Les policiers qui sont intervenus sur les lieux ont également essuyé plusieurs tirs de mortiers.
», s’interroge cet élu en retrait du PS notamment sur les questions de sécurité. Selon lui « il y a eu une interpellation difficile à faire avec des délits de fuite » dans les heures qui ont précédé les échauffourées, ce que n’a pas confirmé le parquet. L’an dernier, les émeutes qui avaient touché le quartier en octobre s’étaient soldées par l’incendie de treize de voitures, sans faire de blessé. Selon le maire d’Alençon Joaquim Pueyo, des policiers extérieurs à Alençon ont dû intervenir en renfort. Les forces de l’ordre venues intervenir se sont également retrouvées visées Un an après, un sentiment de déjà-vu pour les habitants d’Alençon.
Les faits se sont produits entre 23h00 et 2h00 du matin dans le quartier de Perseigne, a précisé à l'AFP le procureur de la République d'Alençon Laetitia ...
Il la qualifie de "difficile à faire, avec des délits de fuite". Pueyo cela n'a pas de lien avec les faits. Pueyo évoque lui aussi "une interpellation" dans les heures qui ont précédé les faits. Est-ce que les sanctions sont suffisantes ?" Alliance dénonce un "manque cruel d'effectif alors qu'on parle de supprimer la brigade anticriminalité du commissariat de police d'Alençon par manque de policiers". Vingt pompiers et trois engins pompes ont été engagés pour éteindre les incendies, ajoute-t-il.
La nuit du mardi 27 au mercredi 28 septembre a été émaillée de violences dans un quartier populaire d'Alençon (Normandie), où des policiers ont été visés ...
Il la qualifie de "difficile à faire, avec des délits de fuite"." "Une présence des forces de sécurité sera maintenue à un haut niveau dans les prochains jours", assure-t-il. Les faits se sont produits entre 23h00 et 2h00 du matin dans le quartier de Perseigne, a précisé à l'AFP le procureur de la République d'Alençon Laetitia Mirande.
Voitures incendiées, policiers visés par de nombreux tirs de mortiers d'artifice: Alençon, 26.000 habitants, a de nouveau été secouée par des violences ...
Il y a quinze jours, on a encore démantelé (...) un laboratoire clandestin (...) La semaine dernière, on a interpellé deux dealers en bas d'un immeuble sur le quartier de Perseigne et hier après-midi, de nouveau, deux jeunes ont été interpellés par la police et on peut penser qu'il y a un lien assez direct entre cette action de la police (...) contre la drogue à Perseigne et ce qu'on a connu hier soir sur le quartier", a avancé M. , s'interroge pour sa part le maire, "en retrait du PS" notamment sur les questions de sécurité. "Ce qu'on a connu hier soir, c'est la conséquence directe du travail que fait la police sur le quartier (...). "Les fonctionnaires locaux ont fait face à une cinquantaine d'émeutiers armés avec des barres de fer", selon lui. "Ca fait mal au coeur", a confié à un photographe de l'AFP une retraitée du quartier dont l'unique voiture a été brûlée. C'est pas possible" de racheter un véhicule, a expliqué l'habitante de cette ville où le taux de chômage atteint 21%.
Des policiers ont été visés par des tirs de mortiers d'artifice et une vingtaine de véhicules ont été brûlés dans la nuit de mardi 27 à mercredi 28 ...
