Elisabeth Badinter, philosophe, spécialiste du siècle des Lumières, est l'invitée de 7h50. Elle revient sur les manifestations contre le régime iranien ...
Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire. Interrogée sur les positions de Giorgia Meloni et ses positions anti-avortement, en cette journée internationale du droit à l'avortement, Elisabeth Badinter juge que "Dieu ne gouverne pas en France : je suis pour qu'on mette le droit à l'avortement dans la constitution. "Quand on tourne le dos à la justice, on n'a pas la certitude de l'honnêteté. Ce que reprochent les féministes de MeToo à la justice, et je peux le comprendre, c'est la question de la prescription. Elisabeth Borne répond que "tout dépend de la possibilité des manifestants de tenir. Quand on compare ces deux situations, on a l'espoir pour l'Iran et les femmes iraniennes."
Au micro de France Inter ce mercredi 28 septembre, la philosophe et spécialiste des Lumières Elisabeth Badinter était invitée à réagir à de nombreux sujets ...
Selon elle, les "néoféministes défendent les filles voilées en France". Elisabeth Badinter : "A la tête de la radicalisation, nous avons une députée écolo, madame Rousseau, qui veut faire tout flamber (...). [#MeToo]à la justice, c'est la question de la prescription. Enfin, sur le soutien accordé par "les féministes occidentales" aux femmes en Iran, Elisabeth Badinter a estimé qu'il fallait distinguer "féministes et féministes". À ce sujet, l'universitaire a estimé que le mouvement féministe "se radicalisait", avec, à sa tête, "une députée écolo, Madame Rousseau, qui veut faire tout flamber (...). "Pourquoi on ne porterait pas plainte avant la prescription ?
Elisabeth Badinter : « Dans le système de l'intersectionnalité, les trois groupes qui constituent cette intersection, qui sont : les gens de couleur, les néo- ...
[Destruction du Cash & de nos libertés par Philippe Béchade](https://planetes360.fr/destruction-du-cash-de-nos-libertes-par-philippe-bechade/) [Planetes360](https://planetes360.fr/author/contact360/)- [0](https://planetes360.fr/destruction-du-cash-de-nos-libertes-par-philippe-bechade/#respond) [ARTICLES CONNEXES](#) [PLUS DE L'AUTEUR](#) Joe Biden a fait de même avec le dollar.
Egalement invitée à réagir sur les violences faites aux femmes, Elisabeth Badinter a estimé que les femmes victimes de viols devaient prendre "leurs ...
Enfin, interrogée sur les positions de Giorgia Meloni et ses positions anti-avortement, en cette journée internationale du droit à l'avortement, Elisabeth Badinter juge que "Dieu ne gouverne pas en France : je suis pour qu'on mette le droit à l'avortement dans la constitution. Il n'y a pas rien, mais il y a peu." Elisabeth Badinter : "A la tête de la radicalisation, nous avons une députée écolo, madame Rousseau, qui veut faire tout flamber (...). Mme Rousseau est dans la toute-puissance et se permet de contrer la justice", a-t-elle dénoncé. "Dans le système de l'intersectionnalité, il y a une entente entre trois groupes, les gens de couleur, les néoféministes et les islamistes. Il n'y a pas rien, mais il y a peu [de la part des néo féministes].
La philosophe a tancé la députée écologiste, l'accusant d'être "à la tête de la radicalisation" des féministes qui "méprisent la justice".
"Il n'a jamais exercé la moindre violence psychologique à l'égard de ses compagnes", a assuré son avocate Marie Dosé lundi. Interrogée sur la possiblité d'allonger le délai de prescription en cas de viol, actuellement de 10 ou 20 ans selon la date du crime que réclament notamment [ reçu l'ex-campagne de Julien Bayou qui accuse l'élu de violences](/politique/europe-ecologie-les-verts/violences-faites-aux-femmes-le-patron-d-eelv-julien-bayou-mis-en-cause-par-sandrine-rousseau_AV-202209200077.html) psychologiques. "Où sommes-nous pour mépriser à ce point la justice? La gauche est confrontée depuis une dizaine de jours à une série d'affaires de violences faites aux femmes, d' La philosophe Élisabeth Badinter a croisé le fer ce mercredi matin par canaux interposés avec la députée Sandrine Rousseau.
Interviewée par Léa Salamé, Élisabeth Badinter a suscité un tollé en évoquant la prescription pour les violences sexuelles.
