé le leader patronal, qui a insisté sur la nécessité de supprimer les régimes spéciaux de retraite, autre impératif fixé à la réforme par l'exécutif. Mais, a-t-il ajouté, « si on allonge l'âge de départ, il va falloir que collectivement, les entreprises soient en capacité d'employer plus de seniors et c'est un sujet complexe ». Le relèvement de l'âge de départ à 65 ans est un impératif pour le Medef qui l'a d'ailleurs inscrit parmi les propositions qu'il a soumises aux candidats à l'élection présidentielle. [Retraites : Macron charge Borne de préparer un texte « avant la fin de l'hiver »](https://www.lesechos.fr/politique-societe/emmanuel-macron-president/retraites-macron-charge-borne-de-preparer-un-texte-avant-la-fin-de-lhiver-1852516) [RECIT - Crustacés, dissolution, rires et grincements de dents... « C'est une question politique et moi je suis ni député ni président d'un groupe politique, je suis là pour défendre les entreprises », a-t-il expliqué.
L'exécutif, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée, pourrait être contraint à dégainer l'article 49.3 de la Constitution pour faire ...
En revanche le gouvernement peut utiliser cette arme du 49.3 à volonté sur les textes budgétaires, que sont les projets de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Sur la menace de dissolution, une réaction ne s'est pas faite attendre : « Chiche ! Elle a rappelé que la réforme des retraites devait entrer en vigueur « à l'été 2023 ». « Si toutes les oppositions se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement, il (le président de la République, NDLR) s'en remettrait aux Français et les Français trancheraient et diraient quelle est la nouvelle majorité qu'ils veulent », a affirmé sur LCI le ministre du Travail, chargé d'engager de nouvelles concertations sur les retraites à partir de la semaine prochaine. Pareil pour les LR, qui votent chaque année au Sénat un amendement pas très éloigné de ce qu'on veut faire et ont défendu à la présidentielle une réforme des retraites, analyse un convive. « Il faudra que les socialistes retournent devant les électeurs en expliquant pourquoi ils ont fait la réforme Touraine il y a dix ans et s'opposent maintenant à celle-ci.
Le gouvernement défendra donc la réforme des retraites et le recul de l'âge légal de départ à 65 ans dans un projet de loi qu'il veut voir adopté « avant la ...
Durant la présidentielle, Valérie Pécresse, leur candidate, proposait, elle aussi, de reculer l’âge de départ à 65 ans. Par la voix de son secrétaire général Laurent Berger, la CFDT a été claire : elle « s’engagera dans les discussions » mais, a-t-elle ajouté, « nous nous opposerons au recul de l’âge à 65 ans ». Philippe Martinez, le patron de la CGT, est lui aussi fermement opposé à cette mesure. Ainsi, en 2031, l’âge de départ légal sera fixé à 65 ans. À cet égard, la réforme d’Emmanuel Macron participe de la même inspiration : demander aux Français de travailler plus longtemps. Et, sans surprise, une mesure va focaliser toute l’attention : le recul de l’âge de départ légal à la retraite.
Le gouvernement va lancer de nouvelles concertations. Mais si celles-ci n'aboutissent pas, le président promet quand même d'aller jusqu'au bout.
[Se connecter](https://authentication.leparisien.fr/connexion/?source=lp_sso_paywall&redirect_url=https://www.leparisien.fr/politique/reforme-des-retraites-emmanuel-macron-temporise-pour-mieux-sauter-29-09-2022-NIES62KJUZGQ3NYZZSHZKIYXJE.php) sans qu’aucune question ne soit éludée](https://www.leparisien.fr/politique/reforme-des-retraites-et-menace-de-dissolution-pourquoi-macron-montre-les-muscles-29-09-2022-LJ45Y5XQ7BBBVAASKXQMYHTIQM.php). mais peu de marges de manœuvre ?
Le président sait ce qu'il veut faire sur le fond. Mais il cherche encore la bonne méthode, contraint par sa majorité relative.