Menaces sur le gaz : la campagne de la betterave démarre plus tôt en Normandie](/id345979/article/2022-09-28/video-menaces-sur-le-gaz-la-campagne-de-la-betterave-demarre-plus-tot-en) Il la qualifie de « difficile à faire, avec des délits de fuite ».« La semaine dernière des individus avaient été interpellés pour détention et trafic de stupéfiants », dans ce quartier, a ajouté cet ancien directeur de prison. [Grève à TotalÉnergies : la raffinerie de Normandie près du Havre mise à l’arrêt](/id346072/article/2022-09-28/greve-totalenergies-la-raffinerie-de-normandie-mise-larret) [INFOGRAPHIE. Selon le maire d’Alençon Joaquim Pueyo, « il n’y a pas assez de policiers la nuit » malgré les postes supplémentaires qui avaient été créés à Alençon à la suite des faits de fin octobre 2021. Le syndicat Unsa-Police a évoqué dans un communiqué « une véritable scène de guérilla urbaine » dans laquelle « les fonctionnaires locaux ont fait face à une cinquantaine d’émeutiers armés avec des barres de fer ». Les faits se sont produits entre 23 heures et 2 heures du matin dans le quartier de Perseigne, a précisé à l’AFP le procureur de la République d’Alençon Lætitia Mirande.
Alençon - Voitures incendiées, policiers visés par de nombreux tirs de mortiers d'artifice: Alençon, 26.000 habitants, a de nouveau été secouée par des ...
Il y a quinze jours, on a encore démantelé (...) un laboratoire clandestin (...) La semaine dernière, on a interpellé deux dealers en bas d'un immeuble sur le quartier de Perseigne et hier après-midi, de nouveau, deux jeunes ont été interpellés par la police et on peut penser qu'il y a un lien assez direct entre cette action de la police (...) contre la drogue à Perseigne et ce qu'on a connu hier soir sur le quartier", a avancé M. , s'interroge pour sa part le maire, "en retrait du PS" notamment sur les questions de sécurité. "Ce qu'on a connu hier soir, c'est la conséquence directe du travail que fait la police sur le quartier (...). "Les fonctionnaires locaux ont fait face à une cinquantaine d'émeutiers armés avec des barres de fer", selon lui. "Ca fait mal au coeur", a confié à un photographe de l'AFP une retraitée du quartier dont l'unique voiture a été brûlée. C'est pas possible" de racheter un véhicule, a expliqué l'habitante de cette ville où le taux de chômage atteint 21%.
Vers 23h15, trois véhicules ont été incendiés dans le quartier de la Perseigne. Les policiers se sont rendus sur place, renforcés par des gendarmes et des ...
- 9 - 8 - 7 [Un incendie pour créer des pénuries ? - 5 le ras-le-bol des agents des routes](/transports/video-incivilites-mise-en-danger-le-ras-le-bol-des-agents-des-routes-2233256.html)Publié le 26 septembre 2022 à 18h24 Dans le cadre de ce déplacement, les ministres ont signé avec le maire de la ville, un "contrat de sécurité intégré", une feuille de route associant les ministres dans la lutte contre les violences dans la ville. Selon le maire d'Alençon Joaquim Pueyo, "il y a eu une interpellation difficile à faire avec des délits de fuite" dans les heures ayant précédé les échauffourées ; ce que n'a pas confirmé le parquet. Pendant que les gendarmes ont contacté les pompiers, les policiers ont avancé dans la cité, quand une cinquantaine d’individus, rassemblés en petits groupes. Vers 23h15, trois véhicules ont été incendiés dans le quartier de la Perseigne. Les faits se sont produits entre 23h00 et 2h00 du matin dans le quartier de Perseigne. Les faits se sont produits entre 23 heures et 2 heures du matin dans le quartier de Perseigne.Une enquête a été ouverte pour tenter d'identifier les auteurs des faits.
Selon le syndicat de policiers Alliance 61, "soixante mortiers ont été tirés en direction des forces de l'ordre". "Ces violences font suite à une interpellation ...
Il la qualifie de "difficile à faire, avec des délits de fuite". Pueyo évoque lui aussi "une interpellation" dans les heures qui ont précédé les faits. Alliance dénonce un "manque cruel d'effectif alors qu'on parle de supprimer la brigade anticriminalité du commissariat de police d'Alençon par manque de policiers".
Fin octobre 2021, des faits similaires s'étaient produits dans le même quartier de Perseigne.