[Élisabeth Badinter](https://www.huffingtonpost.fr/actualites/article/elisabeth-badinter-plaide-pour-un-boycott-des-marques-se-lancant-dans-la-mode-musulmane_74777.html) estime qu’il n’est pas possible de revenir sur cette notion de prescription et ose même une comparaison. » https://t.co/si792OeS1F— Audrey PULVAR (@AudreyPulvar) « Les trois groupes qui constituent l’intersectionnalité sont, les gens de couleur, les néoféministes et les islamistes. [le HuffPost ici](https://www.huffingtonpost.fr/justice/video/affaire-ppda-pourquoi-temoigner-de-faits-memes-prescrits-est-important_207998.html). Cécile Delarue, sur Twitter a tout simplement qualifié de « naufrage » l’intervention d’Élisabeth Badinter, jugeant la comparaison avec les crimes contre l’humanité, « honteuse ». Plusieurs élues sont également montées au créneau après l’écoute de l’interview. « Où est la solidarité féministe que vous revendiquez Madame ? (La fatigue) https://t.co/oadpyowJDa— Caroline De Haas ✌️ (@carolinedehaas) https://t.co/HlN7HPySSV— France Inter (@franceinter) Je comprends très bien que ce soit difficile à évoquer pendant un certain temps, mais quand même 10 ans [depuis la loi de 2017 la prescription pour viol est de 20 ans, NDLR], ce n’est pas si mal ». « Pourquoi ne pas porter plainte avant la prescription (...) Il faut prendre ses responsabilités.
Le déchet Rousseau veut porter plainte contre la grande Elisabeth ! Qu'est-ce qu'on se marre ! On peut reprocher beaucoup de choses à Elisabeth Badinter, ...
Elisabeth Badinter, philosophe, spécialiste du siècle des Lumières, est l'invitée de 7h50. Elle revient sur les manifestations contre le régime iranien ...
Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire. Pour rappel, la prescription est de vingt ans en cas de crime, selon la loi du 27 février 2017. "Quand on tourne le dos à la justice pour exercer sa propre justice, on n'a pas la certitude de leur objectivité et et de leur honnêteté. C'est la fin de la présomption d'innocence. Je vais vous dire, si on en finissait avec la prescription, cela voudrait dire qu'on assimile les violences sexistes à la loi contre les nazis, qui est le crime contre l'Humanité [imprescriptible], ce n'est pas possible. Il n'y a pas rien, mais il y a peu [de la part des néo féministes]. Elisabeth Badinter répond que "tout dépend de la possibilité des manifestants de tenir. Je ne compte pas sur un geste des mollahs. Je suis dans l'inquiétude, il y a dans notre monde actuel un primat de la religion, que ce soit même en Amérique. Quand on compare ces deux situations, on a l'espoir pour l'Iran et les femmes iraniennes." Elisabeth Badinter, philosophe, spécialiste du siècle des Lumières, est l'invitée de 7h50. "J'ai une grande crainte pour elles, quel courage d'oser affronter les mollahs", réagit ce mercredi matin sur France Inter, la philosophe Elisabeth Badinter, à propos de la colère qui secoue l'Iran après la mort de Mahsa Amini*.
Invitée de la Matinale de France Inter ce matin, Elisabeth Badinter a multiplié les critiques sur celles qu'elle nomme les « néo-féministes ».