Emmanuel Macron n'a pas refermé le scénario de l'amendement au PLFSS pour faire passer la réforme, mais de fait, "ce scénario est refermé", juge un présent. Alors l'arbre de la dissolution peut faire joli dans le paysage pendant quelques heures, il ne cache pas la forêt des hésitations. Le retour devant les électeurs est donc une menace, mais la dissolution est à la politique ce que la dissuasion nucléaire est à la défense : l'idée est plutôt d'en parler toujours que de s'en servir une fois. Bruno Le Maire avait fait travailler la direction du Trésor, il n'a pas fait de littérature mercredi soir : repousser l'âge de départ à la retraite à 63 ans en 2027, c'est, selon le ministre de l'Economie, avoir quasiment un point de PIB supplémentaire cette année-là, récupérer 15 milliards de recettes supplémentaires, créer 250 000 emplois. L'hésitation présidentielle porte sur la méthode, pas sur le fond. "Certains ont essayé d'être président mais ne le sont jamais devenus, moi j'ai été élu sur la base d'un projet" : François Bayrou a eu les oreilles qui sifflent, quand Emmanuel Macron a glissé cette petite remarque, et aussi quand Stéphane Séjourné, le patron de Renaissance, a lancé : "Si on considère qu'on passe en force parce qu'on tient notre programme..." , mais le jour où tu dissous, tu ne sais pas où tu vas", note l'un de ses interlocuteurs réguliers. Cette fois, il ne s'agit pas de l'article 49.3 de la Constitution, mais de l'article 12. Le choix d'un nouveau round de concertations et d'un projet de loi spécifique, cela lui convient. C'est souvent le même schéma avec Emmanuel Macron : il veille à l'unité de sa majorité, cherchant donc à contenter tout le monde, du coup il a besoin de parler haut pour marquer son autorité et ses mots parlent plus fort que ses actes. "Il a dit que dans la seconde qui suit le vote d'une motion de censure, il dissoudrait l'Assemblée nationale, il n'a pas dit dans la minute, mais dans la seconde !" Pour résoudre une crise parlementaire en 1962, quand l'Assemblée nationale renverse le gouvernement Pompidou ; pour résoudre une crise nationale en 1968, après les événements de mai.
Après deux semaines de tergiversations, Emmanuel Macron a tranché : la réforme des retraites fera l'objet d'une concertation de trois mois entre le gouvernement français, les oppositions et les partenaires sociaux. Le chef de l'État hésitait à passer ...
Après deux semaines de tergiversations, Emmanuel Macron a tranché : la réforme des retraites fera l'objet d'une concertation de trois mois entre le gouvernement français, les oppositions et les partenaires sociaux. », a d'ailleurs répliqué Marine Le Pen sur Twitter. Une mise sous tension en règle de ses troupes et des oppositions.
Le chef de l'Etat a chargé son gouvernement d'ouvrir un cycle de discussions avec les partenaires sociaux et les forces politiques sur la base de son ...