Est-ce que les sanctions sont suffisantes ?», s'interroge pour sa part le maire, «en retrait du PS» notamment sur les questions de sécurité. «On a besoin d'avoir des policiers et des gendarmes qui soient nombreux sur le département et ils le seront de plus en plus à l'avenir», a promis le préfet. «Nos collègues sur le terrain tombent régulièrement sur des guet-apens», détaille le policier qui décrit un quartier «réputé pour le trafic de stupéfiants, où se déroulent aussi parfois des bagarres de territoire». Le syndicat Unsa-Police a évoqué dans un communiqué «une véritable scène de guérilla urbaine». Il y a quinze jours, on a encore démantelé (...) un laboratoire clandestin (...) La semaine dernière, on a interpellé deux dealers en bas d'un immeuble sur le quartier de Perseigne et hier après-midi, de nouveau, deux jeunes ont été interpellés par la police et on peut penser qu'il y a un lien assez direct entre cette action de la police (...) contre la drogue à Perseigne et ce qu'on a connu hier soir sur le quartier», a avancé Sébastien Jallet. Auprès du Figaro, Mickael Métairie, secrétaire pour Unité SGP dans l'Orne, déplore «des faits qui deviennent récurrents». Alliance dénonce un «manque cruel d'effectif» et demande, comme Unsa, des renforts. «Ca fait mal au cœur», a confié à un photographe de l'AFP une retraitée du quartier dont l'unique voiture a été brûlée. C'est pas possible» de racheter un véhicule, a expliqué l'habitante de cette ville où le taux de chômage atteint 21%. Vingt pompiers et trois engins pompes ont été engagés pour éteindre les incendies, a ajouté la même source. Les faits ont duré jusqu'à 2h du matin dans le quartier de Perseigne, a précisé à l'AFP la procureure de la République d'Alençon Laetitia Mirande. Alençon, 26.000 habitants, a de nouveau été secouée par des violences urbaines, dans la nuit de mardi 27 à mercredi 28 septembre,
Voitures incendiées, policiers visés par de nombreux tirs de mortiers d'artifice : Alençon, 26 000 habitants, a de nouveau été secouée par des violences ...
« On a besoin d’avoir des policiers et des gendarmes qui soient nombreux sur le département et ils le seront de plus en plus à l’avenir », a promis le préfet. Selon « Ouest-France », c’est une course-poursuite dans la journée, suivie d’une interpellation, qui aurait mis le feu aux poudres. Il y a quinze jours, on a encore démantelé […] un laboratoire clandestin […] La semaine dernière, on a interpellé deux dealers en bas d’un immeuble sur le quartier de Perseigne et hier après-midi, de nouveau, deux jeunes ont été interpellés par la police et on peut penser qu’il y a un lien assez direct entre cette action de la police […] contre la drogue à Perseigne et ce qu’on a connu hier soir sur le quartier. [des faits similaires s’étaient produits](https://www.nouvelobs.com/justice/20211027.OBS50349/ce-que-l-on-sait-sur-la-nuit-de-violences-urbaines-a-alencon.html) dans ce quartier populaire d’Alençon : treize véhicules avaient été incendiés et les forces de l’ordre avaient également été la cible de tirs de mortiers d’artifice. Alliance dénonce un « manque cruel d’effectif » et demande, comme Unsa, des renforts. « Ce qu’on a connu hier soir, c’est la conséquence directe du travail que fait la police sur le quartier […]. », s’interroge pour sa part le maire, « en retrait du PS » notamment sur les questions de sécurité. « Les fonctionnaires locaux ont fait face à une cinquantaine d’émeutiers armés avec des barres de fer », selon lui. La préfecture a précisé que vingt policiers de l’Orne, neuf de la Sarthe et onze gendarmes de l’Orne « ont été mobilisés pour sécuriser l’action des pompiers ». Vingt pompiers et trois engins pompes ont été engagés pour éteindre les incendies, a ajouté la même source. « Durant cette nuit, aucun commerce n’a été visé », précise l’hebdomadaire « Selon «
À la suite des violences urbaines commises à Alençon, dans la nuit du 27 au 28 septembre 2022, le syndicat de Police SGP-FO réagit.