« Dans le système de l’intersectionnalité, les trois groupes qui constituent cette intersection, qui sont : les gens de couleur, les néo-féministes et les islamistes. Puis l’historienne, spécialiste de la période des Lumières, fonce alors tout droit dans une vision complotiste lorsqu’elle lance ( Il y a une entente […] » Selon Elisabeth Badinter,en raison de « cette entente » entre ces trois groupes qui formeraient l’intersectionnalité, « on ne bouge pas ». « Je ne suis pas frappée par leur indignation, leur manifestation, à propos du voile, et pour une bonne raison, c’est qu’elles défendent les filles voilées en France ». [Sur France Inter, Elisabeth Badinter affirme qu'il y aurait une "entente" entre les "islamistes" et les "militantes LGBT"](https://www.komitid.fr/2022/09/28/sur-france-inter-elisabeth-badinter-affirme-quil-y-aurait-une-entente-entre-les-islamistes-et-les-militantes-lgbt/) [Mélenchon est "grillé" auprès des féministes, estiment des militantes](https://www.komitid.fr/2022/09/23/melenchon-est-grille-aupres-des-feministes-estiment-des-militantes/) [Les personnes intersexes, les Roms et les migrant·es toujours discriminées en Grèce, selon le Conseil de l'Europe](https://www.komitid.fr/2022/09/22/lgbti-roms-et-migrants-toujours-discrimines-en-grece-selon-le-conseil-de-leurope/) [NBA : Anthony Edwards mis à l'amende pour propos homophobes](https://www.komitid.fr/2022/09/22/nba-edwards-minnesota-mis-a-lamende-pour-propos-homophobes/) [Le footballeur écossais Zander Murray fait son coming out gay](https://www.komitid.fr/2022/09/21/le-footballeur-ecossais-zander-murray-fait-son-coming-out-gay/) [Annuler la réponse](/2022/09/28/sur-france-inter-elisabeth-badinter-affirme-quil-y-aurait-une-entente-entre-les-islamistes-et-les-militantes-lgbt/#respond) [être connecté.e](https://www.komitid.fr/se-connecter/?redirect_to=https%3A%2F%2Fwww.komitid.fr%2F2022%2F09%2F28%2Fsur-france-inter-elisabeth-badinter-affirme-quil-y-aurait-une-entente-entre-les-islamistes-et-les-militantes-lgbt%2F%23newcomment)pour laisser un commentaire. On a dû s’y reprendre à deux fois et réécouter l’interview d’Elisabeth Badinter sur France Inter, tant ses propos sont choquants.
Invitée sur France Inter ce mercredi matin, Elisabeth Badinter a tenu des propos polémiques sur les femmes victimes de viol.
[#MeToo]à la justice, c'est la question de la prescription. "Pourquoi on ne porterait pas plainte avant la prescription ? Elisabeth Badinter : "A la tête de la radicalisation, nous avons une députée écolo, madame Rousseau, qui veut faire tout flamber (...).
Les propos de la philosophe Elisabeth Badinter appelant les femmes victimes de viols à.
Elisabeth Badinter : "A la tête de la radicalisation, nous avons une députée écolo, madame Rousseau, qui veut faire tout flamber (...). Élisabeth Badinter sur France Inter c'est un combo de positions réactionnaires ce matin", a-t-elle écrit sur le réseau social. Mme Rousseau est dans la toute-puissance et se permet de contrer la justice", a lancé Elisabeth Badinter au micro de Léa Salamé et Nicolas Demorand. Sur Twitter, l'élue écologiste a dénoncé "un combo de positions réactionnaires". Au cours de son entretien sur la radio du service public, la philosophe a étrillé l'élue écologiste. Des propos qui n'ont manqué de provoquer l'indignation des militantes féministes, à commencer par Sandrine Rousseau.
La philosophe âgée de 78 ans s'est également mélangé les pinceaux sur le concept d'intersectionnalité avant d'être épinglée par plusieurs féministes et ...
« Dans le système de l’intersectionnalité, les trois groupes qui constituent cette intersectionnalité, qui sont les gens de couleurs, les néoféministes et les islamistes, il y a une entente. Enfin, la philosophe est revenue, dans des explications confuses sur l’engagement des féministes françaises dans la révolution iranienne, sur la notion d’intersectionnalité dont se revendiquent certaines « néoféministes », comme elle les appelle. « Elisabeth Badinter sur France Inter, c’est un combo de positions réactionnaires ce matin », tranche, de son côté, Sandrine Rousseau Le concept, pensé en 1989 par la juriste américaine Kimberlé Crenshaw, permet de repenser les luttes féministes. Continuant son exposé bancal, la philosophe a assuré être contre la fin de la prescription pour les crimes concernant des violences sexuelles. Ces propos culpabilisant envers les victimes de violences sexuelles et sexistes ont immédiatement fait réagir. « Qualifier “d’indécent” le mouvement des femmes qui parlent aujourd’hui des viols qu’elles ont subis hors délai de prescription. Je me suis dit mais : où sommes-nous pour mépriser à ce point la justice ? « Si on en finissait avec la prescription ça voudrait dire qu’on assimile les violences sexistes à la loi contre les nazis, qui est le crime contre l’humanité. « Les violences faites aux femmes sont punies, mais est-ce des crimes contre l’humanité ? En faisant au passage une erreur : le délai de prescription pour les crimes sexuels est en France de 20 ans pour les majeurs et 30 ans pour les mineurs. « Pourquoi on ne porterait pas plainte avant la prescription ?
Ce mercredi 28 septembre dans la matinale de France Inter, la philosophe Élisabeth Badinter était invitée à réagir concernant les violences faites...