[Gérard Larcher a dû reconnaître](https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/reforme-des-retraites-gerard-larcher-veut-engager-le-debat-au-senat-des-cet-automne-1852626) jeudi que « l'inspiration de l'exécutif n'est pas très éloignée » de celle du Sénat, quand le patron des députés LR, Olivier Marleix, a admis que l'ouverture de la concertation constituait un « progrès » , sans pour autant vouloir « donner de chèque en blanc ». [a réagi le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux](https://www.lesechos.fr/economie-france/social/reforme-des-retraites-le-medef-salue-le-nouveau-calendrier-fixe-par-emmanuel-macron-1852577) . [un chiffon rouge pour les syndicats](https://www.lesechos.fr/economie-france/social/reforme-des-retraites-soulages-sur-la-methode-les-syndicats-ne-digerent-pas-les-65-ans-1852794) et Emmanuel Macron lui-même s'était montré ouvert dans sa campagne de second tour à une borne à 64 ans. [Nombre de retraités, pension moyenne, âge conjoncturel de départ, poids dans les dépenses publiques... « On a choisi le dialogue et la concertation », a souligné la cheffe du gouvernement. De quoi contenter tout le monde dans la majorité, y compris François Bayrou sur la méthode. Dans la foulée, elle a réuni à Matignon le ministre du Travail, Olivier Dussopt, et celui des Relations avec le Parlement, Franck Riester, pour organiser ces discussions qui doivent, a indiqué Olivier Dussopt jeudi matin sur LCI, débuter « la semaine prochaine » avec les partenaires sociaux. Mais l'avertissement a aussi vocation à resserrer les rangs dans la majorité. « C'est pas grave de gagner ou de perdre, sourit un soutien du président du Modem, surtout quand on gagne. Mais il s'agit d'afficher une forte volonté réformatrice, tout en donnant un peu de temps au dialogue. Avancer groupé, aussi, alors que le terrain hors de la majorité est déjà particulièrement glissant. Il n'a pas exclu une dissolution de l'Assemblée en cas de vote censure des oppositions.
L'exécutif envisage d'augmenter l'âge de départ à la retraite par un projet de loi ordinaire. LR aura du mal à dire non.
La droite aura beau jeu de rappeler que le chef de l'Etat ne fait que se rallier à sa propre proposition. Lors de la campagne présidentielle, le camp Pécresse ironisait déjà sur le pillage de son projet économique par le président-candidat. Candidat à la présidence des Républicains, Aurélien Pradié compte ainsi se démarquer de ses rivaux Bruno Retailleau et Éric Ciotti, en phase avec le projet gouvernemental. Une loi ordinaire ne limite pas la réforme à son volet "paramétrique" et laisse davantage de temps à la concertation. Un groupe de députés emmené par Aurélien Pradié s'oppose à un report de l'âge légal de départ et privilégie de jouer sur la durée de cotisation. "Je n'ai pas fait ma campagne législative sur la retraite à 65 ans, mais il est complexe pour un député de droite de ne pas voter la réforme", ajoute un autre. Olivier Marleix a salué "un progrès" de la part du gouvernement. [Valérie Pécresse](//www.lexpress.fr/actualite/politique/lr/valerie-pecresse_2014518.html), prévoyait un report à 65 ans de l'âge de départ. La droite aura du mal à rejeter le texte de l'exécutif. Avec pour objectif de reporter à 65 ans l'âge légal de départ à la retraite d'ici 2031. L'exécutif a décidé de [rouvrir un nouveau cycle de concertations](//www.lexpress.fr/actualite/politique/reforme-des-retraites-l-executif-rouvre-un-cycle-de-concertations_2181037.html) en vue de l'adoption d'un projet de loi global avant la fin de l'hiver. Exit l'idée d'un passage en force via un simple amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) examiné en octobre à l'Assemblée.
En annonçant qu'il passera par un véhicule législatif autonome pour sa réforme des retraites, plutôt que par un amendement à la loi de financement de la ...