J’ai une pensée pour les habitants, mais aussi pour mes collègues de terrain. Mes collègues font du bon boulot sur le terrain, d’où ce type de réactions. Une quarantaine de policiers et gendarmes, de l’Orne, mais aussi de la Sarthe, ont affronté les émeutiers jusqu’à 2 h du matin. On les attire dans des pièges, pour les agresser, leur faire du mal physiquement. On demande à être davantage écoutés, car il manque une trentaine de policiers sur le département de l’Orne. Cela fait longtemps que l’on demande de vrais renforts.
Nouvelle nuit de violences à Alençon, dans l'Orne. Dans la nuit de mardi à Mercredi, des policiers ont été visés par des tirs de mortiers d'artifice après ...
"La semaine dernière des individus avaient été interpellés pour détention et trafic de stupéfiants", dans ce quartier, a ajouté cet ancien directeur de prison. , s'interroge cet élu "en retrait du PS" notamment sur les questions de sécurité. Il la qualifie de "difficile à faire, avec des délits de fuite". Le syndicat Unsa-Police a évoqué dans un communiqué "une véritable scène de guérilla urbaine" dans laquelle "les fonctionnaires locaux ont fait face à une cinquantaine d'émeutiers armés avec des barres de fer". Selon le syndicat de policiers Alliance 61, "soixante mortiers ont été tirés en direction des forces de l'ordre". Les faits se sont produits entre 23h00 et 2h00 du matin dans le quartier de Perseigne, a précisé à l'AFP le procureur de la République d'Alençon Laetitia Mirande.
Mercredi 28 septembre, la nouvelle édition du Toc3, le rendez-vous des étudiants, se tenait au parc des Promenades, à Alençon (Orne).
D’autres agitaient des pompons, des pancartes et des cornes de supporters dans l’espoir de remporter le prix du « meilleur club de supporters ». Des prix à gagner et le fameux challenge Bichéphale étaient au programme. Parmi eux, certains étaient déguisés pour remporter le prix du « meilleur déguisement en équipe ».
Des policiers ont été visés par des tirs de mortiers d'artifice et une vingtaine de véhicules ont été brûlés dans la nuit de mardi à mercredi à Alençon ...
« On a besoin d'avoir des policiers et des gendarmes qui soient nombreux sur le département et ils le seront de plus en plus à l'avenir », a promis le préfet. La police (y) conduit un combat acharné contre le trafic de stupéfiant », a ajouté Sébastien Jallet, le préfet de l'Orne, sur BFMTV. Le syndicat Unsa-Police a évoqué dans un communiqué « une véritable scène de guérilla urbaine ». C'est pas possible » de racheter un véhicule, a expliqué l'habitante de cette ville de 26 000 habitants où le taux de chômage atteint 21%. Les faits ont duré jusqu'à 2h du matin dans le quartier de Perseigne. En octobre 2021, des faits similaires s'étaient produits dans cette ville de 26 000 habitants.
Un suspect déjà très connu de la justice. D'autres arrestations avaient aussi eu lieu ces derniers jours sur fond de trafic de drogue. Les policiers parlent de ...
[Réformes des retraites : calendrier et méthode... - 8 [Un incendie pour créer des pénuries ? - 6 Ce mardi soir, cinq policiers seulement étaient présents au commissariat pour intervenir en urgence. Il n’y a pas eu de blessés mais une vingtaine de voitures brûlées, notamment à quelques mètres seulement d’un centre de loisirs.
Des renforts de sécurité étaient attendus en fin de journée après la flambée de violences qu'a connues le quartier dans la nuit de mardi à mercredi.