Qualifier "d’indécent" le mouvement des femmes qui parlent aujourd’hui des viols qu’elles ont subis hors délai de prescription. » [L’ancienne journaliste](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/audrey-pulvar-cash-sur-emmanuel-macron-son-gros-coup-de-gueule-apres-sa-victoire_492379) n’a pas été la seule à s’insurger des paroles d’Élisabeth Badinter, qui a aussi ajouté lors de cet interview : « Pourquoi on ne porterait pas plainte avant la prescription ? [qui s’est rendue elle aussi](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/audrey-pulvar-degoutee-de-la-politique-pire-que-la-pire-des-fictions_487540) sur Twitter pour dénoncer les paroles de la femme de lettres de 78 ans en les relayant : « Les femmes victimes de viols doivent prendre leurs responsabilités. Invitée à l’antenne de la célèbre radio, [la philosophe et spécialiste des Lumières](https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/video-lamentable-elisabeth-badinter-choquee-par-laffaire-mila_458901) Élisabeth Badinter a en effet tenu des propos qui ont rapidement fait réagir la Toile, puisque son nom est très vite apparu en TT dans la catégorie France sur Twitter. Et ses propos ont suscité un tollé auprès de nombreuses personnalités dont Audrey Pulvar.
La philosophe a vivement critiqué la députée écologiste, ce mercredi matin, au micro de France Inter. L'élue a aussitôt répliqué via les réseaux sociaux.
[Me Marie Dosé a fustigé une « instrumentalisation politique » et dénoncé « l'ambition politicienne » de Sandrine Rousseau](https://www.lepoint.fr/politique/julien-bayou-demissionne-de-son-poste-de-secretaire-national-d-eelv-26-09-2022-2491297_20.php) alors que le congrès des écologistes doit se tenir en fin d'année. « Julien Bayou n'a jamais exercé la moindre violence psychologique à l'égard de ses compagnes », affirme-t-elle. [un problème entre monsieur Bayou et sa compagne](https://www.lepoint.fr/politique/violences-faites-aux-femmes-julien-bayou-epingle-par-sandrine-rousseau-20-09-2022-2490570_20.php) et d'appeler à son exclusion », a insisté l'universitaire au micro de la radio publique. « Flamber le patriarcat, Madame, et avec enthousiasme de surcroît », a écrit l'élue, qui a également pointé du doigt la sortie de l'épouse de Robert Badinter sur les femmes victimes de viol qui doivent, selon elle « prendre leurs responsabilités » pour porter plainte avant la prescription des faits. « Je crois que cette femme [ [Sandrine Rousseau](/tags/sandrine-rousseau)] est dans la toute-puissance et se permet de contrer la justice. [Julien Bayou à démissionner de son poste de secrétaire national d'EELV](https://www.lepoint.fr/politique/julien-bayou-demissionne-de-son-poste-de-secretaire-national-de-eelv-26-09-2022-2491303_20.php).
La philosophe considère que Sandrine Rousseau est "à la tête de la radicalisation" du mouvement féministe #MeToo. L'élue écologiste voudrait, selon elle, "tout ...
Elisabeth Badinter estime qu'aujourd'hui "on livre des hommes à la vindicte publique, sans passer par un minimum de justice". Sandrine Rousseau s'oppose tout particulièrement à ses propos sur la prescription. Elle s'indigne contre Sandrine Rousseau "qui est dans la toute-puissance et se permet de contrer la justice".
Les propos de Sandrine Rousseau sur Julien Bayou lundi 19 septembre sur France 5 font décidément couler beaucoup d'encre. Après Eric-Dupond-Moretti, ...
« Où sommes-nous pour mépriser à ce point la justice ? Où sommes-nous, pour mépriser à ce point la justice ? Avant de compléter : « On ne peut pas à ce point mépriser les principes démocratiques.
Invitée de la matinale de France Inter, la philosophe Élisabeth Badinter a tenu des propos virulents et choquants sur la députée Sandrine Rousseau, ...