[étude menée par l’Ifop](https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2022/09/118724-Rapport-SR-N195-5.pdf) le corrobore : au sein de l’électorat LR, ils sont autant à juger la réforme des retraites prioritaire… Ils sont par ailleurs plus nombreux, à droite, à vouloir un allongement de la durée de cotisation (55 %) plutôt qu’un report à 64 ans de l’âge légal de départ (53 %). Si Bruno Retailleau comme Éric Ciotti sont favorables à un report de l’âge légal de départ à la retraite, Aurélien Pradié cultive sa différence en militant plutôt pour un allongement de la durée de cotisation. » Pour qu’une motion de censure soit adoptée et fasse tomber le gouvernement, il faut que les voix du Rassemblement national (89 sièges) et de la Nupes (151) se coalisent avec celles des LR (62). » Tout juste leur reste-t-il à traiter leurs débats internes sur le contenu de la réforme. Il n’y en a pas beaucoup chez nous qui l’ont mis sur leur profession de foi pour les législatives… 3 de la Constitution n’est pas limité sur les lois de finances (PLF) et les PLFSS, y compris rectificatives. et sans gâcher sa cartouche pour un texte non-budgétaire déposé à un autre moment de la session parlementaire. Lorsque le chef de l’État faisait mine d’envisager une réforme des retraites via un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), la droite avait beau jeu de lui reprocher d’escamoter un débat crucial. Autrement dit, en cas d’échec de la concertation avec les LR au Palais-Bourbon, la Première ministre Élisabeth Borne pourra faire adopter le texte sans vote… [une fois de plus](https://www.marianne.net/politique/droite/a-lassemblee-le-cauchemar-des-lr-ne-fait-que-commencer) ? Et acculé les députés Les Républicains (LR) à soutenir un texte qu’ils ont toujours appelé de leurs vœux.
Le chef de l'Etat « s'en remettrait aux Français » en cas de motion de censure, a assuré le ministre du travail, Olivier Dussopt. Mais ni la majorité ni les ...
« Il faudrait que tous les élus de la Nupes, ceux du RN et tous Les Républicains votent ensemble, précise le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, et pour cela, leurs partis doivent avoir des intérêts convergents pour retourner aux élections. « Je ne sais pas à quoi il joue, a cinglé, de son côté, le chef de file des députés Les Républicains (LR), Olivier Marleix, à propos d’Emmanuel Macron. », a réagi la cheffe de file des députés de LFI, Mathilde Panot. », a tweeté, jeudi, dans la foulée, Marine Le Pen, la présidente des 89 députés du Rassemblement national (RN) à l’Assemblée. Une démarche envisagée par une partie des oppositions en cas de recours par le gouvernement à l’article 49.3 de la Constitution – qui permet l’adoption d’un texte sans vote, sauf si une motion de censure est déposée et votée – pour faire passer le projet de loi sur les retraites. [a prévenu, lapidaire, le ministre du travail, Olivier Dussopt](https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/09/29/retraites-olivier-dussopt-n-exclut-pas-une-dissolution-de-l-assemblee-en-cas-de-motion-de-censure-sur-le-projet-de-reforme_6143672_823448.html), jeudi 29 septembre, sur LCI.
Les propos du chef de l'État, mercredi soir à l'Élysée, sur une possible dissolution de l'Assemblée nationale en cas de motion de censure de l'opposition, ...
[lors du dîner à l’Élysée des chefs à plume de la majorité](https://www.leparisien.fr/politique/retraites-macron-ouvre-un-nouveau-round-de-concertations-jusqua-noel-29-09-2022-OBJVCAXZ2BAU3D3LCZCCUSLNUU.php?ts=1664434923435), consacré aux retraites, le président a lâché : « Ne croyez pas que mon autorité ne durera pas jusqu’au bout sur les décisions à prendre. Si jamais il y a une motion de censure, dans la minute qui suit, [il y aura une dissolution ](https://www.leparisien.fr/politique/reforme-des-retraites-emmanuel-macron-nexclut-pas-de-dissoudre-lassemblee-nationale-en-cas-de-censure-de-lopposition-29-09-2022-6NYEBZJFW5BI5PWJXGUFS6PE74.php)». Les propos du chef de l’État, mercredi soir à l’Élysée, sur une possible dissolution de l’Assemblée nationale en cas de motion de censure de l’opposition, ne sont pas passés inaperçus…
La réforme des retraites revient agiter l'actualité politique de cette rentrée. Le projet d'Emmanuel Macron a subi, depuis sa première campagne ...