La semaine dernière, on a interpellé deux dealeurs en bas d’un immeuble sur le quartier de Perseigne, et hier après-midi, de nouveau, deux jeunes ont été interpellés par la police et on peut penser qu’il y a un lien assez direct entre cette action de la police (…) contre la drogue à Perseigne et ce qu’on a connu hier soir sur le quartier », a avancé M. La police [y] conduit un combat acharné contre le trafic de stupéfiants », a ajouté Sébastien Jallet, le préfet de l’Orne, sur BFM-TV. Le syndicat UNSA-Police a évoqué dans un communiqué « une véritable scène de guérilla urbaine ». Les faits ont duré jusqu’à 2 heures du matin dans le quartier de Perseigne, a précisé la procureure de la République d’Alençon, Laetitia Mirande. Seront ainsi « engagés trois sections de la compagnie républicaine de sécurité (CRS) 27 de Toulouse » ainsi que « deux équipages de brigades anticriminalité du Calvados et de la Sarthe, soit plus de 65 policiers déployés », précise la préfecture, en ajoutant que des renforts supplémentaires pourront être mobilisés en cas de besoin, dans la ville de 26 000 habitants. Quasiment un an après des faits similaires, un quartier d’Alençon a connu une flambée de violences dans la nuit de mardi 27 à mercredi 28 septembre.
Selon le syndicat de policiers Alliance 61, "soixante mortiers ont été tirés en direction des forces de l'ordre". "Ces violences font suite à une interpellation ...
Il la qualifie de "difficile à faire, avec des délits de fuite". Pueyo évoque lui aussi "une interpellation" dans les heures qui ont précédé les faits. Alliance dénonce un "manque cruel d'effectif alors qu'on parle de supprimer la brigade anticriminalité du commissariat de police d'Alençon par manque de policiers".
Voitures incendiées, policiers visés par de nombreux tirs de mortiers d'artifice... Alençon, 26.000 habitants, a de nouveau été secouée par des violences ...
Le syndicat de policiers Alliance 61 fait état de «soixante mortiers tirés en direction des forces de l'ordre». «Ca fait mal au coeur», a confié à un photographe de l'Agence France-Presse une retraitée du quartier dont l'unique voiture a été brûlée. Alençon, 26.000 habitants, a de nouveau été secouée par des violences urbaines, dans la nuit de mardi à mercredi.
24 véhicules ont été incendiés et trois autres retournés dans la nuit de mardi à mercredi dans le quartier de Perseigne à Alençon où des renforts de police ...
"Depuis plusieurs mois nous menons des opérations coups de poing (...) contre les réseaux. "Ce qu'on a connu hier soir, c'est la conséquence directe du travail que fait la police sur le quartier (...). Alliance dénonce un "manque cruel d'effectif" et demande, comme Unsa, des renforts. "Les fonctionnaires locaux ont fait face à une cinquantaine d'émeutiers armés avec des barres de fer", selon lui. Vingt pompiers et trois engins pompes ont été engagés pour éteindre les incendies, a ajouté la même source. "Mon mari n'a que 600 euros de retraite, moi 1.100 mais avec 500 euros de loyer, la lumière tout ça...
Aucun membre des forces de l'ordre ne se trouvait face à l'immeuble au moment des tirs. Des policiers ont ensuite pénétré dans cet immeuble rénové de quatre ...
"Ca fait mal au coeur", avait confié mercredi à l'AFP une retraitée du quartier dont l'unique voiture a brûlé. "Mon mari n'a que 600 euros de retraite, moi 1.100 mais avec 500 euros de loyer, la lumière tout ça... Des renforts supplémentaires pourront être mobilisés en cas de besoin, précisait la préfecture. Des points de contrôle ont été installés aux entrées du quartier, pour procéder à des vérifications d'identité et de contenu des coffres de véhicules, tandis des patrouilles pédestres ou motorisées étaient effectuées, a constaté le photographe. "Depuis plusieurs mois nous menons des opérations coups de poing (...) contre les réseaux (...) On peut penser qu'il y a un lien assez direct entre cette action de la police (...) contre la drogue à Perseigne et ce qu'on a connu hier soir sur le quartier", a avancé M. La préfecture de l'Orne avait annoncé mercredi en fin de journée l'arrivée de renforts de sécurité "après la nuit de violences urbaines qu'a connu le quartier de Perseigne à Alençon", ville de 26.000 habitants.