Mais aussi de deux victimes déclarées de PPDA : la journaliste Hélène Devynck, autrice du récent récit biographique Impunité (éditions Seuil), et la journaliste Cécile Delarue, qui ne semble pas avoir de mos assez forts pour qualifier cette intervention : "Naufrage d’Elisabeth Badinter ce matin. "Dans le système de l'intersectionnalité, il y a une entente entre trois groupes, les gens de couleur, les néoféministes et les islamistes, poursuit-elle. Mme Rousseau est dans la toute-puissance et se permet de contrer la justice", a-t-elle dénoncé. "La fin de la prescription d'innocence et d'un travail sérieux" de la justice selon elle. Élisabeth Badinter ose même un parallèle pour le moins inattendu pour appuyer son propos : "Si on en finissait avec la prescription, cela voudrait dire qu’on assimile les violences sexistes à la loi contre les nazis, qui est le crime contre l’Humanité [imprescriptible, ndlr], ce n’est pas possible. Selon l'universitaire, "les néoféministes défendent les filles voilées en France", d'où leur absence de réelle réaction. Même si vous ne vous réveillez pas avec la matinale de France Inter, cette interview n'a pas pu vous échapper aujourd'hui : celle de la philosophe Élisabeth Badinter, invitée à s'exprimer sur les violences faites aux femmes. [la révolte des femmes iraniennes](https://www.neonmag.fr/iran-un-nouveau-projet-liberticide-prevoit-de-controler-le-port-du-voile-par-reconnaissance-faciale-559398.html), Badinter répond d'un tranchant : "il y a féministes et féministes". Posons d'abord le contexte : le 28 septembre marque la journée mondiale du droit à l'avortement, et beaucoup d'actualités touchent aux droits des femmes et aux violences qu'elles subissent. Sur ce dernier sujet, la philosophe choisit d'en appeler à la "responsabilité" des victimes de viol : "Pourquoi on ne porterait pas plainte avant la prescription ? Près de cinq ans après les prémisses du mouvement #MeToo, cette prise de position n'a pas manqué d'indigner plusieurs personnalité féministes sur Twitter, à l'image de la sénatrice Mélanie Vogel et de Zoé Royaux, porte-parole de la Fondation des Femmes : Et pour le coup, INDÉCENT", a-t-elle tweeté.
Élisabeth Badinter, invitée de la matinale de France Inter, a suscité de vives réactions en évoquant la prescription pour les violences sexuelles.
La philosophe en a également appelé à la « responsabilité » des victimes de viol. », a taclé la journaliste. », a défendu la philosophe. C’est notamment le cas de la sénatrice Mélanie Vogel et de Zoé Royaux, porte-parole de la Fondation des Femmes. [#MeToo]à la justice, c'est la question de la prescription. Deux victimes présumées de Patrick Poivre d’Arvor ont également réagi aux propos de la philosophe. De son côté, Hélène Devynck a partagé : « Ce matin, Élisabeth Badinter m’explique que je suis irresponsable et indécente. [François Durpaire mis en examen : le célèbre consultant de BFMTV visé par une plainte pour viol](https://www.mariefrance.fr/actualite/francois-durpaire-mis-examen-celebre-consultant-de-bfmtv-vise-plainte-viol-655073.html) [Violences conjugales, fausse couche… Elle a partagé au micro de France Inter : « Pourquoi on ne porterait pas plainte avant la prescription ? Face à la journaliste Léa Salamé, la philosophe a été interrogée sur la notion de prescription, une question centrale dans l’affaire Patrick Poivre d’Arvor. Parmi les sujets abordés, elle partage son opinion sur la députée Sandrine Rousseau, la prescription des violences sexistes et sexuelles ou encore le mouvement #MeToo. Certains de ses propos ont suscité de nombreuses et vives réactions.
La philosophe Elisabeth Badinter a suscité la polémique auprès de plusieurs féministes et personnalités politiques après son passage dans le matinale de ...
Son intervention a été vivement critiquée sur les réseaux sociaux.Plusieurs femmes politiques se sont insurgées contre ses propos jugés indécents et culpabiliants à 'l'égard des victimes." "Si on en finissait avec la prescription, ça voudrait dire qu'on assimile les violences sexistes à la loi contre les nazis, qui est le crime contre l'humanité. Elisabeth Badinter a justifié son propos en appuyant le fait que seuls les crimes contre l'humanité n'étaient pas soumis au régime de prescription. La philosophe s'est en effet exprimée sur le sujet en déclarant que les victimes de viols devaient « prendre [leurs] responsabilités » et aller porter plainte avant la fin du délai. Tout en pointant la cruauté du gouvernement iranien, Elisabeth Badinter a montré une pointe d'optimisme en relevant le soutien des hommes iraniens aux femmes qui défient les rues avec courage. La discussion s'est ensuite dirigée vers les "me too" qui bousculent la politique française.