[« Je ne veux pas la chienlit »](https://www.ouest-france.fr/politique/reformes-des-retraites-dans-les-coulisses-du-diner-a-l-elysee-1dfc5d20-3fee-11ed-ba73-6636a9f64449) , a mis en garde Emmanuel Macron, lors d’un dîner avec sa garde rapprochée, mercredi 29 au soir. Le 14 juillet, dans une interview accordée au Parisien, il en appelle à « des compromis responsables » pour une adoption à l’été 2023. Dès l’automne 2021, le président revient donc sur son projet de réforme, annonçant « un système simplifié avec trois grands régimes, un pour la fonction publique, un pour les salariés, un pour les indépendants ». [Les annonces rencontrent un accueil mitigé de la part des syndicats](https://www.ouest-france.fr/economie/retraites/rapport-delevoye-sur-les-retraites-les-partenaires-sociaux-mitiges-6450144) : le Medef annonce soutenir « les grands principes de cette réforme ». « J’ouvre la porte très clairement » à un âge de départ à 64 ans (contre 62 actuellement), indique-t-il au mois d’avril sur le plateau de BFMTV. « La réforme que je propose est différente de celle de 2017 », réaffirme Emmanuel Macron en mars 2022, alors qu’il mène campagne pour sa réélection. « Emmanuel Macron est un homme photocopieuse », dénonce le compte des Républicains dans un tweet rapidement supprimé, qui accuse le président sortant d’avoir copié le programme de Valérie Pécresse. À la suite de ces annonces, la CFDT bascule dans le camp des opposants. « Nous ne toucherons pas à l’âge de départ à la retraite, ni au niveau des pensions », peut-on lire dans le programme de campagne de 2017 du candidat. [Jean-Paul Delevoye est nommé au mois de septembre 2017 Haut-commissaire à la réforme des retraites](https://www.ouest-france.fr/economie/retraites/portrait-delevoye-un-habile-negociateur-aux-fatals-oublis-6656728). Dans cette nouvelle mouture, un système de bonus-malus incitera à travailler plus longtemps, avec un « âge d’équilibre » fixé à 64 ans en 2027. [Dans son programme, du côté des réformes économiques inspirées du « modèle suédois](https://www.ouest-france.fr/europe/france/c-est-quoi-le-modele-suedois-auquel-se-refere-emmanuel-macron-4942297) », on trouve notamment un projet de réforme des retraites pour instaurer un régime à points, unifiant les régimes des retraites, publics et privés, avec une seule et même règle pour tous : une retraite dite « universelle ».
Malgré l'annonce de discussions avec les syndicats et les forces politiques d'opposition, le président de la République veut faire adopter sa réforme des ...
Il ne s’agit pas de “négociations” que la Première ministre est chargée de mener à partir de la semaine prochaine. Cette séquence a donc permis "de faire bouger les lignes". Et si les syndicats ne veulent pas discuter, il se réserve le droit d’introduire un amendement dans le PLFSS d’ici le mois de décembre. Il a été décidé que l'exécutif allait prendre le temps d'élaborer un texte spécifique pour le début de l'année prochaine. Avec la discussion interne qui s’est organisée au sein de la majorité et dont nous, médias, nous sommes fait l’écho, la question n’a pas été de savoir s’il était opportun ou pas de faire cette réforme. Elle a été de savoir quand on allait la faire : tout de suite ou après concertation ? D’ailleurs, au passage, savez-vous d’où lui vient cette idée de glisser un amendement retraites dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale ? De la droite sénatoriale qui a deux reprises, en 2020 et en 2021, s’est amusée à ce petit jeu. Qui proposait, d'une part, d’allonger l’âge de départ (la première fois c’était 63 ans, la deuxième fois 64 ans) et d’allonger la durée de cotisation, jusqu’à 43 annuités pour une retraite à taux plein. Il faut faire cette réforme, il en va de “l’autorité de votre serviteur”, leur a-t-il déclaré. Il y eut d’abord la crise des gilets jaunes qui a gelé pendant presque une année toute possibilité de réforme. Il faut faire la réforme de retraites à tout prix et à toute vitesse.