Virginie Cosnard a ouvert "Mon salon", à Alençon (Orne), dans la rue du bas de Montsort. Une ouverture accompagnée d'une création d'emploi.
Car le métier évolue beaucoup, avec de nouveaux produits, des tendances. Originaire de Dreux, c’est à Alençon qu’elle a passé toute son enfance avant que sa famille ne rejoigne Évreux. En 2021, Virginie Cosnard a quitté le salon de coiffure à Montsort à Alençon (
"Après la nuit de violences urbaines qu'a connu le quartier de Perseigne à Alençon", ville de 26.000 habitants, le préfet de l'Orne "a demandé la mise en place ...
"Ca fait mal au coeur", avait confié mercredi à l'AFP une retraitée du quartier dont l'unique voiture a brûlé. "Mon mari n'a que 600 euros de retraite, moi 1.100 mais avec 500 euros de loyer, la lumière tout ça... Des renforts supplémentaires pourront être mobilisés en cas de besoin, précisait la préfecture. Des points de contrôle ont été installés aux entrées du quartier, pour procéder à des vérifications d'identité et de contenu des coffres de véhicules, tandis des patrouilles pédestres ou motorisées étaient effectuées, a constaté le photographe. "Depuis plusieurs mois nous menons des opérations coups de poing (...) contre les réseaux (...) On peut penser qu'il y a un lien assez direct entre cette action de la police (...) contre la drogue à Perseigne et ce qu'on a connu hier soir sur le quartier", a avancé M. La préfecture de l'Orne avait annoncé mercredi en fin de journée l'arrivée de renforts de sécurité "après la nuit de violences urbaines qu'a connu le quartier de Perseigne à Alençon", ville de 26.000 habitants.
À Alençon, une trentaine d'individus ont mené mardi soir une action cordée de violence, avec la volonté manifeste d'attirer la police dans un guet-apens.
C'est une histoire qui se répète. Alençon, dans l'Orne, est le théâtre d'une nouvelle flambée de violence. Les renforts arrivent ce mercredi soir.
Saïd Ouichou, médecin généraliste dans le 15ème arrondissement de Marseille (quartiers nord). Joaquim Pueyo, maire PS d’Alençon (Orne). On en parle avec: Marie Gentric, envoyée spéciale de BFMTV à Alençon (Orne).
11 mois après des scènes d'émeutes urbaines, Alençon et son quartier Perseigne ont vécu un nouvel épisode de violences en début de semaine.
Le chauffeur de la voiture se serait rebellé tout en menaçant de mort les policiers et en incitant à l’émeute les habitants du quartier. À l’époque, la préfète de l’Orne avait, selon les formules d’usage devenues monnaie courante face à l’ensauvagement de la France, « condamné avec la plus grande fermeté les violences de la nuit et ces comportements de voyous ». Ainsi, pour stopper les émeutiers de ce 27 septembre, les forces de l’ordre d’Alençon ont dû faire appel à des policiers extérieurs venus leur prêter main-forte. Selon le parquet, une vingtaine de véhicules ont été incendiés. Le chef-lieu de l’Orne, longtemps réputé paisible, est donc une nouvelle fois dans la tourmente. Trafic de drogue, voitures incendiées, policiers attaqués et maire socialiste dépassé par les racailles : la recette infaillible pour rendre invivable un paisible chef-lieu de l’Orne !
Des CRS patrouillent le quartier de Perseigne à Alençon, secoué vingt-quatre heures plus tôt par d'importantes violences urbaines, le 29 septembre 2022 AFP.
Cet individu a pris la fuite", selon le communiqué. Mercredi soir, le quartier de Perseigne était sous surveillance renforcée, avait constaté un photographe de l'AFP. Les violences de la nuit du 27 au 28 septembre "font suite à l’interpellation, le 27 septembre 2022, d’un individu habitant le quartier de Perseigne pour des faits de refus d’obtempérer, outrages, rébellion, menaces de mort et refus de se soumettre aux vérifications d’alcool et de stupéfiants", a ajouté Mme Mirande.
Les forces de l'ordre venues sécuriser l'intervention des pompiers avaient fait l'objet de "multiples tirs de mortiers d'artifice, qui n'ont fait aucun blessé", ...
Cet individu a pris la fuite", selon le communiqué. Mercredi soir, le quartier de Perseigne était sous surveillance renforcée, avait constaté un photographe de l'AFP. Les violences de la nuit du 27 au 28 septembre "font suite à l'interpellation, le 27 septembre 2022, d'un individu habitant le quartier de Perseigne pour des faits de refus d'obtempérer, outrages, rébellion, menaces de mort et refus de se soumettre aux vérifications d'alcool et de stupéfiants", a ajouté Mme Mirande.
La justice remonte le fil des précédentes opérations policières au surlendemain des incidents de mardi soir dans le quartier de Perseigne à Alençon.
Notamment des CRS de Toulouse et des équipages de brigades anti-criminalité venus des départements voisins du Calvados et de la Sarthe. Les pompiers ont été appelés pour de nouveaux feux de voitures cette nuit. Le parquet fait le lien avec deux affaires distinctes en une semaine.
Peu après minuit et demi, le calme du début de nuit a été rompu pendant un bref instant par des tirs de mortiers d'artifice vers la rue depuis des fenêtres et ...
Les sapeurs-pompiers sont intervenus aux alentours de 4 h 30, dans la nuit de mercredi 28 à jeudi 29 septembre 2022, dans le quartier de Perseigne, ...
Quatre voitures ont été incendiées, malgré la présence des CRS, appelés en renfort pour éviter une deuxième nuit de violences urbaines, comme celles de la veille. Ils ont pu entrer dans le quartier sans encombre. Les sapeurs-pompiers de l’Orne sont intervenus vers 4 h 30, rue de la Meunière, pour éteindre les feux des quatre véhicules.
Une enquête est ouverte après la nuit de violences urbaines qui se sont déroulées dans la nuit du 27 au 28 septembre 2022 dans le quartier Perseigne à ...
Deux individus avaient fait l’objet d’une interpellation dans le cadre d'infractions à la législation sur les stupéfiants et avaient été déférés devant le procureur de la République en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. "Aucune interpellation n’a pour le moment eu lieu et des investigations sont en cours", concernant les faits de la nuit du 27 au 28 septembre "Deux individus ont été interpellés en lien avec la possession ou le trafic de stupéfiants", a ajouté la préfecture dans un communiqué jeudi à la mi-journée.
Sensibiliser un maximum de personnes aux modes de déplacement plus durables », c'est l'objectif de la fête de la mobilité, organisée le 1er octobre 2022 à ...
Le secteur mobilité insertion du centre tiendra également un stand d’information avec des cours de vélo et une sensibilisation au vélo à assistance électrique. Ou encore effectuer des balades à bicyclette sur un trajet de 7 km, à partir de 17 h. Parmi les animations gratuites proposées : une balade à bicyclette et une sensibilisation à la trottinette électrique.
REPORTAGE - Loin d'être une cité à l'abandon, le quartier de Perseigne, où des émeutes viennent d'avoir lieu, est gangrené par le trafic de stupéfiants.
À la suite de l’interpellation d’un dealer, une trentaine de jeunes, cagoulés et munis de barres de fer, ont dressé des barricades avant… Comme désormais de nombreuses villes moyennes, Alençon n’échappe plus à la fureur de ses cités, de ses dealers et aux feux provocateurs d’une partie de sa jeunesse, devenue sécessionniste et violente. Avec les façades de ses maisons du XVIIIe siècle parfaitement léchées, le propret centre-ville de la cité préfectorale d’Alençon (Orne) dégage le parfum tranquille d’une ville de province d’à peine 26.000 habitants.